01-05-2021, 01:12 AM
Premier muguet,
Salut les mecs,
ça y est, c'est le premier mai avec ses défilés et tous ses manifestants surexcités. Je kiffe grave trop ce genre de manifestation. Le jeu va enfin pouvoir commencer.
Quel jeu, allez-vous me demander ?
On est une bande de potes étudiants, cinq en fait. On s'est rencontré un peu par hasard.
Bruno et James, je les ai rencontré à la salle de sport, enfin, pas dans la salle proprement dite, mais dans les vestiaires. On s’y changeait ensemble et chacun capta les deux autres qui mataient - pas vraiment discrètement.
Le seul problème – pour moi - de cette salle de sport c'est que les douches sont individuelles. Il fallait donc que je les allume avant d'entrer dans la mienne, pour confirmer mes doutes. Je me suis donc foutu à poil avant d'y entrer et pour ce faire, je me suis bien penché en quittant mon boxer, afin de montrer ma raie rasée de frais. Et je n'ai pas refermé la porte en plein pour qu'ils puissent me voir aussi de face, et bien bander. Eux aussi se sont débrouillés pour que les deux autres aient une vue de leurs attributs au beau fixe. Bel exploits, avec les quelques gars qui passèrent aux vestiaires sans nous capter.
On s'est retrouvé à la sortie et on est allé boire un verre au bistrot juste à côté. Il s'est vite avéré qu'on avait beaucoup de points communs, surtout en matière de sexe.
On était gay affirmés tous les trois, on aimait jouer en faisant des paris stupides et on était exhibitionniste. Notre conversation nous avait chauffé et James nous invita chez lui pour faire plus ''ample connaissance''.
Il avait un grand studio, côté cours d'un immeuble, et il s'était rendu compte qu'un de ses voisins d'en face le matait à la jumelle quand il se branlait sur son canapé. Au fil des jours ils se matèrent par jumelles interposées, nus derrière leurs fenêtres respectives.
Ce soir-là, on allait lui donner un spectacle digne de ce nom. Quand on arriva dans son appartement, on se mit directement à poil. Puis James alla ouvrir les rideaux et regarda par la fenêtre.
– Il est chez lui. Il m’a vu et vient de sortir… Il revient avec ses jumelles. Approchez, on va lui faire la surprise.
On approcha, on tira le canapé qu'on avait ouvert près de la fenêtre et on se mit à baiser. On matait à tour de rôle à la jumelle le mec qui se branlait et tout d'un coup on put voir une longue traînée de sperme ruisseler le long de la vitre mais lui n’y était plus.
– C'est bizarre parce que d'habitude il attend que je jouisse avant de partir.
– Pas grave ça. Et si on faisait comme lui ?
On se mit en triangle et on se suça. On se remettait tout juste de nos éjaculations quand la sonnette de la porte tinta.
James se leva et regarda qui c'était par l’œilleton. Il se tourna vers nous et tendit un pouce en l'air avec un grand sourire. Il ouvrit la porte et fit entrer le visiteur qui n'était autre que notre voyeur d'en face.
Pour le mettre dans l'ambiance il lui roula directement une pelle et commença à le foutre à poil. On se leva et on alla l’aider.
Comme vous pouvez vous en douter la soirée finit en partouze. Et comme on était tous les quatre actifs et passifs, ça permit beaucoup de choses très jouissives. Et c'est ainsi que Marc entra dans notre cercle.
Après avoir fait l'amour et joui de nombreuses fois, on se calma et on discuta de nos fantasmes. Et c'est ainsi que Marc nous apprit qu'il jouait aussi à ce petit jeu avec un gars qui faisait le maître-nageur à la piscine du quartier tous les dimanches jusqu’à la fermeture.
Marc ne faisait pas de musculation mais nageait depuis des années et cela lui avait donné un corps parfait. Il nous proposa donc de venir avec lui le lendemain. On se donna rendez-vous chez lui pour seize heures.
Je restais la nuit – quasi blanche – et on se sépara après le petit déjeuner. Quand je rentrais dans ma chambre d'étudiant je cherchais un maillot de bain dans mes affaires mais je n'en avais pas. Je mis mon réveil et je m’endormis.
