16-07-2021, 09:55 PM
* 74 *
- N'est-ce pas le secret de l'amour ? C'est un peu comme dans tous les domaines. Pour recevoir, il faut donner. Et en amour, on donne sans compter, ou on n'aime pas, c'est aussi simple que ça.
- Moi aussi je t'aime sans compter.
- J'y compte bien !
C'est en riant que je l'embrasse.
- Tu sais, rien ne t'oblige, je comprendrais, si tu n'aimes pas ça, ce n'est pas grave.
- Non, ça va. Et puis si je te demandais un truc que tu n'aimes pas, tu le ferais pour moi, non ?
- Bien sûr. D'ailleurs, je vais le faire.
- Ah oui ?
Je plonge entre ses fesses pour toute réponse, commençant à jouer de la langue autour de son anus. Ça me trouble vraiment, ce truc, et pourtant, je suis le premier à apprécier de le recevoir de la part de Paul. Comme il le dit, aimer c'est donner sans compter... peut-être devrais-je faire un peu plus d'efforts ? Je ne suis pas certain de la réponse. Ni du fait que je finirais par m'y habituer si je le fais régulièrement.
Je dois être encore un peu trop hétéro dans ma tête. Encore que je ne sais rien. Peut-être ne suis-je pas le seul gay à qui ça ne dit rien ?
Paul, en tout cas, apprécie beaucoup. Je le prépare aussi bien que possible, lui se détendant à fond sous le plaisir que lui procure mes coups de langue. J'en profite pour le lubrifier avant de glisser mon sexe protégé contre l'ouverture. Je maintiens fermement mon sexe - pas question de m'humilier comme avec Bruno, lorsqu'il avait glissé - et le pénètre.
Je suis arrêté par un cri de douleur de mon homme, et me retire.
- Oh, désolé, j'ai pas dû bien te préparer...
Je reprends donc, déposant tellement de salive dans son petit trou si attirant que ça devrait aller tout seul, puis me représente à l'ouverture. Je rentre à fond cette fois, mais il a vraiment mal, et je suis obligé de me retirer à nouveau.
- Je suis désolé, dit-il, mais ça passe pas.
- Bon, on aura essayé, dis-je. Ça va aller ?
- Oui, laisse-moi un peu de temps.
Je lui fais plein de câlins, mais devant mon air déçu, il se lève et me dit d'attendre, se contenant de répondre à mes questions en me disant qu'il allait me faire une surprise. J'attends donc, refermant le verrou derrière lui jusqu'à ce qu'il frappe à la porte. Quelle n'est pas ma surprise en le voyant arriver avec le jeune homme avec qui j'avais fait l'amour ici même juste avant de rencontrer Paul !
- Salut, fait-il.
- Oh, euh, salut ! Euh, Paul ?
- Quand je t'avais repéré ce fameux jour, tu entrais dans une cabine avec lui, pas vrai ?
- Euh, oui, mais...
- Disons que moi aussi je connaissais bien Fabien avant de te rencontrer. C'est un habitué du sauna.
Fabien et Paul s'installent de part et d'autre de moi, qui comprends très bien ce qu'il veut m'offrir.
- T'étais pas obligé, Paul.
- Non, je ne veux pas que tu sois frustré avec moi. Je veux te voir pleinement épanoui.
J'hésite, mais Paul a un argument imparable :
- Et moi aussi, j'aimerais faire quelque chose qui me plairait beaucoup, tu veux bien le faire pour moi ?
Je cède, et commence à caresser Fabien, qui est toujours aussi mignon. Lui et Paul commencent à s'occuper à deux de mon corps, et mon dieu que c'est bon. J'ai toujours été sensible dans le cou et les tétons, et quand deux bouches s'y attaquent en même temps, je gémis de pur bonheur. Je n'ai plus de réticences maintenant, trop chaud pour reculer, et, après avoir préparé mon beau partenaire, et vérifié ma capote, je glisse en lui avec bonheur. Paul a insisté pour que je prenne la position qu'il m'a indiqué, et ses doigts jouent en moi tandis que j'investis Fabien. Je dois bien dire que c'est assez agréable. Mais je comprends tout lorsqu'il se place derrière moi et me pénètre.
- Oooohhh...
