02-09-2021, 01:34 PM
Nous prenons place dans la voiture de Yves. Heureusement que c’est un véhicule sept places. Les deux sièges repliables sont extraits du plancher pour ainsi s’ouvrir et offrir deux places pour des passagers de taille moyenne. C’est donc sur ces sièges que Ben et moi prenons place. Chris et Denis sur la banquette arrière et les parents aux places avant. Nous ne savons pas où nous allons, mais nous n’osons plus demander non plus. Nous voilà sur la route en direction de Carnac, en fait nous avons bien vu la plaque indicatrice. Déjà des étoiles pétillent dans les yeux des passagers arrière. C’est avec appréhension que nous suivons des yeux la route pour bien être certains de nous rendre dans cette petite ville. Nous voilà à « Carnac Plage » mais Yves poursuit la route vers « Les alignements de Carnac ».
Le parking n’est pas trop rempli, il y a encore beaucoup de places libres. Nous allons à l’accueil et enfin nous entrons sur le site des mégalithes. C’est un alignement de pas moins de mille cent soixante-cinq menhirs dressés vers le ciel, sur une longueur de plus d’un kilomètre et une largeur d’environ cent mètres, sur 11 files. Les plus hauts arrivent à quatre mètres. A l’entrée des alignements de Ménec, nous pouvons aussi voir un « cromlech » (un cercle de menhirs). C’est fabuleux de voir que des hommes soient arrivés à concevoir ce site. Ces architectures mégalithiques gardent une part de mystère ! Mais c’est de toute façon très impressionnant. Nous avons pris des photos et je suis super heureux car Yves m’a promis d’en faire certaines en double pour que je garde un très beau souvenir de cette journée. Ben et moi nous prenons la pause devant un très grand menhir. Nous sommes super contents. Yves a même demandé à un visiteur de nous prendre tous les six ensemble en photo.
Une fois cette visite terminée, nous reprenons la voiture pour revenir vers Belz. Ensuite nous prenons la direction de Lorient, plus exactement celle de Port-Louis. Arrivés dans cette ville nous pouvons voir la citadelle. Nous nous baladons dans la ville et au port. En fait c’était un port d’où les bateaux partaient pour les Indes, c’était « le commerce des Indes » qui a fait prospérer les alentours.
Yves trouve alors un petit restaurant pour le repas de midi. Nous prenons une soupe de poissons en guise d’entrée et ensuite une assiette de poisson avec des pommes de terre vapeurs. Yves a commandé deux bonnes bouteilles de vin blanc sec. Il ne prend que deux verres car il doit conduire toute la famille vers un autre endroit.
Après ce très bon repas, Yves nous emmène vers Pont-Aven. C’est un superbe bourg. Nous en profitons pour nous balader. Nous trouvons des magasins où on trouve de très bons palets (galettes de Pont-Aven). Nous nous baladons le long de l’Aven (rivière qui traverse le bourg). Nous pouvons y voir quelques vieilles et belles bâtisses. Nous découvrons une promenade et nous passons près des ruines d’un ancien moulin. Nous retrouvons le bourg il est déjà dix-sept heures. C’est Arlette qui me fait signe, il est temps que je fasse ma surprise. J’avais déjà repéré une crêperie lors de notre balade. Arlette avait trouvé que c’était exactement ce qu’il fallait. Je prends donc la parole :
Moi : « Bon, j’ai quelque chose à vous dire. J’ai moi aussi une surprise pour vous tous !
Ben et les autres : De quoi s’agit-il ?
Moi : Je vous propose de me suivre.
Chr : Phil, je pense avoir deviné, tu nous emmènes manger des crêpes !
Moi : Oh zut, tu as trouvé !
Ben : Oh Phil, merci. C’est super, car je ne savais pas ce que c’était, je te l’assure !
Moi : Oui, pour vous remercier de m’avoir si bien accueilli pour les vacances, j’ai décidé de vous offrir des crêpes et du cidre.