Le réveil sonna et je me levais. Passage par les toilettes, puis un bon café et après avoir mangé un bout, ce fut douche extérieure et intérieure. J'étais prêt. J'arrivais chez Marc quelques minutes avant l’heure. mes amis étaient déjà là. Je leur roulais une pelle à chacun. Je vis que sur la table du salon il y avait tout un ensemble de maillots de bain.
– Tu pourrais m'en prêter un, je n'en ai pas.
– Justement, on allait faire les essayages.
On se mit tous à poil et d'office Marc me tendit un maillot rouge vif. Je l’enfilais. C'était un Speedo très échancré qui une fois enfilé me cachait tout juste le sexe et encore j'étais obligé de mettre ma queue bien au milieu de la bande de tissus pour qu'elle reste en place parce qu'elle avait plutôt tendance à vouloir chercher la sortie - un coup en haut, un coup en bas. Coupé taille basse, il laissait voir le haut de mon pubis et de mes fesses.
– Il est parfait sur toi !
Je le trouvais un peu petit mais bon … Celui qu'on choisit pour James n'était pas piqué des vers non plus. Un tanga fait d’une large bande élastique jaune fluo enserrant sa taille fine et un triangle de la même couleur, devant et derrière.
Celui qu'on sélectionna pour Bruno était pas mal non plus. Tout comme celui de James il avait une large bande élastique et sur le devant un cache-sexe qui mettait bien en valeur son service trois pièces, l'arrière, lui, ne cachait que la moitié de ses fesses, verticalement.
Marc alla chercher le sien qui était classique, un boxer de bain blanc. On râlait ! Quand il nous demanda de le suivre jusqu'à la salle de bain, il fit couler l'eau et quand elle fut à température il se mit sous la douche et tourna sur lui-même. Son maillot de bain était devenu transparent. On l’adopta. Il était un petit peu plus de dix-sept heures, quand on entra à la piscine. La fille au guichet nous informa qu'elle fermait dans moins d'une heure.
On alla au vestiaire collectif où deux mecs finissaient de s’habiller. Ils partirent. On enfila nos tenues, on passa sous la douche et on se rendit au bassin. Sans grand monde, les six nageurs encore présent eurent tous les yeux braqués sur nos formes, le temps que l’on plonge. Ce qui nous amusa beaucoup.
Adrien, le maître-nageur rangeait déjà tout ce qui traînait. Il fut surpris d'entendre du bruit.
On nagea un bon moment et il ne resta plus que nous dans l’eau, quand la fille de l'entrée vint parler à Adrien. D'où j'étais j'entendais leur conversation.
– Je dois partir. J'ai un rencard, tu peux fermer à ma place ?
– Oui c'est bon, tu peux y aller. Verrouille la porte en partant. Je gère. Bonne soirée.
La fille partit. Et cinq minutes avant dix-huit heures, Adrien nous avertit que la piscine fermait. On se dirigea vers les vestiaires et ma queue et mon maillot de bain me jouèrent des tours. Je n'étais pas le seul non plus à remettre en place ma queue bandée qui ne faisait que sortir par le bas où par le haut.
Je jetais un œil sur le paquet d'Adrien qui me grilla vite fait et lui aussi avait la gaule.
Il y avait des cabines de douches individuelles mais aussi des douches collectives où on se rendit. Et après avoir disparu quelques instants Adrien revint avec une serviette et du gel douche.
On commença tous à se laver en maillot de bain mais au fur et à mesure on les enleva et on avait tous la trique. Il ne restait plus qu'Adrien qui avait le sien. Faisant comme si de rien était, alors que sa queue raide dépassait par l'élastique, en direction de son nombril et qu’un sourire lubrique ornait sa face.
On s'approcha de lui et après l'avoir enduit de gel douche on le 'lava’ à huit mains. Je fus le premier à approcher ma bouche de la sienne et il n'hésita pas à me rouler une pelle fougueuse.
