20-05-2021, 10:02 PM
* 24 *
15 janvier 2009
Quelle journée ! Il s'est passé assez de choses hier pour remplir une bonne semaine. Et ce matin, je me réveille dans les bras de Bruno...
J'ai couché avec un mec. J'ai du mal à réaliser que j'ai pu faire une chose pareille ! J'ai aimé ça, je ne peux pas le nier, j'ai joui comme jamais, mais... qu'est-ce qui m'a pris ? Et ça ne s'est pas passé comme j'aurais aimé que ça se passe. À bien des niveaux.
J'aurais voulu vivre ma première fois avec une fille. Qu'est-ce qui m'a poussé dans les bras de ce gars ? Je me retourne pour le regarder dormir, il est serein, détendu. Je le trouve beau. Tirant la couette, je découvre son corps nu, son sexe tendu par un rêve, je le regarde bien, me plaît-il vraiment, ce corps ?
Oui, d'ailleurs, voilà que je bande à mon tour, rien qu'à le regarder. Je me souviens de la soirée que nous avons passé... il m'a pris, il m'a fait l'amour... et mon sexe se tend rien qu'à sa vue.
Je crois que j'ai commencé à comprendre avec l'arrivée de François dans ma vie, et notre face-à-face, nus, où je me suis retrouvé tout excité. Et sa question, qui m'avait bouleversé.
Tu es gay, toi aussi ?
Oui, j'ai réalisé au fond de moi, mais je n'ai pas pu l'accepter, j'en ai fait un cauchemar, mais maintenant c'est la réalité, et je dois bien admettre que...
Que je suis gay, comme mon frère. Mon miroir qui m'a révélé tel que je suis.
Je regarde de nouveau Bruno, me remémorant la soirée d'hier. C'était bon, effrayant, et un peu frustrant à la fois. J'ai aimé ça, c'est clair, même si c'était une sacrée découverte et que j'étais assez gêné par tout ça, en fin de compte, vu que je n'avais rien demandé, non ? Même si mon acceptation passive était probablement due à une volonté de tomber les masques.
Je regarde mon sexe, et met le doigt sur ma frustration. Je ne lui ai pas fait l'amour, c'est lui qui m'a baisé. En fait, je me considère toujours puceau, d'une certaine manière. Oui, c'est très frustrant.
Bon, je ne sais vraiment pas ce que je veux, décidément. Je lui en veux de ne pas m'avoir respecté, de m'avoir pris sans que je sois prêt à ça, et en même temps, je lui reproche de ne pas en avoir assez fait.
Je crains de garder cette amertume un certain temps. Ce n'étais pas un viol, non, si je n'avais vraiment pas été d'accord, je l'aurais repoussé, c'est juste que j'aurais aimé qu'il prenne son temps avec moi.
Mais il ne sait pas que je me considérais hétéro jusqu'alors, il prenait ça pour... une peur de puceau ignorant, ce que j'étais sans l'ombre d'un doute, d'ailleurs.
Ma main est descendue sur mon sexe, décidément insatiable. Peut-être veut-il rattraper le temps perdu... si je n'avais pas fait le con avec les filles, je...
Mais, en fait, suis-je vraiment fait pour les femmes ? Ou suis-je pleinement gay ? La question mérite que je m'y penche sérieusement, car la réponse conditionnera le reste de mon existence.
Mais ça peut attendre. Je me penche sur Bruno, le serrant dans mes bras, me collant contre lui, sentant son sexe se presser contre mon ventre, et pose des baisers sur son visage jusqu'à ce qu'il se réveille. Il sourit. M'embrasse. J'ai envie de lui. Je le lui dis.
- Moi aussi j'ai envie de toi.
Nos mains se promènent sur nos corps, les bouches suivent, nous offrons à l'autre autant de plaisir que nous pouvons, descendant petit à petit vers nos sexes qui réclament leur part de bonheur.