Yve : Merci Phil, je te remercie et je sais que ça te fait très plaisir. Arlette m’en a parlé et je trouve ça très sympathique de ta part.
Moi : Mais c’est moi qui suis un peu gêné de tout ce que vous faites pour moi.
Arl : Non Phil tu ne dois en aucun cas être embarrassé car je sais que ça vient du cœur. »
Arlette vient me faire un câlin. Je me concentre pour ne pas ouvrir les vannes lacrymales. Je marche en direction de la crêperie et j’entre en invitant les autres à me suivre. Nous sommes installés à une table donnant vers l’Aven. Tout le monde regarde la carte des crêpes et j’ajoute qu’il faut au moins en manger deux. Nous commençons par une crêpe au Sarazin (salée) avec de l’œuf ou du jambon ou du fromage et ensuite une autre (sucrée) à la confiture ou au miel ou au chocolat. Le tout est arrosé de cidre qui est bu dans un bol. Une musique bretonne ajoute une touche supplémentaire à ce repas.
Je vois que la famille a les yeux pétillants, mille étoiles y dansent. Ben a les joues un peu rouges, il a adoré le cidre. Je reçois beaucoup de mercis et par la même occasion un bisou sur la joue de la part de chacun. Ben a bien envie de m’embrasser, mais c’est quand même risqué. Nous reprenons la voiture et nous rentrons à la villa.
La soirée s’annonce des plus prometteuse. Sur le chemin de retour, assis sur les strapontins de la voiture familiale, je sens bien que Ben ne tient pas en place. Il me caresse les genoux assez souvent. Il pose sa tête sur mon épaule, je suis certain qu’il a besoin de câlins, mais pas en voiture et sûrement pas devant sa famille. Sur la banquette devant la nôtre, Chris et Denis ne se privent pas, ils s’embrassent à pleine bouche. Ben pose sa main sur le devant de mon short ! Je n’ose pas bouger ni dire quoi que ce soit. Il insiste, et passe en appuyant sur mon paquet encore « endormi ». Popol ne tarde pas prendre un peu d’ampleur. Je suis très gêné, je ne sais pas si je dois faire la même chose ou juste me laisser faire. Je me décide et pose, moi aussi, ma main sur la braguette du short de Ben. Je sens cette protubérance bandée qui tend au maximum le tissu. Je suis comme électrisé, je m’enhardis et j’ouvre la braguette pour y passer ma main. Je palpe la barre de chair bien chaude au travers du slip de mon amoureux. Ben fait la même chose, il passe par le dessus de l’élastique du short pour introduire sa main directement entre la peau et le tissu du slip. Pas la peine de le nier, je bande comme un fou.
Devant nous, je vois bien que Christine a placé sa main sur le devant du pantalon de Denis. Les mouvements qu’elle fait ne laissent aucun doute. Denis a lui aussi posé sa main au niveau du minou de Chris. Il n’en faut pas plus pour que je bande au maximum.
Les plaisirs ainsi procurés par les passagers arrière de la voiture se sont clôturés par quelques gémissements se terminant par des toussotements destinés à masquer le bruit des jouissances ressenties. Je regarde Ben dans les yeux, il a l’air très heureux. Je lui souris, moi aussi très heureux d’être son « amant ».
Il est temps car nous arrivons à la villa. J’espère qu’aucune trace n’est visible sur le devant de mon short. Non ça va, je suis rassuré. Pour Ben c’est en ordre aussi, heureusement qu’il a un short bleu marine assez foncé, on devine à peine une auréole humide.
Une fois dans le jardin, nous en profitons tous les quatre pour nous jeter dans la piscine, après avoir ôté tous nos vêtements. Nous nous amusons à nous taquiner gentiment. Puis c’est Denis qui nous demande :
Den : « Alors les garçons, le retour s’est bien passé ?