Bien vite son maillot de bain rejoignit les nôtres par terre et ce fut notre première séance de baise dans les vestiaires. Tout comme nous il était actif/passif.
Et c'est ainsi que notre bande se forma. Il s'avéra aussi que tous les cinq on venait d'un milieu aisé. Ça nous permit de voyager pas mal et d'assouvir un grand nombre de nos fantasmes.
Mais revenons-en à la photo parce que justement c'est de cela qu'initialement je voulais vous parler.
On était devenu des gros queutards et de grosses salopes en même temps. On faisait des paris tous aussi stupides les uns que les autres. Je ne sais comment cette idée nous était venue.
Comme on était cinq, le premier mai on devrait acheter cinq bouquets de muguet à des vendeurs différents. Chose facile à faire me direz-vous. Mais pas tant que ça non plus. Parce qu'il ne suffisait pas de l’acheter, il fallait aussi qu'on suce le vendeur et qu'on le fasse jouir.
Moins facile pas vrai ? On avait confiance les uns envers les autres. Et on jura que chaque bouquet acquis aurait son pendant de sexe.
Premier mai, sept heures. je sors de chez moi. Et ce matin, la chance est avec moi, on dirait. Un jeune vendeur s'est installé juste dans le renfoncement d'un immeuble. Il mate son téléphone en se caressant la queue. Il me voit arriver mais ce n'est pas pour autant qu'il stoppe son petit jeu.
– Salut, c'est combien le bouquet de muguet ?
– Cinq euros.
– Ok, j'en prends un.
Je sors un billet de cinquante et je le lui tends.
– J'ai pas de monnaie.
– Tu peux me la rendre en liquide, si tu veux. Je vois que tu as un sérieux problème ce matin.
– Je suis pas PD moi.
– Je te demande pas d'être PD, je te demande juste d’accepter que je te suce et je te laisse la monnaie en prime.
On alla tout au fond du renfoncement qui était sombre, il baissa son jogging et son boxer et très vite j'avalais sa queue avant de boire son sperme.
Au moment de partir il me conseilla d'aller de l'autre côté de la place. Il y avait un pote à lui que je ne pourrai pas manquer. Un grand rouquin tout maigre et de lui proposer la même chose qu'à lui en lui disant venir de la part de Tino.
Je traversais la place et là le bouquet ne me coûta que vingt euros et, bien sûr, la pipe fut acquise.
Après avoir galéré un peu et m'être fait traité de pervers, de grosse pédale, plusieurs fois, je tombais sur un petit jeune tout mignon qui craqua pour un sourire de moi. Il m'offrit mon bouquet après la fellation de sa vie. Il alla même jusqu'à sa voiture où un de ses potes dormait. Et lui aussi eu droit à sa turlute… contre un autre bouquet.
J'avais beau arpenter la place et les artères de la ville mais aucun des marchands que je croisais ne méritait ou voulait de ma bouche. J'entrais dans un bistrot pour boire un café.
Il y avait quelques rares clients, des habitués je pense et installé à une table un putain de beau gosse baraqué d’enfer. Des pecs de ouf, on voyait les bouts de ses seins qui pointaient à travers un tee-shirt moulant comme une seconde peau. Devant lui il y avait tout un tas de bouquets de muguet et quand il me vit entrer avec les miens il me fit remarquer que la place était prise et que je devrais aller ailleurs pour vendre les miens.
Je lui fis un sourire et un clin d’œil. Je commandais mon café que je bus au comptoir. Les clients présents partirent et le patron disparu à l’arrière.
– Hé beau gosse, ça te dit un pari ?
Je me retournais surpris.
– C'est quoi ton pari ?
– T'as l'air plutôt costaud, on se fait un bras de fer et celui qui perd, achète un bouquet à l’autre. Ça te va ?
– Il est pas marrant ton pari. Ça manque de piquant pour moi.
– Tu proposes quoi ?
– On se fait un bras de fer et celui qui perd suce la queue de l'autre puis avale et le gagnant lui offre un bouquet.
– T’es barge, mais ok ! Prépare-toi à sucer ma queue.
