Dernier jour - 30 juin 2020 (3)
Adelin mit le boxer de Patrice dans la corbeille de linge sale, jetant un coup d’œil indiscret sur la lingerie des sœurs.
— Qu’est-ce qui t’arrive ? demanda Patrice, tu préfèrerais coucher avec mes frangines à présent, enfin avec celle qui est encore libre ?
— Elles sont charmantes. Simple curiosité, ne t’inquiète pas, je me demandais si elles mettent des sous-vêtements sexy.
— Si c’est le cas, je pense qu’elles les lavent elles-mêmes pour que ma mère ne les voie pas.
— Et toi, tu as des sous-vêtements sexy ? string ? jockstrap ?
— Je compte sur toi pour les mettre sous le sapin à Noël.
— Si tu ouvres le paquet devant tout le monde et que tu les essaies. Tu as de la Bétadine ?
— Dans l’armoire.
Adelin l’ouvrit. Il remarqua une boîte de capotes et du lubrifiant.
— C’est à toi ça ? demanda-t-il.
— Non, ce doit être à mes sœurs.
— Attends, il y a un papier collé dessus : « Patrice, n’oublie pas de te protéger, il n’y a pas que le coronavirus qui rôde, de la part de Chloé et Ambre ».
— Elles devaient savoir… avant notre arrivée…
— Comment ?
— Je me demande si le professeur Dupont-Lajoie ne l’a pas dit à mon père.
— Possible, si Raphaël faisait des rapports détaillés sur le comportement sexuel des cobayes.
— Le risque de transmission du virus était plus élevé, cela pouvait influencer les chiffres de l’étude. On lui demandera ce soir, il va se mettre à nu, au propre comme au figuré.
Patrice s’assit sur le bord de la baignoire. Adelin se baissa, enleva le pansement et examina la blessure.
— Parfait, dit-il. Pas de risque de déchirure du frein.
Il contrôla que le prépuce coulissait bien sur le piercing, puis caressa délicatement la hampe qui se redressa immédiatement.
— Je suis sûr qu’elle a grossi ces derniers jours, fit Adelin.
— Tu dis ça pour me faire plaisir.
— Non, je suis sérieux, je pense que c’est à cause de mes soins attentifs et réguliers. Tu veux que je te branle ?
— Je préfère garder de l’énergie pour plus tard, la journée sera encore longue. Je veux te sucer.
— Et mon énergie ?
— Tu n’es pas obligé d’éjaculer, j’ai lu que dans le taoïsme on apprenait des méthodes pour se retenir.
— Alors débande, que je puisse refaire le pansement.
— Après…
Adelin enleva son slip, le mit sans réfléchir dans la corbeille. Patrice se leva et laissa la place à son ami sur le bord de la baignoire. Il s’agenouilla, prit la verge dans sa main et promena tout d’abord sa langue sur la couronne du gland, ensuite sur le frein percé, ce qui raviva la douleur dans le sien. Était-ce vraiment de la douleur car Patrice bandait toujours très dur et il sentait du liquide suinter de son méat ?
— C’est la première fois que quelqu’un te suce ? demanda-t-il à Adelin.
— Je t’ai dit que j’étais puceau.
— C’était au début du séjour… Je ne sais pas ce qui s’est passé pendant que j’étais dans les vapes…
— Rien, je t’assure, on ne t’a pas appris qu’on ne parle pas la bouche pleine ?
Patrice prit le gland de son ami dans sa bouche, il se dit qu’ils auraient pu faire ça après la douche, Adelin venait de pisser. C’étaient les risques du métier et ce n’était pas un anulingus. Patrice avait consacré la fin de son séjour à l’hôpital à étudier tout ce que deux hommes pouvaient faire ensemble, c’était plus intéressant que les cours du lycée qu’il avait manqués à cause de la pandémie. C’était de la théorie, il découvrait maintenant la pratique, essayant de ne pas décevoir Adelin, de ne pas le mordre. Progressivement et lentement, il prit le membre entier dans sa bouche, content que celui-ci ne fût pas trop long. Il ne réussit pas trop mal puisque son ami éjacula assez rapidement, le surprenant.
— Il est bon mon sperme ? demanda Adelin en riant.
— Pas mauvais, pour le taoïsme il faudra encore t’entraîner.
Ils se douchèrent rapidement, puis Adelin désinfecta le piercing de son ami avec de la Bétadine et refit le pansement en laissant le gland décalotté.
— Euh, fit Patrice, c’est vraiment nécessaire ?
— C’est plus prudent. Tu te rends compte comme c’est d’être circoncis.
— Les autres vont se demander ce que j’ai.
— Bah, tu leur expliqueras.
— Ouais, mais il y aura mes sœurs. Toute la famille le saura.
— Et alors ? Tu es un adulte, tu n’as plus à t’inquiéter de ce que tes parents pensent de ton zizi. Ils n’ont d’ailleurs pas fait de commentaire négatif au sujet de ton coming out.
— Tu as raison. Zut, j’ai oublié de prendre un boxer de rechange.
— La probabilité que nous croisions quelqu’un est très faible.
Patrice prit les préservatifs et le lubrifiant avant d’ouvrir la porte.
NDA Là, j’ai un dilemme. Dans tous les autre récits que j’ai écrits où les héros étaient dans la même situation, ils ont croisé quelqu’un en sortant de la salle de bain. Vais-je répéter ce gag éculé ? Gardons ce suspense insoutenable pendant quelques jours…
Ou alors je pourrais faire un récit interactif : voulez-vous qu’ils croisent quelqu’un ? qui ? le chat ? la femme de ménage ? la mère ? le père ? le plombier polonais ? (pas les sœurs puisqu’elles seront avec eux le soir)
Adelin mit le boxer de Patrice dans la corbeille de linge sale, jetant un coup d’œil indiscret sur la lingerie des sœurs.
