08-04-2021, 06:01 PM
Habillé, Clément aurait pu passer pour un de ces gars grands et longilignes, taillés comme une asperge. Mais une fois nu, on pouvait voir l'effet de l'entraînement sportif chez ce grand sec. Des épaules larges surmontant des pectoraux et des abdominaux qui se dessinaient bien sans être trop développés, un dos solide et noueux. Des jambes toutes en muscles et des petites fesses en béton. Bref, il était un beau gosse qui pouvait ne pas laisser indifférent.
Et c'est ce qui semblait se passer pour Florine. Le jeune homme l'observait quand elle passait le gant de toilette sur son torse, dans son dos. Elle paraissait se concentrer sur ce qu'elle faisait avec un peu trop d'attention. Elle rougissait, il en était certain.
Une fois le haut du corps lavé et rincé, Florine s'agenouilla devant la douche et ses mains vinrent parcourir les longs muscles des cuisses et des mollets de Clément. Le jeune homme avait beau se concentrer pour retenir l'excitation que lui procuraient les caresses de Florine, c'était de plus en plus dur. Et ce qui devait finalement arriver, arriva.
Quand les mains de la jeune fille passèrent timidement sur son pubis, le sexe de Clément se mit à gonfler doucement. Le rouge sur les joues de Florine augmenta et sa main hésita. Il était difficile de faire comme si de rien n'était.
- "Euh, je suis désolé, j'ai essayé de me retenir mais..." commença Clément.
- "Je...je comprends. C'est juste que...comment on fait maintenant ?" parvînt à répondre Florine.
- "Bin...je pense que si tu me laves vite fait, ça pourrait suffire."
- "Mmh...ok."
Florine sembla reprendre du poil de la bête et se saisit avec douceur du pénis de Clément. Elle l'entoura de sa main gantée et le nettoya tendrement puis passa aux testicules. Tout cela ne dura pas plus de 15-20 secondes mais quel bonheur pour Clément. Toute la pudeur qu'il éprouvait au début avait disparu au profit du plaisir des caresses de son infirmière. Florine gardait le regard bas et dès qu'elle eut nettoyé le sexe du jeune homme elle se saisit de la pomme de douche pour le rincer tout aussi tendrement. Bien sûr Clément n'avait pu se retenir sous la main de la jeune fille et son sexe était quasiment dressé au maximum. Bien qu'elle paraisse embarrassée, Clément nota que sa main nue s'attarda un peu plus que nécessaire autour de sa verge lors du rinçage.
La douche se termina sans autre problème, si ce n'est lors du rinçage des épaules de Clément. Alors que Florine se tenait debout devant lui et qu'elle parcourait sa peau de son gant, le gland du sexe dressé de Clément entra en contact avec le ventre de la jeune fille. Le temps sembla se figer, comme si tout ce que les deux jeunes gens avaient dans la tête passait sur la balance de leurs émotions. Puis Clément s'excusa, Florine en fit de même et elle s'écarta un peu plus pour terminer la toilette. C’était aussi pénible que plaisant pour le jeune homme.
Une fois séché, Clément était calmé. Florine l'aida à s'habiller et ils descendirent ensemble dans le salon. La jeune fille prépara le déjeuner en tâchant d'entretenir une conversation banale sur les vacances et les projets de Clément pour la rentrée. Le jeune homme répondait tout aussi distraitement, ayant toujours la tête pleine de son désir non assumé pour la jeune fille. Il se morigénait de ses pensées devant l'innocence et la dévotion de Florine.
L'ambiance se détendit durant le repas. Ils mirent la TV pour se changer les idées. Après le repas, l'après-midi étant trop chaud pour le passer sur la terrasse, ils décidèrent de mettre un film dans le salon et de s'installer confortablement côte à côte.
Plusieurs dizaines de minutes passèrent ainsi avant que Clément prit la parole.
- "Ecoute Florine, je suis désolé pour ma réaction...involontaire durant la douche et j'espère que tu n'es pas fâchée." avoua-t-il timidement.
- "Non, non, je ne suis pas fâchée" fit-elle embarrassée, comme si elle avait été surprise durant une faute. "C'est aussi ma faute."
- "Pas du tout, c'est la mienne..."
- "Et puis, je pense que c'est normal pour un garçon de réagir comme ça."
-"En tout cas, si tu n’es pas fâchée, ça m’enlève un poids. "
-"Rassure-toi. Et puis, il va falloir que je t’aide à te doucher encore plusieurs fois cette semaine donc on va se faire à cette situation. Je vais bientôt infirmière donc j’en verrai d’autres. " ajouta-t-elle avec un petit rire.
