18-04-2021, 11:05 AM
Après avoir eu un peu de difficultés à s’habiller et aller aux toilettes seul, il descendit au salon. Il y retrouva Florine, qui semblait aussi énergique que lui.
-"Bonjour jeune homme" fit-elle avec entrain. "Tu as faim ? "
-"Je suis affamé ! "
-"C’est bon signe, ça " dit-elle avec un sourire à croquer. "Que veux-tu manger ? "
-"Euuh…" Répondre « toi » aurait sans doute été trop cavalier. "Un grand café et quelques tartines de confitures feront l’affaire ! " se reprit-il.
-"Très bien, Monsieur, c’est parti ! "
Clément ne put retenir un frisson au surnom de "monsieur" et il voyait que Florine avait aussi rougi avant de se retourner. Tout le déjeuner, Clément le passa assis au plan de travail qui séparait la cuisine du salon et où elle lui avait servi son repas et le regard en admiration devant la jeune fille. Elle avait lâché ses longs cheveux raides qui voletaient autour de ses épaules à chaque fois qu’elle bougeait dans la cuisine. Ses yeux pétillaient ce matin. Elle portait cet ensemble qui l’avait déjà fait craquer : son pantalon fin rouge et son T-shirt à large décolleté qui laissait une de ses épaules nue. Un peu plus nue que l’autre jour d’ailleurs. Il pouvait presque voir le haut de son sein. Et elle ne portait toujours pas de soutien-gorge. Une seconde, il passa par la tête du jeune homme qu’elle s’était habillée comme ça pour le provoquer.
A chaque mouvement qu’elle faisait, il pouvait presque déceler ses jolis seins balancer sous le tissu. Ces seins qu’il avait goûté hier soir, qu’il avait eu dans la bouche pendant qu’elle gémissait doucement. Cela lui sembla comme un rêve. Une érection s’était mise à déformer son short.
-"Tu as l’air ailleurs, ce matin. "
-"O..oui..non, je veux dire. "
-"Tu as encore mal dormi ? " fit-elle, inquiète, en appuyant ses coudes sur le comptoir devant lui.
Le corps de Clément fut parcouru d’un nouveau frisson intense. Ainsi penchée en avant, la jeune fille lui donnait une vue imprenable sur son décolleté. Un bref regard sur les seins serrés entre les bras de Florine lui suffit à piquer un fard et à rendre clairement inconfortable son érection. Si elle avait vu sa réaction, elle ne changea pas de position pour autant. A quoi jouait-elle ? Le faisait-elle réellement exprès ? Depuis hier soir, il était évident que cohabitait en elle un caractère timide et dévouée et une femme pleine de désir. Désir pour Clément ? Il s’en laissait progressivement convaincre.
-"Non, non, j’ai dormi comme une souche. " se défendit-il en s’efforçant de relever les yeux. "
-"Tu as peut-être besoin de prendre l’air ? Ca fait quelques jours qu’on est resté à la maison et tu as l’air d’avoir repris des forces. "
-"Oui, pourquoi ne pas aller se promener dans la forêt cet après-midi" fit Clément en sautant sur l’occasion de changer de sujet. "Il y a un parcours sympa et assez facile. "
-"Alors faisons-ça" lança-t-elle en se redressant avec entrain.
Après le petit-déjeuner, Florine laça les baskets de Clément et ils profitèrent de la fraîcheur de la matinée pour se rendre dans la forêt à seulement 1 km de la maison. Sous les arbres, ils se régalèrent d’une de leurs discussions animées qu’ils affectionnent particulièrement. Clément se faisant l’avocat du diable pour asticoter Florine. Le jeune homme ne peut s’empêcher de laisser ses yeux passer sur la poitrine de la jeune fille, savourant les mouvements de ses seins libres sous le T-shirt.
Florine semblait particulièrement aimer cette promenade forestière. Elle voletait autour de Clément, cueillant des fleurs sauvages, en sentant d’autres, s’émerveillait à la vue d’un écureuil qui déguerpissait. Clément l’en aimait davantage et cet amour qui se renforçait en devenait presque douloureux de rester inexprimé.
Florine bougeait avec grâce autour de lui, lui glissant parfois des regards où il ne semblait plus voir seulement de l’affection pour son patient. Une petite voix se glissait au travers du mur de timidité et de manque de confiance en soi de son esprit pour lui susurrer qu’elle était attirée par lui. Et cette pensée le réchauffait.
Parfois, Florine passait dans un rayon de soleil qui glissait entre les feuilles. Dans ces moments, ses vêtements si fins semblaient devenir transparents. Plus d’une fois, Clément avait vu l’ombre de la silhouette de son buste, de ses longues jambes fines et il en avait frissonné des pieds à la tête. Il l’aimait et la désirait. Ardemment. Mais il n’avait pas encore amassé assez de courage pour lui exprimer.
Vers la fin de la promenade, Clément faillit tomber en marchant sur un lacet qui s’était défait. Marchant à côté de lui, elle le saisit et le rattrapa. Il avait senti ses seins s’écraser contre son bras et un feu s’était allumé dans son bas-ventre.
