09-04-2021, 05:29 PM
C’était clair dans son esprit. Après cet après-midi et cette soirée, il était en train de tomber amoureux de Florine, la belle, la gracieuse, la charmante Florine. Ajouter à cela, cette dimension sensuelle de la jeune fille en train de se caresser à côté de sa chambre achevait de transir le garçon. Il perçut les gémissements de Florine qui s’accéléraient, qui s’intensifiaient. Puis il y eut un long râle contenu par sa bouche fermée suivi du silence. En tendant l’oreille, Clément entendait un halètement. Elle venait de jouir. Soudain, la tension retombant dans la chambre, il prit conscience de son voyeurisme et de son érection douloureuse. Il l’avait espionnée. Dans un sursaut, il se retira de la porte, la replaça aussi silencieusement qu’il le pouvait et s’apprêtait à rejoindre sa chambre. Mais son envie pressante se rappela à son bon souvenir. Il devait aller aux toilettes. Mais dans ce silence, sachant que Florine était réveillée, les bruits qu’il émettrait seraient un aveu de sa présence dans ce couloir. Pourtant, il n’avait pas le choix. Il tenta de faire le plus silencieusement possible mais il avait fallu tirer la chasse. Il retourna à sa chambre à pas de loup et pria pour que Florine soit déjà endormie.
Le lendemain matin, Clément se réveilla encore le dernier et retrouva Florine dans la cuisine. Elle paraissait de très bonne humeur, à en croire le petit air qu'elle sifflotait. Elle accueillit le jeune homme avec entrain en lui proposant une tasse de café, qu'il accepta. Se prenant de plus en plus au jeu de garde-malade, elle proposa de lui lire les nouvelles de l'actualité parmi les sites qu'elle parcourait déjà sur sa tablette. Un rapide tout d'horizon confirma que l'ambiance n'était pas au beau fixe dans le pays. Mais cela passait au second plan pour les deux jeunes puisque la journée s'annonçait magnifique et sonnait comme un air de vacances.
Clément proposa de prendre sa revanche aux cartes sur la terrasse afin de profiter de la fraîcheur de la rosée. Florine accepta avec un large sourire et enfila un gilet avant de le rejoindre dehors. Ce matin encore elle était si belle, pensa Clément. Était-ce vraiment elle qui se caressait au coeur de la nuit hier ? Devant sa grâce et sa dévotion, il avait du mal à l'associer à une image de sensualité. Il en venait même à penser qu'il avait rêvé.
-"Tu as l'air ailleurs ? " finit-elle par lui demander en relevant la tête et en croisant son regard.
-"No..non, je suis là. J'ai peut-être mal dormi."
-" C'est ça ? Il me semble t'avoir entendu te lever cette nuit."
-"Oui, je suis allé aux toilettes. Mais il était tard, tu ne dormais pas ?" tenta-t-il. Au rougissement léger de Florine, il comprit qu'il n'avait pas rêvé.
-"Si, si. Tu m'as juste réveillée le temps d'une minute" acheva-t-elle avant de se replonger dans ses cartes. "On dirait que tu as plus de chance, cette fois" lança-t-elle d'un ton narquois.
-"Ooh, mais hier, je t'ai laissée gagner, en bon gentleman. " répliqua-t-il.
-"Ahaha, menteur ! "
-"Tu ne me crois pas ? Je vais te le prouver. Qu'est-ce que je gagne si je te bats cette fois-ci ?" Il avait lancé la provocation spontanément mais ne s'attendait pas à la réponse.
-"Et bien...si tu arrives à me battre, tu auras droit de me demander ce que tu veux ! Mais si je te bats...disons que tu devras m'avouer un secret ! Comme je ne peux pas te demander de faire quelque chose pour moi avec tes deux bras plâtrés, c'est un juste retour des choses. "
-"Ca me va ! " fit Clément, persuadé qu'il allait gagner.
La partie fut acharnée. C'était beau de voir leur complicité dans le jeu, leur fair-play mais aussi leur envie de gagner. Ils riraient des coups de l'autre, se provoquaient sans cesse. Chacun jouait à son maximum et il ne fallut qu'un cheveu pour que Clément l'emporte.
