27-07-2021, 06:37 AM
En attendant le prochain cliché, voici un hors-série : Tranche de vie !
Quel en est l’auteur ?
À un certain moment de mon adolescence parisienne, j'avais assisté au Théâtre national Populaire du Trocadéro à la pièce Lorenzaccio avec Gérard Philippe dans le rôle et Jean Villard pour lui donner la réplique. C'était à l'occasion d'une sortie scolaire en 1954. Un copain d'une classe voisine et de mon âge habitait une rue proche de la mienne dans le XIIIe arrondissement parisien, quartier jouxtant le XIVe et encore fort "ouvrier" à l'époque. Le théâtre se trouve dans le XVIe arrondissement, endroit "chic" de Paris. De beaux immeubles assez récents bordent l'avenue Benjamin Franklin, proche du Trocadéro. En ces années, nul besoin d'interphones ou de "Vigik" pour entrer dans le hall. Le simple appui sur la sonnette suffisait pour que la lourde porte s'ouvre. Nous pénétrons donc et, sitôt franchi le sas, l'ascenseur s'offre à nous. Sans hésiter, j'ouvre la porte de la cabine et nous voilà dedans, face à face. Tant qu'à faire, en route pour le 7ème et dernier étage. Pour nous, c'était vraiment le luxe suprême par rapport à nos "pauvres immeubles" sans confort moderne. Au 7ème, retour au rez-de-chaussée, histoire de naviguer et d'éprouver des sensations.
Et leur résultat apparut à mes yeux : une sorte de grosseur ornait alors la braguette de mon copain. Au cours du voyage suivant, en route pour le 7ème (pas encore...ciel !), je pose la main droite bien à plat sur la grosseur en question et mon "pote" me fait : Oh, ça fait tout drôle ! Il semble apprécier l'action de mes doigts. On redescend, quelque peu troublés par cette "drôlerie" et sortons de l'immeuble pour rejoindre le métro qui nous ramène à la station "Glacière".
Mais voilà : les jours suivants, nous convenons de rentrer à pied de notre établissement scolaire du 5ème par le haut du boulevard Saint-Michel. Des immeubles haussmanniens voisinent avec d'autres plus récents. "Au pif", nous pénétrons dans l'un d'eux et, oh joie ! nous trouvons un ascenseur. Dernier étage SVP ! Et hop, c'est parti.
Là-haut, nous nous trouvons à l'étage des "bonnes". Un petit couloir s'ouvre à droite, desservant les chambres de ces précieuses domestiques. Au tout début, une porte différente ne possède pas de serrure mais une simple poignée. Je la tourne et nous tombons sur le "cabinet-toilette", assez vaste. On se regarde et le copain se place sur l'un des côtés de la cuvette, debout et face à moi. Je ne tergiverse pas longtemps, ma main se dirige vers sa braguette que je déboutonne. Peu après, il en sort un assez joli pénis, bien droit, assez large à la base et s'amincissant vers le gland. Je ne résiste pas longtemps au désir d'y mettre les doigts pour accomplir cet éternel et immémorial mouvement qui procure tant de plaisir. Et seulement deux ou trois minutes après en sort ce liquide qui ne m'était pas inconnu mais que pour ma part je devais attendre un peu davantage côté "horaire". J'apprendrai plus tard que le copain faisait partie des "précoces" pour cet aspect de ses capacités. Coup de chance, les toilettes permirent d'engloutir rapidement le résultat de mes manipulations.
Par la suite, nous primes une sorte d'abonnement à ce merveilleux immeuble qui nous vit bien une bonne dizaine de fois avec toujours le même rapide résultat pour l'ami.
Ne voulant pas rester en dehors du coup, je participais aussi aux "démonstrations", aux "monstrances" comme on pourrait dire, en exhibant ce qui m'appartenait en propre mais sans épanchements aussi rapides.