Sentant Bruno prendre le mien en bouche, j'en fais autant avec le sien. Me revoilà en train de le sucer, cette fois en sentant le plaisir qu'il m'offre, que je lui offre, donc, et je fais au mieux pour lui rendre ce qu'il me donne, je n'ai plus cette impression bizarre d'avoir une queue en bouche, juste la satisfaction de le faire gémir de plaisir.
Oui, je trouve ça agréable, j'aime ça, et je sens mon plaisir monter rapidement. Mes gémissements étouffés deviennent plus forts, et, peu désireux d'arrêter pour parler, je tapote son flanc de la main. Soit il ne comprend pas le message, soit il s'en moque. Je fais tout pour me retenir, finissant par lui dire d'arrêter, mais il continue tout en repoussant de la main ma tête vers son sexe.
Ah, bon, d'accord.
C'est une affaire de quelques secondes avant que je ne pousse un long gémissement avant de me vider dans sa bouche. Ouah. C'était vraiment... Oups ! Voilà qu'il en fait autant dans la mienne, et pas qu'un peu, le bougre, menacé d'asphyxie, je suis contraint d'avaler. En fait, je décide d'avaler le plus vite possible, parce que c'est proprement écœurant. Le goût est trop âcre, trop salé.
Et lui qui nettoie mon membre à coups de langue pour ne rien laisser... c'est gentil de sa part, ou alors, nos spermes n'ont pas le même goût. Je fais pareil, mais vraiment à contrecœur.
Décidément, mes premières expériences sexuelles se passent de travers. Je suis maudit.
Il revient vers moi, souriant, et me roule une pelle. Découvrant une saveur différente, je décide qu'en fin de compte, je n'ai pas un meilleur goût que lui.
- Tu suces vraiment bien, Bruno, mais ton sperme est horrible.
Il rit, pas vexé le moins du monde.
- Je sais, j'y ai pas mal goûté. Si ça peut te rassurer, le tien n'est pas terrible non plus... mais tu suces très bien aussi.
Je ris avec lui. L'embrasse de nouveau.
- Non, décidément, faut que je fasse passer ce goût.
- Prenons-nous un petit déj.
- Bonne idée.
Petit déjeuner pris, je décide de lui poser quelques questions.
- Tu n'as pas cours aujourd'hui ?
- Si, mais à onze heures. On a encore un peu de temps.
- Super ça.
- Toi, tu en as encore envie.
- Oui. En fait, j'ai envie de faire ce qu'on a pas encore fait. Je veux te prendre.
- Euh... c'est pas trop mon truc, ça. Je suis actif.
- Je ne comprends pas, c'est quoi, ça ?
- Actif ? Tu ne connais rien à l'homosexualité, on dirait.
- Bah, ouais, je l'ai découvert assez récemment, en fait.
C'est le moins qu'on puisse dire...
- Ça veut simplement dire que j'aime prendre, mais pas être pris. Et passif, c'est le contraire. Les hétéros disent faire l'homme ou la femme, mais je trouve ça réducteur et inapproprié. On reste entre mecs. Et tous les gay ne sont pas purement actifs ou passifs.
- Je vois... tu voudrais quand même le faire pour moi ? C'est... c'est la première fois pour moi, je découvre tout, je voudrais tout essayer. Je t'ai tout offert, Bruno, quand bien même je ne me sentais pas vraiment prêt.
Il pose sur moi un regard attendri qui me fait craquer.
- C'est vrai, Jeremy. Je t'ai un peu forcé la main, je l'avoue, je voulais vaincre tes peurs. Mais si tu m'avais repoussé, je te jure que j'aurais arrêté tout de suite.
- Je m'en doute.
- Pour cette fois, juste pour cette fois, et parce que tu es mon petit puceau, je veux bien. Je ne le ferais pas pour un autre, Jerem.
- Merci.
