23-08-2021, 07:56 PM
En attendant les textes "mouchetés"
La ruelle : hors-série,
Cette petite rue, ça fait plus de cinquante ans que je n'y ai pas remis les pieds. Et de la revoir comme ça devenue si belle, si propre, si fleurie, si touristique me fait penser à comment elle était pendant ma jeunesse.
Le quartier - et ma rue principalement - étaient très populaires. Par là je veux dire que les ouvriers et les marins y vivaient et plus loin, la nuit, dans le bas du quartier une faune interlope menait une vie à part. Il y avait des bars et des prostituées, bien sûr mais aussi quelques jeunes garçons qui vendaient discrètement leurs charmes. Ça criait, ça sentait la cuisine, nous les gosses on courait et jouait dans la rue.
J'y suis né dans cette rue, en plein été et j'y ai grandi jusqu'à mes quinze ans. Une fois mon certif passé, j'ai dû embarquer comme mousse sur un chalutier qui partait à la pêche à la morue du côté de Saint Pierre et Miquelon. C'est mon père qui avait arrangé ça avec le capitaine.
La traversée fut un cauchemar. J'ai passé mon temps à dégueuler tripes et boyaux, sans compter que les marins du bord se servaient de mon cul pour se vidanger. Mais ça, j'en avais depuis peu l’habitude. Mon grand frère en revenant du service militaire avait découvert d’autres façons de se soulager et, sous prétexte de m’apprendre la vie, se servit de mon cul pour satisfaire ses envies car sa fiancée – superbe fille mais prude et d’une jalousie maladive – lui refusait toute privauté pour être vierge la nuit de ses noces. Et des envies, il en avait souvent. Mais comme il avait été doux, je ne lui avait pas longtemps résisté.
Dès qu'on croisa un bateau qui allait décharger sa cargaison sur l’ile, le capitaine me mit dessus pour se débarrasser de moi – il en avait marre de me voir malade – et, me donnant trois pièces pour le premier jour, il me dit de me démerder sur place pour me loger et manger mais qu’il passerait me rechercher en fin de saison pour me ramener au village.
C'est dans une auberge du port que je prenais mon premier repas et que je dormais dans un lit avec des draps secs. Pour avoir tout ça et surtout le garder, je dus vendre mon cul, bien sûr.
J'arrivais tant bien que mal à survivre, la patronne de l'auberge n'était pas la méchante harpie que tout le monde craignait. Contre quelques services je pouvais dormir sur une paillasse sous les escaliers, près du poêle et manger à ma faim. Ce que je faisais après avec les clients ne l’intéressait pas, tant que ce que je devais faire était fini.
Ça devait faire deux mois que je travaillais à l'auberge quand un groupe de marins arriva pour y loger. Ils allaient être là le temps de faire réparer leur bateau. Enfin il n'y avait pas tout l'équipage mais le capitaine - qui ne viendrait que pour souper - son fils de vingt ans et le second qui, eux, restaient à la nuitée.
Je tombais sous le charme de Rémi - le fils du capitaine - mais lui semblait n'avoir d'yeux que pour le second qui, il est vrai, était un bel homme dans la trentaine. Ils furent les derniers à monter. Moi, j'allais rejoindre le client qui m'avait réservé pour la nuit.
Le lendemain je dus les conduire aux bains publiques et ils m'en offrirent un. C'est vrai que je n'y allais qu'une fois toutes les deux semaines, le reste du temps je me lavais à l'évier de la cuisine. C'est ainsi que je vis le second et Rémi nus - sur lesquels mes yeux glissèrent souvent et inversement.
En rentrant le second me réserva pour la nuit. Rémi parut surpris mais ne dit rien. Toute la fin de journée je fantasmais sur le second et sa belle bite. J'allais prendre un pied grave parce que oui, je l’avoue, j'adorais me prendre des bites dans le cul et plus elles étaient longues à jouir plus je bandais dur et j'avais des orgasmes faramineux.
Mon travail fini, je rejoignis sa chambre. Je frappais à la porte et entendis ‘’entre !’’. Il était allongé nu sur le lit. Il me dit de me mettre à poil et de le rejoindre et quand je fus près du lit il me demanda de le sucer.
Je n'avais jamais fait ça moi ! Habituellement on me demandait de me mettre à quatre pattes sur le lit, le gars me crachait un peu sur le trou et sur sa queue, me baisait jusqu'à me jouir dedans puis je me cassais.
Il m'expliqua quoi faire et au final après de longues, très longues minutes il envoya son jus. Je me mis à quatre pattes mais il me dit de m'habiller et d'aller voir Rémi qui m’attendait. Il me glissa une pièce pour lui et une pour son voisin – mon rêve. Et quand je frappais à la porte de la chambre de ce dernier, il vint m'ouvrir vêtu d’un caleçon complètement déformé par une grosse érection. Il était vraiment dans l’urgence !