Je réservais ceux-ci pour mes débuts de nuits, dans mon lit, en pensant bien évidemment à des activités un peu plus "canailles" avec le fameux copain, à une certaine "possession" plus poussée -c‘est le cas de l’écrire ! - quelque peu alternative...
En définitive, les séances d'ascenseur se terminèrent assez brusquement suite aux événements que voici.
Rue du faubourg Saint-Jacques, presque à la fin de cette rue au niveau de la place éponyme, se trouve un immeuble lui aussi pourvu d'un ascenseur. Nous l'avions emprunté un premier soir en rentrant mais sans effusion d'aucune sorte. deux jours plus tard, rebelote : nous y retournons et, en grimpant les étages, nous apercevons sur le sol de la cabine...un bas nylon ! Je le ramasse et l'idée farfelue me prend de retrouver sa propriétaire. Depuis le 6ème étage jusqu'au 1er, nous voilà à sonner à toutes les portes pour proposer l'objet. Peine perdue : personne n'est intéressé. Signalons que des portes restaient closes. Nous sortons donc de l'immeuble munis du fameux bas. L'idée me vient alors de traverser la chaussée et de recommencer l'opération...dans l'immeuble d'en-face. Folie ! Nous entrons dans l'édifice aux décorations intérieures très luxueuses. "L'appareil élévateur" était du type hydraulique : un gros tube qui devait se remplir d'eau sous pression propulsait l’engin. Il n'y avait pas de "couvercle" à cette cabine tout en bois et nous apercevions le haut de la cage d'escalier.
Un seul appartement occupait chaque étage. Pour nous, c'était plus que luxueux. Les "sonnettes" étaient de petits quarts de cercles de forme carrée sortant de platines de cuivre bien briquées. Bien évidemment les rares portes à s'ouvrir montrèrent des visages étonnés mais aux réponses négatives.
En repassant la porte d'entrée, un quidam vêtu d'un imperméable beige, les mains dans les poches, nous apostropha et s'enquit de notre présence dans cet immeuble. Que répondre ? Il nous pria, de façon pressante, de le suivre vers l'immeuble d'où nous étions sortis munis du bas. Un "comité d'accueil" nous y attendait : un homme en chemise bleu-pâle devant la porte ouverte de la loge de la concierge, au pantalon de laine bleu-marine. "Un flic, me dis-je. Sale temps !".
Madame son épouse se tenait sur le seuil. L'homme à l'imper était un "bourgeois", un policier en civil. Il nous fut demandé nos noms de baptême et...nos papiers ! Pas de carte d'identité, bien sûr, juste une carte du club de jeunes du quartier que nous fréquentions portant nos patronymes. On s'en contenta chez nos interlocuteurs. Par contre, l'établissement scolaire que nous fréquentions fut scrupuleusement noté. Un "petit vieux" passa à ce moment en nous traitant d’escrocs ! c'étaient là paroles très exagérées et injustes au plus haut point.
On nous libéra après un bon quart d'heure d'interrogatoire. Nous rentrâmes en nos logis, silencieux.
Trois jours plus tard, au début de la semaine, le porte de la classe du cours de maths s'ouvre et paraît le "surgé", le Surveillant Général de l'établissement. Il n'entre pas, passe seulement la tête et dit simplement : "X*** (c'était moi), mercredi soir Conseil de discipline chez le proviseur". Et il referme la porte.
Waouf ! Ques aco ? À la récré suivante, je file retrouver le copain qui fait, lui aussi, une sale tête. Même mauvaise nouvelle que pour moi !
