07-07-2021, 07:52 PM
Quatrième scout,
Sylvain s’approcha lentement. Le captif promis était bien là, prêt à subir les supplices d’un bourreau, un bandeau sur les yeux l'empêchant de voir autour de lui, attaché par les mains en hauteur, dos au poteau de torture…
en fait, un arbre isolé au milieu d’une petite clairière, dans les champs et à dix minutes de marche de la prairie accueillant le camp d’été. Petit raffinement imaginé par le chef Xavier pour bizuter les nouveaux pionniers avant qu’ils ne renouvellent leur Promesse en prononçant leur Engagement.
À la base, simple épreuve de mise en condition, rien à voir avec cette présence opportuniste !
Qu'il avait l'air mignon, ce grand garçon ! De taille moyenne, blond, les
cheveux bouclés, le visage imberbe, des jambes dépourvues de toute pilosité.
Vraiment tout ce que Sylvain aimait. Il n'était vêtu que d'une chemisette rouge, flottante et, par-dessous, d'un bermuda de style militaire bleu marine. Quel âge pouvait-il avoir. Quinze ans, seize ?
Il le saurait le soir même, quand il retrouverait le CP chez lui. Xavier avait respecté une fois encore les termes de leur contrat tacite. Il avait environ une heure devant lui, largement le temps de
profiter de l’ado. Il s'approcha encore, jusqu'à en être tout proche.
Sentant une présence, le garçon sursauta, avant d'interroger.
- Il.. il y a quelqu'un ?
- Oh oui, murmura l’arrivant en modifiant sa voix. La fée… Licité, vient te voir.
- Quoi ??? Une fée ?...
- Oui mon gars. Et elle vient te faire plaisir.
- Me faire plaisir ? Comment ça ?
Le garçon, interdit, tournait la tête vers Sylvain, bien sûr sans le voir.
Celui-ci, lentement, posa une main sur la joue gauche de l'adolescent, avant de
descendre lentement le long du torse, puis la hanche. Le garçon, dans l’attente, ne disait plus rien.
- Comme ça, par exemple ! finit par répondre Sylvain, posant directement
une main sur le bas-ventre du garçon, qui sursauta vivement.
- Oh, non, non, pas ça... oh, il ne faut pas, non, laissez-moi, s'il vous plait, laissez-moi tranquille.
Il y avait dans sa voix un mélange de peur, d'anxiété, d'inquiétude et… d’incertitude quant à la réaction à avoir, ne sachant si c’était lier à l’épreuve ou non. Il essaya
vainement de se soustraire à cet attouchement on ne peut plus direct, se
tordant dans tous les sens. Sans pour autant crier au secours – inutile de toutes façons, vu l’isolement.
- Mais laisses-toi donc faire, grand couillon, c'est pour ton bien que je
te fais ça... d'ailleurs, j'ai comme l'impression qu'il se passe quelque chose par-là, sous mes doigts. Hum.... Tu dis non mais ta quéquette a l'air d'apprécier ma main, à
ce que je sens....
Le garçon était devenu écarlate sous son bandeau. Il tremblait de tous ses membres pendant que l’excroissance prenait de l’ampleur sous la braguette.
- Oh, laissez-moi... c'est mal ce que vous faites.... Laissez-moi...
Changeant soudain de cible, l’homme remonta ses mains sur la chemisette et la déboutonna en deux secondes, écartant les pans au plus loin, ensuite les doigts glissant sur la peau lisse et chaude, du cou vers le torse puis vers les seins. Il trouva facilement les tétons
saillants. De l'index et du pouce,
il tritura les mamelons, les pointes légèrement rigides. Le jeune garçon,
surpris par cette agréable caresse, frémissait, sursautait. Visiblement cet
attouchement ne le laissait pas insensible. Il renouvela ses protestations, mollement :
- Non, s'il vous plait, arrêtez, arrêtez...
