09-06-2021, 11:56 AM
Quatrième duo,
Il ne me reste plus que la dernière épreuve à franchir, mais ce n'est pas la moindre. On m'y prépare depuis que j'ai cinq ans, âge où je fus enlevé à ma famille par des moines de l'ordre des Guerriers Pratiquants.
Cet ordre est craint et redouté, même par Rome. Il y a très peu de monastères mais tous sont riches et nulle personne n'a le droit d'y entrer à part les moines, les initiés et quelques hauts seigneurs.
De cinq à douze ans mon éducation a été très diverse et variée. Le sport au sens large, le maniement d'armes diverses et les études se complètent. La discipline est stricte. Le plupart du temps on vit nu. Seuls les professeurs et les moines sont habillés.
A partir de douze ans, on passe chez les grands. les apprentissages s’intensifient. Au fil du temps, l'un d'entre nous disparaît sans que nul ne sache pourquoi et sans âge précis puisque ça s’échelonne de douze et quelque à quatorze ans.
Depuis quelques temps mes nuits était agitées et un matin je me suis réveillé mouillé au niveau du sexe. La honte que j’allais me payer quand le frère dont nous dépendons verrait ça.
Mais il ne se passa rien. Pourtant la tache était évidente. Sur un claquement de mains, on devait quitter nos chemises de nuit et se mettre en rang pour rejoindre le réfectoire. La journée s’écoula et le soir, à ma grande surprise, mes draps étaient propres. Ils avaient été changés dans la journée.
Ce n'est que deux jours plus tard que je me réveillais mouillé une fois de plus. Mais cette fois je réussis à toucher ce que je prenais pour de l’urine. C'était visqueux et gluant. Je reniflais mes doigts et ça ne sentait rien.
Après le petit-déjeuner, au lieu d'aller avec les autres, on me conduisit chez le père supérieur qui m'avertit que je partais pour un autre monastère de suite. Je n'eus pas mon mot à dire et parti sans au revoir. Après trois jours de trajet, avec mon accompagnateur, j'arrivais devant un monastère tout aussi austère que celui que je venais de quitter.
Les deux premiers jours, je restais enfermé dans ma cellule la plupart du temps, sauf pour des examens autant physiques que pour juger mon habileté aux armes et des tests pour savoir où j'en étais de mes connaissances.
Le troisième jour un moine entra accompagné d'un garçon, très beau et un peu plus âgé que moi. Il devait avoir un ou deux ans de plus. Comme moi il était nu. Le moine lui dit :
— Tu sais ce que tu as à faire, alors exécution.
Le garçon s'approcha de moi en souriant.
— N'aies pas peur, je vais t'apprendre quelque chose que tu vas beaucoup aimer.
Il prit mon sexe en main, le décalotta, fit couler de la salive dessus et commença à faire des vas et viens avec. Très rapidement mon sexe durcit et j'étais parcouru de frissons de plaisir. Ça me rappelait quelque chose mais je ne savais pas encore quoi.
Il me caressa aussi les couilles et très vite je ne sus plus ce qu'il m'arrivait et quelques gouttes d’un liquide blanchâtre sortirent de mon sexe en me procurant un intense plaisir.
Le moine renvoya le garçon dont le sexe pointait raide en sortant et il me conduisit dans une salle de cours où onze autres garçons de mon âge étudiaient. Et ce n'est que le soir que je pus discuter un peu avec eux. On avait tous entre douze ans et demi, pour le plus jeune et treize ans quatre mois, pour l’ainé. On était tous arrivés de la même façon, pour certains il y avait quelques semaines, jusqu’à moi seulement trois jours. Je complétai la classe et le dortoir.
Un moine arriva. Il frappa dans ses mains. Tous les garçons s'allongèrent sur leur lit. Je le fis avec un temps de retard. Il frappa une nouvelle fois dans ses mains et les garçons commencèrent à jouer avec leur sexe comme me l'avait montré le garçon le matin même. Mes voisins de lit m'encouragèrent du regard en souriant et je fis comme eux. Et très vite on produisit tous quelques gouttes de sperme qu'on essuya avec le chiffon mis à notre disposition. Puis la lumière s'éteignit et on s'endormit.
