27-09-2021, 06:46 PM
CHAPITRE CXXXV
''Indecentia ragationem''
''Indecentia ragationem''
Burydan se déshabilla et s'allongea sur le lit, la tête dans les bras. Rhonin, dans la salle d'eau, prit le pot d'onguent dont se servait Burydan pour apaiser le feu du rasoir. Ce n’était pas l'idéal, mais c'était mieux que rien.
Il revint dans la chambre et contempla le corps de son maître. Bordel que cet homme était beau...
- Le sous vêtement est de trop...
Burydan sourit et se mit entièrement nu. Il cala confortablement sa bite sous son ventre, sachant que le ballet des mains de son petit blond sur sa peau allait le faire bander.
Il regarda Rhonin qui se déshabilla à son tour. Il s'assit sur les cuisses épaisses de son beau brun et, après avoir réchauffer l'onguent dans ses mains, commença un massage sensuel, pétrissant les épaules, les biceps, le dos et les reins de son étalon. Burydan soupira de plaisir.
- Tu es doué, bébé...
- Je sais, dit laconiquement Rhonin, je sais...
Et il éclata d'un petit rire cristallin.
Burydan ne put retenir un petit hoquet quand Rhonin pétrit ses fesses à pleine main. Et son blondinet se coucha de tout son long sur lui, massa son corps avec le sien. Et Burydan sentit la queue de son minet bien dure contre ses fesses.
- Dis moi, bébé, est-ce vraiment une tenue pour masser ?
- Pas vraiment. Quand je massais ma maîtresse, je portai un linge autour des reins.
- Un linge... c'est tout ?
- Oui. Elle prenait plaisir à voir mon corps juvénile entièrement nu...
- Mais... tu avais quel âge ?
- 13 ans.
- Oh... et tu l'as... enfin, tu l'as...
- Besognée ?
- Oui.
- Non, jamais. Toutefois...
- Toutefois ?
- Toutefois elle demandait à sa chambrière, Jeannette, de me... caresser... et aimait nous voir...
- Vous voir ?
- Coqueliquer sous ses yeux...
Burydan tourna vivement la tête.
- Tu veux dire que tu as déjà... avec une garce...
- Oui.
- Souvent ?
- Oui.
- Oh... et tu as aimé ?
- Beaucoup. Il faut dire que Jeannette était une très jolie fille de 16 ans, le corps bien rondi, et mettait beaucoup... d'entrain... lors de nos petits jeux...
- Ah... et... ça te... ça te manque ? dit Burydan, un rien inquiet.
- Absolument pas.
- Vraiment ?
- Vraiment. Même si j'ai aimé coqueliquer avec Jeannette, même sous les yeux de ma maîtresse, je n'ai jamais pris autant de plaisir avec elle que j'en prends avec toi. A chaque fois que nous faisons l'amour, tu me transportes vers des délices que je n'imaginais même pas. Je t'aime, beau brun, et je me damnerais pour encore sentir ta peau, ton corps sur moi... et en moi...
- Je t'aime aussi, blondinet. Et je me damnerais pour encore sentir ta peau, ton corps sous moi... et tout autour de moi...
- Tourne toi, dit Rhonin.
Burydan se retourna, offrant son corps nu aux regards de son minet.
Rhonin remit un peu d'onguent sur ses mains et reprit son massage. Il triturait les épaules, les flancs, le ventre, les cuisses et les mollets de son mâle. Puis, ayant gardé le meilleur pour la fin, il se mit à peloter les pectoraux énormes de son maître. La queue de Burydan s'agita et, en un rien de temps, se retrouva fièrement dressée contre son ventre. Rhonin sourit et commença à caresser cette belle colonne de chair du bout des doigts, la faisant palpiter.
- Alors comme ça, tu es trop fatigué pour me faire l'amour ? dit-il avec un petit sourire moqueur.
Burydan l'attira à lui et l'embrassa passionnément.
- Dis moi, bébé, tu n'aurais pas envie d'expérimenter... autre chose...
- Oh, une nouvelle position acrobatique ?
- Non, pas exactement. Je me disais que tu voudrais peut-être expérimenter toutes les facettes du plaisir entre hommes...
- Tu veux dire... avec... avec toi ?
- De préférence, oui.
- Je... je n'ai jamais... jamais fait... ça...
- Je peux m'occuper de tout...
Rhonin, yeux écarquilles, ne répondit rien.
- Si tu n'en as pas envie, bébé, ce n'est pas grave, c'est juste que...
- Je ne sais pas, le coupa-t-il... je mentirais en disant que je n'y ai jamais pensé. Quand je vois le plaisir que tu prends quand nous faisons l'amour... mais je me vois mal... enfin, regarde moi et regarde toi... Je suis un petit minet pas épais et toi, tu es une montagne de muscles... ça me ferait... bizarre...
- On peut essayer... et si tu n'aimes pas, on ne le refera pas... mais j'ai très envie de te faire découvrir ça...
- Co... comment on fait ?
Burydan l'attira de nouveau à lui et l'embrassa. Ils se caressèrent un long moment et Burydan commença à lécher avec application le corps de son minet, de la racine de ses cheveux dorés à la plante des ses mignons petits pieds. Lorsqu'il releva la tête, Rhonin était en transe et son corps brillait de salive. Burydan sourit et se mit à quatre pattes au dessus de Rhonin, tête bêche. Il lui présenta ses fesses et prit sa bite en bouche. Le blondinet lécha l'entrée de son mâle pendant que celui-ci le suçait avidement.
Burydan gémit quand la langue rose de Rhonin s'engouffra en lui. Il la fit aller et venir et l'enfonça aussi profondément que possible.
- Doigte moi, dit Burydan.
Rhonin appuya précautionneusement son doigt sur l’ouverture entrouverte, qui se retrouva bientôt bien au chaud. Il fit aller et venir son doigt, lécha de nouveau et un doigt devint deux, puis trois.
Burydan gémissait. Quand il sentit son cul bien ouvert, il se retourna. Rhonin le regardait, un peu inquiet mais très excité. Burydan sourit. Il laissa tomber de gros paquets de salive sur la bite de son blondinet et l'étala de sa main.
Il s'accroupit au dessus de son minet, dirigea sa queue bien dure vers son entrée et s'empala sur elle en rejetant la tête en arrière et en poussant un long gémissement rauque.