Ben : Oui, pourquoi cette question ?
Den : C’est que j’ai cru que vous vous étiez un peu encanaillés !
Moi : Tu penses à quoi Denis ?
Den : A deux jeunes qui se sont donnés du plaisir !
Ben : Merde alors tu avais remarqué ?
Den : Oui, mais bon, vous avez raison d’en profiter.
Moi : Je pense Denis que de ton côté tu ne t’es pas privé non plus !
Den : Je dois bien l’avouer. Je pense que Arlette et Yves n’ont rien remarqué !
Chr : Je suppose que non. Je ne sais pas s’ils en auraient parlé sur le moment.
Ben : Je l’espère aussi. Bon je crois que le chapitre est clos !
Den : Bien sur les gars. Heu, voilà les parents qui arrivent. »
De juste Arlette et Yves s’approchent de la piscine dans le plus simple appareil. Ils sautent dans la piscine et nous nous amusons à nous éclabousser les uns les autres, il y a des rires qui éclatent, nous sommes tous heureux de cette journée. Une fois le calme revenu, y il a comme une sensation de plénitude et de douceur qui flotte dans l’air. C’est Arlette qui dit alors :
Arl : « Je suis très heureuse que cette journée se soit déroulée sans incident. Et de plus Phil nous a gâtés avec ce repas « crêpes ». Merci à toi Phil.
Moi : Mais c’est tout naturel, vous faites beaucoup pour moi.
Yve : Tu sais Phil, tu fais partie intégrante de la famille au même titre que Denis. Vous êtes deux jeunes gens super sympathiques et je sais que vous aimez nos enfants. C’est cela le principal.
Den : Merci Yves.
Moi : Merci à vous deux, je vous aime comme mes propres parents !
Arl : Merci Phil, je le savais. »
Arlette vient auprès de moi et m’enlace en me donnant un gros bisou sur le front. Puis elle me fait un clin d’œil. Elle retourne auprès de Yves. Nous pouvons les voir sourire, des étoiles de bonheur dans les yeux. C’est contagieux, car nous aussi nous ressentons tout l’amour qui émane de cette famille agrandie. Je me tourne vers Ben et je lui dépose un baiser sur les lèvres. Je vois que Denis fait de même avec Christine. Il n’en faut pas plus pour que Arlette et Yves éclatent de rire avant qu’eux aussi s’embrassent.
Le parking n’est pas trop rempli, il y a encore beaucoup de places libres. Nous allons à l’accueil et enfin nous entrons sur le site des mégalithes. C’est un alignement de pas moins de mille cent soixante-cinq menhirs dressés vers le ciel, sur une longueur de plus d’un kilomètre et une largeur d’environ cent mètres, sur 11 files. Les plus hauts arrivent à quatre mètres. A l’entrée des alignements de Ménec, nous pouvons aussi voir un « cromlech » (un cercle de menhirs). C’est fabuleux de voir que des hommes soient arrivés à concevoir ce site. Ces architectures mégalithiques gardent une part de mystère ! Mais c’est de toute façon très impressionnant. Nous avons pris des photos et je suis super heureux car Yves m’a promis d’en faire certaines en double pour que je garde un très beau souvenir de cette journée. Ben et moi nous prenons la pause devant un très grand menhir. Nous sommes super contents. Yves a même demandé à un visiteur de nous prendre tous les six ensemble en photo.
Une fois cette visite terminée, nous reprenons la voiture pour revenir vers Belz. Ensuite nous prenons la direction de Lorient, plus exactement celle de Port-Louis. Arrivés dans cette ville nous pouvons voir la citadelle. Nous nous baladons dans la ville et au port. En fait c’était un port d’où les bateaux partaient pour les Indes, c’était « le commerce des Indes » qui a fait prospérer les alentours.
