CHAPITRE CXXXII
''Vincula a voluptate''
''Vincula a voluptate''
En appui sur ses bras musclés, Burydan regardait Rhonin. Son minet caressa ses biceps durs comme de la pierre, ses épaules larges et rondes et prit ses pecs à pleine main. Il les caressa et les pelota comme un dingue. Burydan adorait sentir ses tétons glisser entre les doigts fins de son minet et le laissa le tripoter tout son saoul. Il se pencha de nouveau vers lui et l'embrassa passionnément.
Ses lèvres migrèrent dans le cou mollet et, remontant d'un grand coup de langue le long de la carotide, il mordilla la mignonne petite oreille droite, tout doucement, lentement, la grignotant du lobe jusqu'à tout le pavillon avant de plonger sa langue à l'intérieur. Rhonin poussa un long soupir de plaisir. Et un autre, quand Burydan s'attaqua à l'oreille gauche.
Il lui sourit et l'embrassa de nouveau à pleine bouche. Il descendit sur son petit torse et le lécha lentement. Il agaça les tétons roses de sa langue avant de les suçoter et de les mordiller, arrachant ses premiers gémissements à Rhonin. Il passait inlassablement de l’un à l'autre jusqu'à ce que la peau de lait de son minet brille de salive.
Il arriva sur le ventre tout doux et tout chaud. Il frotta son visage contre la peau veloutée et y déposa de gros baisers mouillés. Il lécha lentement cette peau frémissante, tournoya autour du petit nombril joliment retroussé et plongea à l'intérieur, arrachant un long gémissement plaintif à Rhonin qui creusa le ventre. Burydan le lécha un long moment, passant du nombril au ventre et du ventre au nombril.
Burydan descendit encore et se retrouva en face de la bite de Rhonin, emprisonnée dans l'étoffe de son sous-vêtement, déformé par une phénoménale érection. Il joua avec la queue dure de la pointe de son nez, frotta son visage et se mit à la lécher et à la mordiller tout doucement. Les gémissements de Rhonin s'intensifièrent. Burydan lécha encore et encore, insistant sur la petite trace humide au niveau du gland.
Il releva la tête. L'étoffe était devenue presque transparente tellement Burydan l'avait léchée et on devinait la queue de son minet. Il mit les mains sous la ceinture du sous-vêtement. Rhonin leva les jambes et son beau mâle lui enleva le dernier morceau de tissu qui couvrait encore son corps. Burydan envoya valser le sous-vêtement d'un geste théâtral dans un coin de la chambre. Rhonin, en riant, reposa ses jambes et Burydan le regarda.
'' Qu'y a-t-il de plus beau qu'un corps de garçon nu, se demanda-t-il. Surtout quand ledit corps est celui de Rhonin''.
Il se cala confortablement et s'occupa d'abord des jolies couilles de son blondinet. Elles étaient toutes rondes et toutes douces. Il huma la délicieuse fragrance qui s'en dégageait et les explora de la pointe de sa langue, s'y attardant quand un gémissement de Rhonin était un peu plus fort.
Une fois découvertes toutes les parties les plus sensibles de son petit blond, il lécha ses couilles d'une langue baveuse. Bien lubrifiées, il les goba et les suçota. Il en berçait une du plat de sa langue, la recrachait, infligeait les mêmes délicieux tourments à l'autre, avant de revenir à la première, encore et encore.
Rhonin gémissait comme un perdu. Gémissements entrecoupés de :
- Oh oui... oh oui, bouffe moi les couilles... oh encore... oh qu'est-ce que c'est bon... oh mes dieux !
Burydan releva la tête. Les couilles de Rhonin dégoulinaient de salive. Il regarda son minet, en transe. Il savait qu'il voulait qu'il prenne sa jolie queue dans sa bouche, mais Burydan décida de le faire languir un peu. Il le connaissait par cœur et savait pertinemment comment l'exciter comme jamais.
Il déposa des gros baisers mouillés sur toute la longueur de sa bite, de la base jusqu'au sommet. Il tira un peu sur la peau pour que son gland s'épanouisse dans toute sa largeur plantureuse. Il le lapa à petits coups de langue baveuse, en insistant bien sur le frein. Puis, sans crier gare, il se jeta sur l'aine gauche de Rhonin.
