CHAPITRE CXXVI
''Carne vocanti''
''Carne vocanti''
Burydan regarda Rhonin s'affairer. Il se déshabilla et s'assit sur le lit, le dos appuyé contre le mur.
Quand Rhonin eut fini de ranger leurs affaires, il se retourna et émit un petit :
- Oh !
en voyant son maître. Il n'avait plus que son sous-vêtement et le regardait intensément.
- Déshabille toi esclave...
- Oui maître...
Rhonin se dévêtit... lentement... très lentement... et il voyait son beau mâle se caresser la bite à travers la fine étoffe au fur et à mesure qu'il s'effeuillait. Et sa bite était gonflée comme jamais...
Rhonin s'apprêtait à enlever son sous-vêtement, dernier morceau de tissu qui cachait encore son corps, quand Burydan lui dit :
- Non... garde le... viens...
Rhonin monta sur le lit et s'assit sur les cuisses épaisses de son étalon. Burydan caressa lentement ses cuisses, ses hanches, ses flancs, ses épaules, ses reins, son dos. Rhonin frissonna sous ces caresses et se pencha vers son maître.
Leurs bouches se frôlèrent furtivement, puis se butinèrent. Burydan lécha les lèvres de Rhonin et glissa sa langue dans la bouche de son minet. Ils s'embrassèrent passionnément pendant que Burydan glissait ses doigts sous la fine étoffe et prenait les fesses de Rhonin à pleine main.
Burydan fit s'asseoir son blondinet entre ses cuisses, l'attirant à lui pour qu'il pose son petit dos contre le torse puissant de son maître. Burydan reprit ses caresses du côté face cette fois. D'une main il caressait le ventre tout doux et de l'autre il agaçait les petits tétons roses, les faisant gonfler et durcir. Il embrassa Rhonin dans le cou et remonta lentement pour grignoter sa mignonne petite oreille. Rhonin émit un long gémissement, il adorait ça...
L'un des bras de Burydan serra son petit minet un peu plus fort contre lui. Rhonin tourna la tête, ses yeux réclamant un baiser, que son maître s’empressa de lui donner. Un baiser passionné, sensuel et mouillé, comme ils les aimaient. Il rompit le baiser, caressa les lèvres douces de son petit blond, et l'embrassa de nouveau. Une de ses mains se glissa dans le sous-vêtement de Rhonin et caressa sa jolie bite bien dure. Rhonin gémit, gémissement étouffé par la langue de Burydan.
Burydan s'amusa ainsi un petit moment : caresses, grignotage d'oreilles, baisers brûlants. Il glissait quant et quant sa main dans le sous-vêtement de Rhonin pour caresser sa queue ou ses couilles, ou se contentait de plaquer la fine étoffe pour en voir le contour.
Il libéra enfin la bite de son minet de son carcan de tissu, la prit dans son poing et commença à le masturber lentement. Il branlait Rhonin tout en l'embrassant comme un perdu.
- Lève toi, dit Burydan après un petit moment, et allonge toi sur le lit... sur le ventre...
Rhonin se coucha. Burydan le débarrassa du dernier morceau qui masquait encore sa nudité et le regarda. Ce blondinet avait vraiment le plus beau cul que Burydan ait jamais vu.
Burydan caressa les deux globes charnus, puis se pencha pour les embrasser, les lécher et les mordiller. Il les écarta tout doucement. Vue en gros plan sur le petit œillet qui palpitait. Burydan saliva abondamment et se jeta sur lui.
Rhonin feula en sentant la langue baveuse de son maître. Et il se mit à gémir à chaque lapement :
- Oh oui maître... oh c'est bon... c'est bon ce que vous me faites, maître... oh oui, léchez moi maître, j'ai la chatte en feu... oh mes dieux !
Burydan le lapa encore et encore. Il se recula, enfonça son majeur dans le petit cul offert, Rhonin gémit un peu plus fort, Burydan retira son doigt et repartit à son léchage.
Rhonin était en transe et gémissait pratiquement en continu. Burydan releva la tête d'entre ses fesses et dit :
- J'adore te bouffer la chatte, bébé...
- Et j'adore sentir votre langue ouvrir mon petit cul, maître.
- Mets toi à quatre pattes...
Burydan se mit à genoux sur le lit et abaissa son sous-vêtement. Sa bite jaillit, dure, raide et décalottée, son gland joufflu s'épanouissant dans toutes ses dimensions replètes.
- Suce la grosse bite de ton maître, esclave.
Rhonin ouvrit grand la bouche et suça la grosse queue. Il suçotait le gland comme un beau fruit mûr, prenait Burydan en gorge profonde, encore et encore. Il plantait ses yeux bleus luisant de plaisir dans les yeux gris de son maître. Burydan poussait des gémissements rauques entrecoupés de :
- Oh oui ! Oh putain ! Qu’est-ce que tu suces bien, bébé ! Vas-y, prends la bien à fond ! Oui, continue, empiffre toi, je veux sentir mon gland au fond de ta gorge ! Oh oui, je veux t'étouffer avec ma grosse bite ! T'aimes ça, hein, t'aimes sucer ma grosse queue ?!
Rhonin suçait son mâle comme un malade, mais, apparemment, ce n'était pas encore assez pour rassasier les appétits de Burydan. Celui-ci saisit la tête de Rhonin entre ses mains, le maintint ainsi, et lui baisa la bouche. Il s'enfonçait en lui, restait ainsi un petit moment et ressortait sa grosse queue quand Rhonin commençait à s'étouffer. Il la ressortait entièrement, la regardait toute dégoulinante de salive et adorait voir un filet de bave partant de son gland poisseux à la bouche écumeuse de Rhonin.