Double plaisir. Mes deux hommes restent immobiles, c'est moi qui fais tout le travail, pénétrant et étant pénétré en même temps, gémissant, puis criant, entraîné dans une spirale d'un plaisir inédit, ralentissant quand Paul m'y fait penser, il me fait prendre mon temps, et j'aimerais bien que ça dure le plus longtemps possible, mais malheureusement c'est trop de bonheur pour mon pauvre corps, et je finis par accélérer, porté par un plaisir de plus en plus fort, jusqu'à un orgasme puissant qui me laisse pantelant. Je me laisse tomber sur la couche, un sourire sur le visage, et, répondant par l'affirmative à une demande de Paul, le laisse finir avec Fabien, qui me demande de le sucer en même temps afin de connaître lui aussi ce bonheur. Je prends juste le temps de lui enfiler une capote pendant que Paul patiente, et à nous deux, nous l'envoyons au septième ciel à son tour. Paul a joui également, et nous nous reposons tous les trois un moment, échangeant des baisers, je regarde Paul mais il me fait oui de la tête, j'embrasse Fabien en retour, ça fait un bout de temps que je n'avais pas embrassé un autre mec, mais ça me fait bizarre de le faire sous les yeux de mon homme. Je suis assez étonné de mes réactions, découvrant que je ne suis absolument pas du genre jaloux. Soit, ça fait partie de ma personnalité, et visiblement, Paul est pareil. Décidément, on est fait l'un pour l'autre.
Mais celui-ci embrasse à son tour notre compagnon, et je finis par accepter peu à peu cette extension à trois de notre couple, qui nécessite tout de même un esprit ouvert ! Et une certaine notion du partage. C'est qu'il faut l'accepter, de voir son homme dans les bras d'un autre ! Mais ça va, je ne suis pas jaloux, même si c'est un mec qu'il a bien connu sexuellement parlant
- Merci à vous deux, dit Fabien, c'était vraiment très bon.
- C'est moi qui te remercie, je n'ai jamais joui aussi fort.
Il sourit, Paul aussi.
- Cool, dit-il, je suis vraiment content alors. Vous êtes partants pour remettre ça ?
- Oui, dis-je, et toi Fab ?
- Pas de problème, d'habitude je m'en vais après avoir trouvé mon bonheur, mais ce coup-ci c'est trop bien. Et vous êtes cool tous les deux.
Nous enfilons de nouvelles capotes - je fais particulièrement attention à ce qu'il n'y ait pas de sperme qui aille sur la nouvelle - et nous entamons une nouvelle série de câlins et de caresses.
Je laisse Paul prendre Fabien un petit moment, les regardant prendre du plaisir ensemble, avant de prendre sa place pour remettre ça : je m'enfonce en Fabien à mon tour, tout en m'offrant à mon Paul, et de nouveau, je suis emporté par une vague de plaisir absolument inédite.
Plus tard, après une nouvelle douche, nous nous retrouvons au vestiaire, nous rhabillant - j'ai envie de prendre les vêtements de Fabien, haha ! Mais je me retiens - et nous sortons, Fabien nous propose de prendre un verre, nous acceptons, et avant de nous quitter, il nous offre son numéro de téléphone, nous expliquant que nous sommes les premiers à qui il le fait. Nous acceptons, tout en lui disant que nous ne promettons rien côté sexe, mais que pour l'amitié, pas de souci, au contraire. Il est OK, et nous le voyons partir avec sympathie.
Maintenant que nous sommes seuls, nous discutons entre nous de ce que nous avons vécu.
- Paul, je sais pas quoi dire..
- C'était juste un ptit à-côté exceptionnel, et j'ai eu l'impression que tu as bien aimé.
- Pour ça oui ! J'ai jamais joui aussi fort.
- T'as jamais crié autant non plus, rit Paul.
- Mais j'ai pas vraiment envie de refaire ça, dis-je. J'ai vécu un moment super, mais je préfère être avec toi.
- Pas de souci. Comme je te l'avais dit, c'était exceptionnel. Et tout compte fait, je ne te demanderai plus de faire un truc que t'as pas envie.
- Moi non plus. Je crois qu'en fait c'est plutôt ça, s'aimer.
- Ouais.
- Enfin, si ça reste exceptionnel, c'est d'accord, mais pour le moment, considérons qu'on s'est fait un nouvel ami.
- Pas de souci.
On s'embrasse.
Une séance de cinéma tardive, non loin, nous permet de profiter un peu plus de notre compagnie tout en nous distrayant. Sur le point de nous séparer, j'aborde avec lui un sujet qui me préoccupe.
- Je pense que ça va aller avec mon père, mais le vrai test sera que je te présente à lui. Je pense qu'alors, il va vraiment réaliser. Ça me fait un peu peur...
- Si ça devait mal se passer, ce serait fait depuis longtemps, à mon avis. Laisse-lui le temps de se remettre du choc.
- Oui, tu as raison. Paul, j'ai passé une soirée super. Merci.
- Toutes les soirées qu'on passe ensemble le sont, Jerem.
- C'est bien vrai ! Bonne nuit, mon amour.
- Bonne nuit.
- Ohhh, sont-y pas mignons ?
Nous nous tournons vers la voix. Tous à nous-mêmes, nous n'avions pas fait attention à ce qui nous entourait.
Comme le groupe de skinheads qui s'approche de nous.
