10-09-2021, 02:59 PM
La première histoire avec la phrase imposée,
— J’avais un peu peur. Je ne savais pas qui était derrière cette porte, mais...
— Mais t'étais chaud comme une braise, hein, mon p'tit cochon ? compléta le bel Hervé. Allez, la suite ! Tu t'es fait démonter le fion comme jamais, c'est ça ?
— C'que ça peut être vulgaire, un hétéro ! soupira Vincent en haussant les épaules.
Ce jeune homme racontait son vendredi soir à son meilleur pote de fac — sans doute un ami en devenir —, fieffé hétéro qui bouffait de la chatte à tous les repas. Une fort belle bête blond foncé et apparemment bien pourvu de poils sur ses nombreux muscles... mais pour ça, Vincent en était réduit aux conjectures, car il n'avait jamais vu son ami en petite tenue...
On était ensemble à la fac depuis un an et demi, et l'on avait copiné tout de suite... et disons aussi que le superbe Hervé avait vite compris que sa plastique, comme ses yeux et son irrésistible sourire avaient touché le cœur du fin Vincent...
Il en jouait, d'ailleurs, sans trop de cruauté, mais quand même... Mais il savait que Vincent était un fan club à lui tout seul. Ce qui n'empêchait pas ce mignon garçon de vivre sa vie... assez frénétiquement, parfois. Et comme Hervé ne lui épargnait pas les détails de ses parties de baise, il en faisait autant... espérant trouver la faille qui lui ouvrirait l'alcôve de ce beau mec... En vain, pour l'instant.
— Et en fait, poursuivit Vincent, il y avait derrière un mec à poil.
— Ah ! Ah ! Ah ! Ça t'a pas étonné, quand même ?
— Non. Ce qui m'a étonné, c'est qu'il te ressemble de façon étonnante : même gueule, même gabarit, même allure générale... Pour la bite, je sais pas... mais la sienne est superbe. Les cheveux un peu plus foncés, peut-être. Et plein de jolis poils ! Donc : miam !
Hervé resta coi. Sans se l'avouer, il appréciait d'être admiré et désiré par ce gentil mec, qui était l'intellectuel qu'il n'était pas, et globalement, les choses allaient fort bien entre ces deux-là. Il se força à demander :
— L'homme de ta vie ?
— L'homme de ma vie, c'est toi. Mais lui... il veut me revoir. Alors tu penses bien que j'ai pas dit non !
Prudent, Hervé changea de sujet. On n'en manquait pas, entre les choses de la vie, et celles de la fac. Et puis on s'entendait réellement bien, tous les deux. Enfin, Hervé osa :
— Tu me le présenteras, si... ?
— Évidemment. Et ce qui serait pas mal, en fait... c'est que je vous voie tous les deux à poil, pour me faire une opinion. J'ai bien l'impression qu'il est mieux foutu que toi, in fine. Sans te vexer, bien sûr !
— Ta gueule ! bougonna Hervé, qui tenait à son statut de beau sportif.
Lorsqu'on se sépara, ce samedi midi, Hervé n'était pas tout à son aise. Normal que Vincent vécût sa vie, évidemment ! Mais qu'il fût lui-même comparé à un autre, lui dont la plastique était louée par toutes les minettes de la ville ! Cependant, il acceptait bien que ce qu'il refusait à Vincent, celui-ci l'irait chercher... et trouver ailleurs.
— Et pis... fit soudain Vincent alors qu'on s'était fait la bise, il a un truc qui m'a un peu surpris... mais bien plu.
— Hein ? Et quoi ?
— Il mouille super beaucoup.
— Ah ! Et...
— Ouais, c'est sympa... Miam !
Là, Hervé rougit in petto. Ce qu'il ne pouvait dire à son pote, c'est que lui aussi mouillait bien... ce qui n'était pas sans lui causer maint déboire au moment de se faire sucer.
Bref, c'était un samedi qui débutait mal. D'autant que la meuf qu'il avait à tirer le soir-même était une chieuse de première... et qui ne le sucerait sûrement pas, justement à cause de...
Il passa un après-midi des plus détestables, vraiment. En fin duquel il se décida à aller zoner un peu en ville. Pour tomber sur son pote attablé, sur une terrasse du centre ancien, avec un fort beau mec... qu'il détesta tout de suite.