On se mit en place et on lutta un bon moment. J'aurai pu gagner. Non c'est vrai, je vous le jure mais ce n'était pas mon but. Après une lutte où chacun eut le dessus, le dos de ma main toucha la table. Il se leva et me fit signe de le suivre. On sortit du bar et on alla vers une porte cochère qu'il ouvrit. On entra dans une arrière-cour. Il défit sa ceinture, ouvrit son pantalon, baissa son boxer et souleva son tee-shirt.
– Alors t'es un mec où t'as que de la gueule ?
– J'ai perdu, j’assume.
Il n'avait pas une queue énorme mais il était endurant et un peu domi sur les bords aussi. Et c'est avec soulagement que j'avalais ses rasades de sperme.
On retourna au bar et en même temps qu'il me donna mon bouquet de muguet, il me glissa un morceau de papier sur lequel il avait noté son numéro de téléphone.
– C'est au cas où tu voudrais prendre ta revanche.
– Ok, monsieur est joueur à ce que je vois. Ça te dit qu'on corse le pari dans ce cas-là ?
– Tu proposes quoi comme pari corsé ?
– Celui qui perd suce et se fait enculer par l’autre.
– Ok ! Ne tarde pas à me téléphoner, j'ai les couilles qui rechargent vite. Un pari c'est un pari. Tiens ton bouquet et ne perds pas mon 06. je sens que je ne vais pas tarder à tester ton cul.
Je sortis, sous son sourire narquois et celui, plus commercial, du patron du bar. Et c'est là que je fis la photo de ma main tenant les cinq bouquets de muguet que j'envoyais à mes amis pour leur prouver que j'avais effectué la première partie du pari.
Ben oui ! Pauvres naïfs que vous êtes, vous ne croyez quand même pas qu'on allait s'arrêter à une chose aussi simple que de sucer cinq queues !
Ça aurait été trop facile. Maintenant, il fallait qu'on se débarrasse des bouquets.
Vous allez me demander : comment ?
Simplement en enculant ou en se faisant enculer par un des participants de la manif !
Et j'avais déjà repéré quelques proies plutôt prometteuses…
Salut les mecs,
ça y est, c'est le premier mai avec ses défilés et tous ses manifestants surexcités. Je kiffe grave trop ce genre de manifestation. Le jeu va enfin pouvoir commencer.
Quel jeu, allez-vous me demander ?
On est une bande de potes étudiants, cinq en fait. On s'est rencontré un peu par hasard.
Bruno et James, je les ai rencontré à la salle de sport, enfin, pas dans la salle proprement dite, mais dans les vestiaires. On s’y changeait ensemble et chacun capta les deux autres qui mataient - pas vraiment discrètement.
Le seul problème – pour moi - de cette salle de sport c'est que les douches sont individuelles. Il fallait donc que je les allume avant d'entrer dans la mienne, pour confirmer mes doutes. Je me suis donc foutu à poil avant d'y entrer et pour ce faire, je me suis bien penché en quittant mon boxer, afin de montrer ma raie rasée de frais. Et je n'ai pas refermé la porte en plein pour qu'ils puissent me voir aussi de face, et bien bander. Eux aussi se sont débrouillés pour que les deux autres aient une vue de leurs attributs au beau fixe. Bel exploits, avec les quelques gars qui passèrent aux vestiaires sans nous capter.
On s'est retrouvé à la sortie et on est allé boire un verre au bistrot juste à côté. Il s'est vite avéré qu'on avait beaucoup de points communs, surtout en matière de sexe.
On était gay affirmés tous les trois, on aimait jouer en faisant des paris stupides et on était exhibitionniste. Notre conversation nous avait chauffé et James nous invita chez lui pour faire plus ''ample connaissance''.
Il avait un grand studio, côté cours d'un immeuble, et il s'était rendu compte qu'un de ses voisins d'en face le matait à la jumelle quand il se branlait sur son canapé. Au fil des jours ils se matèrent par jumelles interposées, nus derrière leurs fenêtres respectives.
Ce soir-là, on allait lui donner un spectacle digne de ce nom. Quand on arriva dans son appartement, on se mit directement à poil. Puis James alla ouvrir les rideaux et regarda par la fenêtre.
