18-09-2021, 11:01 AM
J’ai un peu peur. Je ne sais pas qui est derrière cette porte, mais...
Lucien, mon chef d'équipe sur ce chantier, s'appuyait sur sa pelle pour souffler un peu. Il faut dire qu'il faisait une chaleur terrible et que travailler au soleil pour ouvrir une tranchée et trouver l'origine d'une fuite d'eau était une véritable torture. Nous n'étions pas particulièrement pressés car la conduite avait été fermée et les dégâts ne pouvaient pas s'étendre.
Je regardais Lucien dans son bleu de travail, à vrai dire un minuscule jean qui ne cachait pas grand-chose de ses attributs dont il était très fier et dont il n'arrêtait pas de nous venter les mérites. Lucien était ce qu'on appelle un bon vivant qui la fin de journée s'envoyait avec ses potes de nombreuses bières. Je ne faisais pas véritablement partie de son cercle intime mais il m'avait à la bonne et aimait me charrier et m'entraînait régulièrement avec lui. Je n'intervenais que rarement dans leurs grands débats philosophiques qui, généralement, tournaient autour du sexe. C'était de grands éclats de rire qui redoublaient lorsqu'ils me voyaient rougir ce qui m'arrivait fréquemment. Notre équipe était composée de quatre membres.
Jack était un adorable homo qui n'aurait pas fait de mal à une mouche mais qui toutes les quatre à six semaines nous déclarait avec grand sérieux qu'il avait trouvé, "oui je vous assure", l'homme de sa vie. Il était relativement discret sur sa vie sexuelle mais nous lâchait de temps à autres des détails croustillants qui faisaient la joie de mes compères mais qui me laissaient souvent perplexes même si, bien sûr, je riais avec eux. Jack n'était pas baraqué mais il disposait d'une bonne musculature qui lui permettait de faire largement sa part de travail. Comme nous tous, il était célibataire et avait une quarantaine d'années. Nous l'aimions tous et il aimait à me dire en riant qu'il m'aimait bien.
Emile était un coureur de jupon au point qu'il s'embrouillait dans les prénoms et les visages, invitant l'une en croyant que c'était l'autre. Il était un peu comme Jack et nous ne savions pas grand-chose de ses dames mais il ne cachait pas qu'il préférait les cinquantenaires aux jeunettes qui croient tout savoir alors qu'il faut tout leur expliquer. De plus, dès que l'on s'approche de leurs chattes elles commencent à minauder et si par malheur Emile tourne autour de leur anus ce sont des cris de femelles effarouchées jusqu'à ce qu'un beau jour elles crient "vas-y plus fort, plus profond, continue etc." Emile choisissait des femmes mures, bien enrobées car dit-il "on a quelque chose à se mettre sous la main et sur la langue". Il nous a confié un soir bien arrosé que la plus âgée avait passé soixante-dix ans et l'avait fait grimper au mur comme jamais, il en bandait encore !
Et je reviens à Lucien. En fait nous ne l'appelions jamais pas son prénom qu'il trouvait ringard. Pour nous c'était Noireau, une évidence vu la couleur de sa chevelure mais également par l'abondante et impressionnante toison noir sur toute sa poitrine, son ventre et autour de ses parties privées comme il aimait à dire. Par contre, sa puissante queue et ses couilles volumineuses étaient vierges de tous poils. A cet endroit jamais exposé au soleil, la peau était blanche de sorte que lorsqu'il était nu, la première chose qu'on voyait c'était sa tige toujours bandée et ses deux testicules, plus ou moins haute selon son degré d'excitation. Et son excitation était sinon permanente du moins très fréquente. Il faut savoir que Noireau n'était pas regardant. Que ce soit une chatte ou un cul masculin, il était preneur et il savait comme personne dispenser le bonheur qui vous faisait flirter avec le ciel. Chaque matin nous attendions avec impatience, même moi, le récit de ses prouesses de sorte que nous débutions notre travail avec la queue en avant !
