CHAPITRE III (2/3)
- Papa je te présente Léa ma nouvelle coloc.
- Bonjour Léa et bienvenue ici.
- Bonjour monsieur.
- Appelle moi Patrick et on se tutoie. D’accord ?
- Ok, merci Patrick.
Ce qui marque de suite chez Léa, c’est sa beauté surprenante. Une beauté douce, fascinante, parfaite. Des traits d’une finesse extraordinaire. Chez cette fille, tout est petit ; ses yeux d’un gris vert somptueux, son nez légèrement relevé, ses tâches de rousseur qui illuminent son visage, ses lèvres expressives tout sourire, ses oreilles à peine visibles, dissimulées sous ses longs cheveux dorés, un visage enfantin très accueillant, une gorge qui, décolleté aidant, plonge sur des seins opulents, fermes, aux tétons agacés par le frottement du chemisier.
La couleur de sa mini jupe est associée à celle de ses yeux, toute petite elle aussi parce qu’à ce niveau, il n’y presque rien à cacher tant tout est mignon. Le teint déjà bien bronzé pour la saison, des escarpins qui ajoutent un peu de hauteur, Léa ne dépasse pas un mètre soixante.
Je suis subjugué par cette beauté inattendue, naturelle, libre de tout artifice. Impossible de retenir mon admiration.
- Waouh !Vous êtes vraiment très jolie Léa et je dirais même que vous êtes magnifique, somptueuse !
- Ça va ? Tu vas t’en remettre ? Je te rappelle que tu as dépassé la quarantaine des fois que tu aurais oublié !
Je suis surpris par le ton de Caroline, presque cinglant, passablement énervée ; elle qui d’habitude est plutôt posée, toujours dans la réserve.
Léa, quant-à elle, me gratifie d’un large sourire et elle ajoute avec une pointe d’ironie :
- Merci pour le compliment mais n’avait-on pas dit qu’on devait se tutoyer ?
Même pas froid aux yeux la coloc. Je me ressaisis Il est vrai que troublé par cette beauté hors du commun, sortie tout droit d’une revue de mode, je me suis quelque peu laissé déborder.
- Je peux déposer mes affaires ici ? Demande-t-elle amusée.
- Oui bien entendu.
En toute agilité, elle se débarrasse de son sac à dos qu’elle cale tranquillement contre le mur de l’entrée. Léa est assurément plus âgée que Caroline. Ça se voit au premier coup d’œil. La fille a beaucoup d’aplomb, elle est à l’aise, même pas impressionnée. Elle doit avoir entre vingt et vingt-cinq ans. Son côté très féminin contraste franchement avec celui de Caroline, beaucoup plus neutre. Les deux filles passent de pièce en pièce en commentant joyeusement selon leur centre d’intérêt. La salle de bain est passée au crible avec sa douche conçue pour accueillir largement deux personnes, son spa en marbre blanc, et ses deux lavabos côte-à-côte. Les toilettes attirent aussi l’attention avec un système de nettoyage intégré qui rend futile l’usage du papier wc. J’entends Léa pouffer de rire.
- Je veux essayer !
- Non plus tard.
- Si maintenant, j’ai envie.
- Chut, pas si fort !
- Ferme la porte. Allez Caro, vient ? Supplie-t-elle.
Les filles s’enferment à l’intérieur et je les entends glousser sans aucune discrétion. Ça rigole comme des folles. En sortant, Léa est impressionnée.
- Génial. J’en veux des comme ça.
- Tu sais, ça coûte une blinde ces trucs là ?
- Je m’en fous... Merde ! Mon string est tout mouillé.
- Tu t’es pissée dessus ?
- Non, mais je me suis relevée quand le truc s’est mis en route.
- Grossière erreur mademoiselle. Il faut laisser le cul sur la cuvette jusqu’à la fin sinon effectivement t’en prends plein les fesses. Vient, je vais te donner une de mes culottes.
Les éclats de rire sont passés des toilettes à la chambre où je devine qu’une séance d’essayage vient de commencer et des fois j’aimerais bien qu’une fée intelligente me transforme en petite souris, juste le temps d’un regard. Je chasse d’un revers de main le montage vidéo que mon cerveau serait prêt à concocter et mes pensées se tournent vers Eléna qui doit être bien seule dans son appartement. Peut-être aurais-je dû l’inviter ce soir elle aussi ? Je suis indécis. Je ne sais pas comment elle prendrait cette requête inopinée. Je ne voudrais vraiment pas qu’elle interprète cela comme une faiblesse de ma part.