Mais il fut prié de s'asseoir, et associé à la conversation, d'ailleurs anodine. Le mec était souriant et réellement charmant. Et il vit que son pote Vincent le regardait avec les yeux d'un merlan frit réellement accro...
Qu'est-ce qu'il faisait là ? Tenir la chandelle ? Et pis quoi encore ? Enfin, il trouva prétexte de son rencard du soir pour les quitter, et s'en fut, la mort dans l'âme... et surtout pas la moindre envie de baiser une connasse...
Ce qu'il fit pourtant. Quand elle eut dégagé, il osa un message à Vincent : « Bonne soirée ? Content d'avoir rencontré ton pote ». Vincent lui donna alors rendez-vous pour le lendemain, vers une heure.
— Bruno vient de partir dans sa famille, dit alors Vincent. Il est génial, ce mec !
— Ça se passe bien, donc ?
— Ouais... C'est drôle : il te ressemble vachement, sans avoir les même goûts que toi, mais... les mêmes façons de réagir, et puis... la même carrure, et.... Bref, tu vois.
— Oui, fit mornement Hervé.
— Tu sais... j't'aime toujours, mon Hervé !
Hervé dut sourire... sans savoir que dire, certes. Vincent se lança alors dans un vif dithyrambe adressé à son nouvel amant. Hervé eut enfin le courage de le couper :
— Bon ! Si je comprends tout, on va se voir nettement moins souvent, maintenant ?
— Ben... ouais... mais ça change pas trop : toutes tes soirées « à chatte » sont aussi des moments où on se voit pas...
Vincent avait marqué un point, qu'Hervé ne lui refusa pas. On alla se promener, et les réflexions de Vincent sur les mecs qu'on voyait montrèrent à Hervé que son ami avait changé et n'était plus le timide puceau qu'il avait connu...
Et puis... Vincent ne cessait de parler de son Bruno... M'enfin, on décida de passer la soirée ensemble... encore qu'Hervé ne fût point si sûr de son coup. Et l'on alla chez Vincent.
— En fait, ça m'a fait plaisir de voir que Bruno te ressemblait autant ! attaqua Vincent, après qu'on eut entamé deux vastes chopes de Leffe. Je sais rien de toi, pour le privé, mais bon ! Il te ressemble tellement que...
— ...Que ?
— Que je me dis que j'avais pas tort de t'aimer.
— Ah !
— T'embête pas, Hervé : je te laisse tranquille, maintenant... Je crois que... je suis amoureux.
Hervé fit bonne figure, évidemment. Et il sut gré à Vincent de ne pas insister sur son amoureux, et de changer de conversation dès qu'il s'oubliait... Sauf quand il déclara :
— C'est bizarre, un mec qui mouille beaucoup... J'en avais rencontré des qu'avaient une petite goutte, comme moi, mais là... Et j'adore ! On peut bien jouer avec le prépuce, génial !
Hervé se demanda ce qu'il ratait là : pourvu lui aussi d'un long prépuce, il n'avait jamais vu de nana jouer avec, et encore moins avec sa mouille en plus ! Bref, il ferma sa gueule. Et ce fut bien songeur qu'il quitta son ami.
Plus question de lui faire la moindre confidence intime, désormais ! Il eut la désagréable impression qu'une étape venait d'être franchie, entre Vincent et lui. Le petit s'émancipait. Il en avait bien le droit, et les moyens, mignon comme il était ! Mais... Hervé se rendit vite compte que le chaud confort que lui offrait cette muette mais ardente admiration risquait de lui manquer, et vite !
Il alla zoner en ville, et revint avec un ancien coup qui ne lui posa pas de problème. Un message de Vincent l'avertit qu'iceluy venait de retrouver son amoureux...
On était fin juin, et il fallait bosser dur pour les derniers examens. Pas de problème pour ces jeunes gens, qui étaient bons en tout. On avait donc un prétexte pour ne pas trop se voir... Mais on s'aperçut, car ledit Bruno était aussi à l'université, et Hervé dut bien l'apercevoir au restau U, avec un énamouré Vincent...
Et quand on se croisait, Hervé fut bien obligé de constater que Vincent rayonnait. Mais bon ! Boulot d'abord, et quelques petites chattes par-ci, par-là, en guise de soupape.
