18-07-2021, 11:14 PM
Deuxième ruelle,
- Enfin réveillé ?" a-t-il murmuré au sortir de la salle de bains, en collant son pubis à mes fesses, avant de s’allonger sur mon dos. "C’est beau, non ?"
- Vous m’avez vidé, hier, dans tous les sens du terme ! Mais oui, c’est très beau, je pourrais vivre les soixante prochaines années de ma vie ici sans problème" ai-je répondu et tendant la main vers le bas, le long de la façade de pierre, sans pourtant atteindre les fleurs de la glycine.
- Même si j’avais la prétention de croire que je pourrais y avoir une place, je ne pourrais en partager que cinq au mieux, probablement moins, ce foutu crabe ne me lâchera pas, et pour tout te dire, je n’ai plus envie de me battre.
- Vous êtes défaitiste…
- Je t’ai demandé de me tutoyer" a-t-il soufflé dans mon cou, en portant la main à mon sexe sur lequel il a fait coulisser ses doigts, provoquant la douce caresse du prépuce sur mon gland. "Tu me baises et tu me vouvoies, même dans… mon monde, comme tu le dis, c’est une incongruité, peut-être plus encore de la part d’un… excuse le terme… d’un escort. Question de contexte, bien sûr, mes parents se – et me – vouvoyaient, mais je ne me souviens pas qu’en cinquante ans de vie sexuelle active, enfin, si je puis dire active, aucun de mes amants ne l’ait fait."
- Cinquante ? Mais, Martial, vous… tu as…
- Tu comptes bien, j’avais quinze ans, le fils de notre métayer, que j’avais attendu à quatre pattes dans la grange, le pantalon bien plié sur une botte de paille, le cul à l’air. Tiens, maintenant que j’y pense, une glycine de la même couleur grimpait sur la façade, c’est un peu pourquoi j’aime cette auberge, en fait… Un bourrin au final, mais doté d’une bite qui m’avait semblée énorme… Oui, ce mot là, c’est lui qui me l’a appris, initiation à la grossièreté, ce qui m’a toujours excité, j’avoue. Très endurant également, et qui m’a fait réaliser que j’ai la prostate vraiment très sensible et réactive. Avant qu’il m’inonde le rectum, j’avais eu le temps de m’accorder mon classique plaisir, disons, manuel, et d’en découvrir un autre, que j’ai souvent cherché à reproduire, sans toujours trop de succès, et certainement pas avec mon défunt pacsé, ni trop systématiquement lors des récréations que je m’accordais avec tes… collègues. Jusqu’à toi, et un plaisir dont j’avais trop souvent dû faire mon deuil depuis l’abruti de la glycine.
- Oh ! En parlant de deuil, vous… tu n’as jamais dit que tu avais eu un compagnon, il est décédé il y a longtemps ?
- Un mois.
- Mais c’est à peu près quand nous…
- Exactement ! Quatre samedis, quatre cents euros, mais entièrement mérités, je t’assure. Et comprends-moi, je l’ai aimé sincèrement, plus que tous les garçons qui ont partagé mes soirées mis ensemble, mais pour ce qu’il m’en reste, je m’étais dit que la vie continuait, et lorsque j’ai vu ton identifiant sur grindr… Vous avez le même prénom, Joachim, et malgré le principe désormais inévitable de rétribution, du liquide contre… du liquide, j’ai voulu croire que c’était un signe.
- Je t’ai dit que c’est pour vivre et payer mes études… maman ne peut pas, et mon père m’ignore depuis qu’il sait que je suis gay.
- Je le sais, mon garçon, comme là, je soupçonne ta vigueur" a-t-il soufflé, en serrant les doigt sur mon sexe maintenant dressé "et le fait que tu visites certainement d’autres vieilles fesses que les miennes, mais ce week-end est à moi… Hier, tu m’as honoré d’un latex arc-en-ciel, mais j’ai cru repérer un préservatif de sensiblement la même couleur que les fleurs de la façade, voudrais-tu… ?"