Le matin, au réveil le moine entra et comme la veille au soir, chacun dut se masturber – agréable mise en route. Puis la journée type commença. Petit-déjeuner, sport, douche, cours, repas, cours, sport, repas, douche, dortoir et branlette surveillée – jamais un moine ne nous toucha sexuellement, ils surveillaient de loin, c’est tout. Ce soir-là, mon voisin de lit vint me rejoindre dans mon lit dès que la lumière fut éteinte. On parla à voix très basse. Il venait d'un autre monastère que le mien mais les règles y étaient identiques.
Les mois passèrent et on ne se contentait plus de nos deux branlettes obligatoires. Mon voisin m'avait fait découvrir tout un tas de choses. La branlette réciproque, les caresses et la première fois où il m'avait embrassé, je me demandais bien où il voulait en venir. C'est mon autre voisin qui m'initia à la fellation.
D'autres mois passèrent encore, on était devenus des vrais pro de la branlette. On savait nous faire jouir rapidement ou très lentement. Et l'année de mes quinze ans, je fus conduit dans un autre couvent. Après une semaine d'isolement où on me testa autant physiquement qu’intellectuellement, je rejoignis ma classe. On était douze par classe, on partageait tout : le même dortoir, la même table, le même bloc sanitaire par contre, on n'était plus nus constamment. On portait une coule ou une cuculle de chanvre marron et des tongs.
Dans ce monastère on n'avait cours que le matin. L'après-midi était consacré au sport. Après le repas du soir, les cours reprenaient mais ils n'étaient pas fait pour enrichir notre savoir mais nos aptitudes sexuelles. Pour se faire notre classe avait été jumelée avec une classe de terminale et chacun de nous avait son mentor. Et c'est sous la surveillance d'un moine que chaque soir on apprenait quelque chose de nouveau. D'abord les caresses avec les mains, puis les caresses avec la bouche …. c'est ainsi - qu'officiellement - j'appris ce qu'était la fellation puis plus tard, la sodomie en passif.
Ce n'est pas que je n'aimais pas être passif, car mon mentor se débrouillait fort bien pour me procurer du plaisir, mais j'aurais aimé pouvoir le sodomiser aussi, seulement c'était strictement interdit par le règlement intérieur. Seuls les plus âgés pouvaient sodomiser les plus jeunes. Entre gens de la même classe il n'y avait pas de règles précises. Donc très vite certains d'entre nous, dont moi, bien sûr, on testa le côté actif de la chose. Et on se retrouva à avoir plusieurs candidats chacun.
Dame nature m'avait très bien doté niveau taille de l’engin et nombreux de mes camarades de chambre aimaient passer la nuit avec moi.
Chaque année, au début de l’été, on passait un examen des connaissances acquises. Et on n'obtenait pas de diplôme mais quelques traits tatoués dans notre chair. Plus notre tatouage était orné, meilleur on était. Le mien était très enluminé déjà.
Mon année préférée a été celle qui correspondrait à la classe de première en France. En effet le week-end on était réunis à trois. mon élève, mon mentor et moi et, souvenez-vous, on n'avait pas le droit de sodomiser les plus vieux que nous. Je me retrouvais donc toujours entre les deux.
Le pied d’enfer.
Cette année-là mon tatouage s'embellit encore plus. Et quand je passais dans la dernière classe, les élèves de première se disputaient mes faveurs tout comme ceux de seconde.
Là sur cette photo (c'est moi torse nu), je viens de passer mon examen final. J'attends le résultat du jury qui est partie prenante puisque que c'est à eux que je viens de faire l’amour. Derrière moi c'est un de mes professeurs qui me soutient moralement. Lui a son tatouage sur la main. Il ne quittera jamais plus le couvent. Moi je suis appelé à parcourir le monde pour y apprendre de nouvelles méthodes, de nouvelles positions, de nouvelles façons de faire l’amour.
Plus vieux je deviendrai professeur à mon tour, j'irai voir les puissants et les nantis en tant que professeur émérite du conservatoire de l'amour entre hommes et je leur enseignerai mon savoir.