Le jour dit, nous nous dirigeons de concert, vers le bâtiment administratif et nous voilà à poireauter dans le secrétariat à attendre. Une porte s'ouvre et nous sommes introduits dans une grande pièce où sont réunis une quinzaine de professeurs assis autour d'une grande table ovale où préside à un bout "M. le Proviseur" ayant à sa droite le peu aimable Censeur (Le Chef de la discipline). Nouvel interrogatoire. Nous ne pouvons nier les faits. Quant à la cause profonde de notre intérêt pour les ascenseurs, il nous paraît peu utile d'en dévoiler les dessous-si j'ose dire. Verdict : trois jours de mise à pied en informant, bien sûr, les parents. En guise de viatique, à la sortie de cette rencontre, mon ancien prof de français nous dit : "Puisque vous aimez les ascenseurs, allez donc au grand magasin du Printemps, c'est moins risqué !"
Vers la fin de la semaine suivante, après les trois jours sans cours, je suis sur la cour de récré. Je vois venir vers moi un garçon certainement ami du copain qui me dit : " C*** m'a dit que lui et toi...bibite...". J'en déduisis qu'il était intéressé à la chose lui aussi. Dame...à nos âges. Était-ce simple curiosité ? Je n'approfondis pas, quelque peu échaudé. Le copain ne m'adressa plus jamais la parole. Nous étions à quelques jours des "grandes vacances".
Dix jours plus tard, nous recevons à la maison mon affectation-ou plutôt ma...non affectation : j'étais prié d'aller me faire pendre ailleurs. On me conseillait une école professionnelle. "Pas de ça Lisette, dit ma chère maman. Tu iras en pension comme ton grand frère." Et je fus présenté au Frère Directeur de l'internat quelques jours plus tard.
Admis à partir d'octobre suivant, j'y terminais mon cursus scolaire secondaire avec un succès fort heureux comme "Major de promotion". À quelque chose, malheur est bon !
J'eus l'occasion d'y trouver quelques camarades qui me plaisaient bien aussi et ne manquais pas de jeter quelques coup d'œil discrets au moment de quitter nos vêtements de jour avant le coucher. Nous étions en dortoirs à cette époque. Le moment favori était le samedi matin quand, en slips, nous étions en rangs d'oignon attendant d'accéder aux douches. Certains dont moi le premier, étions assis et avions les "petites choses" des copains au niveau des yeux. j'imaginais alors les "choses" en question et...
Mais c'est une autre histoire !
Quel en est l’auteur ?
À un certain moment de mon adolescence parisienne, j'avais assisté au Théâtre national Populaire du Trocadéro à la pièce Lorenzaccio avec Gérard Philippe dans le rôle et Jean Villard pour lui donner la réplique. C'était à l'occasion d'une sortie scolaire en 1954. Un copain d'une classe voisine et de mon âge habitait une rue proche de la mienne dans le XIIIe arrondissement parisien, quartier jouxtant le XIVe et encore fort "ouvrier" à l'époque. Le théâtre se trouve dans le XVIe arrondissement, endroit "chic" de Paris. De beaux immeubles assez récents bordent l'avenue Benjamin Franklin, proche du Trocadéro. En ces années, nul besoin d'interphones ou de "Vigik" pour entrer dans le hall. Le simple appui sur la sonnette suffisait pour que la lourde porte s'ouvre. Nous pénétrons donc et, sitôt franchi le sas, l'ascenseur s'offre à nous. Sans hésiter, j'ouvre la porte de la cabine et nous voilà dedans, face à face. Tant qu'à faire, en route pour le 7ème et dernier étage. Pour nous, c'était vraiment le luxe suprême par rapport à nos "pauvres immeubles" sans confort moderne. Au 7ème, retour au rez-de-chaussée, histoire de naviguer et d'éprouver des sensations.
Et leur résultat apparut à mes yeux : une sorte de grosseur ornait alors la braguette de mon copain. Au cours du voyage suivant, en route pour le 7ème (pas encore...ciel !), je pose la main droite bien à plat sur la grosseur en question et mon "pote" me fait : Oh, ça fait tout drôle ! Il semble apprécier l'action de mes doigts. On redescend, quelque peu troublés par cette "drôlerie" et sortons de l'immeuble pour rejoindre le métro qui nous ramène à la station "Glacière".