— Qu’est-ce qui t’arrive ? demanda Patrice, tu préfèrerais coucher avec mes frangines à présent, enfin avec celle qui est encore libre ?
— Elles sont charmantes. Simple curiosité, ne t’inquiète pas, je me demandais si elles mettent des sous-vêtements sexy.
— Si c’est le cas, je pense qu’elles les lavent elles-mêmes pour que ma mère ne les voie pas.
— Et toi, tu as des sous-vêtements sexy ? string ? jockstrap ?
— Je compte sur toi pour les mettre sous le sapin à Noël.
— Si tu ouvres le paquet devant tout le monde et que tu les essaies. Tu as de la Bétadine ?
— Dans l’armoire.
Adelin l’ouvrit. Il remarqua une boîte de capotes et du lubrifiant.
— C’est à toi ça ? demanda-t-il.
— Non, ce doit être à mes sœurs.
— Attends, il y a un papier collé dessus : « Patrice, n’oublie pas de te protéger, il n’y a pas que le coronavirus qui rôde, de la part de Chloé et Ambre ».
— Elles devaient savoir… avant notre arrivée…
— Comment ?
— Je me demande si le professeur Dupont-Lajoie ne l’a pas dit à mon père.
— Possible, si Raphaël faisait des rapports détaillés sur le comportement sexuel des cobayes.
— Le risque de transmission du virus était plus élevé, cela pouvait influencer les chiffres de l’étude. On lui demandera ce soir, il va se mettre à nu, au propre comme au figuré.
Patrice s’assit sur le bord de la baignoire. Adelin se baissa, enleva le pansement et examina la blessure.
— Parfait, dit-il. Pas de risque de déchirure du frein.
Il contrôla que le prépuce coulissait bien sur le piercing, puis caressa délicatement la hampe qui se redressa immédiatement.
— Je suis sûr qu’elle a grossi ces derniers jours, fit Adelin.
— Tu dis ça pour me faire plaisir.
— Non, je suis sérieux, je pense que c’est à cause de mes soins attentifs et réguliers. Tu veux que je te branle ?
— Je préfère garder de l’énergie pour plus tard, la journée sera encore longue. Je veux te sucer.
— Et mon énergie ?
— Tu n’es pas obligé d’éjaculer, j’ai lu que dans le taoïsme on apprenait des méthodes pour se retenir.
— Alors débande, que je puisse refaire le pansement.
— Après…
Adelin enleva son slip, le mit sans réfléchir dans la corbeille. Patrice se leva et laissa la place à son ami sur le bord de la baignoire. Il s’agenouilla, prit la verge dans sa main et promena tout d’abord sa langue sur la couronne du gland, ensuite sur le frein percé, ce qui raviva la douleur dans le sien. Était-ce vraiment de la douleur car Patrice bandait toujours très dur et il sentait du liquide suinter de son méat ?
— C’est la première fois que quelqu’un te suce ? demanda-t-il à Adelin.
— Je t’ai dit que j’étais puceau.
— C’était au début du séjour… Je ne sais pas ce qui s’est passé pendant que j’étais dans les vapes…
— Rien, je t’assure, on ne t’a pas appris qu’on ne parle pas la bouche pleine ?
Patrice prit le gland de son ami dans sa bouche, il se dit qu’ils auraient pu faire ça après la douche, Adelin venait de pisser. C’étaient les risques du métier et ce n’était pas un anulingus. Patrice avait consacré la fin de son séjour à l’hôpital à étudier tout ce que deux hommes pouvaient faire ensemble, c’était plus intéressant que les cours du lycée qu’il avait manqués à cause de la pandémie. C’était de la théorie, il découvrait maintenant la pratique, essayant de ne pas décevoir Adelin, de ne pas le mordre. Progressivement et lentement, il prit le membre entier dans sa bouche, content que celui-ci ne fût pas trop long. Il ne réussit pas trop mal puisque son ami éjacula assez rapidement, le surprenant.
— Il est bon mon sperme ? demanda Adelin en riant.
— Pas mauvais, pour le taoïsme il faudra encore t’entraîner.
Ils se douchèrent rapidement, puis Adelin désinfecta le piercing de son ami avec de la Bétadine et refit le pansement en laissant le gland décalotté.
— Euh, fit Patrice, c’est vraiment nécessaire ?
— C’est plus prudent. Tu te rends compte comme c’est d’être circoncis.
— Les autres vont se demander ce que j’ai.
— Bah, tu leur expliqueras.
— Ouais, mais il y aura mes sœurs. Toute la famille le saura.
— Et alors ? Tu es un adulte, tu n’as plus à t’inquiéter de ce que tes parents pensent de ton zizi. Ils n’ont d’ailleurs pas fait de commentaire négatif au sujet de ton coming out.
— Tu as raison. Zut, j’ai oublié de prendre un boxer de rechange.
— La probabilité que nous croisions quelqu’un est très faible.
Patrice prit les préservatifs et le lubrifiant avant d’ouvrir la porte.
NDA Là, j’ai un dilemme. Dans tous les autre récits que j’ai écrits où les héros étaient dans la même situation, ils ont croisé quelqu’un en sortant de la salle de bain. Vais-je répéter ce gag éculé ? Gardons ce suspense insoutenable pendant quelques jours…
Ou alors je pourrais faire un récit interactif : voulez-vous qu’ils croisent quelqu’un ? qui ? le chat ? la femme de ménage ? la mère ? le père ? le plombier polonais ? (pas les sœurs puisqu’elles seront avec eux le soir)
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Récits de Lange128 indisponibles sur Slygame
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