Mais Sylvain, loin de le laisser tranquille, au contraire, redescendit sa
main, pour caresser la bosse maintenant bien visible sous le tissu du
bermuda. Puis, brusquement, d'un geste exercé, il défit les boutons de
celui-ci, le faisant glisser aux genoux, puis tombé aux chevilles. Le caleçon subit le même traitement, descendu des deux mains. Le tourmenteur dévoila le sexe dressé du captif, si tendu qu'il restait plaqué contre le ventre pourvu d’une touffète de poils blonds. Pour son âge, le pénis du garçon était de belle taille, épais à la base, plus effilé à son extrémité. Prépucé, seul le bout du gland était découvert, visible, de couleur violacé.
L’homme poursuivit immédiatement ses attouchements, caressant d'une main
les bourses – ramassées et de belles tailles - flattant de l'autre le membre dressé, découvrant et recouvrant la pointe effilée. Le garçon continuait de protester faiblement :
- Arrêtez, arrêtez, je ne veux pas, non... Ah !... Aaah !....
Visiblement, ce que l’inconnu lui faisait ne lui déplaisait pas. Mais sa
pudeur naturelle l'empêchait de l'avouer. Le jeune adulte, soudain, se releva,
se recula. Il observa le jeune garçon bandant, frémissant, dans l'attente de
ce qu'il allait lui faire. Sortant un petit appareil photo de sa poche, il
se mit à mitrailler le corps du bel adolescent, passant de plans larges à des vues très rapprochées. Xavier allait être content, lui qui appréciait tellement ce genre de photos. L'appareil, silencieux, ne permettait pas au garçon de
réaliser ce qu'était en train de faire son tourmenteur, qui rangea ensuite
soigneusement l'appareil, avant de s'agenouiller devant l'adolescent.
Quand il posa les lèvres sur l'extrémité du pénis, le garçon sursauta,
frémit. Sylvain se contenta d'abord d'emboucher seulement l'extrémité de la prune violacée, pointant la langue dans le méat entrouvert. Puis, lèvres
toujours serrant le gland, il découvrit celui-ci en tirant lentement la peau
de la verge en arrière, faisant glisser sa langue autour de la corolle
épanouie, titillant le frein sensible.
Le jeune homme ne savait pas combien de temps le garçon allait résister à ses
lèvres.
Il repensa en un éclair aux autres garçons qu'il avait initié aux délices
de la chair. Il en avait vu de tous les genres, depuis le début de ses ‘‘rites de passage’’.
Certains garçons ne bandaient pas, ou trop peu, en raison du stress, d'autres ne jouissaient pas, malgré une érection des plus vigoureuses, certains au contraire très – trop - vite. Mais Sylvain avait peaufiné sa technique et à présent, tous jouissaient leur crème d’ado aux hormones en folie, en des spermations plus ou moins abondantes, plus ou moins consistantes, plus ou moins puissantes. Il n'y avait pas deux garçons identiques. Même le goût de chaque sperme était différent.
Sylvain aimait bien savourer
chacune de ces liqueurs parfumées et encore inconnues de ses papilles.
Rien à voir avec ce que Xavier allait lui envoyer au fond de la gorge le soir même, une fois qu'il l'aura bien sucé - une fois de plus - après qu'il lui aura tout
raconté.... en détail.
Le garçon se mit soudain à gémir, vaincu. Son membre se durcit encore un peu plus.
- Oh Mec, je vais... je vais...
- Allez, mon gars, laisse-toi aller, murmura l’assaillant.
Interrompant quelques secondes sa fellation, regardant le membre ultra-rigide et palpitant comme baguette de sourcier.
Une larme blanchâtre apparut à l'extrémité du gland. Ce n'était pas
le moment d'en perdre. Il engloutit immédiatement le membre en bouche jusqu'à la base. Le garçon se mit à gémir longuement, le corps agité de soubresauts.
Encore un rapide, constata Sylvain, un peu trop rapide même... surement un puceau ou un gay qui s’ignore !
Mais le gourmand savait qu'à cet âge, les garçons peuvent récupérer très
vite. D'autant plus que la verge, dans sa bouche, ne mollissait absolument pas.
Il continua donc à faire glisser l'anneau de ses lèvres le long de la
colonne de chair, le suçant doucement, dégustant les derniers jets au goût de
noisette qui avait bouillonné contre son palais, puis sur sa langue. Sylvain savoura ce sperme un bon moment, avalant finalement le mélange mousseux de sperme et de salive qui emplissait sa bouche.