Mais voilà : les jours suivants, nous convenons de rentrer à pied de notre établissement scolaire du 5ème par le haut du boulevard Saint-Michel. Des immeubles haussmanniens voisinent avec d'autres plus récents. "Au pif", nous pénétrons dans l'un d'eux et, oh joie ! nous trouvons un ascenseur. Dernier étage SVP ! Et hop, c'est parti.
Là-haut, nous nous trouvons à l'étage des "bonnes". Un petit couloir s'ouvre à droite, desservant les chambres de ces précieuses domestiques. Au tout début, une porte différente ne possède pas de serrure mais une simple poignée. Je la tourne et nous tombons sur le "cabinet-toilette", assez vaste. On se regarde et le copain se place sur l'un des côtés de la cuvette, debout et face à moi. Je ne tergiverse pas longtemps, ma main se dirige vers sa braguette que je déboutonne. Peu après, il en sort un assez joli pénis, bien droit, assez large à la base et s'amincissant vers le gland. Je ne résiste pas longtemps au désir d'y mettre les doigts pour accomplir cet éternel et immémorial mouvement qui procure tant de plaisir. Et seulement deux ou trois minutes après en sort ce liquide qui ne m'était pas inconnu mais que pour ma part je devais attendre un peu davantage côté "horaire". J'apprendrai plus tard que le copain faisait partie des "précoces" pour cet aspect de ses capacités. Coup de chance, les toilettes permirent d'engloutir rapidement le résultat de mes manipulations.
Par la suite, nous primes une sorte d'abonnement à ce merveilleux immeuble qui nous vit bien une bonne dizaine de fois avec toujours le même rapide résultat pour l'ami.
Ne voulant pas rester en dehors du coup, je participais aussi aux "démonstrations", aux "monstrances" comme on pourrait dire, en exhibant ce qui m'appartenait en propre mais sans épanchements aussi rapides.
Je réservais ceux-ci pour mes débuts de nuits, dans mon lit, en pensant bien évidemment à des activités un peu plus "canailles" avec le fameux copain, à une certaine "possession" plus poussée -c‘est le cas de l’écrire ! - quelque peu alternative...
En définitive, les séances d'ascenseur se terminèrent assez brusquement suite aux événements que voici.
Rue du faubourg Saint-Jacques, presque à la fin de cette rue au niveau de la place éponyme, se trouve un immeuble lui aussi pourvu d'un ascenseur. Nous l'avions emprunté un premier soir en rentrant mais sans effusion d'aucune sorte. deux jours plus tard, rebelote : nous y retournons et, en grimpant les étages, nous apercevons sur le sol de la cabine...un bas nylon ! Je le ramasse et l'idée farfelue me prend de retrouver sa propriétaire. Depuis le 6ème étage jusqu'au 1er, nous voilà à sonner à toutes les portes pour proposer l'objet. Peine perdue : personne n'est intéressé. Signalons que des portes restaient closes. Nous sortons donc de l'immeuble munis du fameux bas. L'idée me vient alors de traverser la chaussée et de recommencer l'opération...dans l'immeuble d'en-face. Folie ! Nous entrons dans l'édifice aux décorations intérieures très luxueuses. "L'appareil élévateur" était du type hydraulique : un gros tube qui devait se remplir d'eau sous pression propulsait l’engin. Il n'y avait pas de "couvercle" à cette cabine tout en bois et nous apercevions le haut de la cage d'escalier.
Un seul appartement occupait chaque étage. Pour nous, c'était plus que luxueux. Les "sonnettes" étaient de petits quarts de cercles de forme carrée sortant de platines de cuivre bien briquées. Bien évidemment les rares portes à s'ouvrir montrèrent des visages étonnés mais aux réponses négatives.
