CHAPITRE CXX
''Quod numquam concitatae''
''Quod numquam concitatae''
Burydan serrait contre lui le petit corps nu de Rhonin. Il l'avait déshabillé en un tournemain. Il l'embrassait à pleine bouche et caressait ses jolies petites fesses bien rebondies. Il était tellement excité, après ces trois semaines d'abstinence forcée, qu'il savait qu'il allait jouir rapidement... et il ne voulait pas... du moins, pas trop vite... et il sentait que Rhonin était dans le même état que lui...
Son petit minet était déjà à genoux et enlevait ses chaussures et ses chaussettes. Prosterné devant son maître il lui embrassa les pieds avant de s'attaquer à sa ceinture et à son pantalon. Burydan enleva sa chemise d'un mouvement ample et il vit les yeux bleus se perdre sur les reliefs escarpés de son torse. Rhonin fit tomber le pantalon de son bel étalon à ses chevilles, le lui enleva et frotta son visage contre son sous-vêtement, avant d'embrasser, lécher et mordiller la bite énorme qu'il sentait, dure comme jamais, sous l'étoffe.
Rhonin lécha lentement le ventre de son maître, juste à la limite du sous vêtement. Il entendit la respiration de Burydan s'alourdir. Il aimait l'entendre gémir quand il mordillait sa belle queue. Il tira sur le sous-vêtement. La bite de son maître était là, sous ses yeux, dure et gonflée, entièrement décalottée et le gland luisant. Rhonin sourit. Il passa une langue rose sur ses lèvres en regardant Burydan et avala le gland replet.
- Oh putain ! dit Burydan.
Rhonin s'appliqua à sucer son maître. Lentement, s'occupant d'abord de son gland joufflu, le suçant comme un beau fruit mûr, puis plus avidement, enfournant sa grosse queue dans sa bouche gourmande jusqu'à la garde. Il adorait entendre son maître gémir quand il le prenait en gorge profonde. Il adorait sentir cette belle bite épaisse lui remplir la bouche, la gorge et l'étouffer à moitié.
Burydan lui retira sa queue, toute dégoulinante de salive. Rhonin le regarda, perplexe, en essuyant ses lèvres écumeuses d'un revers de main. Burydan, les yeux gris brillants, s’assit sur le bord du lit et écarta largement les cuisses. Rhonin sourit, s’avança vers son maître sur les genoux, comme un esclave bien docile, et reprit la grosse queue dans sa bouche.
Burydan commença à gémir et posa une main sur la tête de son minet. Il lui donna le rythme qu'il souhaitait, de plus en plus vite. Il se coucha sur le lit et profita de la bouche moite de son petit esclave, et de ses mains qui caressaient son ventre et ses pecs.
Rhonin, se basant sur les pressions sur sa tête, accéléra encore. Il hésita un moment à saisir sa bite, tellement dure qu'elle lui faisait mal, pour se masturber, mais il n'en eut pas le temps. Burydan releva son buste, appuya sur la tête de Rhonin pour le maintenir fermement, pendant qu'il poussait un grand cri rauque et que sa bite explosait dans la gorge du petit esclave.
Rhonin essaya d'avaler, mais les giclées de foutre chaud étaient tellement abondantes qu'une partie s'échappa de sa bouche et coula le long de la bite de son maître.
Burydan se recoucha sur le lit, la respiration hachée. Comme il l'avait soupçonné, il avait jouit rapidement. Et une quantité de sperme impressionnante... Il se releva et regarda Rhonin qui léchait consciencieusement sa queue.
- Bon garçon... Debout esclave...
Rhonin se releva et montra sa bite dure. Il la saisit mais Burydan lui mit une tape sur la main.
- Touche pas, c'est à moi...
Rhonin gémit. Il avait tellement envie de jouir lui aussi...
- Couche toi sur le lit... sur le ventre... oui, comme ça... j'aime ça quand tu es bien docile et bien obéissant... ne bouge pas...
