12-04-2021, 05:13 PM
Elle enduisit à nouveau ses mains d'huile, les frotta et les posa sur le torse du garçon. Quel frisson à nouveau ! Et une nouvelle contraction de sa verge. Impossible qu'elle ne voit pas. Son coeur battait à tout rompre. A quoi jouait-elle ?
Les doigts de la jeune fille parcouraient ses flancs, le massant, le caressant. Il lui semblait qu'elle le griffait légèrement à présent, ce qui rajoutait encore en sensualité. Impossible qu'elle ne voit pas l'effet qu'elle lui faisait. Il ouvrait parfois les yeux et la regardait penchée sur son corps. Leurs regards se croisaient parfois et il lui semblait y lire une lueur de désir. Dans la lumière tamisée du salon, elle était tellement belle. Ses mains sur lui étaient un délice. Les yeux de Florine glissèrent dans les siens puis sa main vînt se poser sur son front.
-"Fermez les yeux" conseilla-t-elle d'une voix douce bien qu'un peu rauque.
Il obéit et il la senti venir se positionner à nouveau au-dessus de sa tête. Il sentit son T-shirt effleurer à nouveau sa tête et les mains de la jeune fille se poser sur sa poitrine. Le massage reprenait, exquis. Elle se donnait à fond. Ce n'était pas un simple gage, c'est sûr. Quand elle se pencha à nouveau sur lui, il tressaillit en sentant ses seins libres sous son T-shirt venir caresser son visage. Bon sang, son sang semblait en ébullition ! Il pouvait sentir ses petits seins effleurer son visage à chaque mouvement de ses mains. Il les revoyait nus tels qu'ils lui étaient apparus la veille au soir. Son souffle s'était nettement accéléré. Impossible qu'elle ne s'en rende pas compte, les mains posées sur sa poitrine.
Ce n'était pas un simple gage, c'est sûr. Cette idée tourbillonnait dans la tête de Clément. Tout tourbillonnait d'ailleurs. De loin, il lui semblait qu'il ne contrôlait plus vraiment les contractions de son pénis sous la serviette. Penchée ainsi au-dessus de lui, c'était impossible qu'elle ne la voit pas remuer. D'ailleurs, il sentait parfois les mains de Florine descendre de sa poitrine sur son ventre puis remonter, ayant ainsi pour effet d'appuyer un peu plus ses seins contre son visage. Son coeur battait si fort, sa peau était si chaude. Dans ce tumulte, il faillit ne pas entendre le murmure timide de Florine.
-"Tu...vous semblez agité" fit-elle dans un souffle en laissa sa main descendre lentement sur son ventre, "est-ce que je... peux vous aider... à vous détendre ? " Elle semblait, elle aussi, plutôt fébrile.
-"Je...je...oui... " fut tout ce qu'il parvînt à émettre comme son.
Aucun autre mot ne fut échangé. Clément sentit les mains de Florine passer sur son ventre puis repousser lentement la serviette qui couvrait ses hanches. Il était à nouveau nu devant elle, avec une superbe érection. Mais cette fois-ci, c'était bien différent. La main de Florine glissa sur son pubis puis s'empara tendrement de sa verge. Il se sentait palpiter dans sa main. Son souffle s'était encore accéléré et, maintenant qu'il y prêtait attention, celui de Florine l'était également.
Elle entama un doux et langoureux mouvement de va-et-vient, pressant délicatement son pénis dans sa main. Clément se sentait fondre. Elle était délicate, gracieuse et il pouvait sentir son trouble aux changements de rythme de ses mouvements. Ses longs cheveux caressaient sa poitrine, le faisant frissonner un peu plus. Il n'y croyait presque pas. Florine était en train de le masturber, là, au milieu de son salon. Il ne put réprimer un gémissement de plaisir.
Les mouvements de Florine au-dessus de Clément continuaient à frotter ses seins contre le visage du jeune homme. Il avait même l'impression qu'elle s'était cambrée pour renforcer la caresse. Si bien que le T-shirt, au fil des mouvements, remonta le long du visage de Clément. Il frémit en sentant la douceur de la peau de Florine directement sur son front. Il ne fallut que quelques mouvements de plus pour que les jolis petits seins de la jeune fille soient nus également. S'il était évident qu'elle avait du le sentir, elle n'en fit rien. Si Clément pensait que son coeur ne pouvait pas battre plus fort, il eut tort. Ces seins...ces seins dont il avait admiré les courbes si souvent à travers les T-shirts de Florine, ces seins graciles qui auraient pu tout juste emplir sa main... Il ne résista pas une seconde. Sa bouche vînt se poser sur la peau nue de Florine. Il l'embrassait avec douceur, tout autant qu'avec ferveur. Ses lèvres suivirent leurs courbes au rythme des mouvements de la jeune fille et vinrent se refermer sur son téton. Elle frémit de tout son corps. Il put sentir sa main se serrer un peu plus autour de sa verge. Il l'entendit aussi gémir de plaisir. Elle était dans le même état que lui.
