18-04-2021, 12:02 AM
Deuxième ruelle,
Marek marchait dans les rues du village éclairées à la vapeur de sodium. Il ne croisa personne, les habitants respectaient le couvre-feu. On aurait pu s’étonner de sa tenue : torse nu alors qu’il faisait encore froid en cette soirée de mars.
Il n’était jamais venu dans cette région mais il savait exactement où il allait, une maison près de l’église où vivait un homme avec sa gouvernante. Marek savait qu’elle serait absente, elle était à l’enterrement de sa sœur.
Marek sonna, l’homme ouvrit sans se méfier, il avait l’habitude de visites le soir, c’était en général pour l’onction d’un malade. Il sursauta en voyant le jeune homme, fit le signe de croix.
— Toi, ici ? dit l’homme.
— Oui, moi, ici.
— Ils t’ont laissé sortir ? Je croyais…
— Vous croyiez que je serais interné à vie ? Je me suis enfui.
— Et comment m’as-tu retrouvé ? Comment es-tu arrivé ici sans argent ?
— Je me suis débrouillé.
— Tu viens me tuer ?
Marek entra, ferma la porte, mit la clef dans la poche de son pantalon.
— Non, je viens finir ce que vous avez commencé. Me faire enculer.
— Tu… voudrais…
— Vous n’avez pas osé lorsque j’étais enfant, vous vous contentiez de me sucer, maintenant je suis un homme, vous pouvez le faire.
— Tu es malade, laisse-moi appeler une ambulance, on te reconduira à l’hôpital.
Marek se déshabilla, présenta ses fesses à l’homme et lui dit :
— Je suis prêt, sans préservatif, je sais que vous êtes clean.
L’homme était fasciné par le corps offert de Marek, il savait que ce serait la première et la dernière fois qu’il pourrait en profiter, il ne se faisait pas d’illusions sur les intentions du visiteur. Il baissa son froc et enfonça son pénis érigé dans le rectum.
Lorsque la servante rentra le lendemain, elle fut horrifiée en découvrant l’homme étendu sur le sol, nu depuis la ceinture. Elle fit le signe de croix avant d’appeler la police. L’enquête et l’autopsie conclurent à une mort naturelle, un arrêt cardiaque.
La nouvelle se répandit, les ragots allèrent bon train, il était mort en jouissant, en se branlant, ou pire, avec un prostitué. Cela n’étonna guère les villageois, l’homme aurait eu une histoire dans son ancienne paroisse avec un servant de messe, on sait bien que les curés sont tous des pédés.
La mort de Marek le même jour dans un hôpital psychiatrique à l’autre bout du pays n’intéressa personne. Sa famille fit dire une messe pour le repos de son âme.
Marek marchait dans les rues du village éclairées à la vapeur de sodium. Il ne croisa personne, les habitants respectaient le couvre-feu. On aurait pu s’étonner de sa tenue : torse nu alors qu’il faisait encore froid en cette soirée de mars.
Il n’était jamais venu dans cette région mais il savait exactement où il allait, une maison près de l’église où vivait un homme avec sa gouvernante. Marek savait qu’elle serait absente, elle était à l’enterrement de sa sœur.
Marek sonna, l’homme ouvrit sans se méfier, il avait l’habitude de visites le soir, c’était en général pour l’onction d’un malade. Il sursauta en voyant le jeune homme, fit le signe de croix.
— Toi, ici ? dit l’homme.
— Oui, moi, ici.
— Ils t’ont laissé sortir ? Je croyais…
— Vous croyiez que je serais interné à vie ? Je me suis enfui.
— Et comment m’as-tu retrouvé ? Comment es-tu arrivé ici sans argent ?
— Je me suis débrouillé.
— Tu viens me tuer ?
Marek entra, ferma la porte, mit la clef dans la poche de son pantalon.
— Non, je viens finir ce que vous avez commencé. Me faire enculer.
— Tu… voudrais…
— Vous n’avez pas osé lorsque j’étais enfant, vous vous contentiez de me sucer, maintenant je suis un homme, vous pouvez le faire.
— Tu es malade, laisse-moi appeler une ambulance, on te reconduira à l’hôpital.
Marek se déshabilla, présenta ses fesses à l’homme et lui dit :
— Je suis prêt, sans préservatif, je sais que vous êtes clean.
L’homme était fasciné par le corps offert de Marek, il savait que ce serait la première et la dernière fois qu’il pourrait en profiter, il ne se faisait pas d’illusions sur les intentions du visiteur. Il baissa son froc et enfonça son pénis érigé dans le rectum.
Lorsque la servante rentra le lendemain, elle fut horrifiée en découvrant l’homme étendu sur le sol, nu depuis la ceinture. Elle fit le signe de croix avant d’appeler la police. L’enquête et l’autopsie conclurent à une mort naturelle, un arrêt cardiaque.
La nouvelle se répandit, les ragots allèrent bon train, il était mort en jouissant, en se branlant, ou pire, avec un prostitué. Cela n’étonna guère les villageois, l’homme aurait eu une histoire dans son ancienne paroisse avec un servant de messe, on sait bien que les curés sont tous des pédés.
La mort de Marek le même jour dans un hôpital psychiatrique à l’autre bout du pays n’intéressa personne. Sa famille fit dire une messe pour le repos de son âme.
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)