Les mains agrippées au châssis de la croisée, le regard probablement perdu sur sa foutue glycine aux souvenirs, Martial a hoqueté lorsque je l’ai pris, avant de pousser un long 'Aaaah' satisfait. J’ai posé une main sur sa nuque et l’autre sur sa queue pour y appliquer la technique brevetée des mouvements synchronisés avec ceux de mon corps dans le sien, lorsque…
A la fenêtre en face, j’ai aperçu un lycéen probablement en terminale, à poil, qui se paluchait sans trop de gêne, exposant un sexe appétissant. J’ai lâché celui de Martial pour pointer un doigt alternativement entre lui et moi, avant de le faire tourner verticalement pour mimer 'ensuite ?' Il a lentement hoché la tête avec un air gourmand sur le visage.
Et quoi que dise Martial de ma vigueur, je pense que je vais profiter de sa sieste post-coït pour compter sur le garçon et, exceptionnellement, explorer – exploser ? – la réactivité de ma propre prostate.
Mais là, mon amant tarifé semblait apprécier le regain d’énergie que cette perspective m’a accordée, son sphincter fatigué palpitait faiblement, il a joui avant moi.
J’ai accompagné ses cinquante kilos encore tremblants vers le matelas, avant de justifier hypocritement de la visite de ce vieux quartier d’Antibes le fait de sortir. J’ai frappé à la porte d’en face, qui s’est ouverte sur le garçon, toujours nu, son sexe toujours bandé. Et peu importait que Martial se soit peut-être ensuite traîné à la fenêtre, il ne m’aurait pas vu dans la chambre d’Axel, nous n’avons jamais dépassé les premières marches de la volée d’escaliers… J’avais omis d’emporter mes artéfacts multicolores, et je me suis trop vite offert aux assauts de l’étudiant qui ne s’est pas donné la peine d’aller en chercher, une erreur de débutant, mais j’y penserai plus tard. Là, mon attention est partagée entre l’équilibre que je tente d’imposer à mes jambes flageolantes et le filet de sa semence qui goutte lentement sur mon boxer tendu entre mes chevilles. Avec peut-être le début… de l’idée… d’une perspective… d’extension des services que mon corps pourrait proposer…
- Enfin réveillé ?" a-t-il murmuré au sortir de la salle de bains, en collant son pubis à mes fesses, avant de s’allonger sur mon dos. "C’est beau, non ?"
- Vous m’avez vidé, hier, dans tous les sens du terme ! Mais oui, c’est très beau, je pourrais vivre les soixante prochaines années de ma vie ici sans problème" ai-je répondu et tendant la main vers le bas, le long de la façade de pierre, sans pourtant atteindre les fleurs de la glycine.
- Même si j’avais la prétention de croire que je pourrais y avoir une place, je ne pourrais en partager que cinq au mieux, probablement moins, ce foutu crabe ne me lâchera pas, et pour tout te dire, je n’ai plus envie de me battre.
- Vous êtes défaitiste…
- Je t’ai demandé de me tutoyer" a-t-il soufflé dans mon cou, en portant la main à mon sexe sur lequel il a fait coulisser ses doigts, provoquant la douce caresse du prépuce sur mon gland. "Tu me baises et tu me vouvoies, même dans… mon monde, comme tu le dis, c’est une incongruité, peut-être plus encore de la part d’un… excuse le terme… d’un escort. Question de contexte, bien sûr, mes parents se – et me – vouvoyaient, mais je ne me souviens pas qu’en cinquante ans de vie sexuelle active, enfin, si je puis dire active, aucun de mes amants ne l’ait fait."
- Cinquante ? Mais, Martial, vous… tu as…
- Tu comptes bien, j’avais quinze ans, le fils de notre métayer, que j’avais attendu à quatre pattes dans la grange, le pantalon bien plié sur une botte de paille, le cul à l’air. Tiens, maintenant que j’y pense, une glycine de la même couleur grimpait sur la façade, c’est un peu pourquoi j’aime cette auberge, en fait… Un bourrin au final, mais doté d’une bite qui m’avait semblée énorme… Oui, ce mot là, c’est lui qui me l’a appris, initiation à la grossièreté, ce qui m’a toujours excité, j’avoue. Très endurant également, et qui m’a fait réaliser que j’ai la prostate vraiment très sensible et réactive. Avant qu’il m’inonde le rectum, j’avais eu le temps de m’accorder mon classique plaisir, disons, manuel, et d’en découvrir un autre, que j’ai souvent cherché à reproduire, sans toujours trop de succès, et certainement pas avec mon défunt pacsé, ni trop systématiquement lors des récréations que je m’accordais avec tes… collègues. Jusqu’à toi, et un plaisir dont j’avais trop souvent dû faire mon deuil depuis l’abruti de la glycine.
