22-09-2021, 02:59 PM
Pour assouvir la curiosité de certains… Il y avait une suite au dernier texte mais on voulait voir les réactions des lecteurs.
La seconde partie :
J’avais un peu peur. Je ne savais pas qui était derrière cette porte, mais... Les chiens grognaient toujours derrière moi…
je frappais à la porte.
J'entendis une chaise qui trainait sur le sol et des pas lourds se rapprocher de la porte. Porte qui s’ouvrit.
–Eteins ta lampe, tu m’éblouis. Et entre te mettre au chaud.
Devant moi se tenait une force de la nature. Un géant, le mec, un quarantenaire qui devait mesurer pas loin des deux mètres et devait faire facile ses 100 kilos, tout en muscles.
–Tu devrais te changer avant de prendre froid. Tu claque des dents !
Sans fausse pudeur je me changeais et d'un geste il me désigna des cordes où étendre mon linge mouillé. Pendant que je me changeais, il faisait à manger. Je l'observais discrètement. Ses muscles jouaient sous son tee-shirt et quand il se penchait sur le poêle à bois son short de toile bleu lui rentrait dans les fesses.
Il avait un beau cul.
« Merde Kévin, pense à autre chose ! Tu vas avoir l'air malin si tu te mets à bander devant lui ! Il va penser quoi ? Autant il te fout dehors avec perte et fracas ! Il ne manquerait plus que ça ! »
J'en étais là de mes réflexions quand sa voix me sortit de ma rêverie.
–Il faut m’excuser. Je n'ai pas l'habitude d'avoir quelqu'un chez moi. Et de trop fréquenter mes moutons ne m'a pas rendu très bavard. Je m'appelle Jean.
–Enchanté Jean et merci de m'avoir secouru. Je m'appelle Kévin. Je voulais me rendre au refuge des Trois Becs mais j'ai trop tiré vers la droite à cause du brouillard et je me suis perdu aux alentours des quatre chemins. Ensuite c'est vos Patous qui m'ont conduit à vous.
–J'ai l'air si vieux que ça ? Dis-moi tu. Allez, viens t'installer à table. Le repas est prêt.
–J'ai ce qu'il faut. Je ne voudrais pas vous priver.
–Si tu as du pain frais, il est le bienvenu. Le mien a plus d'une semaine.
J'allais jusqu'à mon sac et je sortis le pain que je posais sur la table. Il me servit une portion plus que gargantuesque, s'en servit une pareille et reposa le reste au coin du poêle. On commença à manger en silence. C’était bon et mon estomac appréciait son remplissage.
On entendit les Patous aboyant et des clochettes tintinnabulantes qui se rapprochaient. Bientôt la porte s’ouvrit brusquement, me faisant presque peur. Je me retournais au moment où le sosie de Jean en plus jeune entra, dégoulinant d’eau.
–Ah, on a de la visite ? Salut, moi c'est Pascal.
–Salut Pascal, je suis Kévin.
–Ravi de te rencontrer mais on fera la causette après parce que je suis trempé et que je me gèle les couilles.
Et ni une, ni deux il quitta tout ce qu'il avait sur lui et il alla se réchauffer à côté du poêle. Il avait les mêmes fesses que son père. Il prit une serviette et s’essuya. Puis il enfila un tee-shirt et un short à même la peau puis il s'installa en face de moi.
Si son père était taciturne, lui ne l'était pas du tout. Il me demanda ce qu'il se passait en ville, les dernières nouvelles des vogues, certains résultats sportifs … son père avait fini de manger. Il se leva, débarrassa son assiette qu'il lava, nous souhaita bonne nuit et passa dans une autre pièce.
–Il est parti se coucher. Il fait les matins et moi les après-midis. Je suis crevé. On va se coucher ?
–Ok, je te suis.
On sortit de la pièce principale, on contourna la bergerie. Pascal ouvrit une porte. Il n'y avait qu'un grand lit. Il me regarda en souriant et me dit :
–Si ça te dérange de dormir avec moi, tu peux dormir dans la bergerie avec les brebis. Mais je t'avertis ça pique les yeux et ça pue.
–Ne t'en fais pas, ça ne sera pas la première fois que je dors avec un mec.
Son duvet était étendu sur le lit. Je sortis le mien de sa housse et je l'étendis à côté du sien. Il enleva son tee-shirt et son short et se coucha à poil. Je quittais mon short et je me couchais en chaussettes, boxer et tee-shirt.
On éteignit ensemble nos lampes.
–Bonne nuit Pascal.
–Tu as sommeil ?
–Pas trop, mais toi tu dois être fatigué non ?