Quand il libéra le pénis adolescent, celui-ci se redressa immédiatement,
brillant de salive, le gland restant maintenant découvert. Le jeune adulte n’attendit pas qu'il se recroqueville.
Il se retourna, dégrafa son short – seul vêtement, avec ses baskets - qui glissa
à ses pieds. Il l'envoya promener d'un coup de pied un peu plus loin, avant
de se pencher en avant, puis de se reculer lentement, jusqu'à ce que ses fesses soient en contact du bas ventre du garçon. D'une main glissée par derrière, il s'empara du membre viril, l'abaissa à l'horizontal. Habilement, il pointa celui-ci entre ses fesses préalablement graissées, avant de se reculer un peu plus, introduisant la tête de l’ogive en lui. Cette fois, il donna un franc coup de rein, l’enfichant totalement en lui. Il y eu un petit chuintement humide lorsque ses fesses butèrent contre le
pubis du garçon, qui se mit à nouveau à gémir.
- Non... nonnnnn ! Oh, qu'est-ce que tu fais, oh !... oh !.... Ahhhh !..... Il ne faut pas !
.
Mais Sylvain, sans se soucier de ses protestations – peu convaincantes - s'était mis à avancer, puis à reculer d'un petit mouvement sec, renouvelant ce traitement de plus en plus vite. Il savait que le garçon n'allait pas jouir tout de suite. Glissant
une main entre ses jambes écartées, il trouva son chibre depuis longtemps
érigé, le gland noyé dans une mouille abondante. Son sexe était brûlant, vibrant, bavant, gluant.
Chaque allée et venue du rondin dans son fondement lui donnait des élancements de plaisir. Il n'osait pas trop toucher son mandrin, de peur de jouir trop
vite. Il voulait faire durer son plaisir le plus possible. Bientôt ses
gémissements se mêlèrent à ceux de l'adolescent. Plusieurs fois, s'avançant un peu trop, la verge glissait hors de la cavité chaude et tendre de son boyau.
D'un geste adroit il s'enfourchait à nouveau, serrant ses muscles internes,
faisant pousser à l'adolescent un nouveau râle de plaisir. D’ailleurs, son bassin s’était joint au mouvement et ses « non ! » étaient devenus « oui ! »
Quand celui-ci, au
bout d'un bon quart d'heure de cette douce torture, se mit à haleter, à se tendre dans un second
orgasme, tapissant ses entrailles. Sylvain n'eut qu'à frôler son propre sexe pour ressentir les effets d'un
orgasme intense, fulgurant, crachant de longs jets de foutre dans l’herbe, ce qui le tétanisa un moment, bouche ouverte, yeux révulsés, laissant échapper une longue succession de râles rauques.
Il laissa le plaisir continuer à ravager ses entrailles quelques instants,
toujours soudée au jeune garçon en plein pamoison.
Quand, un moment plus tard, il s'avança, le garçon commençait à
débander, la verge poisseuse, brillante au soleil déclinant. Lessivé, anéanti par ce qui s'était passé, le corps en sueur, retenu par ses liens qui l’empêchait de tomber au sol, le garçon ne disait plus rien… un sourire béat sur sa frimousse !
Sylvain se rhabilla rapidement, avant de remonter caleçon et bermuda le long des jambes de l'adolescent. Il ne l'essuya même pas. Le garçon allait garder quelques heures durant le souvenir poisseux de sa jouissance volée… mais phénoménale !
Trois quarts d'heure... Il était dans les temps. Il serait déjà rentrée chez lui, lorsque les autres garçons arriveraient avec Xavier dans la clairière.
…
Dans quelques instants la cérémonie le ‘libérant’ de son statut d’éclaireurs allait commencer... et comme les autres, ils ne parlera pas de son ‘viol’ !
Au demeurant, très agréable et lui ayant laissé des envies de recommencer… même avec un garçon, il avait fini par le comprendre !