Je baissais mon pantalon et je me mis à quatre pattes sur le lit.
Il cracha sur mon cul et me prit aussitôt. Ça ne dura pas longtemps et bien vite il se mit à gémir très fort et je sentis ses jets de sperme me remplir. Il se retira encore raide. J'avais trop envie qu'il me prenne encore et je mis en pratique ce que le second venait de m’apprendre, plutôt bien je pense parce qu'il me demanda de me mettre à poil et il me prit en missionnaire assez longtemps pour que je jouisse aussi cette fois. Lui aussi me glissa une pièce que je refusais au départ mais il insista.
Ce petit jeu dura toute la durée de la réparation de leur navire c'est à dire deux semaines. Le second avait fait de moi un parfait giton. Maintenant je suçais, j’embrassais, je caressais et je me faisais prendre de plein de façons. Ça surprit plusieurs de mes clients et les pièces qu'on me donnait pour me récompenser se transformèrent en billets et bien vite je me fis un bon gros pécule.
Quand le premier capitaine vint me chercher pour rentrer, je refusais et je passais plusieurs saisons à Saint Pierre et Miquelon. En fait j'y restais quatre ans. Je fus, comme tout bon Français, appelé à faire mon service militaire mais je fus réformé à cause de ma… profession !
Je venais de fêter mes dix-neuf ans quand une sorte de paquebot arriva au port et quelle ne fut pas ma surprise de voir descendre le second et Rémi - que je prenais toujours pour le fils du capitaine. Ils vinrent à ma rencontre et me demandèrent de les suivre sur leur navire.
Ils me proposèrent un nouveau travail. Je serai à leur disposition sexuelle, évidemment, mais officiellement garçons de cabines lors des voyages sur l’eau et le reste du temps, quand on serait à terre je serai une espèce de valet, coursier, homme à tout faire au service de Rémi. Parce que celui que je prenais pour le fils du capitaine était en fait le fils de l’armateur qui apprenait le métier, sur le tas. Le salaire qu'on m'offrait était digne d'un ministre. J’acceptais, bien sûr.
Ils me demandèrent simplement de ne parler de ce qu'il se passerait la nuit à qui que ce soit, si je tenais au boulot. J'allais informer la patronne de l'auberge de mon départ. Elle ne fit aucun commentaire, me glissa une coquette somme en main et elle me souhaita une bonne continuation en me faisant la bise.
Je récupérais mes quelques habits et possessions, sans oublier mon propre pécule, et je rentrais au bateau. Le second, qui en fait était maintenant capitaine de ce paquebot, m'installa dans une cabine juste à côté de la sienne et il me demanda de me laver à fond. Dès la première nuit il s'occupa de moi puis j'allais rejoindre le fils de l’armateur.
On voyagea quelques mois où j’appris les bases de ma fonction. J’avoue avoir été surpris de ne pas avoir eu, un seul jour, le mal de mer. Quand on rentra en France je partis avec le fils de l'armateur dans le château familial. On me donna une petite chambre à côté de la sienne. Et je le servis du mieux que je pus et que je sus. Je m'étais arrêté au certificat mais je surpris par mes aptitudes. Et bientôt je fus plus que l'amant caché de Rémi mais je fus son arme secrète, ses yeux, ses oreilles, son homme à tout faire.
Peu avant ses trente ans il y eu son mariage – obligation de rang et besoin d’héritier. Maintenant qu'il était marié je le vis moins souvent mais nos rencontres furent beaucoup plus intense. Le second était constamment en mer et je ne le voyais plus que lors de nos rares voyages en bateau.
Au fil des ans une forte amitié et une grande confiance nous lia tous les trois. J'étais devenu le bras droit de Rémi qui, lui, était devenu armateur à ses quarante-huit ans, au décès de son père. Plus tard, mon bas de laine me permit de racheter, à la mort de nos parents, sa part de la maison à mon frère.
L'heure de la retraite allait sonné pour moi mais je contait rester auprès de Rémi, bien qu’il n’occupât plus officiellement son poste depuis des années. Notre affection restait forte, même si nos galipettes devenait rares. Un matin, il m’annonça le verdict des médecins sur les maux de tête qui le terrassait de plus en plus souvent : Tumeur au cerveau et maximum trois mois en espérance de vie… il en eu deux ! Je l’accompagnai jusqu’à son dernier souffle. Sa mise au caveau familial fut un vrai crève-cœur. L’adieu à l’amour de ma vie !
C'est à ce moment-là que je décidais de rentrer chez moi.
Et c'est ainsi, alors que les souvenirs affluaient dans ma tête, que je redécouvris ma rue telle qu'elle est sur la photo.