–Non pas tant que ça, tu sais j'ai l’habitude. Et puis c'est pas si souvent qu'on a de la visite. Ça te dit qu'on discute un peu encore ?
–Oui bien sûr, pas de souci. Tu veux faire berger comme ton père ?
–Ça va pas la tête ! Non c'est mon frère ainé qui est berger mais il s'est cassé la cheville juste avant de remonter alors je le remplace ici et lui me replace à l’accueil du camping de la ferme. Je vais rentrer en M1 d'histoire à la rentrée prochaine. Tu es étudiant aussi ?
–Oui je vais rentrer aussi en M1 mais d'histoire de l'art et archéologie. Tu vas à quelle fac ?
–À Paul Valéry à Montpellier et toi ?
–T'es sérieux ? Moi aussi j'y suis.
–Je ne t'y ai jamais vu.
–C'est normal, mes parents ont été mutés récemment, avant j'étais sur Lyon.
–Ok et comment ça se fait que tu sois ici ?
–Je devais rejoindre des potes qui sont partis avant moi mais je me suis perdu à cause de l’orage. Et du coup j'ai débarqué ici. Enfin les Patous ne m'ont pas trop laissé le choix. C'est pas trop dur de passer l'été ici loin de tout ?
–Un peu, si quand même… si tu vois à quoi je pense.
–C'est ta copine qui te manque ?
–Ma copine, non pas vraiment. Je suis gay comme toi.
–Hein ! Qu’est-ce qui te fait dire que je suis gay ?
–Le petit drapeau arc en ciel cousu sur ton sac à dos. Il est assez discret. Après, je me trompe peut-être.
–Non tu as raison, je suis gay.
–Ça te dirait qu'on se fasse des câlins ? Mais peut-être que tu as quelqu’un ?
–Non, je suis célibataire. Mais tu sais Pascal, les plans cul c'est pas trop mon truc.
–Je ne t'ai pas proposé un plan cul, parce que moi non plus c'est pas mon truc. Je t'ai proposé de nous faire des câlins. Si tu ne veux pas ce n'est pas grave.
–Si ce n'est que des câlins, je veux bien.
Il alluma sa lampe et sortit de son duvet. La fin de notre conversation avait dû l'exciter parce qu'il bandait ferme et je pus constaté que tout était proportionnel chez lui. Je sortis du mien et je me mis en tenue identique puis je me collais à lui.
Il me serra dans ses bras puissants et commença à me faire des bisous tous tendres. Je ne restais pas inactif et je me mis à lui rendre ses baisers et caresses. Je sentais son sexe pulser entre nous. Le mien me faisait mal tellement je bandais. On donnait des petits coups de rein pour nous stimuler. Finalement n'y tenant plus Pascal prit mon sexe en main et commença à me masturber tout doucement.
Je me saisis du sien et le branlais au même rythme que le sien. On fit durer très, très longtemps.
–Je vais jouir.
–Moi aussi.
On éjacula ensemble alors qu'on s’embrassait goulument. On se câlina encore une grand moment après avoir joui. On zippa nos duvets ensemble et on s'endormit dans les bras l'un de l’autre.
C'est des douces caresses qui me réveillèrent. La première chose que je vis ce fut son sourire. Puis sa bouche qui s'approcha de la mienne. On échangea un long baiser. Finalement, on se leva et on s’habilla. Son père était déjà parti avec les brebis.
Après un bon café et une toilette assez sommaire je remis mon sac et je partis vers ma destination initiale. Non, sans avoir échangé nos portables. Quelques heures plus tard je retrouvais mes amis. Evidemment, je me gardais bien de leur parler de ma rencontre.
J'étais rentré chez mes grands-parents chez qui j'étais en vacances pour deux semaines encore. J'étais morose. Pascal me manquait. Ils se rendirent compte que je n'étais pas dans mon états normal et il me conseillèrent de faire ce que mon cœur me dictait.
Je pris aussitôt ma voiture et j'allais jusqu'au supermarché du coin où j’achetais de quoi manger pour deux semaines et même plus. J'allais être chargé comme un âne mais tant pis.
Je dus dormir dans la petite cabane parce que mon sac à dos pesait une tonne et me cisaillait les épaules. Je n'avais plus la force d'avancer mais le lendemain, dès le lever du jour je repris la route. Après une longue marche j'entendis les clochettes des brebis et les Patous vinrent à ma rencontre une fois de plus, cette fois un peu plus amicalement. En les suivant je vis son père arriver à pas lents. J'allais dans sa direction aussi vite que je le pouvais et dès que je fus près de lui il me dit :
–Laisse ton sac ici, tu iras plus vite. Il t’attend depuis ton départ. Vous le récupérerez cet après-midi, avec les ânes.