Pour le coup, lorsque je le rejoins dans son lit, je le remercie en le faisant grimper au septième ciel rien qu'avec des caresses et des baisers. Il a droit à tous mes remerciements, et ses gémissements de plaisir me montrent qu'il les apprécie pleinement. Il me donne des conseils pour le préparer, et j'en prends bonne note. Mais, pour cette fois aussi, je fais moi aussi une exception en jouant de ma langue au plus près de son intimité. Je ne suis pas vraiment excité par ça, mais lui, ça lui fait de l'effet, pas de doute. Je laisse couler ma salive pour plonger un doigt en lui, détendant le muscle pour préparer ma venue. Il s'ouvre comme une fleur, à croire qu'il n'attendait que moi. Je me redresse et tente de le pénétrer, sans succès. Sa main guide mon sexe pour l'orienter dans la bonne position, et je plonge enfin, commençant mes allées et venues, jusqu'à ce qu'il me dise, amusé :
- Euh... tu n'y es pas, là. Ton sexe a glissé le long de mes fesses.
Il est mort de rire, en fait. Et moi, je suis dégouté.
Je reviens en position, maintiens cette fois mon membre en place, et pousse. Je sens une résistance, puis entre en lui. J'y suis... je le vois fermer les yeux et soupirer.
- Ça va ?
- Oui. Vas-y.
Je lui fais donc l'amour, à Bruno, je l'ai sous moi, je l'embrasse de temps en temps tout en faisant aller et venir mon sexe en lui, je le vois soupirer tandis que sa main s'active sur son membre. J'accélère la cadence, je sens mon plaisir monter et monter, jusqu'à ce que je le sente se resserrer sur moi, me faisant jouir à pleine force.
Je l'embrasse longuement, le remerciant de m'avoir permis de le prendre. Il caresse mes cheveux. Il me sourit.
- T'es plus puceau, maintenant. Partout. Ça se fête.
- Ça a été ma fête hier, déjà.
- Oui, on peut dire ça. Ça t'a plu ?
- Euh, ouais...
Je me retire et me love contre lui.
- Ça m'a vraiment plu. Tout.
- J'en suis vraiment heureux, Jerem. Je te revois, après les cours ?
- Oui, je viendrai. Je vais te laisser mon numéro. Il faut que je reprenne mes recherches.
- C'est un peu égoïste de ma part, mais j'espère qu'elles vont traîner en longueur. Le plus possible.
- Moi aussi.
15 janvier 2009
Quelle journée ! Il s'est passé assez de choses hier pour remplir une bonne semaine. Et ce matin, je me réveille dans les bras de Bruno...
J'ai couché avec un mec. J'ai du mal à réaliser que j'ai pu faire une chose pareille ! J'ai aimé ça, je ne peux pas le nier, j'ai joui comme jamais, mais... qu'est-ce qui m'a pris ? Et ça ne s'est pas passé comme j'aurais aimé que ça se passe. À bien des niveaux.
J'aurais voulu vivre ma première fois avec une fille. Qu'est-ce qui m'a poussé dans les bras de ce gars ? Je me retourne pour le regarder dormir, il est serein, détendu. Je le trouve beau. Tirant la couette, je découvre son corps nu, son sexe tendu par un rêve, je le regarde bien, me plaît-il vraiment, ce corps ?
Oui, d'ailleurs, voilà que je bande à mon tour, rien qu'à le regarder. Je me souviens de la soirée que nous avons passé... il m'a pris, il m'a fait l'amour... et mon sexe se tend rien qu'à sa vue.
Je crois que j'ai commencé à comprendre avec l'arrivée de François dans ma vie, et notre face-à-face, nus, où je me suis retrouvé tout excité. Et sa question, qui m'avait bouleversé.
Tu es gay, toi aussi ?
Oui, j'ai réalisé au fond de moi, mais je n'ai pas pu l'accepter, j'en ai fait un cauchemar, mais maintenant c'est la réalité, et je dois bien admettre que...
Que je suis gay, comme mon frère. Mon miroir qui m'a révélé tel que je suis.
Je regarde de nouveau Bruno, me remémorant la soirée d'hier. C'était bon, effrayant, et un peu frustrant à la fois. J'ai aimé ça, c'est clair, même si c'était une sacrée découverte et que j'étais assez gêné par tout ça, en fin de compte, vu que je n'avais rien demandé, non ? Même si mon acceptation passive était probablement due à une volonté de tomber les masques.