Il la lécha d'un grand coup de langue. Rhonin gémit intensément en se tortillant. Cette caresse mouillée déclencha un énorme vague de frissons dans tout son corps. C'était divin. Burydan lécha encore, aspirant la peau entre ses lèvres, et se jeta comme un affamé sur l'aine droite, avant de revenir à la gauche, encore et encore et encore.
Il sourit en voyant son blondinet se tortiller. Il prit la bite de Rhonin dans son poing, la maintint bien droite et laissa tomber de longs filets de salive dessus. Il l'étala avec sa main et avala le gland rose et joufflu de son minet.
Rhonin gémit de plus belle. Les acrobaties de la langue de Burydan autour de son gland étaient indicibles. Son bel étalon commença à avaler sa queue de plus en plus profondément et Rhonin poussa un petit hoquet quand il sentit sons gland comprimé dans la gorge de Burydan. Celui-ci déglutit pour resserrer l'étau. Il remonta lentement le long de la queue dure, s'occupa un petit moment du gland dodu et repartit à l'assaut de la jolie bite.
Alors qu'il gémissait comme un perdu, Rhonin plaqua ses deux mains sur la tête de Burydan. Celui-ci pensa que son minet voulait prendre les choses en main et lui baiser la bouche. Et il n'avait rien contre. Mais Rhonin lui fit relever la tête, sa bite poisseuse venant claquer contre son ventre, et attira Burydan vers lui.
Yeux bleus hallucinés, bouche entrouverte, respiration hachée, Rhonin réclamait un baiser que Burydan s'empressa de lui donner. Un baiser long et profond.
Rhonin remonta ses genoux et glissa la ceinture du sous-vêtement de Burydan entre ses orteils. Il le fit descendre doucement, libérant la grosses queue de son maître de son carcan de tissu. Burydan envoya sons sous vêtement dans un coin de la chambre d'un coup de pied.
Il étaient nus, l'un contre l'autre, peau contre peau. Burydan cala sa queue dure contre la bite tendue de Rhonin et se déhancha. Sans cesser un seul instant de l'emballer à pleine bouche, il se frottait dans une joute lascive et Burydan adorait entendre Rhonin gémir contre sa bouche quand leurs glands se frôlaient.
La bite de Burydan lui faisait presque mal tellement elle était dure. Il avait envie de son petit minet. Il avait envie de lui faire l'amour longtemps, lentement, amoureusement, de le posséder intensément jusqu'à ce qu'il pleure, hurle et s'évanouisse de plaisir.
Il se remit à genoux, la respiration heurtée et dit :
- Tourne toi, bébé, et donne moi ton petit cul. Tu n’imagines même pas à quel point j'ai envie de te bouffer la chatte.
- Attends, dit Rhonin, j'ai une autre idée...
Burydan leva un sourcil interrogateur. Rhonin lui sourit et se leva.
- Allonge toi sur le lit, sur le dos... allez, obéis...
Burydan sourit et s'allongea.
- Mets toi bien au milieu... oui, bon garçon...
Burydan sourit de nouveau. Son petit esclave voulait jouer au maître ?... pourquoi pas...
Rhonin, de sa démarche gracile, sa jolie bite se balançant à chaque pas, se dirigea vers leurs bagues. Il fouilla et revint vers le lit avec, dans la main gauche une grande serviette blanche et, dans la main droite, les quatre morceaux de corde que Burydan avait utilisé pour l'attacher.
Tiens, se dit-il, il a pris goût à ce petit jeu ?...
Rhonin se mit à califourchon sur lui et dit :
- Donne moi tes poignets...
- Quoi ?! dit Burydan, interloqué.
- Donne moi tes poignets... allez, obéis !
Burydan était perplexe mais tendit ses poignets à Rhonin.
- Bon garçon...
Rhonin noua une extrémité d'une corde autour du poignet de Burydan et l'autre autour du bois du lit. Il fit la même chose avec l'autre poignet.
- Écarte largement les cuisses...
Il attacha les chevilles de Burydan et se remit à califourchon sur lui.
Ainsi entravé et soumis aux envies de son minet, Burydan était... dubitatif. Qu'allait-il donc lui faire ou lui faire faire. Le plus inconcevable, c'est que Burydan trouvait ça plutôt excitant.