-"Je m'incline " déclara Florine en mimant une révérence.
-"Tu as bien failli m'avoir" concéda Clément en retournant sa révérence à la jeune fille.
-"Que me demandes-tu en récompense ? "
Ah, la bonne question ! Tellement obnubilé par la volonté de faire ses preuves auprès de Florine, il en avait oublié d'y réfléchir.
-"Là, je n'ai pas d'idée... " bafouilla-t-il.
-"Ah ? Je suis un peu déçue. Est-ce parce que je suis déjà suffisamment aux petits soins pour toi ? " ajouta-t-elle en riant.
-"C'est ça ! " profita-t-il pour répondre.
-"Attention, si d'ici ce soir, tu n'as pas trouvé, le gage est caduque. "
-"Ooh, je vais y réfléchir sérieusement alors. "
Des idées, Clément en avait plein la tête. Mais pas vraiment de celles qui se jettent par dessus une table à son infirmière à domicile.
La fin de matinée approchait doucement. Avec un peu de rose aux joues, Florine demanda à Clément s’il voulait prendre une douche aujourd’hui. C’est vrai que la question allait se reposer chaque jour de la semaine et s’il ne voulait pas passer pour un sale, il devrait y passer. Il gagna du temps en préférant la prendre durant l’après-midi pour profiter de l’effet rafraichissant. Florine acquiesça. Le déjeuner fut rapide et composé des restes du dîner de la veille.
Comme la journée dernière, ils décidèrent d’échapper aux chaleurs du début d’après-midi en regardant un film, tranquillement posés dans le canapé. Pourtant, même à l’intérieur, le poids de la chaleur se faisait sentir. Durant le film, les deux jeunes s’offrirent une coupe de glace. S’eut presque pu être en amoureux s’ils avaient partagés la même, ainsi côte-à-côte dans le canapé. Florine donnait à manger à la cuillère à Clément en alternant entre le jeune homme et le film. Il se délectait de sentir son haleine fraiche quand elle se tournait vers lui et son regard amusé quand elle lui donnait la béquée. Il aurait voulu s’avancer vers elle et l’embrasser mais le courage lui manquait et sa coupe de glace s’était tarie.
Le film finit (I, Robot), ils se lancèrent dans un grand débat sur la place des robots dans la société future. Débat animé car Clément aimait bien se faire l’avocat du diable et Florine aimait les contre-argumentations. Sans s’en rendre compte, l’après-midi avança et le débat se maintînt, dérivant parfois vers de la bioéthique, la définition de la conscience ou la suprématie humaine. Florine avait fait des cafés, ils avaient goûté sur la terrasse tout en continuant à refaire le monde. Il était évident qu’ils aimaient ces moments, qu’ils étaient contents d’avoir rencontré l’autre.
La fin d’après-midi était venue, la chaleur était passée et la douceur enveloppant les avait pris dans le jardin. Ils pouvaient sentir leurs corps se relaxer, apprécier la douce brise.
-"Et pour cette douche, qu’est-ce qu’on fait ? "
Clément avait été pris au dépourvu. Ceci dit, Florine semblait l’être aussi, comme si elle avait verbalisé à son insu quelque chose qui lui passait dans l’esprit.
-"Bin, je pense que…ce serait le bon moment pour la prendre en effet" répondit le jeune homme, ne trouvant pas d’excuse pour repousser l’épreuve embarrassante.
-"Alors allons-y avant de dîner, comme ça j’aurai le temps d’en prendre une moi aussi."
Clément ne poussa pas jusqu’à proposer qu’ils la prennent ensemble et se leva en suivant son infirmière.
Il allait falloir se contrôler à nouveau. C’est vrai que cette journée avait été moins chargée en énergie sexuelle et qu’une langueur amoureuse avait pris le contrôle de ses pensées. Pourtant, il allait se retrouver à nouveau nu devant elle et il allait falloir se contrôler sous les caresses de sa toilette. Il la suivait dans les escaliers et, déjà, la vision de ses jolies fesses qui ondulaient devant lui l’émoustillait. Il se força à voir cela comme un examen de routine à l’hôpital et tenta de chasser toute attirance pour la délicieuse Florine.