Yves trouve alors un petit restaurant pour le repas de midi. Nous prenons une soupe de poissons en guise d’entrée et ensuite une assiette de poisson avec des pommes de terre vapeurs. Yves a commandé deux bonnes bouteilles de vin blanc sec. Il ne prend que deux verres car il doit conduire toute la famille vers un autre endroit.
Après ce très bon repas, Yves nous emmène vers Pont-Aven. C’est un superbe bourg. Nous en profitons pour nous balader. Nous trouvons des magasins où on trouve de très bons palets (galettes de Pont-Aven). Nous nous baladons le long de l’Aven (rivière qui traverse le bourg). Nous pouvons y voir quelques vieilles et belles bâtisses. Nous découvrons une promenade et nous passons près des ruines d’un ancien moulin. Nous retrouvons le bourg il est déjà dix-sept heures. C’est Arlette qui me fait signe, il est temps que je fasse ma surprise. J’avais déjà repéré une crêperie lors de notre balade. Arlette avait trouvé que c’était exactement ce qu’il fallait. Je prends donc la parole :
Moi : « Bon, j’ai quelque chose à vous dire. J’ai moi aussi une surprise pour vous tous !
Ben et les autres : De quoi s’agit-il ?
Moi : Je vous propose de me suivre.
Chr : Phil, je pense avoir deviné, tu nous emmènes manger des crêpes !
Moi : Oh zut, tu as trouvé !
Ben : Oh Phil, merci. C’est super, car je ne savais pas ce que c’était, je te l’assure !
Moi : Oui, pour vous remercier de m’avoir si bien accueilli pour les vacances, j’ai décidé de vous offrir des crêpes et du cidre.
Yve : Merci Phil, je te remercie et je sais que ça te fait très plaisir. Arlette m’en a parlé et je trouve ça très sympathique de ta part.
Moi : Mais c’est moi qui suis un peu gêné de tout ce que vous faites pour moi.
Arl : Non Phil tu ne dois en aucun cas être embarrassé car je sais que ça vient du cœur. »
Arlette vient me faire un câlin. Je me concentre pour ne pas ouvrir les vannes lacrymales. Je marche en direction de la crêperie et j’entre en invitant les autres à me suivre. Nous sommes installés à une table donnant vers l’Aven. Tout le monde regarde la carte des crêpes et j’ajoute qu’il faut au moins en manger deux. Nous commençons par une crêpe au Sarazin (salée) avec de l’œuf ou du jambon ou du fromage et ensuite une autre (sucrée) à la confiture ou au miel ou au chocolat. Le tout est arrosé de cidre qui est bu dans un bol. Une musique bretonne ajoute une touche supplémentaire à ce repas.
Je vois que la famille a les yeux pétillants, mille étoiles y dansent. Ben a les joues un peu rouges, il a adoré le cidre. Je reçois beaucoup de mercis et par la même occasion un bisou sur la joue de la part de chacun. Ben a bien envie de m’embrasser, mais c’est quand même risqué. Nous reprenons la voiture et nous rentrons à la villa.
La soirée s’annonce des plus prometteuse. Sur le chemin de retour, assis sur les strapontins de la voiture familiale, je sens bien que Ben ne tient pas en place. Il me caresse les genoux assez souvent. Il pose sa tête sur mon épaule, je suis certain qu’il a besoin de câlins, mais pas en voiture et sûrement pas devant sa famille. Sur la banquette devant la nôtre, Chris et Denis ne se privent pas, ils s’embrassent à pleine bouche. Ben pose sa main sur le devant de mon short ! Je n’ose pas bouger ni dire quoi que ce soit. Il insiste, et passe en appuyant sur mon paquet encore « endormi ». Popol ne tarde pas prendre un peu d’ampleur. Je suis très gêné, je ne sais pas si je dois faire la même chose ou juste me laisser faire. Je me décide et pose, moi aussi, ma main sur la braguette du short de Ben. Je sens cette protubérance bandée qui tend au maximum le tissu. Je suis comme électrisé, je m’enhardis et j’ouvre la braguette pour y passer ma main. Je palpe la barre de chair bien chaude au travers du slip de mon amoureux. Ben fait la même chose, il passe par le dessus de l’élastique du short pour introduire sa main directement entre la peau et le tissu du slip. Pas la peine de le nier, je bande comme un fou.