On fut évidemment des heureux du jour, à l'heure des résultats. Et donc de la soirée de la victoire, organisée chez un gosse de riche — genre de joli play-boy fort accueillant —, dans une superbe villa où se retrouvèrent une quarantaine de loupiots bien décidés à déconner un max.
Ce que nul ne savait était que la maison disposait d'une piscine... et nul n'avait évidemment prévu de maillot. Qu'à cela ne tienne ! Le bel Épiphane, qui recevait, décréta qu'on se baignerait à poil, pour ceux qui le voudraient... La moitié des invités vira tout tout de suite en hurlant et sauta dans l'eau à pieds joints. Dont Vincent et son Bruno. Mais Hervé s'en garda, bien gêné.
Cependant, il n'était pas seul, Hervé ! Et vite, il oublia Vincent, sous les mains baladeuses de quelques délurées drôlesses. Et avec l'aide des bulles offertes par la maison, bien sûr.
La soirée fut chaude, mais sans excès. Le bar était largement garni, et le buffet ne manquait pas de ressources. Hervé ne croisa pas Vincent, qui était le plus souvent dans l'eau avec son amoureux.
M'enfin... les heures avançant, on s'en fut petit à petit. D'aucuns batifolaient encore gentiment sur les rives de la piscine, emmy [parmi] lesquels Vincent et Bruno...
Qui décidèrent de prendre leurs aises ailleurs. Intervouillant le bel Épiphane, ils s'entendirent répondre :
— J'ai un très grand lit... pour trois ! Vous venez ?
— Euh... Dès demain on voit ça, tu veux ? fit Vincent, soucieux de baiser tranquille avec son Bruno.
— Bon, j'dois avoir c'qu'y faut... Mais vous me promettez, un autre jour ?
— Oui, juré ! fit un Vincent étonné de la proposition : Épiphane était un fort joli hétéro qui...
Bon ! Il n'était pas du genre à se plaindre que la mariée est trop belle, et suivit Épiphane vers l'étage. La maison était immense, et Épiphane les mena vers une vaste chambre où un couple baisait déjà sur un des deux grands lits, à la lumière d'une seule lampe de chevet.
Comme on était à poil, on ne fit pas de manières pour se vautrer l'un sur l'autre, et agir en conséquence. Miam et remiam ! Ils étaient chauds, ces p'tits-là ! Et la manœuvre suivit, avec une sportive ardeur.
Jusqu'à ce que la nana voisine émît un genre de geignement de fin du monde... Faute de combattants, l'action s'éteignit, à côté, et la nana alla vers la salle de bains. Ce fut là qu’en son fouteur... on reconnut Hervé.
Saisi, ce garçon ! Mais Vincent réagit vite, lui :
— Oh, Hervé ! Viens, viens !
— On t'a pas entendu gueuler... t'as pas joui, hein ? ajouta Bruno. Viens !
— Non, fit le mec en se levant, mollement.
Vif comme l'éclair, Vincent issut hors du lit et vint lui saisir le poignet brusquement, afin de l'attirer vers son paddock, où Hervé chut lourdement. Et se fit essuyer la bite avec le drap, évidemment ! Avant que Vincent se jetât sur icelle, toute bouche ouverte...
La scène n'avait pas duré une douzaine de secondes, et Hervé soupirait déjà comme une jeune épousée. Il n'avait pas prévu que son supposé sosie l'empoignerait aussi, et virilement, encore ! Car Bruno lui pétrit les tétons incontinent, le tripota ailleurs encore, et dans des proportions qui dépassèrent vite les simples mondanités bourgeoises !
Mais... s'étant un instant relevé pour respirer, Vincent souffla :
— Oh p'tain ! Tu mouilles, Hervé !
— Plus que moi ? demanda Bruno.
— Ouais, viens voir !
On s'appliqua alors à tripoter le gland bien humide d'un Hervé qui n'en demandait pas tant...
— Ouais, super ! fit Bruno. Miam !
— Miam et remiam, oui ! ajouta Vincent, non sans lécher alors les couilles de son ex-aimé, tandis que Bruno en pompait la mouille.
— Oooh... soupira Hervé, incapable de réagir.
Il n'était pas au bout de ses surprises, le superbe hétéro ! Car il ouït soudain :
— Tu vas nous baiser tous les deux, hein, mon Hervé ?