Une fois dans la salle de bain, elle l’aida à retirer son T-shirt, son short et son boxer. L’effort mental de Clément était à son comble. De son côté, Florine semblait agir naturellement, elle faisait même preuve de détachement, agissant presque machinalement. Cela pinça un peu le cœur du garçon et l’aida à se voiler dans une sorte d’orgueil blessé pour réfréner toute pulsion de désir.
Il passa dans la douche. Le regard de Florine ne croisa pas le sien. Elle était trop occupée à gérer la température de l’eau, le savon, le gant de toilette. Etre nu ainsi devant la fille dont on venait de tomber amoureux, livré à ses soins qui plus est, était une expérience étrange et intense. Il ne pouvait s’empêcher d’éprouver un élan amoureux quand il la voyait bouger avec grâce autour de lui, quand il la voyait passer ses longs cheveux derrière son oreille, se pencher en avant avec équilibre. Cet élan se ressentait dans son bas-ventre et sans dire que son sexe était un monument dressé en l’honneur de la jeune fille, il n’avait pas le repos chaste qu’aurait imposé une vieille infirmière. Toutefois, le détachement dont Florine faisait preuve aidait Clément à se contrôler, presque vexé d’être le seul ému.
La douche avait commencé et elle avait d’abord mouillé son corps sous les épaules avant de commencer à le savonner. Elle était appliquée et semblait bien moins tendue que la veille, ne cherchant pas terminer le plus rapidement possible une situation qui était gênante. Clément pensa que sa vocation d’infirmière avait repris le dessus et qu’elle s’était accoutumée à cette nouvelle expérience. Pourtant, alors que son regard glissait machinalement sur le corps de la jeune fille devant lui, il fut saisi de découvrir ses deux tétons qui pointaient à travers le T-shirt. Un frisson le parcourut en imaginant que malgré son dévouement tout professionnel Florine était excitée par la situation. Sentant que ce frisson avait eu un impact direct sur la rigidité de son pénis, il se força à penser que c’était peut-être une réaction physique au fait qu’elle ait été un peu aspergée par l’eau de la douche. Mais l’absence d’eau sur son T-shirt dissipa immédiatement le malentendu. Elle avait beau jouer l’indifférence, son corps parlait pour elle. Laver le jeune homme l’excitait. Cette dissipation du malentendu eut un effet direct sur son bas-ventre et son verge se dressa lentement contre la gravité tandis que le gant de Florine passait justement sur son ventre.
Le lendemain matin, Clément se réveilla encore le dernier et retrouva Florine dans la cuisine. Elle paraissait de très bonne humeur, à en croire le petit air qu'elle sifflotait. Elle accueillit le jeune homme avec entrain en lui proposant une tasse de café, qu'il accepta. Se prenant de plus en plus au jeu de garde-malade, elle proposa de lui lire les nouvelles de l'actualité parmi les sites qu'elle parcourait déjà sur sa tablette. Un rapide tout d'horizon confirma que l'ambiance n'était pas au beau fixe dans le pays. Mais cela passait au second plan pour les deux jeunes puisque la journée s'annonçait magnifique et sonnait comme un air de vacances.
Clément proposa de prendre sa revanche aux cartes sur la terrasse afin de profiter de la fraîcheur de la rosée. Florine accepta avec un large sourire et enfila un gilet avant de le rejoindre dehors. Ce matin encore elle était si belle, pensa Clément. Était-ce vraiment elle qui se caressait au coeur de la nuit hier ? Devant sa grâce et sa dévotion, il avait du mal à l'associer à une image de sensualité. Il en venait même à penser qu'il avait rêvé.
-"Tu as l'air ailleurs ? " finit-elle par lui demander en relevant la tête et en croisant son regard.
-"No..non, je suis là. J'ai peut-être mal dormi."
