16-04-2021, 07:23 PM
Cassandra, sa bouche bée et ses yeux écarquillés, et Roxana, son visage renfrogné, s’immobilisent, effarées d’apercevoir face à elles, au lieu des trois à quatre séduisants éphèbes espérés, douze mâles mûrs et nus, affichant une allure féroce et braquant sur elles des regards acérés, des sourires carnassiers et des calibres tendus.
Elles sont accueillies par Bianka, équipée d’une caméra d’épaule, juchée sur des bottes noires à talons aiguilles, irrésistible dans sa minirobe noire décolletée en cuir, ses lèvres gonflées et ses longs ongles pointus d’un vermeil flamboyant. Elles reconnaissent Maximilian, trente-six ans, torse et pieds nus, lui aussi muni d’une caméra d’épaule. Sous la houlette de leur maîtresse, elles l’ont dominé, expérimentant le pegging et le fisting anal avec un homme. Elles se remémorent que, bardées d’imposants godes-ceintures, elles ont simultanément sucé et enculé, puis sucé et fisté, ce filiforme don juan (visage efféminé, yeux bleu ciel, longue crinière raide blond platine, peau pâle), esthète raffiné doté d’une queue lisse (19 cm), lui assénant finalement une magistrale double pénétration anale alors qu’il honorait sa maîtresse Bianka d’une fellation. Bianka l’a sollicité pour qu’il l’assiste afin que ses muses soient toujours devant l’objectif d’une caméra.
Les mâles encerclent les lycéennes. Bianka les a manipulées et les a données en offrande à cette douzaine de mâles dont les trognes sont aussi hideuses que leurs corps sont rebutants. Elle a constitué pour ces beautés naturelles une ahurissante galerie des horreurs, réunissant une meute d’hommes appâtés par ces alléchantes élèves d’un établissement élitiste.
Roxana et Cassandra repèrent cinq comparses. Attila, Hongrois de quarante-neuf ans au cuir tanné, visage taillé à coups de serpe et tignasse noire hirsute, longue queue veineuse (24 cm), a un faciès effrayant qui contraste avec son élancé corps d’Apollon à la musculature ciselée. Ce gladiateur des temps modernes a passé vingt ans derrière les barreaux et participe à de sanglants combats illégaux à mains nues. Jürgen, cinquante-trois ans, visage hâve et crâne dégarni, cheveux bruns raides et moustache drue, et Dragan, Serbe de quarante-six ans, visage balafré et crâne chauve, barbiche brune entortillée, son torse et ses cuisses affreusement brûlés, sont des éboueurs gringalets aux queues tordues (16 et 18 cm). Otto, quarante-trois ans, visage allongé au teint livide et cheveux noirs très courts, et Bodo, quarante-quatre ans, visage émacié sous des lunettes en écaille, cheveux blond doré drus et moustache fournie, sont des marginaux efflanqués aux queues lisses (19 et 18 cm) vivant de menus larcins. Ces cinq acolytes évoquent aux deux adolescentes une horde de hyènes affamées.
Les lycéennes distinguent à leurs côtés deux bibendums ventripotents et poilus aux queues boudinées (15 et 16 cm) et aux énormes culs flasques. Konrad, cinquante-six ans, visage rougeaud joufflu et crâne chauve, et Karsten, cinquante-quatre ans, visage bouffi au teint cireux sous des lunettes rondes et crâne dégarni, cheveux noirs frisés et moustache drue, sont des petits commerçants, l’un boucher, l’autre tavernier, dont les cinq autres sont des habitués. Ces petits patrons criblés de dettes d’un quartier populaire de Berlin se pourlèchent les babines devant les appétissants morceaux de viande fraîche et ferme au menu.
Roxana et Cassandra identifient enfin une bande de cinq clochards dégingandés et décharnés. Igor, Russe de quarante-neuf ans, visage grêlé au teint cireux et longs cheveux châtains gras, barbe broussailleuse, son dos zébré et sa main droite sectionnée remplacée par un crochet, est Raspoutine réincarné avec son immense queue veineuse (26 cm). Vlad, Roumain blafard de cinquante-deux ans, visage anguleux et crâne chauve, yeux globuleux et langue tranchée, a une longue queue lisse (22 cm). Ce gigantesque squelette a été enfermé durant vingt-cinq ans dans de sordides asiles d’aliénés soviétiques. Lothar, cinquante-trois ans, visage grêlé et longs cheveux gris clairsemés attachés en queue de cheval, barbe éparse, son œil gauche crevé, a une queue tordue (19 cm). Heinrich, satyre de cinquante-neuf ans, visage balafré et longs cheveux blancs raides, barbe broussailleuse, a une queue veineuse (18 cm). Mohamed, Somalien de quarante-huit ans à la peau d’ébène, visage émacié, longues dreadlocks noires et barbiche hirsute, a une longue queue noueuse et circoncise (24 cm). Ces vagabonds rongés par la frustration sexuelle scrutent avidement les affriolantes lycéennes, égarées dans leur glauque repaire, antre de leur débauche autofinancée.