- Allonge toi sur le ventre... écarte les cuisses... oui, bon garçon...
Burydan se jeta de nouveau sur le magnifique petit cul de son blondinet. Il écarta de nouveau les belles petites fesses toutes douces et se mit à laper son petit trou encore plus fougueusement. Il enfonçait sa langue aussi loin que possible, la remplaçait par ses doigts, avant de la lui enfoncer de nouveau.
- Mmmm mmmm, dit Rhonin.
Burydan releva les yeux et vit que Rhonin était en train de mordre l'oreiller. Burydan le tira par les cheveux et dit, d'une voix rauque :
- Mords pas l'oreiller, esclave, j'aime trop t'entendre gémir...
Rhonin lâcha donc l'oreiller et se mit à pousser des petits cris en empoignant les draps.
Burydan avait enfoncer trois doigts dans le petit cul de son minet, les faisant aller et venir, préparant son blondinet à recevoir sa grosse bite. Il la fit claquer contre ses fesses pour lui montrer à quel point elle était dure.
- Je vais te faire l'amour, bébé... Je vais te faire l’amour comme un perdu jusqu'à ce que tu implores ma clémence... je vais te faire l'amour parce que tu m'aimes et que j'aime que tu m'aimes... je vais te faire l’amour parce que je t’aime et que j'aime t’aimer... je vais te faire jouir, bébé... je vais nous faire jouir... mets toi à quatre pattes mon amour...
Burydan appuya doucement son gland dodu contre le petit trou entrouvert de son minet et poussa. Le muscle ne fit même pas mine de résister. Burydan s'enfonça en Rhonin lentement, morceau par morceau, pouce par pouce. Rhonin émit un long gémissement en sentant la grosse bite de son maître le pénétrer et un plaintif :
- Oh mes dieux !
quand le bas ventre de Burydan s'écrasa contre ses fesses bien rebondies.
Burydan resta planté en lui, appréciant la douceur et l'étroitesse de son fourreau, et adorant sentir la chaleur de son ventre tout autour de sa queue. Il poussa entre les omoplates de son blondinet pour qu'il se cambre et commença à aller et venir en lui.
Rhonin gémit. Son maître était en train de le limer avec douceur et il adorait ça. Sa grosse queue qui le remplissait déclenchait en lui des sensations indicibles. Mais il en voulait plus. Il voulait que son maître le prenne aussi fougueusement que possible. Et il commença à se tortiller comme une petit salope, venant lui-même à la rencontre de la grosse bite de son étalon.
Burydan se figea. Il voyait Rhonin s'empaler lui-même sur sa queue. Il sourit.
- Oui, vas-y bébé... t'aimes ça, hein... tu frétilles comme un clébard en chaleur... ce que j'aime quand tu fais ta petite salope... empale toi bien sur ma queue ma jolie petite chienne lubrique...
Et Rhonin, grisé par les paroles salaces de son maîtres, s'empala sur sa queue en gémissant encore plus fort.
Burydan varia les rythmes et la profondeur des coups de reins, puis il fit s’allonger Rhonin sur le lit. Il s'allongea sur lui et le pilonna, le martela en prenant appui sur ses bras musclés. Rhonin gémissait presque en continu et Burydan sentait l'orgasme se rapprocher. Il se retira du petit cul chaud et, sans laisser à Rhonin un instant de répit, il le prit en petite cuillère, enserrant son torse d'un bras pendant qu'il le branlait de sa main libre. Rhonin écarta largement les jambes pour accueillir son beau mâle aussi profondément que possible.
Burydan se coucha sur le dos et dit :
- Viens, esclave, viens t'empaler sur ton maître...
Et Rhonin s'empala sur lui, prenant sa grosse bite aussi profondément que possible, en prenant appui sur les énormes pectoraux de son étalon qu'il chevaucha comme un malade.
Ils changèrent ainsi de positions pour retarder le plaisir ultime le plus longtemps possible.
Rhonin était en transe et à bout de souffle, Burydan ruisselait de sueur et avait la respiration chaotique. Il se mit à genoux, attira Rhonin contre lui et l'empala sur sa grosse bite.
- Branle toi, bébé, branle toi !
Rhonin saisit sa queue et se mit à se branler frénétiquement. Burydan posa les mignons petits pieds de son blondinet contre ses pecs et en saisit un pour le lécher comme un dingue avant de suçoter les petits orteils. Rhonin gémit un peu plus fort et, dans un râle d'agonie, son cul convulsa sur la bite de Burydan et il jouit intensément. Un jet de foutre l'atteignit en plein visage, un autre au menton, plusieurs autres striant son torse et son ventre. Burydan le regarda, fasciné, puis sortit sa bite, se branla comme un dingue et jouit dans un grand cri rauque, son foutre venant rejoindre celui de Rhonin sur son petit corps en sueur.
Burydan s'assit sur ses talons et regarda son blondinet. Yeux fermés et sourire béat aux lèvres. Burydan se pencha et lécha le sperme qui maculait le corps de son petit minet. Rhonin ouvrit les yeux, surpris, et émit un petit rire. Burydan le regarda, avala tout sans en perdre une goutte.
- Tu veux goûter, bébé ?
Rhonin hocha la tête en souriant, et Burydan l'embrassa à pleine bouche.
Il planta ses yeux gris dans les beaux yeux bleus, caressa tendrement la joue de son blondinet et dit :
- Je t'aime Rhonin...
- Je... je t'aime... Burydan...
Ils s'enlacèrent, se câlinèrent et se cajolèrent pendant un long, un très long moment.