16-04-2021, 07:25 PM
Les mâles ont laissé ces gamines batifoler et jugent le moment venu de prendre les commandes. Agrippant Cassandra par ses cheveux, comprimant leurs crânes, serrant leurs cous, ils laminent les gorges des adolescentes et leurs couilles heurtent leurs mentons. Les obscènes gargouillis émis par les adolescentes lors de cette session de gagging galvanisent les mâles. La bave coule à flots et de longs filets de salive s’étirent entre les glands et leurs lèvres. Les mâles les insultent et rougissent leurs joues, leurs seins et leurs culs. Jürgen, branlé par Roxana, pince ses narines, enfourne quatre doigts dans sa bouche et malmène sa luette avant de barbouiller son minois avec sa main enduite de salive. Les bites s’introduisent par paires dans leurs bouches accueillantes et déforment leurs lèvres. Roxana pompe la queue d’Attila tandis que la tonique Cassandra, de lèche-couilles, se mue en lèche-culs, et fait reluire sa pastille fripée. Les adolescentes échangent fréquemment leurs places et lèchent les rondelles velues des mâles en train de limer la bouche amie. Cassandra et Roxana, gorges investies par les bites, suffoquent. Cassandra, facétieuse, pince ses narines et s’étrangle elle-même. Leurs mâchoires sont meurtries et leurs gorges sont saccagées. Leurs visages sont souillés de leurs salives, de crachats et de traînées de khôl et de mascara le long de leurs joues. Cassandra a des mèches de cheveux collées sur ses joues et sur son front.
Les camarades sont séparées. Cassandra est installée sur un canapé éventré où Bodo butine sa chatte pendant que son comparse Otto lui délivre une savoureuse feuille de rose. Elle couine de plaisir et écrase leurs têtes contre ses trous. Les mâles lui font ensuite subir une éprouvante séance de facefucking. Ils coincent sa tête entre leurs cuisses, harcèlent sa gorge et doigtent sa chatte trempée. Cassandra, qui a perdu de sa superbe, halète, étouffe et émet des borborygmes qui font ricaner les mâles. Allongée sur son dos, ses cuisses contre le dossier du canapé et sa tête à l’envers, sans aucune échappatoire, les queues forcenées bombardent sa gorge alors qu’elle astique les bites. Ses yeux exorbités, elle échoue à réprimer un énième haut-le-cœur. Le vomi éclabousse sa gueule d’ange déchu et s’entremêle dans ses blonds cheveux. Lothar étale avec sa bite cette dégoûtante substance et applique un immonde masque de beauté sur son minois. Les mâles fourrent sa gorge anéantie et le vomi se déverse à maintes reprises sur sa face. La beauté de la ravissante auriverde s’est évaporée maintenant que son visage luisant de gerbe a viré à l’écarlate, que ses yeux sont embués et que son nez est morveux. Cassandra, son regard vitreux, semble éteinte mais la caméra de Bianka capte de furtifs et mystérieux sourires.
Karsten enfouit la tête de Roxana sous un sac en papier gras empestant le burger et les frites, fait un trou au niveau de sa bouche et se gausse d’elle de sa voix rauque.
« J’me sens mieux quand j’vois pas ta sale gueule de trans’ ! »
Toujours agenouillée, ses bras bloqués derrière son dos, les mâles misogynes baisent sa bouche anonyme avec une intensité inouïe, s'acharnent sur sa gorge et engouffrent leurs queues jusqu’aux couilles. Ses retentissants gargouillis couvrent les entêtants froissements du sac en papier. La coriace Roxana, cible de rafales de gifles sur ses seins et sur sa vulve, affaiblie par ce déferlement ininterrompu de chibres dans sa gorge, lutte elle aussi en vain contre un haut-le-coeur et dégobille. Les mâles dégénérés, leurs toisons saupoudrées de gerbe, continuent à labourer sa bouche alors qu’elle baigne dans d’infects relents de vomi et lui font rendre tripes et boyaux. Le vomi grumeleux nappe ses seins et ses abdos, et imbibe sa dense forêt noire. Dragan l’installe en levrette, claque son cul et introduit sa queue à sec. Il s’égosille et lui vrille les tympans de sa voix stridente.