— Maaaais ! bêla ce bel enfant.
— T'as pas joui, faut que nous donnes ton p'tit jus ! ajouta Bruno. Faut que tu prennes ton pied, bébé !
— Oooh !
Et dans la lumière feutrée de la chambre, on s'occupa de se faire baiser par le bel Hervé. Qui fit ça bien, d'ailleurs. Et même... sembla y trouver de l'agrément.
Et ce fut sur la gueule des deux mectons qu'il finit par jouir, longuement. Les mecs s'entreléchèrent avant de lui pomper les dernières gouttes... Hervé demanda la permission de s'aller doucher dans la petite salle d'eau attenante... et s'en fut sans que les autres le remarquassent.
Bien sûr, le téléphone marcha, le lendemain ! Archigêné, Hervé ne sut que dire à Vincent. Qui fut de toute douceur.
— Je veux pas t'emmerder, Hervé ! Bruno t'aime aussi, maintenant. Tu voudrais être notre ami... préféré ?
Faute de mieux, Hervé accepta et... ne s'en trouva pas mal. Mais on causa :
— J'adore Bruno, mais je t'aime toujours, mon Hervé !
— T'es casé, non ?
— Il te reste une partie de mon cœur... et Bruno l'accepte. Il t'aime beaucoup aussi, tu sais ?
— Tant que je suis seul... lâcha Hervé sans y penser.
— Et pis... Bruno et moi... on aime bien... que tu mouilles comme ça.
— Oh, ça !
— Ben oui, on aime. Alors tu nous en prives pas, hein ?
Hervé dut sourire. Quelle bizarre situation ! Alors que sa mouille en rebutait plus d'une !
Les jours passèrent doucement, et puis un jour, les mectons retombèrent sur le bel Épiphane qui apprécia vivement la mouille de Bruno. D'où l'idée que...
Hervé accepta de revoir ce mec, très jolie bestiole pleine de poils et hétéro sans préjugés... ni morale aucune ! Et puis... petit à petit... Hervé aima baiser son joli et musclé cul velu... Avant d'en prendre autant. D'iceluy, et des deux autres ! Et depuis... la vie est belle, dans l'pays !
— J’avais un peu peur. Je ne savais pas qui était derrière cette porte, mais...
— Mais t'étais chaud comme une braise, hein, mon p'tit cochon ? compléta le bel Hervé. Allez, la suite ! Tu t'es fait démonter le fion comme jamais, c'est ça ?
— C'que ça peut être vulgaire, un hétéro ! soupira Vincent en haussant les épaules.
Ce jeune homme racontait son vendredi soir à son meilleur pote de fac — sans doute un ami en devenir —, fieffé hétéro qui bouffait de la chatte à tous les repas. Une fort belle bête blond foncé et apparemment bien pourvu de poils sur ses nombreux muscles... mais pour ça, Vincent en était réduit aux conjectures, car il n'avait jamais vu son ami en petite tenue...
On était ensemble à la fac depuis un an et demi, et l'on avait copiné tout de suite... et disons aussi que le superbe Hervé avait vite compris que sa plastique, comme ses yeux et son irrésistible sourire avaient touché le cœur du fin Vincent...
Il en jouait, d'ailleurs, sans trop de cruauté, mais quand même... Mais il savait que Vincent était un fan club à lui tout seul. Ce qui n'empêchait pas ce mignon garçon de vivre sa vie... assez frénétiquement, parfois. Et comme Hervé ne lui épargnait pas les détails de ses parties de baise, il en faisait autant... espérant trouver la faille qui lui ouvrirait l'alcôve de ce beau mec... En vain, pour l'instant.
— Et en fait, poursuivit Vincent, il y avait derrière un mec à poil.
— Ah ! Ah ! Ah ! Ça t'a pas étonné, quand même ?
— Non. Ce qui m'a étonné, c'est qu'il te ressemble de façon étonnante : même gueule, même gabarit, même allure générale... Pour la bite, je sais pas... mais la sienne est superbe. Les cheveux un peu plus foncés, peut-être. Et plein de jolis poils ! Donc : miam !
Hervé resta coi. Sans se l'avouer, il appréciait d'être admiré et désiré par ce gentil mec, qui était l'intellectuel qu'il n'était pas, et globalement, les choses allaient fort bien entre ces deux-là. Il se força à demander :
— L'homme de ta vie ?