- N'est-ce pas le secret de l'amour ? C'est un peu comme dans tous les domaines. Pour recevoir, il faut donner. Et en amour, on donne sans compter, ou on n'aime pas, c'est aussi simple que ça.
- Moi aussi je t'aime sans compter.
- J'y compte bien !
C'est en riant que je l'embrasse.
- Tu sais, rien ne t'oblige, je comprendrais, si tu n'aimes pas ça, ce n'est pas grave.
- Non, ça va. Et puis si je te demandais un truc que tu n'aimes pas, tu le ferais pour moi, non ?
- Bien sûr. D'ailleurs, je vais le faire.
- Ah oui ?
Je plonge entre ses fesses pour toute réponse, commençant à jouer de la langue autour de son anus. Ça me trouble vraiment, ce truc, et pourtant, je suis le premier à apprécier de le recevoir de la part de Paul. Comme il le dit, aimer c'est donner sans compter... peut-être devrais-je faire un peu plus d'efforts ? Je ne suis pas certain de la réponse. Ni du fait que je finirais par m'y habituer si je le fais régulièrement.
Je dois être encore un peu trop hétéro dans ma tête. Encore que je ne sais rien. Peut-être ne suis-je pas le seul gay à qui ça ne dit rien ?
Paul, en tout cas, apprécie beaucoup. Je le prépare aussi bien que possible, lui se détendant à fond sous le plaisir que lui procure mes coups de langue. J'en profite pour le lubrifier avant de glisser mon sexe protégé contre l'ouverture. Je maintiens fermement mon sexe - pas question de m'humilier comme avec Bruno, lorsqu'il avait glissé - et le pénètre.
Je suis arrêté par un cri de douleur de mon homme, et me retire.
- Oh, désolé, j'ai pas dû bien te préparer...
Je reprends donc, déposant tellement de salive dans son petit trou si attirant que ça devrait aller tout seul, puis me représente à l'ouverture. Je rentre à fond cette fois, mais il a vraiment mal, et je suis obligé de me retirer à nouveau.
- Je suis désolé, dit-il, mais ça passe pas.
- Bon, on aura essayé, dis-je. Ça va aller ?
- Oui, laisse-moi un peu de temps.
Je lui fais plein de câlins, mais devant mon air déçu, il se lève et me dit d'attendre, se contenant de répondre à mes questions en me disant qu'il allait me faire une surprise. J'attends donc, refermant le verrou derrière lui jusqu'à ce qu'il frappe à la porte. Quelle n'est pas ma surprise en le voyant arriver avec le jeune homme avec qui j'avais fait l'amour ici même juste avant de rencontrer Paul !
- Salut, fait-il.
- Oh, euh, salut ! Euh, Paul ?
- Quand je t'avais repéré ce fameux jour, tu entrais dans une cabine avec lui, pas vrai ?
- Euh, oui, mais...
- Disons que moi aussi je connaissais bien Fabien avant de te rencontrer. C'est un habitué du sauna.
Fabien et Paul s'installent de part et d'autre de moi, qui comprends très bien ce qu'il veut m'offrir.
- T'étais pas obligé, Paul.
- Non, je ne veux pas que tu sois frustré avec moi. Je veux te voir pleinement épanoui.
J'hésite, mais Paul a un argument imparable :
- Et moi aussi, j'aimerais faire quelque chose qui me plairait beaucoup, tu veux bien le faire pour moi ?
Je cède, et commence à caresser Fabien, qui est toujours aussi mignon. Lui et Paul commencent à s'occuper à deux de mon corps, et mon dieu que c'est bon. J'ai toujours été sensible dans le cou et les tétons, et quand deux bouches s'y attaquent en même temps, je gémis de pur bonheur. Je n'ai plus de réticences maintenant, trop chaud pour reculer, et, après avoir préparé mon beau partenaire, et vérifié ma capote, je glisse en lui avec bonheur. Paul a insisté pour que je prenne la position qu'il m'a indiqué, et ses doigts jouent en moi tandis que j'investis Fabien. Je dois bien dire que c'est assez agréable. Mais je comprends tout lorsqu'il se place derrière moi et me pénètre.
- Oooohhh...