-"Excuse-moi, je n’ai pas dû le serrer assez. C’est pas facile de le faire sur quelqu’un d’autre" ajouta-t-elle en s’agenouillant devant Clément.
Réalisant la position de la jeune fille et son érection qui pointait à nouveau le bout de son nez, il voulut la relever. La vue en plongée sur Florine était une vision du paradis. Penchée vers son pied, elle laissait à nouveau à sa vue son large décolleté. Clément pouvait sentir son pénis palpiter en admirant les deux jolis seins nus sous ses yeux. Ces tétons qu’il avait sucés hier, qu’il rêvait de prendre à nouveau en bouche. Ces courbes qu’il avait suivi de ses lèvres. Son souffle s’accélérait déjà. C’est à ce moment que Florine releva la tête et se redressa. C’était impossible qu’elle ne voie pas l’énorme érection qui déformait son short juste devant elle. Clément en eut la confirmation quand un léger sourire déforma le coin de sa bouche le temps qu’elle se redresse.
-"Ça devrait tenir maintenant. Au moins jusqu’à ce qu’on rentre à la maison" déclara-t-elle.
-"Merci" parvînt-il à articuler, moitié gêné, moitié excité.
Quand ils passèrent devant la maison de la tante de Florine, celle-ci les averti que les agents municipaux étaient passés ce matin pour indiquer qu’ils avaient coupé l’eau jusqu’au début de soirée.
-"La seule eau chaude qui vous reste est celle contenue dans votre ballon. " avait-elle déclaré.
Les deux jeunes la remercièrent et Florine en profita pour donner de ses nouvelles et de celles du rétablissement de Clément. En rentrant, le grand air les avaient affamés. Florine prépara un déjeuner rapide qu’ils avalèrent en une bouchée. Puis, elle demanda à Clément ce qu’il voulait faire cet après-midi. Ayant un peu transpiré durant la promenade et étant encore couvert de l’huile de massage, il surmonta sa timidité et demanda à son infirmière de l’aider à se doucher. Toute dévouée, elle avait accepté et ils avaient rejoint la salle de bain. Clément appréhendait encore de se retrouver nu devant elle et de ne pouvoir retenir une érection. Pourtant, cette gêne avait déjà pas mal diminuée depuis le début de leur semaine à deux, et plus encore depuis hier soir. Ses pensées dérivèrent vers les caresses de Florine sur son corps puis sa main enserrant sa verge palpitante.
Il fut secoué en entendant soudain la voix de Florine.
-"Bonjour jeune homme" fit-elle avec entrain. "Tu as faim ? "
-"Je suis affamé ! "
-"C’est bon signe, ça " dit-elle avec un sourire à croquer. "Que veux-tu manger ? "
-"Euuh…" Répondre « toi » aurait sans doute été trop cavalier. "Un grand café et quelques tartines de confitures feront l’affaire ! " se reprit-il.
-"Très bien, Monsieur, c’est parti ! "
Clément ne put retenir un frisson au surnom de "monsieur" et il voyait que Florine avait aussi rougi avant de se retourner. Tout le déjeuner, Clément le passa assis au plan de travail qui séparait la cuisine du salon et où elle lui avait servi son repas et le regard en admiration devant la jeune fille. Elle avait lâché ses longs cheveux raides qui voletaient autour de ses épaules à chaque fois qu’elle bougeait dans la cuisine. Ses yeux pétillaient ce matin. Elle portait cet ensemble qui l’avait déjà fait craquer : son pantalon fin rouge et son T-shirt à large décolleté qui laissait une de ses épaules nue. Un peu plus nue que l’autre jour d’ailleurs. Il pouvait presque voir le haut de son sein. Et elle ne portait toujours pas de soutien-gorge. Une seconde, il passa par la tête du jeune homme qu’elle s’était habillée comme ça pour le provoquer.
A chaque mouvement qu’elle faisait, il pouvait presque déceler ses jolis seins balancer sous le tissu. Ces seins qu’il avait goûté hier soir, qu’il avait eu dans la bouche pendant qu’elle gémissait doucement. Cela lui sembla comme un rêve. Une érection s’était mise à déformer son short.
-"Tu as l’air ailleurs, ce matin. "
-"O..oui..non, je veux dire. "
-"Tu as encore mal dormi ? " fit-elle, inquiète, en appuyant ses coudes sur le comptoir devant lui.
Le corps de Clément fut parcouru d’un nouveau frisson intense. Ainsi penchée en avant, la jeune fille lui donnait une vue imprenable sur son décolleté. Un bref regard sur les seins serrés entre les bras de Florine lui suffit à piquer un fard et à rendre clairement inconfortable son érection. Si elle avait vu sa réaction, elle ne changea pas de position pour autant. A quoi jouait-elle ? Le faisait-elle réellement exprès ? Depuis hier soir, il était évident que cohabitait en elle un caractère timide et dévouée et une femme pleine de désir. Désir pour Clément ? Il s’en laissait progressivement convaincre.
