16-04-2021, 02:02 AM
Première ruelle,
Une chaude nuit d’été dans les rues de la vieille ville, trois heures du matin, le silence règne, nulle lumière aux fenêtres, les volets sont sur les vitrines, on est loin des quartiers de la vie nocturne, même les chats de gouttières ont regagnés leurs tanières…
Tiens, non, un mignon minet circule !
Que fait-il là, ce jeune homme ?
C’est un jeunot d'une vingtaine d'années.
Il n’a qu’un jeans sur lui. Nonchalamment, ses pieds nus glisse sans bruit sur la tiédeur des pavés. Sous la coupe classique de ses cheveux châtains, un visage altier, au regard clair, mais dénué d’expression. Un beau bronzage d'une couleur pain d'épice, enrobe son corps imberbe, mince, svelte, et joliment façonné.
[i]Mais où va-t-il ?[/i]
Tel un promeneur qui sait où fini sa balade, il avance lentement, mais n’a aucune hésitation quant à l’itinéraire… Il s'arrête et, ayant jeté un rapide coup d'œil aux alentours, tourne dans une impasse. Il ne va pas loin. Déjà, il pousse la porte latérale de la maison du coin. Celle avec la plaque en cuivre, gravée :
Hypnothérapeute. Mr. Sébastien Léraine
Il rentre et ferme derrière lui…
Que va-t-il y faire ?
Il retire son jeans dans le couloir et, nu, se dirige vers la lumière qui baigne l’espace ; la deuxième porte à gauche qui est ouverte. C’est dans le cabinet du praticien qu’il pénètre.
Un homme s’y trouve. Il doit avoir la quarantaine, bien gaulé, pas trop musclé, mais un physique de père de famille qui s'entretien. Il est nu, lui aussi, et semble attendre son visiteur car, dès qu’il l’aperçoit, il se déplace et se couche de tout son long sur le tapis.
L’intrus suit le mouvement et s’agenouille à sa droite, ouvre une large bouche et lui gobe la bite – qu’il a mi-molle !
Il fait quelques va-et-vient d’une fellation fort active et l’appendice ne tarde pas à trouver une rigidité et taille très convenable. Prestement, habillé d'une capote et enduite de gel, sans que le gisant n’esquisse le moindre geste.
Là, le jeune s’installe à califourchon au-dessus du quadra et s’accroupi, en appui sur ses jambes, le buste penché en arrière et les mains cramponnées aux genoux de sa monture. Il force petit à petit l’entrée de sa partie charnue. Il semble décontracté, le gland passe facilement.
Il patiente quelques secondes, se laissant le temps de s’habituer, puis, d’un coup de fesses, s’empale entièrement jusqu’à la garde, ce qui lui arrache un râle de bonheur. Il remonte, retirant la queue presque complètement, au risque de la faire sortir, et revient violemment s'embrocher à fond dans un grand coup de reins, rejetant la tête en arrière. Il entame une chevauchée au rythme progressif sur son "cheval d'arçons" - qui, lui, reste aussi impassible que possible, ses mains éloignées du cavalier.
Son autosodomie doit lui faire de l’effet, son sexe se réveille et prend la verticale en vibrant.
Il est déchaîné, et son râle rauque montre bien son plaisir. il ne tarde pas à exprimer les prémices d’un orgasme dévastateur...
Il se cambre tout à coup, et hurle sa jouissance.
Sans aucune manipulation, sa lance expulse spasmodiquement la male laitance de ses bourses, arrosant le torse et une joue de l’homme mûr.
Les contractions de son anus ont raison de la résistance du quadra qui, visiblement, se déverse dans le ventre accueillant.
Ensuite restés quelques minutes hébétés, repus de sexe…
Le jeune se lève, passe dans le couloir, remet son jeans et repart sans avoir échangé un mots !
Simultanément, l’homme se relève, regarde les fesses qui disparaissent de sa vue en ôtant le préservatif qu’il noue et jette à la poubelle, s’essuie sommairement et s’installe à son bureau. puis chausse des lunettes et allume son ordinateur. L’hypnothérapeute met un peu de temps pour ouvrir des dossiers bien cachés.
L’un d’eux nécessite encore d’un code d’accès.
Que contient-il, ce dossier secret ?
[ Méthode curative de l’homophobie.
J'aurais dû m'en douter, depuis le départ, il ne veulent pas du tout régler cette histoire d'homophobie. Seul, l'obligation faite par le tribunal de suivre une thérapie ou passer quelques années en prison, les ont amenés à venir en consultation. Tout indique qu’ils referons les mêmes gestes à la moindre occasion C'est spécimens ignorent le conditionnement qu'il assimilent en croyant me berner et être maitres du jeu.
Cinq agresseurs « casseurs de PD » selon leur terme, de 18 à 23 ans, m’ont été envoyés, dans le cadre d’une tentative de palier à l’emprisonnement comme remède à leurs actes et surtout, de leurs enlever toute idée de récidive.
J’imagine que les autorités ne seraient pas d’accord avec mes méthodes, mais au grands maux les grands remèdes.
Voilà plusieurs semaines qu’ils évoluent inconsciemment vers ce que je nomme : thérapie de conversion inversée.
L’un après l’autre, sous hypnose, je les ai amené à différents échelons d’un complet revirement de leur comportement envers la communauté LGTB+. Certains sont plus réfractaires au déconditionnement – éducation, religion, milieu social… - que d’autres, mais tous avance dans la bonne voie.
C’est le premier à avoir dépassé le stade demandé. (En tant que meneur, j’avais doublé ses séances, ce petit macho arrogant allait perdre de sa superbe… et même plus !)
Bref, de séances en séances, d’une nudité pudique à la fellation active, passant par la masturbation devant des pornos gays et la découverte du doigtage… il a atteint le stade ultime ; venir en semi-conscience – comme dans un rêve – chercher la jouissance dans une sodomie qu’il subit de son fait… et y prendre un plaisir phénoménal !
Vu le résultat, je pense que les autres auront droit à quelques-unes des cessions "hors normes" – sans les faire basculer complètement en gaytitude. Je vais doser, afin de gagner l’approbation des experts auprès des tribunaux et poursuivre avec d’autres homophobes en herbe.
Le sujet alpha, lui, ne pourra plus se défaire de la prise, tant physique que mentale, que je lui ai insufflé et, plutôt que de l’agressivité, à la vue d’un gay, son anus se mettra à frémir et il lui prendra des envies sexuelles en toute lucidité.
Il vient pour son rendez-vous à onze heures. Je ferai mon coming-out ! ]
Ben ça ! Sacrée découverte cette nuit, je ne regrette pas ma curiosité !
Moi ? Quoi, moi ? … Ho, vous voulez savoir qui je suis !
Je m’appelle Chester, la souris grise.
Fin
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
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Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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