Clément acquiesça mais, sans trop savoir pourquoi, la dernière remarque de la jeune fille l’avait un peu vexé. N’était-ce qu’un travail pour elle ? Bien sûr que ce n’était que ça ! pensa-t-il. Voilà qu’il devenait présomptueux ! Elle était magnifique et lui n’était un étudiant endimanché. Il ressassa ce genre de pensée jusqu’à la fin du film, essayant de se persuader de n’avoir rien à attendre de Florine autre que les soins qu’elle lui apportait. Cela l’aiderait sans doute à réfréner ses pulsions durant la prochaine douche.
Toujours plongé dans ses pensées morbides, Clément fut surpris du mouvement que son infirmière fit pour se lever du canapé. Une seconde il pensa qu’elle y avait mis un peu trop d’élan, comme si elle se réveillait en sursaut ou était soudain extirpée de ses pensées. La chaleur de l’après-midi d’été l’avait peut-être fait somnoler. Lui aussi se leva avec l’intention de se changer les idées.
-"Je vais aller chercher un bouquin dans ma chambre" annonça-t-il en se dirigeant vers l’escalier menant à l’étage.
-"Si tu vas lire et que tu n’as besoin de rien, je vais en profiter pour prendre une douche rafraichissante. "
Les derniers mots de Florine avaient allumé une série d’images dans la tête du jeune homme comparables à celles du 1er jour, quand il était resté bloqué devant la porte de la salle de bain pendant qu’elle prenait une douche. Pourtant, l’électrochoc fut plus grand quand elle ajouta :
-"Je laisserai la porte entre-ouverte pour entendre au cas où tu m’appelles en urgence."
Une seconde, la machine à fantasmes de Clément s’était emballée. C’est fou le nombre de choses qui peuvent vous passer par l’esprit en un instant. Il se força à revenir à la réalité pour éviter que cela se voie. Et puis, était-ce dans sa tête où la jeune fille avait légèrement rougi en disant cela avant de se détourner ?
En tout cas, il se contenta de garder le silence et de monter à l’étage. L’atmosphère était bien lourde cet après-midi, décidément. Se retrouver seul dans sa chambre lui permis de calmer ses idées. Il attrapa son livre et s’apprêtait à redescendre vers le salon. Pourtant, il ne put s’empêcher de tourner la tête quand il dépassa la salle de bain. La porte était bien entre-ouverte et la lumière indiquait que la jeune fille était déjà dedans. Malgré ses tentatives pour se calmer, le jeune homme ne put empêcher son œil de glisser dans l’ouverture. Et il vit.
Florine était déjà presque nue. Dos à lui, elle était encore en petite culotte et s’attachait les cheveux en chignon. Qu’elle était belle ! Clément en avait le souffle coupé. Sa peau d’un rose sucré sans marque de bronzage dans le dos, ses hanches fines commençant ses longues jambes, ses petites fesses encore emprisonnées dans sa culotte blanche et la grâce de ses mouvements quand elle saisissait ses cheveux pour les retenir en chignon, son cou délicat où se balançaient encore quelques cheveux fins et l’ovale de son sein droit entre-aperçu quand elle avait les bras levés. Clément restait figé devant la porte, devant ce spectacle, sans penser qu’il pouvait être surpris. Florine se pencha et d’un autre mouvement plein de grâce, elle saisit les bords de sa culotte et la fit glisser le long de ses fesses puis de ses cuisses avant de terminer son mouvement par une ondulation des hanches qui fit tomber la culotte à terre. Nue…Florine, nue sous ses yeux. Elle était magnifique. Simple. Délicate. Sculpturale. Il l’aimait. En cet instant, il était tombé amoureux d’elle.
Cet émoi le secoua de sa torpeur et il s’arracha à la vision. D’un pas brusque, il se dirigea rapidement dans les escaliers. Tellement brusque qu’il alerta la jeune fille.
-"Tu as un problème ? " l’entendit-il s’enquérir depuis l’étage.
-"No…non, tout va bien ! "lança-t-il avait plus de force qu’il n’aurait voulu.
-"Ok. " fit-elle simplement. Puis, après un silence de quelques secondes, elle ajouta : "Je vais dans la douche alors. "
Cherchait-elle à le torturer avec ces déclarations ?! En tout cas, le cœur de Clément battait la chamade. Il sentait encore quelques frissons passer dans ses bras plâtrés. Il fit quelques pas pour se calmer et reprendre ses esprits. Elle était magnifique mais il l’avait espionnée comme un voyou. S’il n’était pas quelqu’un de très dégourdi avec les filles, comme le montrait le calme de sa vie sentimentale, il se targuait en tout cas d’être un garçon correct. Et un garçon correct ne faisait pas ce genre de choses.