…
Chance, ce camp durait encore une quinzaine, avant celui du mois d’août… et, Sylvain, le jeune aumônier de la paroisse, avait encore bien des goupillons à essayer d’ici la fin de l’été !
Sylvain s’approcha lentement. Le captif promis était bien là, prêt à subir les supplices d’un bourreau, un bandeau sur les yeux l'empêchant de voir autour de lui, attaché par les mains en hauteur, dos au poteau de torture…
en fait, un arbre isolé au milieu d’une petite clairière, dans les champs et à dix minutes de marche de la prairie accueillant le camp d’été. Petit raffinement imaginé par le chef Xavier pour bizuter les nouveaux pionniers avant qu’ils ne renouvellent leur Promesse en prononçant leur Engagement.
À la base, simple épreuve de mise en condition, rien à voir avec cette présence opportuniste !
Qu'il avait l'air mignon, ce grand garçon ! De taille moyenne, blond, les
cheveux bouclés, le visage imberbe, des jambes dépourvues de toute pilosité.
Vraiment tout ce que Sylvain aimait. Il n'était vêtu que d'une chemisette rouge, flottante et, par-dessous, d'un bermuda de style militaire bleu marine. Quel âge pouvait-il avoir. Quinze ans, seize ?
Il le saurait le soir même, quand il retrouverait le CP chez lui. Xavier avait respecté une fois encore les termes de leur contrat tacite. Il avait environ une heure devant lui, largement le temps de
profiter de l’ado. Il s'approcha encore, jusqu'à en être tout proche.
Sentant une présence, le garçon sursauta, avant d'interroger.
- Il.. il y a quelqu'un ?
- Oh oui, murmura l’arrivant en modifiant sa voix. La fée… Licité, vient te voir.
- Quoi ??? Une fée ?...
- Oui mon gars. Et elle vient te faire plaisir.
- Me faire plaisir ? Comment ça ?
Le garçon, interdit, tournait la tête vers Sylvain, bien sûr sans le voir.
Celui-ci, lentement, posa une main sur la joue gauche de l'adolescent, avant de
descendre lentement le long du torse, puis la hanche. Le garçon, dans l’attente, ne disait plus rien.
- Comme ça, par exemple ! finit par répondre Sylvain, posant directement
une main sur le bas-ventre du garçon, qui sursauta vivement.
- Oh, non, non, pas ça... oh, il ne faut pas, non, laissez-moi, s'il vous plait, laissez-moi tranquille.
Il y avait dans sa voix un mélange de peur, d'anxiété, d'inquiétude et… d’incertitude quant à la réaction à avoir, ne sachant si c’était lier à l’épreuve ou non. Il essaya
vainement de se soustraire à cet attouchement on ne peut plus direct, se
tordant dans tous les sens. Sans pour autant crier au secours – inutile de toutes façons, vu l’isolement.
- Mais laisses-toi donc faire, grand couillon, c'est pour ton bien que je
te fais ça... d'ailleurs, j'ai comme l'impression qu'il se passe quelque chose par-là, sous mes doigts. Hum.... Tu dis non mais ta quéquette a l'air d'apprécier ma main, à
ce que je sens....
Le garçon était devenu écarlate sous son bandeau. Il tremblait de tous ses membres pendant que l’excroissance prenait de l’ampleur sous la braguette.
- Oh, laissez-moi... c'est mal ce que vous faites.... Laissez-moi...
Changeant soudain de cible, l’homme remonta ses mains sur la chemisette et la déboutonna en deux secondes, écartant les pans au plus loin, ensuite les doigts glissant sur la peau lisse et chaude, du cou vers le torse puis vers les seins. Il trouva facilement les tétons
saillants. De l'index et du pouce,
il tritura les mamelons, les pointes légèrement rigides. Le jeune garçon,
surpris par cette agréable caresse, frémissait, sursautait. Visiblement cet
attouchement ne le laissait pas insensible. Il renouvela ses protestations, mollement :
- Non, s'il vous plait, arrêtez, arrêtez...