Pendant qu'elle le branlait avec un peu plus de fermeté maintenant, lui tétait son sein avec fébrilité. Il laissait sa langue le titiller, s'enrouler autour de lui, ses lèvres le pincer, l'aspirer doucement. Puis il le libérait et passait à l'autre sein. Il devinait que Florine se cambrait un peu plus contre lui, laissant son sein entrer un peu plus dans sa bouche. Il parvenait difficilement à retenir ses gémissements. Le rythme de Florine sur sa verge avait accéléré depuis qu'il la goûtait. Il percevait également des gémissements au-dessus de lui, qu'il arrachait parfois en l'aspirant un peu plus dans sa bouche.
Le coeur de Clément s'emballait à nouveau. Son souffle s'amplifiait. Son ventre se contractait. Il allait jouir et pourtant il ne relâchait pas les seins de celle qu'il aimait éperdument. Elle haletait au-dessus de lui. Peut-être faisait-elle des efforts pour se contenir et rester professionnelle ? Cette pensée fit sourire Clément alors qu'il tétait son sein avec délice. La main de Florine se serra un peu plus autour de lui. Elle le branlait avec vigueur. L'espace d'un instant Clément perçut son image de la jeune fille, gracieuse, délicate, intelligente, charmante se superposer avec celle d'une amante dévouée et dévergondée. S'en était trop pour lui. Son ventre se contracta. L'orgasme vînt tandis que Florine raffermissait sa prise sur lui. Il jouit puissamment. Il jouit encore et encore devant elle, dans sa main. Il ne retenait pas ses cris de plaisir malgré le bâillon qu'offrait le sein dans sa bouche. Elle prolongea ses caresses et son orgasme un peu plus, amplifiant ses mouvements et les ralentissant progressivement. Puis elle le libéra et se redressa.
Clément haletait, reprenait son souffle, totalement effondré sur la chaise longue. Il perçut Florine qui s'essuyait les mains avec la serviette qu'elle avait ôté à son patient. Il la vit du coin de l'oeil remettre son T-shirt en place. Ses joues étaient aussi rouges que les siennes. Elle était essoufflée également.
Clément fit l'effort de se redresser et de s'asseoir. Il replia autour de sa taille l'une des serviettes sur lesquelles il était allongé. L'ambiance était lourde. Il ne savait pas quoi dire. Qu'est-ce que ça avait changé entre eux ? Ce fut Florine qui prit l'initiative.
-"Est-ce que ce massage vous a convenu, Monsieur ? Avez-vous pu vous détendre ? " s'enquit-elle d'un ton à nouveau tout professionnel. Un instant désarçonné, Clément se ressaisit. Dans les yeux de Florine, il pouvait lire du désir, de la complicité et de l'amusement. Elle voulait jouer ? Il jouerait.
-"C'était parfait, mademoiselle. Je n'osais en espérer autant. Je suis totalement détendu et je pense que, cette fois-ci, ma nuit va être bien plus reposante" acheva-t-il d'un ton de client pleinement satisfait.
-"Merci beaucoup" répondit-elle avec un signe de tête et un large sourire. "Voulez-vous que je raccompagne à votre chambre ? "
-"Ne vous donnez pas cette peine, je vais y aller tranquillement. "
-"Passez une bonne nuit, Monsieur. "
-"Vous aussi mademoiselle. Et encore merci du fond du coeur. " Il accentua le mot coeur, déguisant ainsi un aveu de son amour.
Il quitta le salon en maintenant tant bien que mal la serviette autour de sa taille. Ses pas étaient fébriles. Avant de quitter la pièce, il se retourna. Florine était en train de ranger la chaise longue et les serviettes. Il regagna sa chambre et s'affala sur le lit, sa serviette s'ouvrant à nouveau. Une pensée le traversa. Elle avait proposé de le raccompagner à sa chambre. Était-ce une proposition pour passer la nuit ensemble ? Il y pensa un instant puis se dit que cela ne collait pas avec le jeu de la masseuse professionnelle. Et puis, de toute façon, il était vidé. Dans tous les sens du terme. Il prit tout de même le temps de s'essuyer l'entrejambe en repensant qu'il venait de jouir dans la main de Florine. Comment allaient-ils se comporter demain ? Elle avait fait comme si cela n'avait rien changé entre eux. Allait-elle continuer ainsi ? Pourtant, c'était clair dans l'esprit de Clément et aucune timidité ou modestie morbide ne lui ferait nier. Il lui plaisait et ce soir il en avait eu la preuve.