– Il est chez lui. Il m’a vu et vient de sortir… Il revient avec ses jumelles. Approchez, on va lui faire la surprise.
On approcha, on tira le canapé qu'on avait ouvert près de la fenêtre et on se mit à baiser. On matait à tour de rôle à la jumelle le mec qui se branlait et tout d'un coup on put voir une longue traînée de sperme ruisseler le long de la vitre mais lui n’y était plus.
– C'est bizarre parce que d'habitude il attend que je jouisse avant de partir.
– Pas grave ça. Et si on faisait comme lui ?
On se mit en triangle et on se suça. On se remettait tout juste de nos éjaculations quand la sonnette de la porte tinta.
James se leva et regarda qui c'était par l’œilleton. Il se tourna vers nous et tendit un pouce en l'air avec un grand sourire. Il ouvrit la porte et fit entrer le visiteur qui n'était autre que notre voyeur d'en face.
Pour le mettre dans l'ambiance il lui roula directement une pelle et commença à le foutre à poil. On se leva et on alla l’aider.
Comme vous pouvez vous en douter la soirée finit en partouze. Et comme on était tous les quatre actifs et passifs, ça permit beaucoup de choses très jouissives. Et c'est ainsi que Marc entra dans notre cercle.
Après avoir fait l'amour et joui de nombreuses fois, on se calma et on discuta de nos fantasmes. Et c'est ainsi que Marc nous apprit qu'il jouait aussi à ce petit jeu avec un gars qui faisait le maître-nageur à la piscine du quartier tous les dimanches jusqu’à la fermeture.
Marc ne faisait pas de musculation mais nageait depuis des années et cela lui avait donné un corps parfait. Il nous proposa donc de venir avec lui le lendemain. On se donna rendez-vous chez lui pour seize heures.
Je restais la nuit – quasi blanche – et on se sépara après le petit déjeuner. Quand je rentrais dans ma chambre d'étudiant je cherchais un maillot de bain dans mes affaires mais je n'en avais pas. Je mis mon réveil et je m’endormis.
Le réveil sonna et je me levais. Passage par les toilettes, puis un bon café et après avoir mangé un bout, ce fut douche extérieure et intérieure. J'étais prêt. J'arrivais chez Marc quelques minutes avant l’heure. mes amis étaient déjà là. Je leur roulais une pelle à chacun. Je vis que sur la table du salon il y avait tout un ensemble de maillots de bain.
– Tu pourrais m'en prêter un, je n'en ai pas.
– Justement, on allait faire les essayages.
On se mit tous à poil et d'office Marc me tendit un maillot rouge vif. Je l’enfilais. C'était un Speedo très échancré qui une fois enfilé me cachait tout juste le sexe et encore j'étais obligé de mettre ma queue bien au milieu de la bande de tissus pour qu'elle reste en place parce qu'elle avait plutôt tendance à vouloir chercher la sortie - un coup en haut, un coup en bas. Coupé taille basse, il laissait voir le haut de mon pubis et de mes fesses.
– Il est parfait sur toi !
Je le trouvais un peu petit mais bon … Celui qu'on choisit pour James n'était pas piqué des vers non plus. Un tanga fait d’une large bande élastique jaune fluo enserrant sa taille fine et un triangle de la même couleur, devant et derrière.
Celui qu'on sélectionna pour Bruno était pas mal non plus. Tout comme celui de James il avait une large bande élastique et sur le devant un cache-sexe qui mettait bien en valeur son service trois pièces, l'arrière, lui, ne cachait que la moitié de ses fesses, verticalement.
Marc alla chercher le sien qui était classique, un boxer de bain blanc. On râlait ! Quand il nous demanda de le suivre jusqu'à la salle de bain, il fit couler l'eau et quand elle fut à température il se mit sous la douche et tourna sur lui-même. Son maillot de bain était devenu transparent. On l’adopta. Il était un petit peu plus de dix-sept heures, quand on entra à la piscine. La fille au guichet nous informa qu'elle fermait dans moins d'une heure.