Burydan se leva et alla vers son sac. Il en sortit une petite corde qu'il avait toujours sur lui. Il la coupa en quatre et revint vers le lit. Rhonin le regardait, le regard interrogateur. Sourire lubrique de son maître.
Burydan glissa un oreiller plié en deux sous les reins de son minet. Il attacha sa cheville droite au bois du lit, lui écarta largement les jambes et attacha la cheville gauche. Il fit de même avec les poignets.
Rhonin était ainsi à sa merci. Et ça excita Burydan. Le voir attaché et savoir qu'il pouvait lui faire absolument tout ce qu'il voulait... même des trucs dégradants, dégoûtants, humiliants et avilissants... mais Burydan avait autre chose en tête... il avait envie de le torturer son mignon...
Il se plaça entre les cuisses de sa proie et se laissa tomber en avant, en se rattrapant juste à temps pour ne pas écraser Rhonin sous son poids. Il s'étendit de tout son long sur son minet. Sa queue, de nouveau dure et raide, se nicha comme d'elle même entre les fesses toutes douces de son blondinet. Son ventre épousa intimement la belle chute de reins de Rhonin, son torse se colla au dos frêle, il écrasa sa langue dans la nuque de son minet et commença à le caresser, partant de ses épaules à ses bras, et de ses bras à ses avant-bras, avant d'emmêler ses doigts à ceux de Rhonin. Puis, lentement, Burydan commença à faire onduler son bassin, frottant sa phénoménale érection contre le petit œillet de son minet, qui criait famine depuis trois longues semaines.
Il fit de lents aller-retour pendant un long moment, embrassant Rhonin dans le cou. De gros baisers mouillés accompagnés de coups de langues, et se mit à grignoter les oreilles de son minet. Il savait qu'il adorait ça et, de fait, Rhonin se mit à gémir. Burydan descendit.
Gros baisers et coups de langue sur le dos de son minet. Il goûtait sa peau de lait sur toute la largeur de son dos, puis sur les côtés aussi, arrachant de gémissements un peu plus forts à Rhonin. Arrivé aux reins, il remonta d'un long lapement le long de la colonne vertébrale jusqu'à la nuque, où il écrasa de nouveau sa langue. Puis repartit en gros baisers sur le dos, sur les côtes, sur les hanches, avant de remonter encore et encore...
Alors que Rhonin gémissait comme un perdu, son maître s’appesantit sur ses reins, les caressant et les embrassant. Puis des reins il passa aux fesses. Aux adorables petites fesses toutes douces de son petit esclave. Ce minet avait le plus beau petit cul qu'il ait jamais vu, tout rond et bien rebondi... et le plus confortable aussi... et la bite de Burydan durcie un peu plus à l'idée qu'il allait bientôt le posséder...
Il commença à caresser, à embrasser, à lécher et à mordiller les deux globes charnus. Il mordit un peu plus fort la fesse gauche. Petit couinement désapprobateur de Rhonin. Burydan sourit et mit un grand coup de langue sur la morsure pour se faire pardonner. Il n'avait pas pu résister... il était tellement appétissant son beau petit cul...
Burydan écarta les fesses de son blondinet. Petit trou marron clair qui palpitait... Burydan laissa tomber de longs filets de salive et sa langue slaloma dans le sillon de Rhonin, de bas en haut et de haut en bas, lui arrachant un petit couinement à chaque fois qu'elle butait sur son entrée...
Salivant abondamment, le maître s’appesantit sur le petit cratère onctueux de son esclave, lapant avec délectation la chair rose tendre et ouvrant le petit trou de la pointe de sa langue. Langue qui s'engouffra dans l'intimité de Rhonin quand, sous les assauts répétés, le muscle céda enfin.