— L'homme de ma vie, c'est toi. Mais lui... il veut me revoir. Alors tu penses bien que j'ai pas dit non !
Prudent, Hervé changea de sujet. On n'en manquait pas, entre les choses de la vie, et celles de la fac. Et puis on s'entendait réellement bien, tous les deux. Enfin, Hervé osa :
— Tu me le présenteras, si... ?
— Évidemment. Et ce qui serait pas mal, en fait... c'est que je vous voie tous les deux à poil, pour me faire une opinion. J'ai bien l'impression qu'il est mieux foutu que toi, in fine. Sans te vexer, bien sûr !
— Ta gueule ! bougonna Hervé, qui tenait à son statut de beau sportif.
Lorsqu'on se sépara, ce samedi midi, Hervé n'était pas tout à son aise. Normal que Vincent vécût sa vie, évidemment ! Mais qu'il fût lui-même comparé à un autre, lui dont la plastique était louée par toutes les minettes de la ville ! Cependant, il acceptait bien que ce qu'il refusait à Vincent, celui-ci l'irait chercher... et trouver ailleurs.
— Et pis... fit soudain Vincent alors qu'on s'était fait la bise, il a un truc qui m'a un peu surpris... mais bien plu.
— Hein ? Et quoi ?
— Il mouille super beaucoup.
— Ah ! Et...
— Ouais, c'est sympa... Miam !
Là, Hervé rougit in petto. Ce qu'il ne pouvait dire à son pote, c'est que lui aussi mouillait bien... ce qui n'était pas sans lui causer maint déboire au moment de se faire sucer.
Bref, c'était un samedi qui débutait mal. D'autant que la meuf qu'il avait à tirer le soir-même était une chieuse de première... et qui ne le sucerait sûrement pas, justement à cause de...
Il passa un après-midi des plus détestables, vraiment. En fin duquel il se décida à aller zoner un peu en ville. Pour tomber sur son pote attablé, sur une terrasse du centre ancien, avec un fort beau mec... qu'il détesta tout de suite.
Mais il fut prié de s'asseoir, et associé à la conversation, d'ailleurs anodine. Le mec était souriant et réellement charmant. Et il vit que son pote Vincent le regardait avec les yeux d'un merlan frit réellement accro...
Qu'est-ce qu'il faisait là ? Tenir la chandelle ? Et pis quoi encore ? Enfin, il trouva prétexte de son rencard du soir pour les quitter, et s'en fut, la mort dans l'âme... et surtout pas la moindre envie de baiser une connasse...
Ce qu'il fit pourtant. Quand elle eut dégagé, il osa un message à Vincent : « Bonne soirée ? Content d'avoir rencontré ton pote ». Vincent lui donna alors rendez-vous pour le lendemain, vers une heure.
— Bruno vient de partir dans sa famille, dit alors Vincent. Il est génial, ce mec !
— Ça se passe bien, donc ?
— Ouais... C'est drôle : il te ressemble vachement, sans avoir les même goûts que toi, mais... les mêmes façons de réagir, et puis... la même carrure, et.... Bref, tu vois.
— Oui, fit mornement Hervé.
— Tu sais... j't'aime toujours, mon Hervé !
Hervé dut sourire... sans savoir que dire, certes. Vincent se lança alors dans un vif dithyrambe adressé à son nouvel amant. Hervé eut enfin le courage de le couper :
— Bon ! Si je comprends tout, on va se voir nettement moins souvent, maintenant ?
— Ben... ouais... mais ça change pas trop : toutes tes soirées « à chatte » sont aussi des moments où on se voit pas...
Vincent avait marqué un point, qu'Hervé ne lui refusa pas. On alla se promener, et les réflexions de Vincent sur les mecs qu'on voyait montrèrent à Hervé que son ami avait changé et n'était plus le timide puceau qu'il avait connu...
Et puis... Vincent ne cessait de parler de son Bruno... M'enfin, on décida de passer la soirée ensemble... encore qu'Hervé ne fût point si sûr de son coup. Et l'on alla chez Vincent.
— En fait, ça m'a fait plaisir de voir que Bruno te ressemblait autant ! attaqua Vincent, après qu'on eut entamé deux vastes chopes de Leffe. Je sais rien de toi, pour le privé, mais bon ! Il te ressemble tellement que...