« J’vais t’démolir l’trou d’balle, pétasse ! »
Les mâles négligent sa chatte touffue tandis que son anus non lubrifié encaisse une alternance de percutants coups de boutoir et de vifs va-et-vient qui chauffent à blanc ses entrailles. Entre deux sodomies, sa gorge toujours limée, son anus supplicié est écartelé par des doigts osseux et potelés.
Les indissociables adolescentes sont livrées à elles-mêmes, leurs gorges saccagées par des mâles aussi hargneux que haineux. Les bites, à peine extraites de l’une des deux bouches ou du cul de Roxana, sont replongées dans l’anus de l’Eurasienne ou dans le gosier ami, gavé à distance.
Les mâles s’essuient avec le crop top de Roxana et avec la combishort de Cassandra, récupérés dans l’un des sacs en bandoulière et profitent du réfrigérateur en enquillant des bouteilles de bière fraîche afin de se désaltérer. Ils récupèrent aussi les billets éparpillés sur le sol, récompense amplement méritée pour ces forçats du sexe, et fouillent dans les portefeuilles des adolescentes pour s’emparer des quelques billets et pièces s’y trouvant encore. Les caméras immortalisent chaque instant de la spectaculaire dégradation des lycéennes qui s’abstiendront à l’avenir de se targuer d’être lesbiennes et féministes radicales. Bianka a oublié de les informer que le tournage est retransmis en direct, leurs numéros de téléphones fréquemment divulgués. Lothar brandit sournoisement devant la caméra de Maximilian leurs pièces d’identité et met en péril les adolescentes qui ne sont plus protégées par leurs pseudonymes.
Roxana est libérée du sac en papier en lambeaux. Son visage trempé de bave et de gerbe, une veine pulsant sur son front, est dégueulasse. La coriace Roxana soutient les regards de ses bourreaux, essuie son visage d’un revers de main et, rancunière, caresse ses seins et mime une masturbation. Effrontée, un sourire moqueur aux lèvres, elle fustige les mâles.
« Si j’avais une queue, je vous montrerais comment vous en servir, enfoirés ! »
Les mâles furieux matent immédiatement ce début de rébellion et sévissent. Elle récolte des baffes en guise de représailles. Les mâles la bousculent, dévastent sa gorge déjà martyrisée, l’enculent avec de véhéments coups de reins et font un carnage. Roxana hurle, a de violentes quintes de toux et crache de la bile sur le sol.
Roxana et Cassandra sont décontenancées quand elles aperçoivent quatre nouveaux visages. Friedrich, quarante-quatre ans, visage allongé au teint cireux et cheveux jaune paille coiffés en mulet, très courte frange, sa jambe gauche amputée au-dessus de la cheville et qui se déplace à l’aide de béquilles en bois, et Ulrich, quarante-cinq ans, visage blême scarifié et crâne chauve, sa peau quasi-intégralement tatouée et abondamment piercée, sont des grands échalas décharnés aux queues tordues (16 et 19 cm). Osman, Somalien de cinquante ans à la peau d’ébène, visage bouffi, cheveux noirs crépus et hirsutes et bouc grisonnant, queue épaisse et circoncise (21 cm), et Uwe, cinquante-deux ans, visage rougeaud bouffi et longs cheveux gris raides, moustache grisonnante drue, queue boudinée (17 cm), sont des mâles trapus et bedonnants. Ces quatre clochards rendaient visite à leurs compagnons d’infortune et, conviés par Bianka, ont quitté leurs fripes pour se joindre à la fête rémunérée.