Mais en y repensant, cette porte n’était-elle pas un peu trop entre-ouverte ? Il ne fallait pas autant d’espace pour entendre quelqu’un vous appeler. Clément chassa rapidement cette idée de sa tête. Il devait faire un effort pour se tenir s’il partageait la maison avec elle pour cette semaine entière.
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Et c'est ce qui semblait se passer pour Florine. Le jeune homme l'observait quand elle passait le gant de toilette sur son torse, dans son dos. Elle paraissait se concentrer sur ce qu'elle faisait avec un peu trop d'attention. Elle rougissait, il en était certain.
Une fois le haut du corps lavé et rincé, Florine s'agenouilla devant la douche et ses mains vinrent parcourir les longs muscles des cuisses et des mollets de Clément. Le jeune homme avait beau se concentrer pour retenir l'excitation que lui procuraient les caresses de Florine, c'était de plus en plus dur. Et ce qui devait finalement arriver, arriva.
Quand les mains de la jeune fille passèrent timidement sur son pubis, le sexe de Clément se mit à gonfler doucement. Le rouge sur les joues de Florine augmenta et sa main hésita. Il était difficile de faire comme si de rien n'était.
- "Euh, je suis désolé, j'ai essayé de me retenir mais..." commença Clément.
- "Je...je comprends. C'est juste que...comment on fait maintenant ?" parvînt à répondre Florine.
- "Bin...je pense que si tu me laves vite fait, ça pourrait suffire."
- "Mmh...ok."
Florine sembla reprendre du poil de la bête et se saisit avec douceur du pénis de Clément. Elle l'entoura de sa main gantée et le nettoya tendrement puis passa aux testicules. Tout cela ne dura pas plus de 15-20 secondes mais quel bonheur pour Clément. Toute la pudeur qu'il éprouvait au début avait disparu au profit du plaisir des caresses de son infirmière. Florine gardait le regard bas et dès qu'elle eut nettoyé le sexe du jeune homme elle se saisit de la pomme de douche pour le rincer tout aussi tendrement. Bien sûr Clément n'avait pu se retenir sous la main de la jeune fille et son sexe était quasiment dressé au maximum. Bien qu'elle paraisse embarrassée, Clément nota que sa main nue s'attarda un peu plus que nécessaire autour de sa verge lors du rinçage.
La douche se termina sans autre problème, si ce n'est lors du rinçage des épaules de Clément. Alors que Florine se tenait debout devant lui et qu'elle parcourait sa peau de son gant, le gland du sexe dressé de Clément entra en contact avec le ventre de la jeune fille. Le temps sembla se figer, comme si tout ce que les deux jeunes gens avaient dans la tête passait sur la balance de leurs émotions. Puis Clément s'excusa, Florine en fit de même et elle s'écarta un peu plus pour terminer la toilette. C’était aussi pénible que plaisant pour le jeune homme.
Une fois séché, Clément était calmé. Florine l'aida à s'habiller et ils descendirent ensemble dans le salon. La jeune fille prépara le déjeuner en tâchant d'entretenir une conversation banale sur les vacances et les projets de Clément pour la rentrée. Le jeune homme répondait tout aussi distraitement, ayant toujours la tête pleine de son désir non assumé pour la jeune fille. Il se morigénait de ses pensées devant l'innocence et la dévotion de Florine.
L'ambiance se détendit durant le repas. Ils mirent la TV pour se changer les idées. Après le repas, l'après-midi étant trop chaud pour le passer sur la terrasse, ils décidèrent de mettre un film dans le salon et de s'installer confortablement côte à côte.
Plusieurs dizaines de minutes passèrent ainsi avant que Clément prit la parole.
- "Ecoute Florine, je suis désolé pour ma réaction...involontaire durant la douche et j'espère que tu n'es pas fâchée." avoua-t-il timidement.
- "Non, non, je ne suis pas fâchée" fit-elle embarrassée, comme si elle avait été surprise durant une faute. "C'est aussi ma faute."
- "Pas du tout, c'est la mienne..."
- "Et puis, je pense que c'est normal pour un garçon de réagir comme ça."
-"En tout cas, si tu n’es pas fâchée, ça m’enlève un poids. "
-"Rassure-toi. Et puis, il va falloir que je t’aide à te doucher encore plusieurs fois cette semaine donc on va se faire à cette situation. Je vais bientôt infirmière donc j’en verrai d’autres. " ajouta-t-elle avec un petit rire.
Clément acquiesça mais, sans trop savoir pourquoi, la dernière remarque de la jeune fille l’avait un peu vexé. N’était-ce qu’un travail pour elle ? Bien sûr que ce n’était que ça ! pensa-t-il. Voilà qu’il devenait présomptueux ! Elle était magnifique et lui n’était un étudiant endimanché. Il ressassa ce genre de pensée jusqu’à la fin du film, essayant de se persuader de n’avoir rien à attendre de Florine autre que les soins qu’elle lui apportait. Cela l’aiderait sans doute à réfréner ses pulsions durant la prochaine douche.