Telle sera ma destinée si les membres du jury m'en jugent digne.
J’ai bon espoir, ils ont tous puissamment joui !
Il ne me reste plus que la dernière épreuve à franchir, mais ce n'est pas la moindre. On m'y prépare depuis que j'ai cinq ans, âge où je fus enlevé à ma famille par des moines de l'ordre des Guerriers Pratiquants.
Cet ordre est craint et redouté, même par Rome. Il y a très peu de monastères mais tous sont riches et nulle personne n'a le droit d'y entrer à part les moines, les initiés et quelques hauts seigneurs.
De cinq à douze ans mon éducation a été très diverse et variée. Le sport au sens large, le maniement d'armes diverses et les études se complètent. La discipline est stricte. Le plupart du temps on vit nu. Seuls les professeurs et les moines sont habillés.
A partir de douze ans, on passe chez les grands. les apprentissages s’intensifient. Au fil du temps, l'un d'entre nous disparaît sans que nul ne sache pourquoi et sans âge précis puisque ça s’échelonne de douze et quelque à quatorze ans.
Depuis quelques temps mes nuits était agitées et un matin je me suis réveillé mouillé au niveau du sexe. La honte que j’allais me payer quand le frère dont nous dépendons verrait ça.
Mais il ne se passa rien. Pourtant la tache était évidente. Sur un claquement de mains, on devait quitter nos chemises de nuit et se mettre en rang pour rejoindre le réfectoire. La journée s’écoula et le soir, à ma grande surprise, mes draps étaient propres. Ils avaient été changés dans la journée.
Ce n'est que deux jours plus tard que je me réveillais mouillé une fois de plus. Mais cette fois je réussis à toucher ce que je prenais pour de l’urine. C'était visqueux et gluant. Je reniflais mes doigts et ça ne sentait rien.
Après le petit-déjeuner, au lieu d'aller avec les autres, on me conduisit chez le père supérieur qui m'avertit que je partais pour un autre monastère de suite. Je n'eus pas mon mot à dire et parti sans au revoir. Après trois jours de trajet, avec mon accompagnateur, j'arrivais devant un monastère tout aussi austère que celui que je venais de quitter.
Les deux premiers jours, je restais enfermé dans ma cellule la plupart du temps, sauf pour des examens autant physiques que pour juger mon habileté aux armes et des tests pour savoir où j'en étais de mes connaissances.
Le troisième jour un moine entra accompagné d'un garçon, très beau et un peu plus âgé que moi. Il devait avoir un ou deux ans de plus. Comme moi il était nu. Le moine lui dit :
— Tu sais ce que tu as à faire, alors exécution.
Le garçon s'approcha de moi en souriant.
— N'aies pas peur, je vais t'apprendre quelque chose que tu vas beaucoup aimer.
Il prit mon sexe en main, le décalotta, fit couler de la salive dessus et commença à faire des vas et viens avec. Très rapidement mon sexe durcit et j'étais parcouru de frissons de plaisir. Ça me rappelait quelque chose mais je ne savais pas encore quoi.
Il me caressa aussi les couilles et très vite je ne sus plus ce qu'il m'arrivait et quelques gouttes d’un liquide blanchâtre sortirent de mon sexe en me procurant un intense plaisir.
Le moine renvoya le garçon dont le sexe pointait raide en sortant et il me conduisit dans une salle de cours où onze autres garçons de mon âge étudiaient. Et ce n'est que le soir que je pus discuter un peu avec eux. On avait tous entre douze ans et demi, pour le plus jeune et treize ans quatre mois, pour l’ainé. On était tous arrivés de la même façon, pour certains il y avait quelques semaines, jusqu’à moi seulement trois jours. Je complétai la classe et le dortoir.
Un moine arriva. Il frappa dans ses mains. Tous les garçons s'allongèrent sur leur lit. Je le fis avec un temps de retard. Il frappa une nouvelle fois dans ses mains et les garçons commencèrent à jouer avec leur sexe comme me l'avait montré le garçon le matin même. Mes voisins de lit m'encouragèrent du regard en souriant et je fis comme eux. Et très vite on produisit tous quelques gouttes de sperme qu'on essuya avec le chiffon mis à notre disposition. Puis la lumière s'éteignit et on s'endormit.