-"Non, non, j’ai dormi comme une souche. " se défendit-il en s’efforçant de relever les yeux. "
-"Tu as peut-être besoin de prendre l’air ? Ca fait quelques jours qu’on est resté à la maison et tu as l’air d’avoir repris des forces. "
-"Oui, pourquoi ne pas aller se promener dans la forêt cet après-midi" fit Clément en sautant sur l’occasion de changer de sujet. "Il y a un parcours sympa et assez facile. "
-"Alors faisons-ça" lança-t-elle en se redressant avec entrain.
Après le petit-déjeuner, Florine laça les baskets de Clément et ils profitèrent de la fraîcheur de la matinée pour se rendre dans la forêt à seulement 1 km de la maison. Sous les arbres, ils se régalèrent d’une de leurs discussions animées qu’ils affectionnent particulièrement. Clément se faisant l’avocat du diable pour asticoter Florine. Le jeune homme ne peut s’empêcher de laisser ses yeux passer sur la poitrine de la jeune fille, savourant les mouvements de ses seins libres sous le T-shirt.
Florine semblait particulièrement aimer cette promenade forestière. Elle voletait autour de Clément, cueillant des fleurs sauvages, en sentant d’autres, s’émerveillait à la vue d’un écureuil qui déguerpissait. Clément l’en aimait davantage et cet amour qui se renforçait en devenait presque douloureux de rester inexprimé.
Florine bougeait avec grâce autour de lui, lui glissant parfois des regards où il ne semblait plus voir seulement de l’affection pour son patient. Une petite voix se glissait au travers du mur de timidité et de manque de confiance en soi de son esprit pour lui susurrer qu’elle était attirée par lui. Et cette pensée le réchauffait.
Parfois, Florine passait dans un rayon de soleil qui glissait entre les feuilles. Dans ces moments, ses vêtements si fins semblaient devenir transparents. Plus d’une fois, Clément avait vu l’ombre de la silhouette de son buste, de ses longues jambes fines et il en avait frissonné des pieds à la tête. Il l’aimait et la désirait. Ardemment. Mais il n’avait pas encore amassé assez de courage pour lui exprimer.
Vers la fin de la promenade, Clément faillit tomber en marchant sur un lacet qui s’était défait. Marchant à côté de lui, elle le saisit et le rattrapa. Il avait senti ses seins s’écraser contre son bras et un feu s’était allumé dans son bas-ventre.
-"Excuse-moi, je n’ai pas dû le serrer assez. C’est pas facile de le faire sur quelqu’un d’autre" ajouta-t-elle en s’agenouillant devant Clément.
Réalisant la position de la jeune fille et son érection qui pointait à nouveau le bout de son nez, il voulut la relever. La vue en plongée sur Florine était une vision du paradis. Penchée vers son pied, elle laissait à nouveau à sa vue son large décolleté. Clément pouvait sentir son pénis palpiter en admirant les deux jolis seins nus sous ses yeux. Ces tétons qu’il avait sucés hier, qu’il rêvait de prendre à nouveau en bouche. Ces courbes qu’il avait suivi de ses lèvres. Son souffle s’accélérait déjà. C’est à ce moment que Florine releva la tête et se redressa. C’était impossible qu’elle ne voie pas l’énorme érection qui déformait son short juste devant elle. Clément en eut la confirmation quand un léger sourire déforma le coin de sa bouche le temps qu’elle se redresse.
-"Ça devrait tenir maintenant. Au moins jusqu’à ce qu’on rentre à la maison" déclara-t-elle.
-"Merci" parvînt-il à articuler, moitié gêné, moitié excité.
Quand ils passèrent devant la maison de la tante de Florine, celle-ci les averti que les agents municipaux étaient passés ce matin pour indiquer qu’ils avaient coupé l’eau jusqu’au début de soirée.
-"La seule eau chaude qui vous reste est celle contenue dans votre ballon. " avait-elle déclaré.
Les deux jeunes la remercièrent et Florine en profita pour donner de ses nouvelles et de celles du rétablissement de Clément. En rentrant, le grand air les avaient affamés. Florine prépara un déjeuner rapide qu’ils avalèrent en une bouchée. Puis, elle demanda à Clément ce qu’il voulait faire cet après-midi. Ayant un peu transpiré durant la promenade et étant encore couvert de l’huile de massage, il surmonta sa timidité et demanda à son infirmière de l’aider à se doucher. Toute dévouée, elle avait accepté et ils avaient rejoint la salle de bain. Clément appréhendait encore de se retrouver nu devant elle et de ne pouvoir retenir une érection. Pourtant, cette gêne avait déjà pas mal diminuée depuis le début de leur semaine à deux, et plus encore depuis hier soir. Ses pensées dérivèrent vers les caresses de Florine sur son corps puis sa main enserrant sa verge palpitante.
Il fut secoué en entendant soudain la voix de Florine.