30-06-2021, 12:30 AM
Petit retour dans les prairies d'Outre-Quiévrain et les curiosités idoines qu'on y peut admirer, curiosités nanties de deux ou quatre pattes (N.B : 3 pattes, c'est plus rare...sauf pour certaines voitures de chemin de fer un peu anciennes ayant un essieu au centre du châssis).
Cette histoire me fait ressouvenir d'un fait que j'ai vu un beau matin d'août 1977, à Jard-sur-Mer, dans le "85". Nous avions passé, en cette cité natale du "Tigre", un certain Clemenceau, la nuit chez des amis. Au réveil, je pars en voiture avec Christian, l'ami, afin d'aller faire emplette de pain frais. Nous parvenons dans la rue principale et là, que voyons-nous, à une vingtaine de mètres : un lama! Loin du Tibet ou de la Cordillière ("Cordillera de los Andes"), j'ouvris de grands yeux et sortis en trombe du véhicule, bras écartés, bien décidé à barrer le chemin à cet inhabituel animal que j'imaginais bien échappé d'un petit cirque. Avait-il arraché le piquet le retenant dans un pré? je l'ignore. Mais mon mouvement de bras fut suffisant pour faire pivoter le cher animal qui s'en vint à faire demi-tour. Amateur des aventures de Tintin, j'échappai ainsi à la probable douche qui me serait échue sans aucun doute. Finalement, un jeune employé du cirque parvint à remettre le licol au quadrupède et me remercia. Mais je ne fus pas invité au "Péquet" ce matin-là.
Dommage : il n'était pas mal, ce jeune gars...!
Bien à vous et merci à M. L'auteur, amateur de bulles ligériennes, que je salue ici tout spécialement.
Cette histoire me fait ressouvenir d'un fait que j'ai vu un beau matin d'août 1977, à Jard-sur-Mer, dans le "85". Nous avions passé, en cette cité natale du "Tigre", un certain Clemenceau, la nuit chez des amis. Au réveil, je pars en voiture avec Christian, l'ami, afin d'aller faire emplette de pain frais. Nous parvenons dans la rue principale et là, que voyons-nous, à une vingtaine de mètres : un lama! Loin du Tibet ou de la Cordillière ("Cordillera de los Andes"), j'ouvris de grands yeux et sortis en trombe du véhicule, bras écartés, bien décidé à barrer le chemin à cet inhabituel animal que j'imaginais bien échappé d'un petit cirque. Avait-il arraché le piquet le retenant dans un pré? je l'ignore. Mais mon mouvement de bras fut suffisant pour faire pivoter le cher animal qui s'en vint à faire demi-tour. Amateur des aventures de Tintin, j'échappai ainsi à la probable douche qui me serait échue sans aucun doute. Finalement, un jeune employé du cirque parvint à remettre le licol au quadrupède et me remercia. Mais je ne fus pas invité au "Péquet" ce matin-là.
Dommage : il n'était pas mal, ce jeune gars...!
Bien à vous et merci à M. L'auteur, amateur de bulles ligériennes, que je salue ici tout spécialement.