20-09-2021, 11:30 PM
J’avais un peu peur. Je ne savais pas qui était derrière cette porte, mais... je n'avais pas d'autre choix que d’y entrer …
Comment en étais-je arrivé là !
je n'avais pas pu me libérer pour partir faire une randonnée en moyenne montagne avec mes amis pendant trois jours. Mais j'avais décidé de les rejoindre le lendemain soir dans un refuge.
C'est donc de bonne heure que je grimpais dans ma voiture et il faisait encore entre chien et loup quand j'endossais mon sac à dos après avoir enfilé mes chaussures de montagne. J'avançais à bonne allure. Le soleil commençait à se lever et la journée s'annonçait radieuse. Une fois de plus la météo s'était plantée. Elle avait annoncé des orages dès le début de matinée.
Il devait me rester encore une bonne heure de marche pour arriver jusqu'au col et ensuite bifurquer quand des nuages noirs commencèrent à s'accumuler rapidement sur la montagne. J'accélérais le pas et j'arrivais au col en même temps que les premières gouttes. C'est au pas de course que je franchis les derniers mètres pour me réfugier dans une minuscule cabane qui ne tenait debout que par miracle. Mais au moins j’y étais provisoirement à l’abris.
Il me fallut attendre trois heures pour que l'orage s'éloigne et souvent, la cabane et moi avons tremblé, en même temps que les éclairs jaillissaient et que le tonnerre grondait.
Quand je pus sortir, le brouillard était venu remplacé les trombes d’eau. On n'y voyait goutte. Mais ça va je connaissais assez bien le coin. Je sortis pour plus de sécurité ma boussole et je partis espérant que cette purée de pois ne tarderait pas à se lever.
Mon estomac grogna. Je regardais ma montre. Il était treize heures passées. Je mangeais rapidement un bout, assis sur un coin de rocher humide et, un peu rassasier, je repris aussitôt la route. Il y eut une petite éclaircie et… je ne reconnus pas le coin. Je m'étais perdu ! L’endroit ne me disait rien du tout. Et comme il n'y avait qu'un seul coin où je n'étais jamais venu, Je savais donc approximativement où j'étais – enfin, à quelques heures de marche près. Il fallait que je me dirige vers la droite. Je regardais la carte, avec espoir, réglais ma boussole et je repris mon crapahutage.
Ça devait faire plus de deux heures que je marchais, quand un autre orage me tomba dessus sans crier gare. Et je fus trempé avant d’avoir eu le temps d'enfiler mon habit de pluie. Le ciel était tellement couvert qu'on aurait dit qu'il faisait nuit.
C'est frigorifié que je marchais vers… je ne sais où. J'avais dû sortir ma frontale pour voir où je posais mes pieds. Au loin il me sembla entendre des cloches tinter. J'avançais dans cette direction et petit à petit les tintements se faisaient plus distincts. J'étais sauvé. Il y aurait surement un berger qui me dirait où j'étais et de là j'irai rejoindre mes amis, enfin si c'était encore possible.
Après une bonne demie heure de marche j'entendis nettement les sonnailles mais aussi des sons qui n’auguraient rien de bon, et c'est deux formes blanches qui se ruèrent vers moi en aboyant qui me le confirmèrent. Des Patous ! Il ne manquait plus que ça ! Je m'éloignais mais ils m'obligèrent à me diriger vers une direction précise et dès que j'essayais de bifurquer à droite ou à gauche ils montraient les dents.
Je marchais donc sur le chemin et au loin je vis une lueur. Je me dirigeais vers elle. Je distinguais la forme d'une cabane à travers le brouillard. Je savais à ce moment où j’étais. Je ne connaissais pas personnellement le berger mais, selon les ouï-dire, il n'était vraiment pas réputé accueillant.
J’avais un peu peur. Je ne savais pas qui était derrière cette porte, mais je n'avais pas d'autre choix que de rentrer. Les chiens grognaient toujours derrière moi…
Comment en étais-je arrivé là !
je n'avais pas pu me libérer pour partir faire une randonnée en moyenne montagne avec mes amis pendant trois jours. Mais j'avais décidé de les rejoindre le lendemain soir dans un refuge.
C'est donc de bonne heure que je grimpais dans ma voiture et il faisait encore entre chien et loup quand j'endossais mon sac à dos après avoir enfilé mes chaussures de montagne. J'avançais à bonne allure. Le soleil commençait à se lever et la journée s'annonçait radieuse. Une fois de plus la météo s'était plantée. Elle avait annoncé des orages dès le début de matinée.
Il devait me rester encore une bonne heure de marche pour arriver jusqu'au col et ensuite bifurquer quand des nuages noirs commencèrent à s'accumuler rapidement sur la montagne. J'accélérais le pas et j'arrivais au col en même temps que les premières gouttes. C'est au pas de course que je franchis les derniers mètres pour me réfugier dans une minuscule cabane qui ne tenait debout que par miracle. Mais au moins j’y étais provisoirement à l’abris.
Il me fallut attendre trois heures pour que l'orage s'éloigne et souvent, la cabane et moi avons tremblé, en même temps que les éclairs jaillissaient et que le tonnerre grondait.
Quand je pus sortir, le brouillard était venu remplacé les trombes d’eau. On n'y voyait goutte. Mais ça va je connaissais assez bien le coin. Je sortis pour plus de sécurité ma boussole et je partis espérant que cette purée de pois ne tarderait pas à se lever.
Mon estomac grogna. Je regardais ma montre. Il était treize heures passées. Je mangeais rapidement un bout, assis sur un coin de rocher humide et, un peu rassasier, je repris aussitôt la route. Il y eut une petite éclaircie et… je ne reconnus pas le coin. Je m'étais perdu ! L’endroit ne me disait rien du tout. Et comme il n'y avait qu'un seul coin où je n'étais jamais venu, Je savais donc approximativement où j'étais – enfin, à quelques heures de marche près. Il fallait que je me dirige vers la droite. Je regardais la carte, avec espoir, réglais ma boussole et je repris mon crapahutage.
Ça devait faire plus de deux heures que je marchais, quand un autre orage me tomba dessus sans crier gare. Et je fus trempé avant d’avoir eu le temps d'enfiler mon habit de pluie. Le ciel était tellement couvert qu'on aurait dit qu'il faisait nuit.
C'est frigorifié que je marchais vers… je ne sais où. J'avais dû sortir ma frontale pour voir où je posais mes pieds. Au loin il me sembla entendre des cloches tinter. J'avançais dans cette direction et petit à petit les tintements se faisaient plus distincts. J'étais sauvé. Il y aurait surement un berger qui me dirait où j'étais et de là j'irai rejoindre mes amis, enfin si c'était encore possible.
Après une bonne demie heure de marche j'entendis nettement les sonnailles mais aussi des sons qui n’auguraient rien de bon, et c'est deux formes blanches qui se ruèrent vers moi en aboyant qui me le confirmèrent. Des Patous ! Il ne manquait plus que ça ! Je m'éloignais mais ils m'obligèrent à me diriger vers une direction précise et dès que j'essayais de bifurquer à droite ou à gauche ils montraient les dents.
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Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
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Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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