La ruelle : hors-série,
Cette petite rue, ça fait plus de cinquante ans que je n'y ai pas remis les pieds. Et de la revoir comme ça devenue si belle, si propre, si fleurie, si touristique me fait penser à comment elle était pendant ma jeunesse.
Le quartier - et ma rue principalement - étaient très populaires. Par là je veux dire que les ouvriers et les marins y vivaient et plus loin, la nuit, dans le bas du quartier une faune interlope menait une vie à part. Il y avait des bars et des prostituées, bien sûr mais aussi quelques jeunes garçons qui vendaient discrètement leurs charmes. Ça criait, ça sentait la cuisine, nous les gosses on courait et jouait dans la rue.
J'y suis né dans cette rue, en plein été et j'y ai grandi jusqu'à mes quinze ans. Une fois mon certif passé, j'ai dû embarquer comme mousse sur un chalutier qui partait à la pêche à la morue du côté de Saint Pierre et Miquelon. C'est mon père qui avait arrangé ça avec le capitaine.
La traversée fut un cauchemar. J'ai passé mon temps à dégueuler tripes et boyaux, sans compter que les marins du bord se servaient de mon cul pour se vidanger. Mais ça, j'en avais depuis peu l’habitude. Mon grand frère en revenant du service militaire avait découvert d’autres façons de se soulager et, sous prétexte de m’apprendre la vie, se servit de mon cul pour satisfaire ses envies car sa fiancée – superbe fille mais prude et d’une jalousie maladive – lui refusait toute privauté pour être vierge la nuit de ses noces. Et des envies, il en avait souvent. Mais comme il avait été doux, je ne lui avait pas longtemps résisté.
Dès qu'on croisa un bateau qui allait décharger sa cargaison sur l’ile, le capitaine me mit dessus pour se débarrasser de moi – il en avait marre de me voir malade – et, me donnant trois pièces pour le premier jour, il me dit de me démerder sur place pour me loger et manger mais qu’il passerait me rechercher en fin de saison pour me ramener au village.
C'est dans une auberge du port que je prenais mon premier repas et que je dormais dans un lit avec des draps secs. Pour avoir tout ça et surtout le garder, je dus vendre mon cul, bien sûr.
J'arrivais tant bien que mal à survivre, la patronne de l'auberge n'était pas la méchante harpie que tout le monde craignait. Contre quelques services je pouvais dormir sur une paillasse sous les escaliers, près du poêle et manger à ma faim. Ce que je faisais après avec les clients ne l’intéressait pas, tant que ce que je devais faire était fini.
Ça devait faire deux mois que je travaillais à l'auberge quand un groupe de marins arriva pour y loger. Ils allaient être là le temps de faire réparer leur bateau. Enfin il n'y avait pas tout l'équipage mais le capitaine - qui ne viendrait que pour souper - son fils de vingt ans et le second qui, eux, restaient à la nuitée.
Je tombais sous le charme de Rémi - le fils du capitaine - mais lui semblait n'avoir d'yeux que pour le second qui, il est vrai, était un bel homme dans la trentaine. Ils furent les derniers à monter. Moi, j'allais rejoindre le client qui m'avait réservé pour la nuit.
Le lendemain je dus les conduire aux bains publiques et ils m'en offrirent un. C'est vrai que je n'y allais qu'une fois toutes les deux semaines, le reste du temps je me lavais à l'évier de la cuisine. C'est ainsi que je vis le second et Rémi nus - sur lesquels mes yeux glissèrent souvent et inversement.
En rentrant le second me réserva pour la nuit. Rémi parut surpris mais ne dit rien. Toute la fin de journée je fantasmais sur le second et sa belle bite. J'allais prendre un pied grave parce que oui, je l’avoue, j'adorais me prendre des bites dans le cul et plus elles étaient longues à jouir plus je bandais dur et j'avais des orgasmes faramineux.
Mon travail fini, je rejoignis sa chambre. Je frappais à la porte et entendis ‘’entre !’’. Il était allongé nu sur le lit. Il me dit de me mettre à poil et de le rejoindre et quand je fus près du lit il me demanda de le sucer.
Je n'avais jamais fait ça moi ! Habituellement on me demandait de me mettre à quatre pattes sur le lit, le gars me crachait un peu sur le trou et sur sa queue, me baisait jusqu'à me jouir dedans puis je me cassais.
Il m'expliqua quoi faire et au final après de longues, très longues minutes il envoya son jus. Je me mis à quatre pattes mais il me dit de m'habiller et d'aller voir Rémi qui m’attendait. Il me glissa une pièce pour lui et une pour son voisin – mon rêve. Et quand je frappais à la porte de la chambre de ce dernier, il vint m'ouvrir vêtu d’un caleçon complètement déformé par une grosse érection. Il était vraiment dans l’urgence !