Je posais mon sac à son côté et je partis en courant rejoindre mon amour de montagnard.
La seconde partie :
J’avais un peu peur. Je ne savais pas qui était derrière cette porte, mais... Les chiens grognaient toujours derrière moi…
je frappais à la porte.
J'entendis une chaise qui trainait sur le sol et des pas lourds se rapprocher de la porte. Porte qui s’ouvrit.
–Eteins ta lampe, tu m’éblouis. Et entre te mettre au chaud.
Devant moi se tenait une force de la nature. Un géant, le mec, un quarantenaire qui devait mesurer pas loin des deux mètres et devait faire facile ses 100 kilos, tout en muscles.
–Tu devrais te changer avant de prendre froid. Tu claque des dents !
Sans fausse pudeur je me changeais et d'un geste il me désigna des cordes où étendre mon linge mouillé. Pendant que je me changeais, il faisait à manger. Je l'observais discrètement. Ses muscles jouaient sous son tee-shirt et quand il se penchait sur le poêle à bois son short de toile bleu lui rentrait dans les fesses.
Il avait un beau cul.
« Merde Kévin, pense à autre chose ! Tu vas avoir l'air malin si tu te mets à bander devant lui ! Il va penser quoi ? Autant il te fout dehors avec perte et fracas ! Il ne manquerait plus que ça ! »
J'en étais là de mes réflexions quand sa voix me sortit de ma rêverie.
–Il faut m’excuser. Je n'ai pas l'habitude d'avoir quelqu'un chez moi. Et de trop fréquenter mes moutons ne m'a pas rendu très bavard. Je m'appelle Jean.
–Enchanté Jean et merci de m'avoir secouru. Je m'appelle Kévin. Je voulais me rendre au refuge des Trois Becs mais j'ai trop tiré vers la droite à cause du brouillard et je me suis perdu aux alentours des quatre chemins. Ensuite c'est vos Patous qui m'ont conduit à vous.
–J'ai l'air si vieux que ça ? Dis-moi tu. Allez, viens t'installer à table. Le repas est prêt.
–J'ai ce qu'il faut. Je ne voudrais pas vous priver.
–Si tu as du pain frais, il est le bienvenu. Le mien a plus d'une semaine.
J'allais jusqu'à mon sac et je sortis le pain que je posais sur la table. Il me servit une portion plus que gargantuesque, s'en servit une pareille et reposa le reste au coin du poêle. On commença à manger en silence. C’était bon et mon estomac appréciait son remplissage.
On entendit les Patous aboyant et des clochettes tintinnabulantes qui se rapprochaient. Bientôt la porte s’ouvrit brusquement, me faisant presque peur. Je me retournais au moment où le sosie de Jean en plus jeune entra, dégoulinant d’eau.
–Ah, on a de la visite ? Salut, moi c'est Pascal.
–Salut Pascal, je suis Kévin.
–Ravi de te rencontrer mais on fera la causette après parce que je suis trempé et que je me gèle les couilles.
Et ni une, ni deux il quitta tout ce qu'il avait sur lui et il alla se réchauffer à côté du poêle. Il avait les mêmes fesses que son père. Il prit une serviette et s’essuya. Puis il enfila un tee-shirt et un short à même la peau puis il s'installa en face de moi.
Si son père était taciturne, lui ne l'était pas du tout. Il me demanda ce qu'il se passait en ville, les dernières nouvelles des vogues, certains résultats sportifs … son père avait fini de manger. Il se leva, débarrassa son assiette qu'il lava, nous souhaita bonne nuit et passa dans une autre pièce.
–Il est parti se coucher. Il fait les matins et moi les après-midis. Je suis crevé. On va se coucher ?
–Ok, je te suis.
On sortit de la pièce principale, on contourna la bergerie. Pascal ouvrit une porte. Il n'y avait qu'un grand lit. Il me regarda en souriant et me dit :
–Si ça te dérange de dormir avec moi, tu peux dormir dans la bergerie avec les brebis. Mais je t'avertis ça pique les yeux et ça pue.
–Ne t'en fais pas, ça ne sera pas la première fois que je dors avec un mec.
Son duvet était étendu sur le lit. Je sortis le mien de sa housse et je l'étendis à côté du sien. Il enleva son tee-shirt et son short et se coucha à poil. Je quittais mon short et je me couchais en chaussettes, boxer et tee-shirt.
On éteignit ensemble nos lampes.
–Bonne nuit Pascal.
–Tu as sommeil ?
–Pas trop, mais toi tu dois être fatigué non ?