-" C'est ça ? Il me semble t'avoir entendu te lever cette nuit."
-"Oui, je suis allé aux toilettes. Mais il était tard, tu ne dormais pas ?" tenta-t-il. Au rougissement léger de Florine, il comprit qu'il n'avait pas rêvé.
-"Si, si. Tu m'as juste réveillée le temps d'une minute" acheva-t-elle avant de se replonger dans ses cartes. "On dirait que tu as plus de chance, cette fois" lança-t-elle d'un ton narquois.
-"Ooh, mais hier, je t'ai laissée gagner, en bon gentleman. " répliqua-t-il.
-"Ahaha, menteur ! "
-"Tu ne me crois pas ? Je vais te le prouver. Qu'est-ce que je gagne si je te bats cette fois-ci ?" Il avait lancé la provocation spontanément mais ne s'attendait pas à la réponse.
-"Et bien...si tu arrives à me battre, tu auras droit de me demander ce que tu veux ! Mais si je te bats...disons que tu devras m'avouer un secret ! Comme je ne peux pas te demander de faire quelque chose pour moi avec tes deux bras plâtrés, c'est un juste retour des choses. "
-"Ca me va ! " fit Clément, persuadé qu'il allait gagner.
La partie fut acharnée. C'était beau de voir leur complicité dans le jeu, leur fair-play mais aussi leur envie de gagner. Ils riraient des coups de l'autre, se provoquaient sans cesse. Chacun jouait à son maximum et il ne fallut qu'un cheveu pour que Clément l'emporte.
-"Je m'incline " déclara Florine en mimant une révérence.
-"Tu as bien failli m'avoir" concéda Clément en retournant sa révérence à la jeune fille.
-"Que me demandes-tu en récompense ? "
Ah, la bonne question ! Tellement obnubilé par la volonté de faire ses preuves auprès de Florine, il en avait oublié d'y réfléchir.
-"Là, je n'ai pas d'idée... " bafouilla-t-il.
-"Ah ? Je suis un peu déçue. Est-ce parce que je suis déjà suffisamment aux petits soins pour toi ? " ajouta-t-elle en riant.
-"C'est ça ! " profita-t-il pour répondre.
-"Attention, si d'ici ce soir, tu n'as pas trouvé, le gage est caduque. "
-"Ooh, je vais y réfléchir sérieusement alors. "
Des idées, Clément en avait plein la tête. Mais pas vraiment de celles qui se jettent par dessus une table à son infirmière à domicile.
La fin de matinée approchait doucement. Avec un peu de rose aux joues, Florine demanda à Clément s’il voulait prendre une douche aujourd’hui. C’est vrai que la question allait se reposer chaque jour de la semaine et s’il ne voulait pas passer pour un sale, il devrait y passer. Il gagna du temps en préférant la prendre durant l’après-midi pour profiter de l’effet rafraichissant. Florine acquiesça. Le déjeuner fut rapide et composé des restes du dîner de la veille.
Comme la journée dernière, ils décidèrent d’échapper aux chaleurs du début d’après-midi en regardant un film, tranquillement posés dans le canapé. Pourtant, même à l’intérieur, le poids de la chaleur se faisait sentir. Durant le film, les deux jeunes s’offrirent une coupe de glace. S’eut presque pu être en amoureux s’ils avaient partagés la même, ainsi côte-à-côte dans le canapé. Florine donnait à manger à la cuillère à Clément en alternant entre le jeune homme et le film. Il se délectait de sentir son haleine fraiche quand elle se tournait vers lui et son regard amusé quand elle lui donnait la béquée. Il aurait voulu s’avancer vers elle et l’embrasser mais le courage lui manquait et sa coupe de glace s’était tarie.
Le film finit (I, Robot), ils se lancèrent dans un grand débat sur la place des robots dans la société future. Débat animé car Clément aimait bien se faire l’avocat du diable et Florine aimait les contre-argumentations. Sans s’en rendre compte, l’après-midi avança et le débat se maintînt, dérivant parfois vers de la bioéthique, la définition de la conscience ou la suprématie humaine. Florine avait fait des cafés, ils avaient goûté sur la terrasse tout en continuant à refaire le monde. Il était évident qu’ils aimaient ces moments, qu’ils étaient contents d’avoir rencontré l’autre.