On alla au vestiaire collectif où deux mecs finissaient de s’habiller. Ils partirent. On enfila nos tenues, on passa sous la douche et on se rendit au bassin. Sans grand monde, les six nageurs encore présent eurent tous les yeux braqués sur nos formes, le temps que l’on plonge. Ce qui nous amusa beaucoup.
Adrien, le maître-nageur rangeait déjà tout ce qui traînait. Il fut surpris d'entendre du bruit.
On nagea un bon moment et il ne resta plus que nous dans l’eau, quand la fille de l'entrée vint parler à Adrien. D'où j'étais j'entendais leur conversation.
– Je dois partir. J'ai un rencard, tu peux fermer à ma place ?
– Oui c'est bon, tu peux y aller. Verrouille la porte en partant. Je gère. Bonne soirée.
La fille partit. Et cinq minutes avant dix-huit heures, Adrien nous avertit que la piscine fermait. On se dirigea vers les vestiaires et ma queue et mon maillot de bain me jouèrent des tours. Je n'étais pas le seul non plus à remettre en place ma queue bandée qui ne faisait que sortir par le bas où par le haut.
Je jetais un œil sur le paquet d'Adrien qui me grilla vite fait et lui aussi avait la gaule.
Il y avait des cabines de douches individuelles mais aussi des douches collectives où on se rendit. Et après avoir disparu quelques instants Adrien revint avec une serviette et du gel douche.
On commença tous à se laver en maillot de bain mais au fur et à mesure on les enleva et on avait tous la trique. Il ne restait plus qu'Adrien qui avait le sien. Faisant comme si de rien était, alors que sa queue raide dépassait par l'élastique, en direction de son nombril et qu’un sourire lubrique ornait sa face.
On s'approcha de lui et après l'avoir enduit de gel douche on le 'lava’ à huit mains. Je fus le premier à approcher ma bouche de la sienne et il n'hésita pas à me rouler une pelle fougueuse.
Bien vite son maillot de bain rejoignit les nôtres par terre et ce fut notre première séance de baise dans les vestiaires. Tout comme nous il était actif/passif.
Et c'est ainsi que notre bande se forma. Il s'avéra aussi que tous les cinq on venait d'un milieu aisé. Ça nous permit de voyager pas mal et d'assouvir un grand nombre de nos fantasmes.
Mais revenons-en à la photo parce que justement c'est de cela qu'initialement je voulais vous parler.
On était devenu des gros queutards et de grosses salopes en même temps. On faisait des paris tous aussi stupides les uns que les autres. Je ne sais comment cette idée nous était venue.
Comme on était cinq, le premier mai on devrait acheter cinq bouquets de muguet à des vendeurs différents. Chose facile à faire me direz-vous. Mais pas tant que ça non plus. Parce qu'il ne suffisait pas de l’acheter, il fallait aussi qu'on suce le vendeur et qu'on le fasse jouir.
Moins facile pas vrai ? On avait confiance les uns envers les autres. Et on jura que chaque bouquet acquis aurait son pendant de sexe.
Premier mai, sept heures. je sors de chez moi. Et ce matin, la chance est avec moi, on dirait. Un jeune vendeur s'est installé juste dans le renfoncement d'un immeuble. Il mate son téléphone en se caressant la queue. Il me voit arriver mais ce n'est pas pour autant qu'il stoppe son petit jeu.
– Salut, c'est combien le bouquet de muguet ?
– Cinq euros.
– Ok, j'en prends un.
Je sors un billet de cinquante et je le lui tends.
– J'ai pas de monnaie.
– Tu peux me la rendre en liquide, si tu veux. Je vois que tu as un sérieux problème ce matin.
– Je suis pas PD moi.
– Je te demande pas d'être PD, je te demande juste d’accepter que je te suce et je te laisse la monnaie en prime.
On alla tout au fond du renfoncement qui était sombre, il baissa son jogging et son boxer et très vite j'avalais sa queue avant de boire son sperme.