–Non pas tant que ça, tu sais j'ai l’habitude. Et puis c'est pas si souvent qu'on a de la visite. Ça te dit qu'on discute un peu encore ?
–Oui bien sûr, pas de souci. Tu veux faire berger comme ton père ?
–Ça va pas la tête ! Non c'est mon frère ainé qui est berger mais il s'est cassé la cheville juste avant de remonter alors je le remplace ici et lui me replace à l’accueil du camping de la ferme. Je vais rentrer en M1 d'histoire à la rentrée prochaine. Tu es étudiant aussi ?
–Oui je vais rentrer aussi en M1 mais d'histoire de l'art et archéologie. Tu vas à quelle fac ?
–À Paul Valéry à Montpellier et toi ?
–T'es sérieux ? Moi aussi j'y suis.
–Je ne t'y ai jamais vu.
–C'est normal, mes parents ont été mutés récemment, avant j'étais sur Lyon.
–Ok et comment ça se fait que tu sois ici ?
–Je devais rejoindre des potes qui sont partis avant moi mais je me suis perdu à cause de l’orage. Et du coup j'ai débarqué ici. Enfin les Patous ne m'ont pas trop laissé le choix. C'est pas trop dur de passer l'été ici loin de tout ?
–Un peu, si quand même… si tu vois à quoi je pense.
–C'est ta copine qui te manque ?
–Ma copine, non pas vraiment. Je suis gay comme toi.
–Hein ! Qu’est-ce qui te fait dire que je suis gay ?
–Le petit drapeau arc en ciel cousu sur ton sac à dos. Il est assez discret. Après, je me trompe peut-être.
–Non tu as raison, je suis gay.
–Ça te dirait qu'on se fasse des câlins ? Mais peut-être que tu as quelqu’un ?
–Non, je suis célibataire. Mais tu sais Pascal, les plans cul c'est pas trop mon truc.
–Je ne t'ai pas proposé un plan cul, parce que moi non plus c'est pas mon truc. Je t'ai proposé de nous faire des câlins. Si tu ne veux pas ce n'est pas grave.
–Si ce n'est que des câlins, je veux bien.
Il alluma sa lampe et sortit de son duvet. La fin de notre conversation avait dû l'exciter parce qu'il bandait ferme et je pus constaté que tout était proportionnel chez lui. Je sortis du mien et je me mis en tenue identique puis je me collais à lui.
Il me serra dans ses bras puissants et commença à me faire des bisous tous tendres. Je ne restais pas inactif et je me mis à lui rendre ses baisers et caresses. Je sentais son sexe pulser entre nous. Le mien me faisait mal tellement je bandais. On donnait des petits coups de rein pour nous stimuler. Finalement n'y tenant plus Pascal prit mon sexe en main et commença à me masturber tout doucement.
Je me saisis du sien et le branlais au même rythme que le sien. On fit durer très, très longtemps.
–Je vais jouir.
–Moi aussi.
On éjacula ensemble alors qu'on s’embrassait goulument. On se câlina encore une grand moment après avoir joui. On zippa nos duvets ensemble et on s'endormit dans les bras l'un de l’autre.
C'est des douces caresses qui me réveillèrent. La première chose que je vis ce fut son sourire. Puis sa bouche qui s'approcha de la mienne. On échangea un long baiser. Finalement, on se leva et on s’habilla. Son père était déjà parti avec les brebis.
Après un bon café et une toilette assez sommaire je remis mon sac et je partis vers ma destination initiale. Non, sans avoir échangé nos portables. Quelques heures plus tard je retrouvais mes amis. Evidemment, je me gardais bien de leur parler de ma rencontre.
J'étais rentré chez mes grands-parents chez qui j'étais en vacances pour deux semaines encore. J'étais morose. Pascal me manquait. Ils se rendirent compte que je n'étais pas dans mon états normal et il me conseillèrent de faire ce que mon cœur me dictait.
Je pris aussitôt ma voiture et j'allais jusqu'au supermarché du coin où j’achetais de quoi manger pour deux semaines et même plus. J'allais être chargé comme un âne mais tant pis.
Je dus dormir dans la petite cabane parce que mon sac à dos pesait une tonne et me cisaillait les épaules. Je n'avais plus la force d'avancer mais le lendemain, dès le lever du jour je repris la route. Après une longue marche j'entendis les clochettes des brebis et les Patous vinrent à ma rencontre une fois de plus, cette fois un peu plus amicalement. En les suivant je vis son père arriver à pas lents. J'allais dans sa direction aussi vite que je le pouvais et dès que je fus près de lui il me dit :
–Laisse ton sac ici, tu iras plus vite. Il t’attend depuis ton départ. Vous le récupérerez cet après-midi, avec les ânes.
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