Toujours plongé dans ses pensées morbides, Clément fut surpris du mouvement que son infirmière fit pour se lever du canapé. Une seconde il pensa qu’elle y avait mis un peu trop d’élan, comme si elle se réveillait en sursaut ou était soudain extirpée de ses pensées. La chaleur de l’après-midi d’été l’avait peut-être fait somnoler. Lui aussi se leva avec l’intention de se changer les idées.
-"Je vais aller chercher un bouquin dans ma chambre" annonça-t-il en se dirigeant vers l’escalier menant à l’étage.
-"Si tu vas lire et que tu n’as besoin de rien, je vais en profiter pour prendre une douche rafraichissante. "
Les derniers mots de Florine avaient allumé une série d’images dans la tête du jeune homme comparables à celles du 1er jour, quand il était resté bloqué devant la porte de la salle de bain pendant qu’elle prenait une douche. Pourtant, l’électrochoc fut plus grand quand elle ajouta :
-"Je laisserai la porte entre-ouverte pour entendre au cas où tu m’appelles en urgence."
Une seconde, la machine à fantasmes de Clément s’était emballée. C’est fou le nombre de choses qui peuvent vous passer par l’esprit en un instant. Il se força à revenir à la réalité pour éviter que cela se voie. Et puis, était-ce dans sa tête où la jeune fille avait légèrement rougi en disant cela avant de se détourner ?
En tout cas, il se contenta de garder le silence et de monter à l’étage. L’atmosphère était bien lourde cet après-midi, décidément. Se retrouver seul dans sa chambre lui permis de calmer ses idées. Il attrapa son livre et s’apprêtait à redescendre vers le salon. Pourtant, il ne put s’empêcher de tourner la tête quand il dépassa la salle de bain. La porte était bien entre-ouverte et la lumière indiquait que la jeune fille était déjà dedans. Malgré ses tentatives pour se calmer, le jeune homme ne put empêcher son œil de glisser dans l’ouverture. Et il vit.
Florine était déjà presque nue. Dos à lui, elle était encore en petite culotte et s’attachait les cheveux en chignon. Qu’elle était belle ! Clément en avait le souffle coupé. Sa peau d’un rose sucré sans marque de bronzage dans le dos, ses hanches fines commençant ses longues jambes, ses petites fesses encore emprisonnées dans sa culotte blanche et la grâce de ses mouvements quand elle saisissait ses cheveux pour les retenir en chignon, son cou délicat où se balançaient encore quelques cheveux fins et l’ovale de son sein droit entre-aperçu quand elle avait les bras levés. Clément restait figé devant la porte, devant ce spectacle, sans penser qu’il pouvait être surpris. Florine se pencha et d’un autre mouvement plein de grâce, elle saisit les bords de sa culotte et la fit glisser le long de ses fesses puis de ses cuisses avant de terminer son mouvement par une ondulation des hanches qui fit tomber la culotte à terre. Nue…Florine, nue sous ses yeux. Elle était magnifique. Simple. Délicate. Sculpturale. Il l’aimait. En cet instant, il était tombé amoureux d’elle.
Cet émoi le secoua de sa torpeur et il s’arracha à la vision. D’un pas brusque, il se dirigea rapidement dans les escaliers. Tellement brusque qu’il alerta la jeune fille.
-"Tu as un problème ? " l’entendit-il s’enquérir depuis l’étage.
-"No…non, tout va bien ! "lança-t-il avait plus de force qu’il n’aurait voulu.
-"Ok. " fit-elle simplement. Puis, après un silence de quelques secondes, elle ajouta : "Je vais dans la douche alors. "
Cherchait-elle à le torturer avec ces déclarations ?! En tout cas, le cœur de Clément battait la chamade. Il sentait encore quelques frissons passer dans ses bras plâtrés. Il fit quelques pas pour se calmer et reprendre ses esprits. Elle était magnifique mais il l’avait espionnée comme un voyou. S’il n’était pas quelqu’un de très dégourdi avec les filles, comme le montrait le calme de sa vie sentimentale, il se targuait en tout cas d’être un garçon correct. Et un garçon correct ne faisait pas ce genre de choses.
Mais en y repensant, cette porte n’était-elle pas un peu trop entre-ouverte ? Il ne fallait pas autant d’espace pour entendre quelqu’un vous appeler. Clément chassa rapidement cette idée de sa tête. Il devait faire un effort pour se tenir s’il partageait la maison avec elle pour cette semaine entière.
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