Je baissais mon pantalon et je me mis à quatre pattes sur le lit.
Il cracha sur mon cul et me prit aussitôt. Ça ne dura pas longtemps et bien vite il se mit à gémir très fort et je sentis ses jets de sperme me remplir. Il se retira encore raide. J'avais trop envie qu'il me prenne encore et je mis en pratique ce que le second venait de m’apprendre, plutôt bien je pense parce qu'il me demanda de me mettre à poil et il me prit en missionnaire assez longtemps pour que je jouisse aussi cette fois. Lui aussi me glissa une pièce que je refusais au départ mais il insista.
Ce petit jeu dura toute la durée de la réparation de leur navire c'est à dire deux semaines. Le second avait fait de moi un parfait giton. Maintenant je suçais, j’embrassais, je caressais et je me faisais prendre de plein de façons. Ça surprit plusieurs de mes clients et les pièces qu'on me donnait pour me récompenser se transformèrent en billets et bien vite je me fis un bon gros pécule.
Quand le premier capitaine vint me chercher pour rentrer, je refusais et je passais plusieurs saisons à Saint Pierre et Miquelon. En fait j'y restais quatre ans. Je fus, comme tout bon Français, appelé à faire mon service militaire mais je fus réformé à cause de ma… profession !
Je venais de fêter mes dix-neuf ans quand une sorte de paquebot arriva au port et quelle ne fut pas ma surprise de voir descendre le second et Rémi - que je prenais toujours pour le fils du capitaine. Ils vinrent à ma rencontre et me demandèrent de les suivre sur leur navire.
Ils me proposèrent un nouveau travail. Je serai à leur disposition sexuelle, évidemment, mais officiellement garçons de cabines lors des voyages sur l’eau et le reste du temps, quand on serait à terre je serai une espèce de valet, coursier, homme à tout faire au service de Rémi. Parce que celui que je prenais pour le fils du capitaine était en fait le fils de l’armateur qui apprenait le métier, sur le tas. Le salaire qu'on m'offrait était digne d'un ministre. J’acceptais, bien sûr.
Ils me demandèrent simplement de ne parler de ce qu'il se passerait la nuit à qui que ce soit, si je tenais au boulot. J'allais informer la patronne de l'auberge de mon départ. Elle ne fit aucun commentaire, me glissa une coquette somme en main et elle me souhaita une bonne continuation en me faisant la bise.
Je récupérais mes quelques habits et possessions, sans oublier mon propre pécule, et je rentrais au bateau. Le second, qui en fait était maintenant capitaine de ce paquebot, m'installa dans une cabine juste à côté de la sienne et il me demanda de me laver à fond. Dès la première nuit il s'occupa de moi puis j'allais rejoindre le fils de l’armateur.
On voyagea quelques mois où j’appris les bases de ma fonction. J’avoue avoir été surpris de ne pas avoir eu, un seul jour, le mal de mer. Quand on rentra en France je partis avec le fils de l'armateur dans le château familial. On me donna une petite chambre à côté de la sienne. Et je le servis du mieux que je pus et que je sus. Je m'étais arrêté au certificat mais je surpris par mes aptitudes. Et bientôt je fus plus que l'amant caché de Rémi mais je fus son arme secrète, ses yeux, ses oreilles, son homme à tout faire.
Peu avant ses trente ans il y eu son mariage – obligation de rang et besoin d’héritier. Maintenant qu'il était marié je le vis moins souvent mais nos rencontres furent beaucoup plus intense. Le second était constamment en mer et je ne le voyais plus que lors de nos rares voyages en bateau.
Au fil des ans une forte amitié et une grande confiance nous lia tous les trois. J'étais devenu le bras droit de Rémi qui, lui, était devenu armateur à ses quarante-huit ans, au décès de son père. Plus tard, mon bas de laine me permit de racheter, à la mort de nos parents, sa part de la maison à mon frère.
L'heure de la retraite allait sonné pour moi mais je contait rester auprès de Rémi, bien qu’il n’occupât plus officiellement son poste depuis des années. Notre affection restait forte, même si nos galipettes devenait rares. Un matin, il m’annonça le verdict des médecins sur les maux de tête qui le terrassait de plus en plus souvent : Tumeur au cerveau et maximum trois mois en espérance de vie… il en eu deux ! Je l’accompagnai jusqu’à son dernier souffle. Sa mise au caveau familial fut un vrai crève-cœur. L’adieu à l’amour de ma vie !
C'est à ce moment-là que je décidais de rentrer chez moi.
Et c'est ainsi, alors que les souvenirs affluaient dans ma tête, que je redécouvris ma rue telle qu'elle est sur la photo.
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
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