- Tu es mon prisonnier, dit Rhonin. Tu es à moi et je peux te faire ou te faire faire tout ce dont j'ai envie. Et si tu n'obéis pas, je te laisse ainsi pendant des jours...
La phrase, dite sur un ton espiègle, fit sourire Burydan :
- Bien, maître, dit-il.
Rhonin se tortilla pour nicher la grosse bite de son maître entre ses fesses toutes douces. Il caressa les abdos noueux, adorant les voir tressaillir sous son passage, saisit les pecs à pleine main, pinça tout doucement les tétons durs et gonflés, et se pencha pour se coller au corps chaud de Burydan et l'embrasser à pleine bouche.
L'embrasser vraiment. La plupart du temps c'était Burydan qui engouffrait sa langue dans la bouche de Rhonin pour le galocher. Mais là, Burydan sentit la petite langue rose et frétillante de son minet se faufiler entre ses lèvres et venir à la rencontre de sa copine. Et c'était bon... tellement bon...
Après un long baiser torride, Rhonin commença à lécher le corps offert de son mâle. Gros baisers mouillés dans son cou, grignotage des oreilles, contour des énormes pectoraux de la pointe de la langue, longue léchouille dans le profond creux entres ses pecs jusqu'à la gorge, agacerie, suçotement et mordillement des tétons durs, contour de la pointe de la langue des abdos noueux et caresse du ventre du plat de la même langue, léchage du nombril, des aines et des grosses couilles bien pleins de son maître.
Rhonin releva la tête et regarda son maître, en transe, poussant des gémissement rauques à chaque fois que la langue de son tortionnaire atteignait un point particulièrement sensible. Il mourrait d'envie de sentir sa queue dure comme la pierre bien au chaud dans la bouche de son minet. Elle palpitait de désir. Mais apparemment Rhonin avait vraiment envie de le faire se consumer.
Rhonin se remit à califourchon sur Burydan et nicha la grosse bite de son supplicié entre ses petites fesses. Il commença à faire aller et venir son bassin, branlant son homme par la même occasion.
- J'ai le cul en feu, dit-il. T'as envie de le lécher, hein ? T'as envie de me bouffer la chatte ?
Burydan hocha la tête.
- Dis le !
- J’ai envie de te bouffer la chatte.
Rhonin sourit. Il plia la serviette et la mit sur les yeux de Burydan.
- Eh, mais qu'est que tu fais ?!
- Laisse toi faire, tu vas voir, tu vas adorer.
Burydan n'était pas sur d'adorer. Il aimait tellement voir le corps nu de son minet.
Il sentit Rhonin se déplacer sur le lit. Et il entendit :
- Lèche !
Burydan releva la tête et sortit sa langue, qui se retrouva directement dans la raie de Rhonin accroupit au dessus de lui.
- Oh oui, lèche moi bien...
Burydan ne se fit pas prier. Il lécha le sillon de son blondinet un long moment, puis tâtonna pour trouver son œillet. Et il le lapa encore et encore.
Rhonin se mit à gémir au fur et à mesure que la langue de Burydan caressait son intimité. Et il couina quand il sentit cette même langue vaincre la faible résistance de son œillet et le pénétrer. C'était bon... tellement bon...
Burydan se rendit compte que, privé d'un de ses cinq sens, les autres semblaient s'être intensifiés. Et de ce côté là, il était comblé.
Les gémissements de son petit bond quand il le léchait ; l'odeur de sueur de mâle en rut qui flottait dans la pièce ; le goût du petit cul de son minet ; la douceur des fesses de Rhonin quand il délaissait son petit trou pour les embrasser et les lécher.
Rhonin, gémissant, se pencha en avant. Tête bêche par rapport à son mâle, il lui tendit encore plus complaisamment son petit cul et lécha lentement la grosse queue palpitante de Burydan. Il la prit dans son poing et commença à la sucer avidement.
Burydan ne savait pas ce qui lui plaisait le plus. Cette sensation de ne rien maîtriser, d'être complètement soumis au désir de son minet, le goût du petit cul qu'il léchait comme un dingue, ou la bouche chaude et moite qui lui dévorait la queue. Et il se dit que les trois ensemble, c'était à ça que devait ressembler le Tiantang.
Le silence n'était plus troubler que par les bruits de lapement et de succion. Et par les gémissements des deux amants qui se procuraient mutuellement des caresses humides.