- Papa je te présente Léa ma nouvelle coloc.
- Bonjour Léa et bienvenue ici.
- Bonjour monsieur.
- Appelle moi Patrick et on se tutoie. D’accord ?
- Ok, merci Patrick.
Ce qui marque de suite chez Léa, c’est sa beauté surprenante. Une beauté douce, fascinante, parfaite. Des traits d’une finesse extraordinaire. Chez cette fille, tout est petit ; ses yeux d’un gris vert somptueux, son nez légèrement relevé, ses tâches de rousseur qui illuminent son visage, ses lèvres expressives tout sourire, ses oreilles à peine visibles, dissimulées sous ses longs cheveux dorés, un visage enfantin très accueillant, une gorge qui, décolleté aidant, plonge sur des seins opulents, fermes, aux tétons agacés par le frottement du chemisier.
La couleur de sa mini jupe est associée à celle de ses yeux, toute petite elle aussi parce qu’à ce niveau, il n’y presque rien à cacher tant tout est mignon. Le teint déjà bien bronzé pour la saison, des escarpins qui ajoutent un peu de hauteur, Léa ne dépasse pas un mètre soixante.
Je suis subjugué par cette beauté inattendue, naturelle, libre de tout artifice. Impossible de retenir mon admiration.
- Waouh !Vous êtes vraiment très jolie Léa et je dirais même que vous êtes magnifique, somptueuse !
- Ça va ? Tu vas t’en remettre ? Je te rappelle que tu as dépassé la quarantaine des fois que tu aurais oublié !
Je suis surpris par le ton de Caroline, presque cinglant, passablement énervée ; elle qui d’habitude est plutôt posée, toujours dans la réserve.
Léa, quant-à elle, me gratifie d’un large sourire et elle ajoute avec une pointe d’ironie :
- Merci pour le compliment mais n’avait-on pas dit qu’on devait se tutoyer ?
Même pas froid aux yeux la coloc. Je me ressaisis Il est vrai que troublé par cette beauté hors du commun, sortie tout droit d’une revue de mode, je me suis quelque peu laissé déborder.
- Je peux déposer mes affaires ici ? Demande-t-elle amusée.
- Oui bien entendu.
En toute agilité, elle se débarrasse de son sac à dos qu’elle cale tranquillement contre le mur de l’entrée. Léa est assurément plus âgée que Caroline. Ça se voit au premier coup d’œil. La fille a beaucoup d’aplomb, elle est à l’aise, même pas impressionnée. Elle doit avoir entre vingt et vingt-cinq ans. Son côté très féminin contraste franchement avec celui de Caroline, beaucoup plus neutre. Les deux filles passent de pièce en pièce en commentant joyeusement selon leur centre d’intérêt. La salle de bain est passée au crible avec sa douche conçue pour accueillir largement deux personnes, son spa en marbre blanc, et ses deux lavabos côte-à-côte. Les toilettes attirent aussi l’attention avec un système de nettoyage intégré qui rend futile l’usage du papier wc. J’entends Léa pouffer de rire.
- Je veux essayer !
- Non plus tard.
- Si maintenant, j’ai envie.
- Chut, pas si fort !
- Ferme la porte. Allez Caro, vient ? Supplie-t-elle.
Les filles s’enferment à l’intérieur et je les entends glousser sans aucune discrétion. Ça rigole comme des folles. En sortant, Léa est impressionnée.
- Génial. J’en veux des comme ça.
- Tu sais, ça coûte une blinde ces trucs là ?
- Je m’en fous... Merde ! Mon string est tout mouillé.
- Tu t’es pissée dessus ?
- Non, mais je me suis relevée quand le truc s’est mis en route.
- Grossière erreur mademoiselle. Il faut laisser le cul sur la cuvette jusqu’à la fin sinon effectivement t’en prends plein les fesses. Vient, je vais te donner une de mes culottes.
Les éclats de rire sont passés des toilettes à la chambre où je devine qu’une séance d’essayage vient de commencer et des fois j’aimerais bien qu’une fée intelligente me transforme en petite souris, juste le temps d’un regard. Je chasse d’un revers de main le montage vidéo que mon cerveau serait prêt à concocter et mes pensées se tournent vers Eléna qui doit être bien seule dans son appartement. Peut-être aurais-je dû l’inviter ce soir elle aussi ? Je suis indécis. Je ne sais pas comment elle prendrait cette requête inopinée. Je ne voudrais vraiment pas qu’elle interprète cela comme une faiblesse de ma part.
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