Seize mâles, qui ne se sont pas embarrassés de préservatifs, sont désormais regroupés pour user et abuser des corps des deux adolescentes de seize ans. Cassandra, agrippée par sa crinière maculée de gerbe, est traînée sur le sol jusqu’à une table basse vermoulue. Dragan nettoie sommairement son visage souillé avec l’une des chemises réduites en lambeaux. Ses seins aplatis contre le bois et sa splendide croupe cambrée offerte aux regards lubriques, les mâles se focalisent maintenant sur son cul. Vlad, cadavre sorti d’outre-tombe, son regard possédé, force lui aussi son anus sans aucune lubrification. Le rictus de souffrance de Cassandra, son regard larmoyant, ses lèvres tremblantes et ses doigts crispés, est filmé par la caméra de Maximilian. Elle est à son tour mise à l'abattage anal. Cassandra, ballottée dans tous les sens, ses seins malaxés et sa bouche toujours baisée, ses mains fourbissant les bites, se fait sauvagement pilonner. Cette expressive forniqueuse grimace de douleur, gueule et profère des jurons dans son portugais natal.
Les camarades sont séparées. Cassandra est installée sur un canapé éventré où Bodo butine sa chatte pendant que son comparse Otto lui délivre une savoureuse feuille de rose. Elle couine de plaisir et écrase leurs têtes contre ses trous. Les mâles lui font ensuite subir une éprouvante séance de facefucking. Ils coincent sa tête entre leurs cuisses, harcèlent sa gorge et doigtent sa chatte trempée. Cassandra, qui a perdu de sa superbe, halète, étouffe et émet des borborygmes qui font ricaner les mâles. Allongée sur son dos, ses cuisses contre le dossier du canapé et sa tête à l’envers, sans aucune échappatoire, les queues forcenées bombardent sa gorge alors qu’elle astique les bites. Ses yeux exorbités, elle échoue à réprimer un énième haut-le-cœur. Le vomi éclabousse sa gueule d’ange déchu et s’entremêle dans ses blonds cheveux. Lothar étale avec sa bite cette dégoûtante substance et applique un immonde masque de beauté sur son minois. Les mâles fourrent sa gorge anéantie et le vomi se déverse à maintes reprises sur sa face. La beauté de la ravissante auriverde s’est évaporée maintenant que son visage luisant de gerbe a viré à l’écarlate, que ses yeux sont embués et que son nez est morveux. Cassandra, son regard vitreux, semble éteinte mais la caméra de Bianka capte de furtifs et mystérieux sourires.
Karsten enfouit la tête de Roxana sous un sac en papier gras empestant le burger et les frites, fait un trou au niveau de sa bouche et se gausse d’elle de sa voix rauque.
« J’me sens mieux quand j’vois pas ta sale gueule de trans’ ! »
Toujours agenouillée, ses bras bloqués derrière son dos, les mâles misogynes baisent sa bouche anonyme avec une intensité inouïe, s'acharnent sur sa gorge et engouffrent leurs queues jusqu’aux couilles. Ses retentissants gargouillis couvrent les entêtants froissements du sac en papier. La coriace Roxana, cible de rafales de gifles sur ses seins et sur sa vulve, affaiblie par ce déferlement ininterrompu de chibres dans sa gorge, lutte elle aussi en vain contre un haut-le-coeur et dégobille. Les mâles dégénérés, leurs toisons saupoudrées de gerbe, continuent à labourer sa bouche alors qu’elle baigne dans d’infects relents de vomi et lui font rendre tripes et boyaux. Le vomi grumeleux nappe ses seins et ses abdos, et imbibe sa dense forêt noire. Dragan l’installe en levrette, claque son cul et introduit sa queue à sec. Il s’égosille et lui vrille les tympans de sa voix stridente.
« J’vais t’démolir l’trou d’balle, pétasse ! »
Les mâles négligent sa chatte touffue tandis que son anus non lubrifié encaisse une alternance de percutants coups de boutoir et de vifs va-et-vient qui chauffent à blanc ses entrailles. Entre deux sodomies, sa gorge toujours limée, son anus supplicié est écartelé par des doigts osseux et potelés.
Les indissociables adolescentes sont livrées à elles-mêmes, leurs gorges saccagées par des mâles aussi hargneux que haineux. Les bites, à peine extraites de l’une des deux bouches ou du cul de Roxana, sont replongées dans l’anus de l’Eurasienne ou dans le gosier ami, gavé à distance.