Il s'endormit comme une pierre. Toute la nuit passa d'un trait et il se réveilla en début de matinée frais comme un gardon. Nu dans son lit mais dynamisé pour attaquer cette nouvelle journée. Il était curieux de voir comment Florine se comporterait maintenant. 543
Les doigts de la jeune fille parcouraient ses flancs, le massant, le caressant. Il lui semblait qu'elle le griffait légèrement à présent, ce qui rajoutait encore en sensualité. Impossible qu'elle ne voit pas l'effet qu'elle lui faisait. Il ouvrait parfois les yeux et la regardait penchée sur son corps. Leurs regards se croisaient parfois et il lui semblait y lire une lueur de désir. Dans la lumière tamisée du salon, elle était tellement belle. Ses mains sur lui étaient un délice. Les yeux de Florine glissèrent dans les siens puis sa main vînt se poser sur son front.
-"Fermez les yeux" conseilla-t-elle d'une voix douce bien qu'un peu rauque.
Il obéit et il la senti venir se positionner à nouveau au-dessus de sa tête. Il sentit son T-shirt effleurer à nouveau sa tête et les mains de la jeune fille se poser sur sa poitrine. Le massage reprenait, exquis. Elle se donnait à fond. Ce n'était pas un simple gage, c'est sûr. Quand elle se pencha à nouveau sur lui, il tressaillit en sentant ses seins libres sous son T-shirt venir caresser son visage. Bon sang, son sang semblait en ébullition ! Il pouvait sentir ses petits seins effleurer son visage à chaque mouvement de ses mains. Il les revoyait nus tels qu'ils lui étaient apparus la veille au soir. Son souffle s'était nettement accéléré. Impossible qu'elle ne s'en rende pas compte, les mains posées sur sa poitrine.
Ce n'était pas un simple gage, c'est sûr. Cette idée tourbillonnait dans la tête de Clément. Tout tourbillonnait d'ailleurs. De loin, il lui semblait qu'il ne contrôlait plus vraiment les contractions de son pénis sous la serviette. Penchée ainsi au-dessus de lui, c'était impossible qu'elle ne la voit pas remuer. D'ailleurs, il sentait parfois les mains de Florine descendre de sa poitrine sur son ventre puis remonter, ayant ainsi pour effet d'appuyer un peu plus ses seins contre son visage. Son coeur battait si fort, sa peau était si chaude. Dans ce tumulte, il faillit ne pas entendre le murmure timide de Florine.
-"Tu...vous semblez agité" fit-elle dans un souffle en laissa sa main descendre lentement sur son ventre, "est-ce que je... peux vous aider... à vous détendre ? " Elle semblait, elle aussi, plutôt fébrile.
-"Je...je...oui... " fut tout ce qu'il parvînt à émettre comme son.
Aucun autre mot ne fut échangé. Clément sentit les mains de Florine passer sur son ventre puis repousser lentement la serviette qui couvrait ses hanches. Il était à nouveau nu devant elle, avec une superbe érection. Mais cette fois-ci, c'était bien différent. La main de Florine glissa sur son pubis puis s'empara tendrement de sa verge. Il se sentait palpiter dans sa main. Son souffle s'était encore accéléré et, maintenant qu'il y prêtait attention, celui de Florine l'était également.
Elle entama un doux et langoureux mouvement de va-et-vient, pressant délicatement son pénis dans sa main. Clément se sentait fondre. Elle était délicate, gracieuse et il pouvait sentir son trouble aux changements de rythme de ses mouvements. Ses longs cheveux caressaient sa poitrine, le faisant frissonner un peu plus. Il n'y croyait presque pas. Florine était en train de le masturber, là, au milieu de son salon. Il ne put réprimer un gémissement de plaisir.
Les mouvements de Florine au-dessus de Clément continuaient à frotter ses seins contre le visage du jeune homme. Il avait même l'impression qu'elle s'était cambrée pour renforcer la caresse. Si bien que le T-shirt, au fil des mouvements, remonta le long du visage de Clément. Il frémit en sentant la douceur de la peau de Florine directement sur son front. Il ne fallut que quelques mouvements de plus pour que les jolis petits seins de la jeune fille soient nus également. S'il était évident qu'elle avait du le sentir, elle n'en fit rien. Si Clément pensait que son coeur ne pouvait pas battre plus fort, il eut tort. Ces seins...ces seins dont il avait admiré les courbes si souvent à travers les T-shirts de Florine, ces seins graciles qui auraient pu tout juste emplir sa main... Il ne résista pas une seconde. Sa bouche vînt se poser sur la peau nue de Florine. Il l'embrassait avec douceur, tout autant qu'avec ferveur. Ses lèvres suivirent leurs courbes au rythme des mouvements de la jeune fille et vinrent se refermer sur son téton. Elle frémit de tout son corps. Il put sentir sa main se serrer un peu plus autour de sa verge. Il l'entendit aussi gémir de plaisir. Elle était dans le même état que lui.