Double plaisir. Mes deux hommes restent immobiles, c'est moi qui fais tout le travail, pénétrant et étant pénétré en même temps, gémissant, puis criant, entraîné dans une spirale d'un plaisir inédit, ralentissant quand Paul m'y fait penser, il me fait prendre mon temps, et j'aimerais bien que ça dure le plus longtemps possible, mais malheureusement c'est trop de bonheur pour mon pauvre corps, et je finis par accélérer, porté par un plaisir de plus en plus fort, jusqu'à un orgasme puissant qui me laisse pantelant. Je me laisse tomber sur la couche, un sourire sur le visage, et, répondant par l'affirmative à une demande de Paul, le laisse finir avec Fabien, qui me demande de le sucer en même temps afin de connaître lui aussi ce bonheur. Je prends juste le temps de lui enfiler une capote pendant que Paul patiente, et à nous deux, nous l'envoyons au septième ciel à son tour. Paul a joui également, et nous nous reposons tous les trois un moment, échangeant des baisers, je regarde Paul mais il me fait oui de la tête, j'embrasse Fabien en retour, ça fait un bout de temps que je n'avais pas embrassé un autre mec, mais ça me fait bizarre de le faire sous les yeux de mon homme. Je suis assez étonné de mes réactions, découvrant que je ne suis absolument pas du genre jaloux. Soit, ça fait partie de ma personnalité, et visiblement, Paul est pareil. Décidément, on est fait l'un pour l'autre.
Mais celui-ci embrasse à son tour notre compagnon, et je finis par accepter peu à peu cette extension à trois de notre couple, qui nécessite tout de même un esprit ouvert ! Et une certaine notion du partage. C'est qu'il faut l'accepter, de voir son homme dans les bras d'un autre ! Mais ça va, je ne suis pas jaloux, même si c'est un mec qu'il a bien connu sexuellement parlant
- Merci à vous deux, dit Fabien, c'était vraiment très bon.
- C'est moi qui te remercie, je n'ai jamais joui aussi fort.
Il sourit, Paul aussi.
- Cool, dit-il, je suis vraiment content alors. Vous êtes partants pour remettre ça ?
- Oui, dis-je, et toi Fab ?
- Pas de problème, d'habitude je m'en vais après avoir trouvé mon bonheur, mais ce coup-ci c'est trop bien. Et vous êtes cool tous les deux.
Nous enfilons de nouvelles capotes - je fais particulièrement attention à ce qu'il n'y ait pas de sperme qui aille sur la nouvelle - et nous entamons une nouvelle série de câlins et de caresses.
Je laisse Paul prendre Fabien un petit moment, les regardant prendre du plaisir ensemble, avant de prendre sa place pour remettre ça : je m'enfonce en Fabien à mon tour, tout en m'offrant à mon Paul, et de nouveau, je suis emporté par une vague de plaisir absolument inédite.
Plus tard, après une nouvelle douche, nous nous retrouvons au vestiaire, nous rhabillant - j'ai envie de prendre les vêtements de Fabien, haha ! Mais je me retiens - et nous sortons, Fabien nous propose de prendre un verre, nous acceptons, et avant de nous quitter, il nous offre son numéro de téléphone, nous expliquant que nous sommes les premiers à qui il le fait. Nous acceptons, tout en lui disant que nous ne promettons rien côté sexe, mais que pour l'amitié, pas de souci, au contraire. Il est OK, et nous le voyons partir avec sympathie.
Maintenant que nous sommes seuls, nous discutons entre nous de ce que nous avons vécu.
- Paul, je sais pas quoi dire..
- C'était juste un ptit à-côté exceptionnel, et j'ai eu l'impression que tu as bien aimé.
- Pour ça oui ! J'ai jamais joui aussi fort.
- T'as jamais crié autant non plus, rit Paul.
- Mais j'ai pas vraiment envie de refaire ça, dis-je. J'ai vécu un moment super, mais je préfère être avec toi.
- Pas de souci. Comme je te l'avais dit, c'était exceptionnel. Et tout compte fait, je ne te demanderai plus de faire un truc que t'as pas envie.
- Moi non plus. Je crois qu'en fait c'est plutôt ça, s'aimer.
- Ouais.
- Enfin, si ça reste exceptionnel, c'est d'accord, mais pour le moment, considérons qu'on s'est fait un nouvel ami.
- Pas de souci.
On s'embrasse.
Une séance de cinéma tardive, non loin, nous permet de profiter un peu plus de notre compagnie tout en nous distrayant. Sur le point de nous séparer, j'aborde avec lui un sujet qui me préoccupe.
- Je pense que ça va aller avec mon père, mais le vrai test sera que je te présente à lui. Je pense qu'alors, il va vraiment réaliser. Ça me fait un peu peur...
- Si ça devait mal se passer, ce serait fait depuis longtemps, à mon avis. Laisse-lui le temps de se remettre du choc.
- Oui, tu as raison. Paul, j'ai passé une soirée super. Merci.
- Toutes les soirées qu'on passe ensemble le sont, Jerem.
- C'est bien vrai ! Bonne nuit, mon amour.
- Bonne nuit.
- Ohhh, sont-y pas mignons ?
Nous nous tournons vers la voix. Tous à nous-mêmes, nous n'avions pas fait attention à ce qui nous entourait.
Comme le groupe de skinheads qui s'approche de nous.
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Série des secrets : One shots La saga d'outremonde (fantastique avec des personnages gays)
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