— ...Que ?
— Que je me dis que j'avais pas tort de t'aimer.
— Ah !
— T'embête pas, Hervé : je te laisse tranquille, maintenant... Je crois que... je suis amoureux.
Hervé fit bonne figure, évidemment. Et il sut gré à Vincent de ne pas insister sur son amoureux, et de changer de conversation dès qu'il s'oubliait... Sauf quand il déclara :
— C'est bizarre, un mec qui mouille beaucoup... J'en avais rencontré des qu'avaient une petite goutte, comme moi, mais là... Et j'adore ! On peut bien jouer avec le prépuce, génial !
Hervé se demanda ce qu'il ratait là : pourvu lui aussi d'un long prépuce, il n'avait jamais vu de nana jouer avec, et encore moins avec sa mouille en plus ! Bref, il ferma sa gueule. Et ce fut bien songeur qu'il quitta son ami.
Plus question de lui faire la moindre confidence intime, désormais ! Il eut la désagréable impression qu'une étape venait d'être franchie, entre Vincent et lui. Le petit s'émancipait. Il en avait bien le droit, et les moyens, mignon comme il était ! Mais... Hervé se rendit vite compte que le chaud confort que lui offrait cette muette mais ardente admiration risquait de lui manquer, et vite !
Il alla zoner en ville, et revint avec un ancien coup qui ne lui posa pas de problème. Un message de Vincent l'avertit qu'iceluy venait de retrouver son amoureux...
On était fin juin, et il fallait bosser dur pour les derniers examens. Pas de problème pour ces jeunes gens, qui étaient bons en tout. On avait donc un prétexte pour ne pas trop se voir... Mais on s'aperçut, car ledit Bruno était aussi à l'université, et Hervé dut bien l'apercevoir au restau U, avec un énamouré Vincent...
Et quand on se croisait, Hervé fut bien obligé de constater que Vincent rayonnait. Mais bon ! Boulot d'abord, et quelques petites chattes par-ci, par-là, en guise de soupape.
On fut évidemment des heureux du jour, à l'heure des résultats. Et donc de la soirée de la victoire, organisée chez un gosse de riche — genre de joli play-boy fort accueillant —, dans une superbe villa où se retrouvèrent une quarantaine de loupiots bien décidés à déconner un max.
Ce que nul ne savait était que la maison disposait d'une piscine... et nul n'avait évidemment prévu de maillot. Qu'à cela ne tienne ! Le bel Épiphane, qui recevait, décréta qu'on se baignerait à poil, pour ceux qui le voudraient... La moitié des invités vira tout tout de suite en hurlant et sauta dans l'eau à pieds joints. Dont Vincent et son Bruno. Mais Hervé s'en garda, bien gêné.
Cependant, il n'était pas seul, Hervé ! Et vite, il oublia Vincent, sous les mains baladeuses de quelques délurées drôlesses. Et avec l'aide des bulles offertes par la maison, bien sûr.
La soirée fut chaude, mais sans excès. Le bar était largement garni, et le buffet ne manquait pas de ressources. Hervé ne croisa pas Vincent, qui était le plus souvent dans l'eau avec son amoureux.
M'enfin... les heures avançant, on s'en fut petit à petit. D'aucuns batifolaient encore gentiment sur les rives de la piscine, emmy [parmi] lesquels Vincent et Bruno...
Qui décidèrent de prendre leurs aises ailleurs. Intervouillant le bel Épiphane, ils s'entendirent répondre :
— J'ai un très grand lit... pour trois ! Vous venez ?
— Euh... Dès demain on voit ça, tu veux ? fit Vincent, soucieux de baiser tranquille avec son Bruno.
— Bon, j'dois avoir c'qu'y faut... Mais vous me promettez, un autre jour ?
— Oui, juré ! fit un Vincent étonné de la proposition : Épiphane était un fort joli hétéro qui...
Bon ! Il n'était pas du genre à se plaindre que la mariée est trop belle, et suivit Épiphane vers l'étage. La maison était immense, et Épiphane les mena vers une vaste chambre où un couple baisait déjà sur un des deux grands lits, à la lumière d'une seule lampe de chevet.