Je regarde mon sexe, et met le doigt sur ma frustration. Je ne lui ai pas fait l'amour, c'est lui qui m'a baisé. En fait, je me considère toujours puceau, d'une certaine manière. Oui, c'est très frustrant.
Bon, je ne sais vraiment pas ce que je veux, décidément. Je lui en veux de ne pas m'avoir respecté, de m'avoir pris sans que je sois prêt à ça, et en même temps, je lui reproche de ne pas en avoir assez fait.
Je crains de garder cette amertume un certain temps. Ce n'étais pas un viol, non, si je n'avais vraiment pas été d'accord, je l'aurais repoussé, c'est juste que j'aurais aimé qu'il prenne son temps avec moi.
Mais il ne sait pas que je me considérais hétéro jusqu'alors, il prenait ça pour... une peur de puceau ignorant, ce que j'étais sans l'ombre d'un doute, d'ailleurs.
Ma main est descendue sur mon sexe, décidément insatiable. Peut-être veut-il rattraper le temps perdu... si je n'avais pas fait le con avec les filles, je...
Mais, en fait, suis-je vraiment fait pour les femmes ? Ou suis-je pleinement gay ? La question mérite que je m'y penche sérieusement, car la réponse conditionnera le reste de mon existence.
Mais ça peut attendre. Je me penche sur Bruno, le serrant dans mes bras, me collant contre lui, sentant son sexe se presser contre mon ventre, et pose des baisers sur son visage jusqu'à ce qu'il se réveille. Il sourit. M'embrasse. J'ai envie de lui. Je le lui dis.
- Moi aussi j'ai envie de toi.
Nos mains se promènent sur nos corps, les bouches suivent, nous offrons à l'autre autant de plaisir que nous pouvons, descendant petit à petit vers nos sexes qui réclament leur part de bonheur.
Sentant Bruno prendre le mien en bouche, j'en fais autant avec le sien. Me revoilà en train de le sucer, cette fois en sentant le plaisir qu'il m'offre, que je lui offre, donc, et je fais au mieux pour lui rendre ce qu'il me donne, je n'ai plus cette impression bizarre d'avoir une queue en bouche, juste la satisfaction de le faire gémir de plaisir.
Oui, je trouve ça agréable, j'aime ça, et je sens mon plaisir monter rapidement. Mes gémissements étouffés deviennent plus forts, et, peu désireux d'arrêter pour parler, je tapote son flanc de la main. Soit il ne comprend pas le message, soit il s'en moque. Je fais tout pour me retenir, finissant par lui dire d'arrêter, mais il continue tout en repoussant de la main ma tête vers son sexe.
Ah, bon, d'accord.
C'est une affaire de quelques secondes avant que je ne pousse un long gémissement avant de me vider dans sa bouche. Ouah. C'était vraiment... Oups ! Voilà qu'il en fait autant dans la mienne, et pas qu'un peu, le bougre, menacé d'asphyxie, je suis contraint d'avaler. En fait, je décide d'avaler le plus vite possible, parce que c'est proprement écœurant. Le goût est trop âcre, trop salé.
Et lui qui nettoie mon membre à coups de langue pour ne rien laisser... c'est gentil de sa part, ou alors, nos spermes n'ont pas le même goût. Je fais pareil, mais vraiment à contrecœur.
Décidément, mes premières expériences sexuelles se passent de travers. Je suis maudit.
Il revient vers moi, souriant, et me roule une pelle. Découvrant une saveur différente, je décide qu'en fin de compte, je n'ai pas un meilleur goût que lui.
- Tu suces vraiment bien, Bruno, mais ton sperme est horrible.
Il rit, pas vexé le moins du monde.
- Je sais, j'y ai pas mal goûté. Si ça peut te rassurer, le tien n'est pas terrible non plus... mais tu suces très bien aussi.
Je ris avec lui. L'embrasse de nouveau.
- Non, décidément, faut que je fasse passer ce goût.
- Prenons-nous un petit déj.
- Bonne idée.
Petit déjeuner pris, je décide de lui poser quelques questions.