Au moment de partir il me conseilla d'aller de l'autre côté de la place. Il y avait un pote à lui que je ne pourrai pas manquer. Un grand rouquin tout maigre et de lui proposer la même chose qu'à lui en lui disant venir de la part de Tino.
Je traversais la place et là le bouquet ne me coûta que vingt euros et, bien sûr, la pipe fut acquise.
Après avoir galéré un peu et m'être fait traité de pervers, de grosse pédale, plusieurs fois, je tombais sur un petit jeune tout mignon qui craqua pour un sourire de moi. Il m'offrit mon bouquet après la fellation de sa vie. Il alla même jusqu'à sa voiture où un de ses potes dormait. Et lui aussi eu droit à sa turlute… contre un autre bouquet.
J'avais beau arpenter la place et les artères de la ville mais aucun des marchands que je croisais ne méritait ou voulait de ma bouche. J'entrais dans un bistrot pour boire un café.
Il y avait quelques rares clients, des habitués je pense et installé à une table un putain de beau gosse baraqué d’enfer. Des pecs de ouf, on voyait les bouts de ses seins qui pointaient à travers un tee-shirt moulant comme une seconde peau. Devant lui il y avait tout un tas de bouquets de muguet et quand il me vit entrer avec les miens il me fit remarquer que la place était prise et que je devrais aller ailleurs pour vendre les miens.
Je lui fis un sourire et un clin d’œil. Je commandais mon café que je bus au comptoir. Les clients présents partirent et le patron disparu à l’arrière.
– Hé beau gosse, ça te dit un pari ?
Je me retournais surpris.
– C'est quoi ton pari ?
– T'as l'air plutôt costaud, on se fait un bras de fer et celui qui perd, achète un bouquet à l’autre. Ça te va ?
– Il est pas marrant ton pari. Ça manque de piquant pour moi.
– Tu proposes quoi ?
– On se fait un bras de fer et celui qui perd suce la queue de l'autre puis avale et le gagnant lui offre un bouquet.
– T’es barge, mais ok ! Prépare-toi à sucer ma queue.
On se mit en place et on lutta un bon moment. J'aurai pu gagner. Non c'est vrai, je vous le jure mais ce n'était pas mon but. Après une lutte où chacun eut le dessus, le dos de ma main toucha la table. Il se leva et me fit signe de le suivre. On sortit du bar et on alla vers une porte cochère qu'il ouvrit. On entra dans une arrière-cour. Il défit sa ceinture, ouvrit son pantalon, baissa son boxer et souleva son tee-shirt.
– Alors t'es un mec où t'as que de la gueule ?
– J'ai perdu, j’assume.
Il n'avait pas une queue énorme mais il était endurant et un peu domi sur les bords aussi. Et c'est avec soulagement que j'avalais ses rasades de sperme.
On retourna au bar et en même temps qu'il me donna mon bouquet de muguet, il me glissa un morceau de papier sur lequel il avait noté son numéro de téléphone.
– C'est au cas où tu voudrais prendre ta revanche.
– Ok, monsieur est joueur à ce que je vois. Ça te dit qu'on corse le pari dans ce cas-là ?
– Tu proposes quoi comme pari corsé ?
– Celui qui perd suce et se fait enculer par l’autre.
– Ok ! Ne tarde pas à me téléphoner, j'ai les couilles qui rechargent vite. Un pari c'est un pari. Tiens ton bouquet et ne perds pas mon 06. je sens que je ne vais pas tarder à tester ton cul.
Je sortis, sous son sourire narquois et celui, plus commercial, du patron du bar. Et c'est là que je fis la photo de ma main tenant les cinq bouquets de muguet que j'envoyais à mes amis pour leur prouver que j'avais effectué la première partie du pari.
Ben oui ! Pauvres naïfs que vous êtes, vous ne croyez quand même pas qu'on allait s'arrêter à une chose aussi simple que de sucer cinq queues !
Ça aurait été trop facile. Maintenant, il fallait qu'on se débarrasse des bouquets.
Vous allez me demander : comment ?
Simplement en enculant ou en se faisant enculer par un des participants de la manif !
Et j'avais déjà repéré quelques proies plutôt prometteuses…
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