Burydan s'emballa soudain.
- Je vais jouir, dit-il, je vais jouir !
Aussitôt Rhonin sortit sa bite de sa bouche, laissant redescendre la pression. Burydan gémit de frustration.
- Déjà ? demanda Rhonin.
Burydan ne répondit pas, tout à ses léchouilles baveuses.
Rhonin se laissa ainsi dévorer et se pencha, se contentant de lécher la grosse queue palpitante de son étalon, savourant les vagues de plaisir que la langue de Burydan déclenchait en lui. Il brûlait de désir littéralement.
Il priva Burydan de son petit cul, lui arrachant un grognement de dépit. Il cracha dans sa main et se lubrifia son petit trou. Il se rendit compte que c'était inutile, il dégoulinait littéralement de la salive de son beau brun et restait entrouvert. Il laissa tomber de gros paquets de salive sur la queue de Burydan et l'étala de sa main.
Il se remit à califourchon et enleva la bandeau des yeux de son mâle. Burydan papillonna des yeux et regarda Rhonin Il y avait une telle lueur de luxure dans ses yeux bleus !
Rhonin détacha ses chevilles et ses poignets.
- Baise moi, Burydan de Malkchour, prends moi comme une bête, fais moi miauler comme un chaton, fais mois japper comme une petite chienne, fais moi couiner, déglingue moi, bourre moi, démonte moi comme une brute !
Burydan enlaça son minet, l'attira à lui, donna une impulsion et se retrouva entre les cuisses de Rhonin.
- Ça t'a plu de me voir ainsi, soumis, hein ?... Oui ça t'a plu... mais maintenant je vais me venger... je vais te faire gueuler de plaisir... tu as joué avec moi, mais maintenant ça va être toi mon jouet... je vais te défoncer, bébé, comme jamais je ne t'ai encore défoncé, jusqu'à ce que tu implores ma clémence !
Burydan pénétra Rhonin d'un coup de reins sec, faisant claquer son bas ventre contre ses petites fesses. Et il le baisa intensément. Ce fut animal, bestial et torride comme le Diyu...
Rhonin miaula, jappa, couina, et cria :
- Fais moi jouir ! je t'en supplie fais moi jouir ! J'en peux plus ! Pitié, maître, pitié, faites jouir votre petit esclave ! Oh oui... plus vite... plus fort... oh non, ne t'arrête pas ! Grâce maître, grâce... oh oui, comme ça... juste là... oh mes dieeeeeeeeeeuuuuuuuuux !!!
Rhonin jouit comme un dingue. Le plaisir avait été tellement violent qu'il eut l'impression de tomber dans les appurus. Et Burydan le rejoignit, la tête dans son cou, dans un grand cri rauque, trois coups de bite plus tard.
Ils restèrent ainsi, les corps emmêlés, la respiration heurtée, les cœurs battant à leur rompre les côtes, des étoiles pleins les yeux et le cerveau noyé de plaisir.
La bite de Burydan sortit d'elle-même des confins du corps de Rhonin, et il eut l’impression de perdre quelque chose de vital. Le visage de son beau mâle apparu au dessus du sien. Les cheveux collés à son front par la sueur, les yeux gris brillants et un immense sourire aux lèvres.
- Oh bébé, c'était... c'était...
- Génial... tout simplement génial...
- Je t'aime blondinet...
- Je t'aime, beau brun...
Ils s'embrassèrent langoureusement.
- Je suis pardonné ?
- Tout à plein mon amour.
- Tant mieux. Parce que... j'ai envie de... recommencer...
- Quoi... maintenant ?!
- Oui.
- Mais tu es insatiable...
- Je sais, merci. Mais pour me faire totalement pardonner, je vais m'amuser avec ta petite glande à étincelles
- Oh... chic alors...
- Prêt à prendre un pied phénoménal, bébé ?
Rhonin sourit, plia un oreiller en deux et le cala sous ses reins. Il écarta largement les cuisses et Burydan le fit jouir intensément, sans qu'il ait même besoin de se toucher. Puis Rhonin prit Burydan dans sa bouche jusqu'à ce qu'il jouisse à son tour.
Ils s’enlacèrent, s'embrassèrent, se caressèrent et s’endormirent dans les bras l'un de l'autre.