Mais Sylvain, loin de le laisser tranquille, au contraire, redescendit sa
main, pour caresser la bosse maintenant bien visible sous le tissu du
bermuda. Puis, brusquement, d'un geste exercé, il défit les boutons de
celui-ci, le faisant glisser aux genoux, puis tombé aux chevilles. Le caleçon subit le même traitement, descendu des deux mains. Le tourmenteur dévoila le sexe dressé du captif, si tendu qu'il restait plaqué contre le ventre pourvu d’une touffète de poils blonds. Pour son âge, le pénis du garçon était de belle taille, épais à la base, plus effilé à son extrémité. Prépucé, seul le bout du gland était découvert, visible, de couleur violacé.
L’homme poursuivit immédiatement ses attouchements, caressant d'une main
les bourses – ramassées et de belles tailles - flattant de l'autre le membre dressé, découvrant et recouvrant la pointe effilée. Le garçon continuait de protester faiblement :
- Arrêtez, arrêtez, je ne veux pas, non... Ah !... Aaah !....
Visiblement, ce que l’inconnu lui faisait ne lui déplaisait pas. Mais sa
pudeur naturelle l'empêchait de l'avouer. Le jeune adulte, soudain, se releva,
se recula. Il observa le jeune garçon bandant, frémissant, dans l'attente de
ce qu'il allait lui faire. Sortant un petit appareil photo de sa poche, il
se mit à mitrailler le corps du bel adolescent, passant de plans larges à des vues très rapprochées. Xavier allait être content, lui qui appréciait tellement ce genre de photos. L'appareil, silencieux, ne permettait pas au garçon de
réaliser ce qu'était en train de faire son tourmenteur, qui rangea ensuite
soigneusement l'appareil, avant de s'agenouiller devant l'adolescent.
Quand il posa les lèvres sur l'extrémité du pénis, le garçon sursauta,
frémit. Sylvain se contenta d'abord d'emboucher seulement l'extrémité de la prune violacée, pointant la langue dans le méat entrouvert. Puis, lèvres
toujours serrant le gland, il découvrit celui-ci en tirant lentement la peau
de la verge en arrière, faisant glisser sa langue autour de la corolle
épanouie, titillant le frein sensible.
Le jeune homme ne savait pas combien de temps le garçon allait résister à ses
lèvres.
Il repensa en un éclair aux autres garçons qu'il avait initié aux délices
de la chair. Il en avait vu de tous les genres, depuis le début de ses ‘‘rites de passage’’.
Certains garçons ne bandaient pas, ou trop peu, en raison du stress, d'autres ne jouissaient pas, malgré une érection des plus vigoureuses, certains au contraire très – trop - vite. Mais Sylvain avait peaufiné sa technique et à présent, tous jouissaient leur crème d’ado aux hormones en folie, en des spermations plus ou moins abondantes, plus ou moins consistantes, plus ou moins puissantes. Il n'y avait pas deux garçons identiques. Même le goût de chaque sperme était différent.
Sylvain aimait bien savourer
chacune de ces liqueurs parfumées et encore inconnues de ses papilles.
Rien à voir avec ce que Xavier allait lui envoyer au fond de la gorge le soir même, une fois qu'il l'aura bien sucé - une fois de plus - après qu'il lui aura tout
raconté.... en détail.
Le garçon se mit soudain à gémir, vaincu. Son membre se durcit encore un peu plus.
- Oh Mec, je vais... je vais...
- Allez, mon gars, laisse-toi aller, murmura l’assaillant.
Interrompant quelques secondes sa fellation, regardant le membre ultra-rigide et palpitant comme baguette de sourcier.
Une larme blanchâtre apparut à l'extrémité du gland. Ce n'était pas
le moment d'en perdre. Il engloutit immédiatement le membre en bouche jusqu'à la base. Le garçon se mit à gémir longuement, le corps agité de soubresauts.
Encore un rapide, constata Sylvain, un peu trop rapide même... surement un puceau ou un gay qui s’ignore !
Mais le gourmand savait qu'à cet âge, les garçons peuvent récupérer très
vite. D'autant plus que la verge, dans sa bouche, ne mollissait absolument pas.