Comme on était à poil, on ne fit pas de manières pour se vautrer l'un sur l'autre, et agir en conséquence. Miam et remiam ! Ils étaient chauds, ces p'tits-là ! Et la manœuvre suivit, avec une sportive ardeur.
Jusqu'à ce que la nana voisine émît un genre de geignement de fin du monde... Faute de combattants, l'action s'éteignit, à côté, et la nana alla vers la salle de bains. Ce fut là qu’en son fouteur... on reconnut Hervé.
Saisi, ce garçon ! Mais Vincent réagit vite, lui :
— Oh, Hervé ! Viens, viens !
— On t'a pas entendu gueuler... t'as pas joui, hein ? ajouta Bruno. Viens !
— Non, fit le mec en se levant, mollement.
Vif comme l'éclair, Vincent issut hors du lit et vint lui saisir le poignet brusquement, afin de l'attirer vers son paddock, où Hervé chut lourdement. Et se fit essuyer la bite avec le drap, évidemment ! Avant que Vincent se jetât sur icelle, toute bouche ouverte...
La scène n'avait pas duré une douzaine de secondes, et Hervé soupirait déjà comme une jeune épousée. Il n'avait pas prévu que son supposé sosie l'empoignerait aussi, et virilement, encore ! Car Bruno lui pétrit les tétons incontinent, le tripota ailleurs encore, et dans des proportions qui dépassèrent vite les simples mondanités bourgeoises !
Mais... s'étant un instant relevé pour respirer, Vincent souffla :
— Oh p'tain ! Tu mouilles, Hervé !
— Plus que moi ? demanda Bruno.
— Ouais, viens voir !
On s'appliqua alors à tripoter le gland bien humide d'un Hervé qui n'en demandait pas tant...
— Ouais, super ! fit Bruno. Miam !
— Miam et remiam, oui ! ajouta Vincent, non sans lécher alors les couilles de son ex-aimé, tandis que Bruno en pompait la mouille.
— Oooh... soupira Hervé, incapable de réagir.
Il n'était pas au bout de ses surprises, le superbe hétéro ! Car il ouït soudain :
— Tu vas nous baiser tous les deux, hein, mon Hervé ?
— Maaaais ! bêla ce bel enfant.
— T'as pas joui, faut que nous donnes ton p'tit jus ! ajouta Bruno. Faut que tu prennes ton pied, bébé !
— Oooh !
Et dans la lumière feutrée de la chambre, on s'occupa de se faire baiser par le bel Hervé. Qui fit ça bien, d'ailleurs. Et même... sembla y trouver de l'agrément.
Et ce fut sur la gueule des deux mectons qu'il finit par jouir, longuement. Les mecs s'entreléchèrent avant de lui pomper les dernières gouttes... Hervé demanda la permission de s'aller doucher dans la petite salle d'eau attenante... et s'en fut sans que les autres le remarquassent.
Bien sûr, le téléphone marcha, le lendemain ! Archigêné, Hervé ne sut que dire à Vincent. Qui fut de toute douceur.
— Je veux pas t'emmerder, Hervé ! Bruno t'aime aussi, maintenant. Tu voudrais être notre ami... préféré ?
Faute de mieux, Hervé accepta et... ne s'en trouva pas mal. Mais on causa :
— J'adore Bruno, mais je t'aime toujours, mon Hervé !
— T'es casé, non ?
— Il te reste une partie de mon cœur... et Bruno l'accepte. Il t'aime beaucoup aussi, tu sais ?
— Tant que je suis seul... lâcha Hervé sans y penser.
— Et pis... Bruno et moi... on aime bien... que tu mouilles comme ça.
— Oh, ça !
— Ben oui, on aime. Alors tu nous en prives pas, hein ?
Hervé dut sourire. Quelle bizarre situation ! Alors que sa mouille en rebutait plus d'une !
Les jours passèrent doucement, et puis un jour, les mectons retombèrent sur le bel Épiphane qui apprécia vivement la mouille de Bruno. D'où l'idée que...
Hervé accepta de revoir ce mec, très jolie bestiole pleine de poils et hétéro sans préjugés... ni morale aucune ! Et puis... petit à petit... Hervé aima baiser son joli et musclé cul velu... Avant d'en prendre autant. D'iceluy, et des deux autres ! Et depuis... la vie est belle, dans l'pays !
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