- Oh ! En parlant de deuil, vous… tu n’as jamais dit que tu avais eu un compagnon, il est décédé il y a longtemps ?
- Un mois.
- Mais c’est à peu près quand nous…
- Exactement ! Quatre samedis, quatre cents euros, mais entièrement mérités, je t’assure. Et comprends-moi, je l’ai aimé sincèrement, plus que tous les garçons qui ont partagé mes soirées mis ensemble, mais pour ce qu’il m’en reste, je m’étais dit que la vie continuait, et lorsque j’ai vu ton identifiant sur grindr… Vous avez le même prénom, Joachim, et malgré le principe désormais inévitable de rétribution, du liquide contre… du liquide, j’ai voulu croire que c’était un signe.
- Je t’ai dit que c’est pour vivre et payer mes études… maman ne peut pas, et mon père m’ignore depuis qu’il sait que je suis gay.
- Je le sais, mon garçon, comme là, je soupçonne ta vigueur" a-t-il soufflé, en serrant les doigt sur mon sexe maintenant dressé "et le fait que tu visites certainement d’autres vieilles fesses que les miennes, mais ce week-end est à moi… Hier, tu m’as honoré d’un latex arc-en-ciel, mais j’ai cru repérer un préservatif de sensiblement la même couleur que les fleurs de la façade, voudrais-tu… ?"
Les mains agrippées au châssis de la croisée, le regard probablement perdu sur sa foutue glycine aux souvenirs, Martial a hoqueté lorsque je l’ai pris, avant de pousser un long 'Aaaah' satisfait. J’ai posé une main sur sa nuque et l’autre sur sa queue pour y appliquer la technique brevetée des mouvements synchronisés avec ceux de mon corps dans le sien, lorsque…
A la fenêtre en face, j’ai aperçu un lycéen probablement en terminale, à poil, qui se paluchait sans trop de gêne, exposant un sexe appétissant. J’ai lâché celui de Martial pour pointer un doigt alternativement entre lui et moi, avant de le faire tourner verticalement pour mimer 'ensuite ?' Il a lentement hoché la tête avec un air gourmand sur le visage.
Et quoi que dise Martial de ma vigueur, je pense que je vais profiter de sa sieste post-coït pour compter sur le garçon et, exceptionnellement, explorer – exploser ? – la réactivité de ma propre prostate.
Mais là, mon amant tarifé semblait apprécier le regain d’énergie que cette perspective m’a accordée, son sphincter fatigué palpitait faiblement, il a joui avant moi.
J’ai accompagné ses cinquante kilos encore tremblants vers le matelas, avant de justifier hypocritement de la visite de ce vieux quartier d’Antibes le fait de sortir. J’ai frappé à la porte d’en face, qui s’est ouverte sur le garçon, toujours nu, son sexe toujours bandé. Et peu importait que Martial se soit peut-être ensuite traîné à la fenêtre, il ne m’aurait pas vu dans la chambre d’Axel, nous n’avons jamais dépassé les premières marches de la volée d’escaliers… J’avais omis d’emporter mes artéfacts multicolores, et je me suis trop vite offert aux assauts de l’étudiant qui ne s’est pas donné la peine d’aller en chercher, une erreur de débutant, mais j’y penserai plus tard. Là, mon attention est partagée entre l’équilibre que je tente d’imposer à mes jambes flageolantes et le filet de sa semence qui goutte lentement sur mon boxer tendu entre mes chevilles. Avec peut-être le début… de l’idée… d’une perspective… d’extension des services que mon corps pourrait proposer…
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
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-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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