Roxana et Cassandra, figées, sont des proies tentantes pour ce gang de prédateurs affamés qui avancent d’un pas déterminé vers elles. Leur cercle se referme autour des lycéennes. Sa surprise initiale surmontée, Cassandra est consumée de désir. La malice animant son regard et son sourire trahit sa frénésie. La téméraire Cassandra zieute Roxana, ses sourcils froncés et sa mâchoire serrée, émoustillée malgré les apparences. Elle décide d’attiser les braises ardentes sur lesquelles tâtonne sa farouche amie afin qu’elle libère ses pulsions refoulées. Cette allumeuse provoque l’étincelle qui déclenche les hostilités quand, empreinte d’une colère feinte, sa voix suave et chuintante rompt le silence.
« Vous avez de sales gueules, les gars ! On s’est ruinées pour se faire baiser par des beaux gosses ! On mérite pas mieux ? »
Elle ouvre son sac en bandoulière et le jette d’un geste théâtral. Des billets volètent et tapissent le sol. Cette comédienne née simule la colère.
« Dix mille euros pour vous ! On les a empruntés à un maquereau ! On va devoir faire le trottoir pour le rembourser ! »
Cassandra, fille unique d’un banquier d’affaires et d’une avocate d’affaires, a pioché dans son argent de poche mais les bêtes fauves croient à son cinéma et, s’estimant offensés par cette gamine, se ruent à l’assaut. Acculées, Roxana et Cassandra ne peuvent plus reculer et sont condamnées à être enculées. Roxana, subjuguée par la témérité de son amie et enthousiasmée par cette charge conquérante, renchérit de sa voix grave et éraillée.
« Vous savez vous servir de vos queues, au moins ? »
Les joues des insolentes adolescentes sont zébrées par des gifles cinglantes. Cassandra et Roxana, à qui son turban est enlevé, sont submergées et dépouillées de leurs blazers. Leurs gros tétons pointent ostensiblement sous le tissu de leurs chemises. Leurs boutons sont arrachés, confirmant l’indécent oubli de leurs soutiens-gorge. Elles sont débarrassées de leurs jupettes, dévoilant aussi l’absence de culottes de ces jeunes aguicheuses que les mâles imaginent bientôt obligées de faire le tapin pour des crève-la-dalle. Leurs pubis soigneusement entretenus ne sont pas glabres mais leurs culs (taille 34/36 pour Cassandra, taille 38 pour Roxana) attirent davantage l’attention des mâles. Leurs mocassins éloignés et leurs bas déchirés, leurs corps dénudés sont maintenant exposés aux regards inquisiteurs.
La naïade Cassandra à la voix onctueuse irradie de sensualité innée. Les mâles admirent son visage envoûtant, sa silhouette athlétique aussi fine que ferme, sa cambrure et son galbe irréprochables, ses gros seins en pomme d’une rondeur parfaite. sa toison taillée en foisonnant cœur blond miel, soyeux buisson à butiner, et sa vulve charnue et lisse. L’exceptionnelle beauté de son corps élancé s’avère sans égale. Jürgen la complimente de sa voix nasillarde.
« Tu f’rais une bonne pute de luxe, la blondasse ! »
L’amazone Roxana à la voix râpeuse déborde de virile féminité. Les mâles contemplent son crâne tondu, ses yeux bridés, son nez busqué, sa silhouette à la fois musculeuse et plantureuse, ses lourds seins en cloche, sa toison taillée en touffu triangle noir, rêche forêt noire à brouter, et sa chatte dodue et lisse. L’attrait bestial exercé par son corps hors normes est ahurissant. Jürgen lui décoche pourtant une flèche empoisonnée.
« T’as une gueule de morue ! Tu s’ras mise à l’abattage sur les chantiers pour que dalle ! »
Roxana, invisible dans l’ombre de la magnifique Cassandra sans cesse draguée, reste hermétique à la brimade de ce minable mais elle est contrariée quand Bianka la toise et, de sa voix suave, s’exclame sur un ton acerbe.