Le matin, au réveil le moine entra et comme la veille au soir, chacun dut se masturber – agréable mise en route. Puis la journée type commença. Petit-déjeuner, sport, douche, cours, repas, cours, sport, repas, douche, dortoir et branlette surveillée – jamais un moine ne nous toucha sexuellement, ils surveillaient de loin, c’est tout. Ce soir-là, mon voisin de lit vint me rejoindre dans mon lit dès que la lumière fut éteinte. On parla à voix très basse. Il venait d'un autre monastère que le mien mais les règles y étaient identiques.
Les mois passèrent et on ne se contentait plus de nos deux branlettes obligatoires. Mon voisin m'avait fait découvrir tout un tas de choses. La branlette réciproque, les caresses et la première fois où il m'avait embrassé, je me demandais bien où il voulait en venir. C'est mon autre voisin qui m'initia à la fellation.
D'autres mois passèrent encore, on était devenus des vrais pro de la branlette. On savait nous faire jouir rapidement ou très lentement. Et l'année de mes quinze ans, je fus conduit dans un autre couvent. Après une semaine d'isolement où on me testa autant physiquement qu’intellectuellement, je rejoignis ma classe. On était douze par classe, on partageait tout : le même dortoir, la même table, le même bloc sanitaire par contre, on n'était plus nus constamment. On portait une coule ou une cuculle de chanvre marron et des tongs.
Dans ce monastère on n'avait cours que le matin. L'après-midi était consacré au sport. Après le repas du soir, les cours reprenaient mais ils n'étaient pas fait pour enrichir notre savoir mais nos aptitudes sexuelles. Pour se faire notre classe avait été jumelée avec une classe de terminale et chacun de nous avait son mentor. Et c'est sous la surveillance d'un moine que chaque soir on apprenait quelque chose de nouveau. D'abord les caresses avec les mains, puis les caresses avec la bouche …. c'est ainsi - qu'officiellement - j'appris ce qu'était la fellation puis plus tard, la sodomie en passif.
Ce n'est pas que je n'aimais pas être passif, car mon mentor se débrouillait fort bien pour me procurer du plaisir, mais j'aurais aimé pouvoir le sodomiser aussi, seulement c'était strictement interdit par le règlement intérieur. Seuls les plus âgés pouvaient sodomiser les plus jeunes. Entre gens de la même classe il n'y avait pas de règles précises. Donc très vite certains d'entre nous, dont moi, bien sûr, on testa le côté actif de la chose. Et on se retrouva à avoir plusieurs candidats chacun.
Dame nature m'avait très bien doté niveau taille de l’engin et nombreux de mes camarades de chambre aimaient passer la nuit avec moi.
Chaque année, au début de l’été, on passait un examen des connaissances acquises. Et on n'obtenait pas de diplôme mais quelques traits tatoués dans notre chair. Plus notre tatouage était orné, meilleur on était. Le mien était très enluminé déjà.
Mon année préférée a été celle qui correspondrait à la classe de première en France. En effet le week-end on était réunis à trois. mon élève, mon mentor et moi et, souvenez-vous, on n'avait pas le droit de sodomiser les plus vieux que nous. Je me retrouvais donc toujours entre les deux.
Le pied d’enfer.
Cette année-là mon tatouage s'embellit encore plus. Et quand je passais dans la dernière classe, les élèves de première se disputaient mes faveurs tout comme ceux de seconde.
Là sur cette photo (c'est moi torse nu), je viens de passer mon examen final. J'attends le résultat du jury qui est partie prenante puisque que c'est à eux que je viens de faire l’amour. Derrière moi c'est un de mes professeurs qui me soutient moralement. Lui a son tatouage sur la main. Il ne quittera jamais plus le couvent. Moi je suis appelé à parcourir le monde pour y apprendre de nouvelles méthodes, de nouvelles positions, de nouvelles façons de faire l’amour.
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Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
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-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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