Il continua donc à faire glisser l'anneau de ses lèvres le long de la
colonne de chair, le suçant doucement, dégustant les derniers jets au goût de
noisette qui avait bouillonné contre son palais, puis sur sa langue. Sylvain savoura ce sperme un bon moment, avalant finalement le mélange mousseux de sperme et de salive qui emplissait sa bouche.
Quand il libéra le pénis adolescent, celui-ci se redressa immédiatement,
brillant de salive, le gland restant maintenant découvert. Le jeune adulte n’attendit pas qu'il se recroqueville.
Il se retourna, dégrafa son short – seul vêtement, avec ses baskets - qui glissa
à ses pieds. Il l'envoya promener d'un coup de pied un peu plus loin, avant
de se pencher en avant, puis de se reculer lentement, jusqu'à ce que ses fesses soient en contact du bas ventre du garçon. D'une main glissée par derrière, il s'empara du membre viril, l'abaissa à l'horizontal. Habilement, il pointa celui-ci entre ses fesses préalablement graissées, avant de se reculer un peu plus, introduisant la tête de l’ogive en lui. Cette fois, il donna un franc coup de rein, l’enfichant totalement en lui. Il y eu un petit chuintement humide lorsque ses fesses butèrent contre le
pubis du garçon, qui se mit à nouveau à gémir.
- Non... nonnnnn ! Oh, qu'est-ce que tu fais, oh !... oh !.... Ahhhh !..... Il ne faut pas !
.
Mais Sylvain, sans se soucier de ses protestations – peu convaincantes - s'était mis à avancer, puis à reculer d'un petit mouvement sec, renouvelant ce traitement de plus en plus vite. Il savait que le garçon n'allait pas jouir tout de suite. Glissant
une main entre ses jambes écartées, il trouva son chibre depuis longtemps
érigé, le gland noyé dans une mouille abondante. Son sexe était brûlant, vibrant, bavant, gluant.
Chaque allée et venue du rondin dans son fondement lui donnait des élancements de plaisir. Il n'osait pas trop toucher son mandrin, de peur de jouir trop
vite. Il voulait faire durer son plaisir le plus possible. Bientôt ses
gémissements se mêlèrent à ceux de l'adolescent. Plusieurs fois, s'avançant un peu trop, la verge glissait hors de la cavité chaude et tendre de son boyau.
D'un geste adroit il s'enfourchait à nouveau, serrant ses muscles internes,
faisant pousser à l'adolescent un nouveau râle de plaisir. D’ailleurs, son bassin s’était joint au mouvement et ses « non ! » étaient devenus « oui ! »
Quand celui-ci, au
bout d'un bon quart d'heure de cette douce torture, se mit à haleter, à se tendre dans un second
orgasme, tapissant ses entrailles. Sylvain n'eut qu'à frôler son propre sexe pour ressentir les effets d'un
orgasme intense, fulgurant, crachant de longs jets de foutre dans l’herbe, ce qui le tétanisa un moment, bouche ouverte, yeux révulsés, laissant échapper une longue succession de râles rauques.
Il laissa le plaisir continuer à ravager ses entrailles quelques instants,
toujours soudée au jeune garçon en plein pamoison.
Quand, un moment plus tard, il s'avança, le garçon commençait à
débander, la verge poisseuse, brillante au soleil déclinant. Lessivé, anéanti par ce qui s'était passé, le corps en sueur, retenu par ses liens qui l’empêchait de tomber au sol, le garçon ne disait plus rien… un sourire béat sur sa frimousse !
Sylvain se rhabilla rapidement, avant de remonter caleçon et bermuda le long des jambes de l'adolescent. Il ne l'essuya même pas. Le garçon allait garder quelques heures durant le souvenir poisseux de sa jouissance volée… mais phénoménale !
Trois quarts d'heure... Il était dans les temps. Il serait déjà rentrée chez lui, lorsque les autres garçons arriveraient avec Xavier dans la clairière.
…
Dans quelques instants la cérémonie le ‘libérant’ de son statut d’éclaireurs allait commencer... et comme les autres, ils ne parlera pas de son ‘viol’ !
Au demeurant, très agréable et lui ayant laissé des envies de recommencer… même avec un garçon, il avait fini par le comprendre !
…
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Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
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