« Messieurs, aussi moche soit-elle, vous serez à l’aise dans son gros cul ! »
Cassandra, volontiers narcissique, l’accable dans la foulée pour mieux se valoriser.
« Messieurs, oubliez cette moins-que-rien et matez le mannequin ! »
Elles sont accueillies par Bianka, équipée d’une caméra d’épaule, juchée sur des bottes noires à talons aiguilles, irrésistible dans sa minirobe noire décolletée en cuir, ses lèvres gonflées et ses longs ongles pointus d’un vermeil flamboyant. Elles reconnaissent Maximilian, trente-six ans, torse et pieds nus, lui aussi muni d’une caméra d’épaule. Sous la houlette de leur maîtresse, elles l’ont dominé, expérimentant le pegging et le fisting anal avec un homme. Elles se remémorent que, bardées d’imposants godes-ceintures, elles ont simultanément sucé et enculé, puis sucé et fisté, ce filiforme don juan (visage efféminé, yeux bleu ciel, longue crinière raide blond platine, peau pâle), esthète raffiné doté d’une queue lisse (19 cm), lui assénant finalement une magistrale double pénétration anale alors qu’il honorait sa maîtresse Bianka d’une fellation. Bianka l’a sollicité pour qu’il l’assiste afin que ses muses soient toujours devant l’objectif d’une caméra.
Les mâles encerclent les lycéennes. Bianka les a manipulées et les a données en offrande à cette douzaine de mâles dont les trognes sont aussi hideuses que leurs corps sont rebutants. Elle a constitué pour ces beautés naturelles une ahurissante galerie des horreurs, réunissant une meute d’hommes appâtés par ces alléchantes élèves d’un établissement élitiste.
Roxana et Cassandra repèrent cinq comparses. Attila, Hongrois de quarante-neuf ans au cuir tanné, visage taillé à coups de serpe et tignasse noire hirsute, longue queue veineuse (24 cm), a un faciès effrayant qui contraste avec son élancé corps d’Apollon à la musculature ciselée. Ce gladiateur des temps modernes a passé vingt ans derrière les barreaux et participe à de sanglants combats illégaux à mains nues. Jürgen, cinquante-trois ans, visage hâve et crâne dégarni, cheveux bruns raides et moustache drue, et Dragan, Serbe de quarante-six ans, visage balafré et crâne chauve, barbiche brune entortillée, son torse et ses cuisses affreusement brûlés, sont des éboueurs gringalets aux queues tordues (16 et 18 cm). Otto, quarante-trois ans, visage allongé au teint livide et cheveux noirs très courts, et Bodo, quarante-quatre ans, visage émacié sous des lunettes en écaille, cheveux blond doré drus et moustache fournie, sont des marginaux efflanqués aux queues lisses (19 et 18 cm) vivant de menus larcins. Ces cinq acolytes évoquent aux deux adolescentes une horde de hyènes affamées.
Les lycéennes distinguent à leurs côtés deux bibendums ventripotents et poilus aux queues boudinées (15 et 16 cm) et aux énormes culs flasques. Konrad, cinquante-six ans, visage rougeaud joufflu et crâne chauve, et Karsten, cinquante-quatre ans, visage bouffi au teint cireux sous des lunettes rondes et crâne dégarni, cheveux noirs frisés et moustache drue, sont des petits commerçants, l’un boucher, l’autre tavernier, dont les cinq autres sont des habitués. Ces petits patrons criblés de dettes d’un quartier populaire de Berlin se pourlèchent les babines devant les appétissants morceaux de viande fraîche et ferme au menu.
Roxana et Cassandra identifient enfin une bande de cinq clochards dégingandés et décharnés. Igor, Russe de quarante-neuf ans, visage grêlé au teint cireux et longs cheveux châtains gras, barbe broussailleuse, son dos zébré et sa main droite sectionnée remplacée par un crochet, est Raspoutine réincarné avec son immense queue veineuse (26 cm). Vlad, Roumain blafard de cinquante-deux ans, visage anguleux et crâne chauve, yeux globuleux et langue tranchée, a une longue queue lisse (22 cm). Ce gigantesque squelette a été enfermé durant vingt-cinq ans dans de sordides asiles d’aliénés soviétiques. Lothar, cinquante-trois ans, visage grêlé et longs cheveux gris clairsemés attachés en queue de cheval, barbe éparse, son œil gauche crevé, a une queue tordue (19 cm). Heinrich, satyre de cinquante-neuf ans, visage balafré et longs cheveux blancs raides, barbe broussailleuse, a une queue veineuse (18 cm). Mohamed, Somalien de quarante-huit ans à la peau d’ébène, visage émacié, longues dreadlocks noires et barbiche hirsute, a une longue queue noueuse et circoncise (24 cm). Ces vagabonds rongés par la frustration sexuelle scrutent avidement les affriolantes lycéennes, égarées dans leur glauque repaire, antre de leur débauche autofinancée.