En repassant la porte d'entrée, un quidam vêtu d'un imperméable beige, les mains dans les poches, nous apostropha et s'enquit de notre présence dans cet immeuble. Que répondre ? Il nous pria, de façon pressante, de le suivre vers l'immeuble d'où nous étions sortis munis du bas. Un "comité d'accueil" nous y attendait : un homme en chemise bleu-pâle devant la porte ouverte de la loge de la concierge, au pantalon de laine bleu-marine. "Un flic, me dis-je. Sale temps !".
Madame son épouse se tenait sur le seuil. L'homme à l'imper était un "bourgeois", un policier en civil. Il nous fut demandé nos noms de baptême et...nos papiers ! Pas de carte d'identité, bien sûr, juste une carte du club de jeunes du quartier que nous fréquentions portant nos patronymes. On s'en contenta chez nos interlocuteurs. Par contre, l'établissement scolaire que nous fréquentions fut scrupuleusement noté. Un "petit vieux" passa à ce moment en nous traitant d’escrocs ! c'étaient là paroles très exagérées et injustes au plus haut point.
On nous libéra après un bon quart d'heure d'interrogatoire. Nous rentrâmes en nos logis, silencieux.
Trois jours plus tard, au début de la semaine, le porte de la classe du cours de maths s'ouvre et paraît le "surgé", le Surveillant Général de l'établissement. Il n'entre pas, passe seulement la tête et dit simplement : "X*** (c'était moi), mercredi soir Conseil de discipline chez le proviseur". Et il referme la porte.
Waouf ! Ques aco ? À la récré suivante, je file retrouver le copain qui fait, lui aussi, une sale tête. Même mauvaise nouvelle que pour moi !
Le jour dit, nous nous dirigeons de concert, vers le bâtiment administratif et nous voilà à poireauter dans le secrétariat à attendre. Une porte s'ouvre et nous sommes introduits dans une grande pièce où sont réunis une quinzaine de professeurs assis autour d'une grande table ovale où préside à un bout "M. le Proviseur" ayant à sa droite le peu aimable Censeur (Le Chef de la discipline). Nouvel interrogatoire. Nous ne pouvons nier les faits. Quant à la cause profonde de notre intérêt pour les ascenseurs, il nous paraît peu utile d'en dévoiler les dessous-si j'ose dire. Verdict : trois jours de mise à pied en informant, bien sûr, les parents. En guise de viatique, à la sortie de cette rencontre, mon ancien prof de français nous dit : "Puisque vous aimez les ascenseurs, allez donc au grand magasin du Printemps, c'est moins risqué !"
Vers la fin de la semaine suivante, après les trois jours sans cours, je suis sur la cour de récré. Je vois venir vers moi un garçon certainement ami du copain qui me dit : " C*** m'a dit que lui et toi...bibite...". J'en déduisis qu'il était intéressé à la chose lui aussi. Dame...à nos âges. Était-ce simple curiosité ? Je n'approfondis pas, quelque peu échaudé. Le copain ne m'adressa plus jamais la parole. Nous étions à quelques jours des "grandes vacances".
Dix jours plus tard, nous recevons à la maison mon affectation-ou plutôt ma...non affectation : j'étais prié d'aller me faire pendre ailleurs. On me conseillait une école professionnelle. "Pas de ça Lisette, dit ma chère maman. Tu iras en pension comme ton grand frère." Et je fus présenté au Frère Directeur de l'internat quelques jours plus tard.
Admis à partir d'octobre suivant, j'y terminais mon cursus scolaire secondaire avec un succès fort heureux comme "Major de promotion". À quelque chose, malheur est bon !
J'eus l'occasion d'y trouver quelques camarades qui me plaisaient bien aussi et ne manquais pas de jeter quelques coup d'œil discrets au moment de quitter nos vêtements de jour avant le coucher. Nous étions en dortoirs à cette époque. Le moment favori était le samedi matin quand, en slips, nous étions en rangs d'oignon attendant d'accéder aux douches. Certains dont moi le premier, étions assis et avions les "petites choses" des copains au niveau des yeux. j'imaginais alors les "choses" en question et...
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Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
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