La fin d’après-midi était venue, la chaleur était passée et la douceur enveloppant les avait pris dans le jardin. Ils pouvaient sentir leurs corps se relaxer, apprécier la douce brise.
-"Et pour cette douche, qu’est-ce qu’on fait ? "
Clément avait été pris au dépourvu. Ceci dit, Florine semblait l’être aussi, comme si elle avait verbalisé à son insu quelque chose qui lui passait dans l’esprit.
-"Bin, je pense que…ce serait le bon moment pour la prendre en effet" répondit le jeune homme, ne trouvant pas d’excuse pour repousser l’épreuve embarrassante.
-"Alors allons-y avant de dîner, comme ça j’aurai le temps d’en prendre une moi aussi."
Clément ne poussa pas jusqu’à proposer qu’ils la prennent ensemble et se leva en suivant son infirmière.
Il allait falloir se contrôler à nouveau. C’est vrai que cette journée avait été moins chargée en énergie sexuelle et qu’une langueur amoureuse avait pris le contrôle de ses pensées. Pourtant, il allait se retrouver à nouveau nu devant elle et il allait falloir se contrôler sous les caresses de sa toilette. Il la suivait dans les escaliers et, déjà, la vision de ses jolies fesses qui ondulaient devant lui l’émoustillait. Il se força à voir cela comme un examen de routine à l’hôpital et tenta de chasser toute attirance pour la délicieuse Florine.
Une fois dans la salle de bain, elle l’aida à retirer son T-shirt, son short et son boxer. L’effort mental de Clément était à son comble. De son côté, Florine semblait agir naturellement, elle faisait même preuve de détachement, agissant presque machinalement. Cela pinça un peu le cœur du garçon et l’aida à se voiler dans une sorte d’orgueil blessé pour réfréner toute pulsion de désir.
Il passa dans la douche. Le regard de Florine ne croisa pas le sien. Elle était trop occupée à gérer la température de l’eau, le savon, le gant de toilette. Etre nu ainsi devant la fille dont on venait de tomber amoureux, livré à ses soins qui plus est, était une expérience étrange et intense. Il ne pouvait s’empêcher d’éprouver un élan amoureux quand il la voyait bouger avec grâce autour de lui, quand il la voyait passer ses longs cheveux derrière son oreille, se pencher en avant avec équilibre. Cet élan se ressentait dans son bas-ventre et sans dire que son sexe était un monument dressé en l’honneur de la jeune fille, il n’avait pas le repos chaste qu’aurait imposé une vieille infirmière. Toutefois, le détachement dont Florine faisait preuve aidait Clément à se contrôler, presque vexé d’être le seul ému.
La douche avait commencé et elle avait d’abord mouillé son corps sous les épaules avant de commencer à le savonner. Elle était appliquée et semblait bien moins tendue que la veille, ne cherchant pas terminer le plus rapidement possible une situation qui était gênante. Clément pensa que sa vocation d’infirmière avait repris le dessus et qu’elle s’était accoutumée à cette nouvelle expérience. Pourtant, alors que son regard glissait machinalement sur le corps de la jeune fille devant lui, il fut saisi de découvrir ses deux tétons qui pointaient à travers le T-shirt. Un frisson le parcourut en imaginant que malgré son dévouement tout professionnel Florine était excitée par la situation. Sentant que ce frisson avait eu un impact direct sur la rigidité de son pénis, il se força à penser que c’était peut-être une réaction physique au fait qu’elle ait été un peu aspergée par l’eau de la douche. Mais l’absence d’eau sur son T-shirt dissipa immédiatement le malentendu. Elle avait beau jouer l’indifférence, son corps parlait pour elle. Laver le jeune homme l’excitait. Cette dissipation du malentendu eut un effet direct sur son bas-ventre et son verge se dressa lentement contre la gravité tandis que le gant de Florine passait justement sur son ventre.