CHAPITRE CXXVII
''Suus multo melius in mane''
''Suus multo melius in mane''
Comme à son habitude, Burydan se réveilla avant l'aube. Son petit minet était toujours couché sur lui, sa jolie frimousse entre ses deux énormes pectoraux. Burydan commença à caresser tout doucement son petit blond, partant de ses épaules à ses reins, puis ses mains épousèrent le galbe de ses magnifiques petites fesses toutes douces.
Rhonin poussa un long soupir de plaisir en sentant les caresses de son maître. Il leva la tête et deux grands yeux bleus se plantèrent dans ceux, gris, de Burydan.
- Bonjour, maître...
- Salut bébé... bien dormi ?
- Oh oui... vous êtes très confortable... vous êtes chaud, ferme et votre respiration et les battements de votre cœur sont une douce mélopée...
- Mon cœur ne bat que pour toi, mon amour...
- Oh, que c'est beau... et le mien est tout à vous, maître... mon cœur, mon âme et... tout le reste...
Rhonin eut un petit sourire et se tortilla. Il sentit l'érection matinale de son beau mâle contre son ventre et eut envie de la sentir... dans son ventre. Il commençait déjà à couvrir le torse massif de Burydan de gros baisers mouillés quand son maître l'arrêta.
- Pas encore, petit minet lubrique, d'abord exercices. Une petite heure de course et quelques pompes, tractions, etc...
- Oh, maître, j'ai tellement envie d'autre chose... tout aussi physique mais tellement plus agréable...
- Je sais très bien de quoi tu as envie, petit obsédé, et je te promets un sublime cadeau après nos exercices...
- Oh, un cadeau ! Chic alors ! Qu'est-ce que c'est ?
- Tu verras bien... et je t'assure que tu vas adorer...
Ils descendirent. La grande salle était déserte. Ils se dirigèrent vers le parc le plus proche et coururent pendant une petite heure.
- Allez bébé, bouge moi ce joli petit cul... non, pas comme ça petit blondinet lubrique... allez encore un peu de courage...
Ils revinrent dans leur chambre et commencèrent leurs exercices. Et Burydan avait trouvé comment les motiver tous les deux.
Il se déshabilla et déshabilla son petit esclave. Il le fit s'allonger sur le dos, à même le sol. Quelques gros baisers mouillés et quelques coups de langue sur sa belle queue suffirent à faire bander son petit blond comme un gaidaro. Rhonin maintint sa queue bien droite d'une main et Burydan se mit à faire des pompes au dessus de lui. Il enfonçait sa queue dans la bouche chaude de Rhonin tout en prenant sa jolie bite au fond de sa gorge.
Burydan maintenait les pieds de son minet au sol pour les séances d'abdominaux, et il se penchait en avant pour un petit bisou tout tendre à chaque fois que Rhonin se relevait.
Ils étaient ruisselants de sueur quand ils finirent leurs exercices. Et Burydan adorait ça. Le corps humide de son esclave et cette odeur de mâle qui flottait dans la pièce... Il s'approcha de Rhonin, lui caressa tendrement la joue, l'embrassa passionnément, le colla contre son corps brûlant pour lui faire sentir sa phénoménale érection et l'attrapa par les hanches.Il le souleva comme s'il ne pesait rien et le jeta sur le lit.
Il vint se mettre à son côté.
- Écarte les cuisses, bébé...
Rhonin obéit et Burydan commença à caresser l'intérieur de ses cuises en remontant lentement. Il prit les belles petites couilles et les fit tourner dans le creux de sa main. Rhonin gémit.
Burydan prit un oreiller et le glissa, plié en deux, sous les reins de son minet. Il sourit et dit :
- Prêt pour ton cadeau, bébé ?
- Oh oui maître...
Burydan fit sucer son majeur à Rhonin, le suça à son tour et le couvrit d'une bonne couche de salive. Il plongea la main entre ses cuisses et commença à caresser le petit œillet de son blondinet. Il y enfonça son doigt, arrachant un petit couinement à son esclave. Il se pencha en avant et grignota les petits tétons pendant que son doigt allait et venait.
Rhonin geignait. Il adorait ça. Et venait lui même à la rencontre du doigt de son maître. Burydan fouilla son cul et soudain :
- Oh !... Oooh Ouiiiii !
Burydan venait de trouver la petite glande à étincelle de son petit chéri. C'était ça son cadeau. Il le lui faisait seulement de temps en temps pour que ça soit toujours un moment inouï pour son petit blond. Burydan commença à caresser le petite protubérance de chair qui palpitait sous son doigt tout en prenant la bite de Rhonin profondément dans sa gorge.
Rhonin se mit à pousser des petits cris. Le plaisir du doigt de son maître dans son petit cul et de sa bouche chaude autour de sa bite étaient... indicibles. Et il se laissa aller à ce plaisir.
Rhonin jouit intensément. D'abord son cul convulsa sur le doigt de Burydan puis sa bite explosa en un véritable geyser de foutre dans la bouche gourmande de son maître.
Burydan avala tout sans en perdre une goutte, suça Rhonin aussi longtemps que possible pour prolonger son orgasme au maximum, puis sortit la jolie bite de sa bouche. Il la nettoya consciencieusement des dernières traces de sa jouissance et se mit à califourchon au dessus du torse de Rhonin.
- Ouvre la bouche, esclave
Rhonin ouvrit la bouche et tira sa petite langue rose. Ses yeux bleus brillaient et il caressait les cuisses épaisses de son mâle.
- Prêt à recevoir le sperme chaud de ton maître sur ta jolie petite gueule, bébé ? Je sais que tu aimes ça... et moi j'adore voir mon foutre gicler sur toi... maculer ta belle petite frimousse... et te voir te lécher les lèvres pour ne pas en perdre une goutte... oh, bébé, ce que tu m'excites...
Et Burydan jouit comme un dingue, dans un long cri rauque. Son sperme gicla comme de la lave en fusion de sa grosse queue, brûlant agréablement son gland à chaque salve. Il s'écrasa en longue traînées sirupeuse sur le visage, la langue et au fond de la gorge de son minet. Rhonin avala tout et se lécha les lèvres. Burydan sourit et, avant même d'avoir reprit son souffle, il se pencha et lécha son propre foutre sur le visage de Rhonin avant de l'emballer à pleine bouche.
Il se recouchèrent et se caressèrent pendant deux heures. Deux heures de caresses sensuelles et de baisers brûlants.
Passage dans la salle d'eau. Ils se lavèrent mutuellement avec application et s'habillèrent.
- Prêt, bébé ?
- Prêt maître...
- Tant mieux. Petit déjeuner, surtout pour toi, ventre sur pattes, et visite de la plus belle et plus grande ville de Genesia. Et si tu ne te plains pas que nous marchons trop, qu'il fait trop chaud, ou ce genre de choses, je te promets une fabuleuse partie de jambes en l'air ce soir... tu verras, tu imploreras ma clémence...
Rhonin eut un grand sourire et après un baiser torride, ils descendirent.