Quand nous nous sommes reposés Noireau et moi, nous dégoulinions de sueur, c'était quasiment une cascade qui descendait dans nos mini-jeans. Chez Noireau, il y avait un attrait supplémentaire qui me fascinait, sa toison noire était non pas humide mais trempée comme un linge qu'on viendrait de sortir d'une bassine. Nous nous étions assis à l'ombre d'un arbre, les couilles de Noireau sortaient de son jean et j'avais une bosse dans le mien. Je le regardais avec une intensité inhabituelle ce qui lui fit dire "eh ! attend ce soir avec ta copine". Je rougis lorsqu'il compléta "ou avec ton copain". Je deviens alors écarlate et il comprit que c'était un garçon, sauf que je n'avais pas de garçon, pire j'étais puceau ce que je lui avouais. Il me regarda, sidéré qu'à trente-sept ans je puisse être vierge, et je comprends sa stupéfaction. Sa conclusion, il allait s'occuper de moi en me trouvant un partenaire mais qu'il tenait à ce que ce soit quelqu'un de convenable.
C'était un vendredi, chacun est rentré chez lui, je ne savais pas encore ce que j'allais faire mais je me doutais de ce que seraient l'activités de mes collègues.
"J'entendis la sonnette de mon studio et j'eus peur que ce ne soit Noireau qui tienne parole aussi je ne bougeais pas. Mais la sonnette se fit insistante de sorte que je finis par me "lever sans réaliser que j'étais nu. Une sorte de crissement émanait de la porte comme si quelqu'un cherchait à forcer la serrure et je percevais une odeur que je ne connaissais pas. "J'avais peur de découvrir qui venait me rendre visite, je me sentais dans un état second, comme si j'étais à côté de mon corps. Je me ressaisis, j'ouvris la porte et je vis une "énorme toile d'araignée qui couvrait toute l'entrée avec au milieu une araignée noire et velue de la taille d'une grosse soucoupe. Un fil du bas de la toile, épais comme une "cordelette, s'enroula immédiatement autour de mes chevilles m'interdisant tout déplacement alors qu'un autre fil tout aussi gros me bloquait les mains dans le dos.
L'araignée avait quitté sa toile à laquelle ne la rattachaient que quelques fils et me regardait fixement. Je sentis un fil fin qui entrait dans ma narine gauche puis un autre dans la "droite. Ma langue était empêtrée dans un mélimélo de fils qui paralysaient sa mobilité malgré une salivation anormalement abondante. Mes deux oreilles furent également "attaquées par de nouveaux fils qui me chatouillaient agréablement. Dans ma bouche, j'avais l'impression que les fils fondaient mais se reconstituaient au fur et à mesure. Un fil, "très fin celui-là, cherchait à s'introduire dans mon méat ce à quoi je m'opposais vigoureusement, sans succès. La sensation de ce fil qui remontait, qui prenait divers "embranchement pour finalement aboutir dans mes testicules me procurait un sentiment que je n'avais jamais connu avec une telle intensité. L'araignée tournait autour de mon cul "et paraissait jouer avec ma rondelle au point que je sursautais lorsque je vis un dard sortir de sa carapace et chercher à pénétrer dans mon intérieur. Je serrais les fesses, "contractais les muscles qui auraient dû défendre l'entrée de mes intestins, rien n'y fit. Le dard relié par un fil était de plus en plus loin dans mon fondement me procurant des "sensations horribles mais voluptueuses. Le pire, je nageais dans une baignoire de sperme alimentée par un jet continu sortant de mon sexe, soudain libre de fil. Je surpris un "grognement de l'araignée qui disparut rapidement. "
J'entendis la sonnette de ma porte d'entrée et je réalisais qu'elle sonnait depuis un bon moment. Fatigué de ma journée je m'étais endormis. Complètement dans les vapes, nu, j'allais ouvrir mais j'avais peur que ce soit de nouveau l'araignée. J'hésitais à ouvrir, j'entendis des rires derrière la porte et comme je n'avais jamais entendu qu'une araignée puisse rire j'ai ouvert et j'ai vu mes trois collègues, intégralement nus, la pine bandée comme une barre de fer se précipiter sur moi, leurs six mains se promenant sur tout mon corps mais plus spécialement sur mes oreilles avec leurs langues et dans ma bouche. Des mains tripotaient joyeusement mes fesses. Des doigts cherchaient à pénétrer mon anus. Ils crièrent tous les trois
"on vient te dépuceler"
Le dépucelage fut long et laborieux car je me débattais. Mais ils arrivèrent tous les trois au but convoité, mon petit cul. Et tous les trois durent ensuite subir les assauts de ma tige.
J'ai perdu la phobie des araignées et autres bêtes semblables et, surtout, je n'ai plus peur de qui est derrière ma porte, je sais que c'est l'un de mes trois compagnons quand ce n'est pas les trois à la fois qui viennent faire le plein de sensations pour ma plus grande joie.
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
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