Burydan fit entrer et sortir sa langue baveuse, puis le remplaça par un, deux, puis trois doigts fouineurs qui ouvrirent Rhonin complètement. Il gémissait en se tortillant, et quand son maître retira ses doigts, son œillet ne se referma même pas. Et, bien qu'il cru ça impossible, Burydan banda encore plus fort.
- Baisez-moi, maître... baisez-moi, s'il vous plaît... j'en peux plus...
Burydan sourit... ''Pas encore, bébé, pensa-t-il, pas encore''.
Il lécha l'arrière des cuisses de Rhonin jusqu'à ses chevilles, puis remonta en léchant l'intérieur. Il s’appesantit sur la peau fine du périnée, le léchant de toute la largeur de sa langue et dessinant la couture de la pointe.
Il détacha les chevilles et les poignets de Rhonin et dit :
- Allez, sur le dos esclave...
Rhonin obéit et, à peine était-il en positon que Burydan remit un oreiller sous ses reins et l'attacha de nouveau. Il contempla un instant son minet. Une fine pellicule de sueur couvrait son petit corps, et une trace visqueuse sur son ventre trahissait son état d'excitation. Tout comme sa bite dure, dressée et complètement décalottée, et son gland luisant. Les petites gouttes translucides qui s'échappaient de son méat firent saliver Burydan. Il crevait d'envie d'avaler jusqu'à la garde cette jolie bite, mais se refréna. Il n'en avait pas encore finit avec son supplicié...
Burydan se coucha sur Rhonin, collant son érection tout contre la sienne, et se pencha vers lui. Les bouches n'étaient plus qu'à un pouce l'une de l'autre, quand il s'arrêta. Rhonin releva la tête pour embrasser son maître, mais celui-ci se recula en souriant. Petit gémissement de frustration de Rhonin. Son bel étalon refit ce petit jeu plusieurs fois, puis ses lèvres frôlèrent celles de son blondinet. Un frôlement tellement furtif et fugace que Rhonin ne savait pas s'il avait vraiment eut lieu où s'il l'avait tellement espéré qu'il s'en était persuadé... Mais Burydan ne le laissa pas trop réfléchir et lécha ses lèvres d'une langue baveuse. S'ensuivirent une kyrielle de gros baisers mouillés, plus humides et langoureux les uns que les autres, qui se terminèrent par l'esclave suçotant la langue de son maître, puis par le maître suçotant la langue de son esclave.
Burydan embrassa et lécha le cou de Rhonin, la fine peau juste au-dessus de sa clavicule, en descendant lentement vers sa poitrine. Il caressa du bout des doigts ses petits tétons roses, fit durcir et gonfler le droit et se jeta sur lui, le léchant, le suçotant et le mordillant en pinçant le gauche entre deux doigts. Rhonin gémit de plus belle au fur et à mesure que son maître passait d'un téton à l'autre, inlassablement.
Burydan lécha le creux de l'épaule de Rhonin, la peau fine de l'intérieur de son bras, et commença à laper son aisselle droite. Cette caresse, que lui adorait, plaisait aussi à Rhonin...
- Oh oui, maître... oh, c'est bon...
Burydan ne se le fit pas dire deux fois, et lécha encore et encore son minet, passant d'une aisselle à l'autre.
Il repartit à l'assaut du petit corps offert. Il lécha le ventre doux et chaud, s’attarda un peu sur le nombril, puis alla jusque sur les côtés, aspirant la peau douce entre ses lèvres. Rhonin se mit à pousser des gémissements encore plus forts quand Burydan lécha son aine droite, puis la gauche et il gémit un :
- Oh oui, maître...
quand Burydan commença à lécher ses belles couilles bien pleines.
Burydan releva la tête après un long moment. Les couilles de Rhonin dégoulinaient de salive et sa queue pulsait et était agitée de soubresauts.
- Oh, prenez moi, maître, prenez moi...
- Supplie moi esclave !