- Tu n'as pas cours aujourd'hui ?
- Si, mais à onze heures. On a encore un peu de temps.
- Super ça.
- Toi, tu en as encore envie.
- Oui. En fait, j'ai envie de faire ce qu'on a pas encore fait. Je veux te prendre.
- Euh... c'est pas trop mon truc, ça. Je suis actif.
- Je ne comprends pas, c'est quoi, ça ?
- Actif ? Tu ne connais rien à l'homosexualité, on dirait.
- Bah, ouais, je l'ai découvert assez récemment, en fait.
C'est le moins qu'on puisse dire...
- Ça veut simplement dire que j'aime prendre, mais pas être pris. Et passif, c'est le contraire. Les hétéros disent faire l'homme ou la femme, mais je trouve ça réducteur et inapproprié. On reste entre mecs. Et tous les gay ne sont pas purement actifs ou passifs.
- Je vois... tu voudrais quand même le faire pour moi ? C'est... c'est la première fois pour moi, je découvre tout, je voudrais tout essayer. Je t'ai tout offert, Bruno, quand bien même je ne me sentais pas vraiment prêt.
Il pose sur moi un regard attendri qui me fait craquer.
- C'est vrai, Jeremy. Je t'ai un peu forcé la main, je l'avoue, je voulais vaincre tes peurs. Mais si tu m'avais repoussé, je te jure que j'aurais arrêté tout de suite.
- Je m'en doute.
- Pour cette fois, juste pour cette fois, et parce que tu es mon petit puceau, je veux bien. Je ne le ferais pas pour un autre, Jerem.
- Merci.
Pour le coup, lorsque je le rejoins dans son lit, je le remercie en le faisant grimper au septième ciel rien qu'avec des caresses et des baisers. Il a droit à tous mes remerciements, et ses gémissements de plaisir me montrent qu'il les apprécie pleinement. Il me donne des conseils pour le préparer, et j'en prends bonne note. Mais, pour cette fois aussi, je fais moi aussi une exception en jouant de ma langue au plus près de son intimité. Je ne suis pas vraiment excité par ça, mais lui, ça lui fait de l'effet, pas de doute. Je laisse couler ma salive pour plonger un doigt en lui, détendant le muscle pour préparer ma venue. Il s'ouvre comme une fleur, à croire qu'il n'attendait que moi. Je me redresse et tente de le pénétrer, sans succès. Sa main guide mon sexe pour l'orienter dans la bonne position, et je plonge enfin, commençant mes allées et venues, jusqu'à ce qu'il me dise, amusé :
- Euh... tu n'y es pas, là. Ton sexe a glissé le long de mes fesses.
Il est mort de rire, en fait. Et moi, je suis dégouté.
Je reviens en position, maintiens cette fois mon membre en place, et pousse. Je sens une résistance, puis entre en lui. J'y suis... je le vois fermer les yeux et soupirer.
- Ça va ?
- Oui. Vas-y.
Je lui fais donc l'amour, à Bruno, je l'ai sous moi, je l'embrasse de temps en temps tout en faisant aller et venir mon sexe en lui, je le vois soupirer tandis que sa main s'active sur son membre. J'accélère la cadence, je sens mon plaisir monter et monter, jusqu'à ce que je le sente se resserrer sur moi, me faisant jouir à pleine force.
Je l'embrasse longuement, le remerciant de m'avoir permis de le prendre. Il caresse mes cheveux. Il me sourit.
- T'es plus puceau, maintenant. Partout. Ça se fête.
- Ça a été ma fête hier, déjà.
- Oui, on peut dire ça. Ça t'a plu ?
- Euh, ouais...
Je me retire et me love contre lui.
- Ça m'a vraiment plu. Tout.
- J'en suis vraiment heureux, Jerem. Je te revois, après les cours ?
- Oui, je viendrai. Je vais te laisser mon numéro. Il faut que je reprenne mes recherches.
- C'est un peu égoïste de ma part, mais j'espère qu'elles vont traîner en longueur. Le plus possible.
- Moi aussi.
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