Pendant qu'elle le branlait avec un peu plus de fermeté maintenant, lui tétait son sein avec fébrilité. Il laissait sa langue le titiller, s'enrouler autour de lui, ses lèvres le pincer, l'aspirer doucement. Puis il le libérait et passait à l'autre sein. Il devinait que Florine se cambrait un peu plus contre lui, laissant son sein entrer un peu plus dans sa bouche. Il parvenait difficilement à retenir ses gémissements. Le rythme de Florine sur sa verge avait accéléré depuis qu'il la goûtait. Il percevait également des gémissements au-dessus de lui, qu'il arrachait parfois en l'aspirant un peu plus dans sa bouche.
Le coeur de Clément s'emballait à nouveau. Son souffle s'amplifiait. Son ventre se contractait. Il allait jouir et pourtant il ne relâchait pas les seins de celle qu'il aimait éperdument. Elle haletait au-dessus de lui. Peut-être faisait-elle des efforts pour se contenir et rester professionnelle ? Cette pensée fit sourire Clément alors qu'il tétait son sein avec délice. La main de Florine se serra un peu plus autour de lui. Elle le branlait avec vigueur. L'espace d'un instant Clément perçut son image de la jeune fille, gracieuse, délicate, intelligente, charmante se superposer avec celle d'une amante dévouée et dévergondée. S'en était trop pour lui. Son ventre se contracta. L'orgasme vînt tandis que Florine raffermissait sa prise sur lui. Il jouit puissamment. Il jouit encore et encore devant elle, dans sa main. Il ne retenait pas ses cris de plaisir malgré le bâillon qu'offrait le sein dans sa bouche. Elle prolongea ses caresses et son orgasme un peu plus, amplifiant ses mouvements et les ralentissant progressivement. Puis elle le libéra et se redressa.
Clément haletait, reprenait son souffle, totalement effondré sur la chaise longue. Il perçut Florine qui s'essuyait les mains avec la serviette qu'elle avait ôté à son patient. Il la vit du coin de l'oeil remettre son T-shirt en place. Ses joues étaient aussi rouges que les siennes. Elle était essoufflée également.
Clément fit l'effort de se redresser et de s'asseoir. Il replia autour de sa taille l'une des serviettes sur lesquelles il était allongé. L'ambiance était lourde. Il ne savait pas quoi dire. Qu'est-ce que ça avait changé entre eux ? Ce fut Florine qui prit l'initiative.
-"Est-ce que ce massage vous a convenu, Monsieur ? Avez-vous pu vous détendre ? " s'enquit-elle d'un ton à nouveau tout professionnel. Un instant désarçonné, Clément se ressaisit. Dans les yeux de Florine, il pouvait lire du désir, de la complicité et de l'amusement. Elle voulait jouer ? Il jouerait.
-"C'était parfait, mademoiselle. Je n'osais en espérer autant. Je suis totalement détendu et je pense que, cette fois-ci, ma nuit va être bien plus reposante" acheva-t-il d'un ton de client pleinement satisfait.
-"Merci beaucoup" répondit-elle avec un signe de tête et un large sourire. "Voulez-vous que je raccompagne à votre chambre ? "
-"Ne vous donnez pas cette peine, je vais y aller tranquillement. "
-"Passez une bonne nuit, Monsieur. "
-"Vous aussi mademoiselle. Et encore merci du fond du coeur. " Il accentua le mot coeur, déguisant ainsi un aveu de son amour.
Il quitta le salon en maintenant tant bien que mal la serviette autour de sa taille. Ses pas étaient fébriles. Avant de quitter la pièce, il se retourna. Florine était en train de ranger la chaise longue et les serviettes. Il regagna sa chambre et s'affala sur le lit, sa serviette s'ouvrant à nouveau. Une pensée le traversa. Elle avait proposé de le raccompagner à sa chambre. Était-ce une proposition pour passer la nuit ensemble ? Il y pensa un instant puis se dit que cela ne collait pas avec le jeu de la masseuse professionnelle. Et puis, de toute façon, il était vidé. Dans tous les sens du terme. Il prit tout de même le temps de s'essuyer l'entrejambe en repensant qu'il venait de jouir dans la main de Florine. Comment allaient-ils se comporter demain ? Elle avait fait comme si cela n'avait rien changé entre eux. Allait-elle continuer ainsi ? Pourtant, c'était clair dans l'esprit de Clément et aucune timidité ou modestie morbide ne lui ferait nier. Il lui plaisait et ce soir il en avait eu la preuve.
Il s'endormit comme une pierre. Toute la nuit passa d'un trait et il se réveilla en début de matinée frais comme un gardon. Nu dans son lit mais dynamisé pour attaquer cette nouvelle journée. Il était curieux de voir comment Florine se comporterait maintenant. 543