Devant nous, je vois bien que Christine a placé sa main sur le devant du pantalon de Denis. Les mouvements qu’elle fait ne laissent aucun doute. Denis a lui aussi posé sa main au niveau du minou de Chris. Il n’en faut pas plus pour que je bande au maximum.
Les plaisirs ainsi procurés par les passagers arrière de la voiture se sont clôturés par quelques gémissements se terminant par des toussotements destinés à masquer le bruit des jouissances ressenties. Je regarde Ben dans les yeux, il a l’air très heureux. Je lui souris, moi aussi très heureux d’être son « amant ».
Il est temps car nous arrivons à la villa. J’espère qu’aucune trace n’est visible sur le devant de mon short. Non ça va, je suis rassuré. Pour Ben c’est en ordre aussi, heureusement qu’il a un short bleu marine assez foncé, on devine à peine une auréole humide.
Une fois dans le jardin, nous en profitons tous les quatre pour nous jeter dans la piscine, après avoir ôté tous nos vêtements. Nous nous amusons à nous taquiner gentiment. Puis c’est Denis qui nous demande :
Den : « Alors les garçons, le retour s’est bien passé ?
Ben : Oui, pourquoi cette question ?
Den : C’est que j’ai cru que vous vous étiez un peu encanaillés !
Moi : Tu penses à quoi Denis ?
Den : A deux jeunes qui se sont donnés du plaisir !
Ben : Merde alors tu avais remarqué ?
Den : Oui, mais bon, vous avez raison d’en profiter.
Moi : Je pense Denis que de ton côté tu ne t’es pas privé non plus !
Den : Je dois bien l’avouer. Je pense que Arlette et Yves n’ont rien remarqué !
Chr : Je suppose que non. Je ne sais pas s’ils en auraient parlé sur le moment.
Ben : Je l’espère aussi. Bon je crois que le chapitre est clos !
Den : Bien sur les gars. Heu, voilà les parents qui arrivent. »
De juste Arlette et Yves s’approchent de la piscine dans le plus simple appareil. Ils sautent dans la piscine et nous nous amusons à nous éclabousser les uns les autres, il y a des rires qui éclatent, nous sommes tous heureux de cette journée. Une fois le calme revenu, y il a comme une sensation de plénitude et de douceur qui flotte dans l’air. C’est Arlette qui dit alors :
Arl : « Je suis très heureuse que cette journée se soit déroulée sans incident. Et de plus Phil nous a gâtés avec ce repas « crêpes ». Merci à toi Phil.
Moi : Mais c’est tout naturel, vous faites beaucoup pour moi.
Yve : Tu sais Phil, tu fais partie intégrante de la famille au même titre que Denis. Vous êtes deux jeunes gens super sympathiques et je sais que vous aimez nos enfants. C’est cela le principal.
Den : Merci Yves.
Moi : Merci à vous deux, je vous aime comme mes propres parents !
Arl : Merci Phil, je le savais. »
Arlette vient auprès de moi et m’enlace en me donnant un gros bisou sur le front. Puis elle me fait un clin d’œil. Elle retourne auprès de Yves. Nous pouvons les voir sourire, des étoiles de bonheur dans les yeux. C’est contagieux, car nous aussi nous ressentons tout l’amour qui émane de cette famille agrandie. Je me tourne vers Ben et je lui dépose un baiser sur les lèvres. Je vois que Denis fait de même avec Christine. Il n’en faut pas plus pour que Arlette et Yves éclatent de rire avant qu’eux aussi s’embrassent.