Roxana et Cassandra, figées, sont des proies tentantes pour ce gang de prédateurs affamés qui avancent d’un pas déterminé vers elles. Leur cercle se referme autour des lycéennes. Sa surprise initiale surmontée, Cassandra est consumée de désir. La malice animant son regard et son sourire trahit sa frénésie. La téméraire Cassandra zieute Roxana, ses sourcils froncés et sa mâchoire serrée, émoustillée malgré les apparences. Elle décide d’attiser les braises ardentes sur lesquelles tâtonne sa farouche amie afin qu’elle libère ses pulsions refoulées. Cette allumeuse provoque l’étincelle qui déclenche les hostilités quand, empreinte d’une colère feinte, sa voix suave et chuintante rompt le silence.
« Vous avez de sales gueules, les gars ! On s’est ruinées pour se faire baiser par des beaux gosses ! On mérite pas mieux ? »
Elle ouvre son sac en bandoulière et le jette d’un geste théâtral. Des billets volètent et tapissent le sol. Cette comédienne née simule la colère.
« Dix mille euros pour vous ! On les a empruntés à un maquereau ! On va devoir faire le trottoir pour le rembourser ! »
Cassandra, fille unique d’un banquier d’affaires et d’une avocate d’affaires, a pioché dans son argent de poche mais les bêtes fauves croient à son cinéma et, s’estimant offensés par cette gamine, se ruent à l’assaut. Acculées, Roxana et Cassandra ne peuvent plus reculer et sont condamnées à être enculées. Roxana, subjuguée par la témérité de son amie et enthousiasmée par cette charge conquérante, renchérit de sa voix grave et éraillée.
« Vous savez vous servir de vos queues, au moins ? »
Les joues des insolentes adolescentes sont zébrées par des gifles cinglantes. Cassandra et Roxana, à qui son turban est enlevé, sont submergées et dépouillées de leurs blazers. Leurs gros tétons pointent ostensiblement sous le tissu de leurs chemises. Leurs boutons sont arrachés, confirmant l’indécent oubli de leurs soutiens-gorge. Elles sont débarrassées de leurs jupettes, dévoilant aussi l’absence de culottes de ces jeunes aguicheuses que les mâles imaginent bientôt obligées de faire le tapin pour des crève-la-dalle. Leurs pubis soigneusement entretenus ne sont pas glabres mais leurs culs (taille 34/36 pour Cassandra, taille 38 pour Roxana) attirent davantage l’attention des mâles. Leurs mocassins éloignés et leurs bas déchirés, leurs corps dénudés sont maintenant exposés aux regards inquisiteurs.
La naïade Cassandra à la voix onctueuse irradie de sensualité innée. Les mâles admirent son visage envoûtant, sa silhouette athlétique aussi fine que ferme, sa cambrure et son galbe irréprochables, ses gros seins en pomme d’une rondeur parfaite. sa toison taillée en foisonnant cœur blond miel, soyeux buisson à butiner, et sa vulve charnue et lisse. L’exceptionnelle beauté de son corps élancé s’avère sans égale. Jürgen la complimente de sa voix nasillarde.
« Tu f’rais une bonne pute de luxe, la blondasse ! »
L’amazone Roxana à la voix râpeuse déborde de virile féminité. Les mâles contemplent son crâne tondu, ses yeux bridés, son nez busqué, sa silhouette à la fois musculeuse et plantureuse, ses lourds seins en cloche, sa toison taillée en touffu triangle noir, rêche forêt noire à brouter, et sa chatte dodue et lisse. L’attrait bestial exercé par son corps hors normes est ahurissant. Jürgen lui décoche pourtant une flèche empoisonnée.
« T’as une gueule de morue ! Tu s’ras mise à l’abattage sur les chantiers pour que dalle ! »
Roxana, invisible dans l’ombre de la magnifique Cassandra sans cesse draguée, reste hermétique à la brimade de ce minable mais elle est contrariée quand Bianka la toise et, de sa voix suave, s’exclame sur un ton acerbe.
« Messieurs, aussi moche soit-elle, vous serez à l’aise dans son gros cul ! »
Cassandra, volontiers narcissique, l’accable dans la foulée pour mieux se valoriser.
« Messieurs, oubliez cette moins-que-rien et matez le mannequin ! »