Les mâles s’essuient avec le crop top de Roxana et avec la combishort de Cassandra, récupérés dans l’un des sacs en bandoulière et profitent du réfrigérateur en enquillant des bouteilles de bière fraîche afin de se désaltérer. Ils récupèrent aussi les billets éparpillés sur le sol, récompense amplement méritée pour ces forçats du sexe, et fouillent dans les portefeuilles des adolescentes pour s’emparer des quelques billets et pièces s’y trouvant encore. Les caméras immortalisent chaque instant de la spectaculaire dégradation des lycéennes qui s’abstiendront à l’avenir de se targuer d’être lesbiennes et féministes radicales. Bianka a oublié de les informer que le tournage est retransmis en direct, leurs numéros de téléphones fréquemment divulgués. Lothar brandit sournoisement devant la caméra de Maximilian leurs pièces d’identité et met en péril les adolescentes qui ne sont plus protégées par leurs pseudonymes.
Roxana est libérée du sac en papier en lambeaux. Son visage trempé de bave et de gerbe, une veine pulsant sur son front, est dégueulasse. La coriace Roxana soutient les regards de ses bourreaux, essuie son visage d’un revers de main et, rancunière, caresse ses seins et mime une masturbation. Effrontée, un sourire moqueur aux lèvres, elle fustige les mâles.
« Si j’avais une queue, je vous montrerais comment vous en servir, enfoirés ! »
Les mâles furieux matent immédiatement ce début de rébellion et sévissent. Elle récolte des baffes en guise de représailles. Les mâles la bousculent, dévastent sa gorge déjà martyrisée, l’enculent avec de véhéments coups de reins et font un carnage. Roxana hurle, a de violentes quintes de toux et crache de la bile sur le sol.
Roxana et Cassandra sont décontenancées quand elles aperçoivent quatre nouveaux visages. Friedrich, quarante-quatre ans, visage allongé au teint cireux et cheveux jaune paille coiffés en mulet, très courte frange, sa jambe gauche amputée au-dessus de la cheville et qui se déplace à l’aide de béquilles en bois, et Ulrich, quarante-cinq ans, visage blême scarifié et crâne chauve, sa peau quasi-intégralement tatouée et abondamment piercée, sont des grands échalas décharnés aux queues tordues (16 et 19 cm). Osman, Somalien de cinquante ans à la peau d’ébène, visage bouffi, cheveux noirs crépus et hirsutes et bouc grisonnant, queue épaisse et circoncise (21 cm), et Uwe, cinquante-deux ans, visage rougeaud bouffi et longs cheveux gris raides, moustache grisonnante drue, queue boudinée (17 cm), sont des mâles trapus et bedonnants. Ces quatre clochards rendaient visite à leurs compagnons d’infortune et, conviés par Bianka, ont quitté leurs fripes pour se joindre à la fête rémunérée.
Seize mâles, qui ne se sont pas embarrassés de préservatifs, sont désormais regroupés pour user et abuser des corps des deux adolescentes de seize ans. Cassandra, agrippée par sa crinière maculée de gerbe, est traînée sur le sol jusqu’à une table basse vermoulue. Dragan nettoie sommairement son visage souillé avec l’une des chemises réduites en lambeaux. Ses seins aplatis contre le bois et sa splendide croupe cambrée offerte aux regards lubriques, les mâles se focalisent maintenant sur son cul. Vlad, cadavre sorti d’outre-tombe, son regard possédé, force lui aussi son anus sans aucune lubrification. Le rictus de souffrance de Cassandra, son regard larmoyant, ses lèvres tremblantes et ses doigts crispés, est filmé par la caméra de Maximilian. Elle est à son tour mise à l'abattage anal. Cassandra, ballottée dans tous les sens, ses seins malaxés et sa bouche toujours baisée, ses mains fourbissant les bites, se fait sauvagement pilonner. Cette expressive forniqueuse grimace de douleur, gueule et profère des jurons dans son portugais natal.