- Je vous en supplie, maître, baisez moi... baisez votre petit esclave...
Burydan sourit. Il cracha dans sa main et lubrifia sa bite, mais, au lieu de pénétrer son minet, il se coucha de tout son long sur lui. Il se tortilla pour que sa bite soit contre celle de Rhonin, compressées toutes les deux entre leurs ventres en sueur.
- Prêt à jouir, bébé ?
Rhonin ne comprit pas tout de suite. Il pensait que son maître allait le prendre mais...
- Oh, maitreeee !
Burydan commençait à aller et venir sur lui. Sa bite était tellement dure qu'elle lui faisait mal, et sentir celle de Burydan tout contre était encore plus excitant. Et maintenant il sentait le ventre noueux se frotter contre elle. Rhonin était en transe. Il avait tellement envie de jouir qu'il se mit à crier comme un perdu :
- Oh oui, maître ! Oh, oui, c'est bon ! Oh, encore maître, encore !
Mais Burydan s'arrêta.
- Oh non, maître ! Ne vous arrêtez pas...
- Demande grâce, esclave !
- Oh grâce, maître, grâce !
Burydan reprit ses va-et-vient et Rhonin se remit à crier
- Oh, oui ! Oh, faites moi jouir maître ! J'en peux plus ! Oh oui, encore ! Encore !
Mais Burydan s'arrêta de nouveau. Rhonin gémit et Burydan le regarda avec un sourire lubrique.
- Je vais peut-être te laisser comme ça et revenir dans une heure ou deux...
- Oh maître non, pitié... faites moi jouir, je vous en supplie... sinon je vais... exploser... je vais en crever... Pitié, maître, faites jouir votre petit esclave... j'ai été un gentil garçon docile et obéissant, alors, par pitié maître, faites moi jouir...
Burydan reprit ses allers-retours lascifs, d'abord lentement, puis de plus en plus vite, étouffant les cris de Rhonin par des baisers fougueux...
- Oh je vais jouir maître... je vais jouir... oh oui... oh ouiiii... oh ouiiiiiiiii !!!
Le dernier ''i'' mourut au fond de sa gorge et il jouit intensément. Ces trois semaines d'abstinence forcée se combinèrent à l'excitation du moment et sa queue explosa en un geyser de foutre. Jamais il n'avait envoyé une telle quantité de sperme ni jouit aussi longtemps. Il sentait sa bite pulser entre les deux ventres noueux et son cerveau explosa, noyer par une immense lame de fond de plaisir pur...
Burydan continua à se déhancher lascivement sur Rhonin, puis crapahuta pour se placer au dessus de son visage et se branla frénétiquement. Voir son minet jouir comme ça l'avait tellement excité que quelques mouvements de poignets suffirent à le faire jouir à son tour, plusieurs jets de foutre tiède striant le beau visage en extase de son blondinet.
Burydan se recoucha contre Rhonin après lui avoir retiré ses liens, et l'enlaça tendrement. Rhonin enroula ses cuisses autour des reins de son maître, ses mains caressèrent son dos, et ils restèrent ainsi un long moment, soudés l'un à l'autre.
Burydan se remit sur le côté et regarda son minet. Il était littéralement couvert de foutre. Le sien, sur son petit corps fragile, et celui de Burydan, sur son beau visage.
Il se pencha vers Rhonin, du pouce essuya ses lèvres couvertes de sperme, et l'embrassa passionnément.
- Je t'aime, Rhonin...
- Je... je t'aime... Burydan...
Il sourit. C'était la première fois que son petit esclave le tutoyait et l'appelait ''Burydan''.
Ils s'embrassèrent de nouveau, allèrent jusqu'à la salle d'eau pour se débarbouiller, se recouchèrent et, comme ils en avaient pris l'habitude, Rhonin se coucha de tout son long sur son maître. Et c'est là qu'il s'endormit, repus de caresses sensuelles et de baisers brûlants.