08-04-2021, 05:56 PM
L’homme avait dû lire tout cela dans son regard. Pour la 1e fois depuis quelques minutes, ses mains glissèrent autour de son buste et il la releva contre lui, toujours planté en elle. Sonia se délecta de la chaleur de son partenaire dans son dos. Un des bras autour d’elle enserra sa poitrine, se refermant sur son sein gauche, tandis que l’autre glissa sur son ventre et se plaqua contre son pubis, là où elle sentait la verge palpiter en elle. A son tour, elle leva les bras par-dessus sa tête pour venir les passer autour de celle de l’inconnu. Elle se tourna vers lui et l’embrassa à nouveau.
Ce fut un nouveau baiser torride, laissant s’exprimer tout le désir qu’ils avaient l’un pour l’autre. Sonia comprenait qu’elle lui abandonnait à nouveau son corps, se soumettait à ses mains posées sur elle. A cette pensée, son minou se contracta autour du sexe tendu en elle, envoyant une puissante décharge dans tout son dos. L’homme libéra sa bouche et lui murmura à l’oreille :
-"Et maintenant ? Que veux-tu ? "
-"Prends-moi" répondit-elle dans un soupir. "Et ne t’arrête pas " ajouta-elle.
Les mots qu’elle avait lâchés presque à son insu firent naître une pointe d’appréhension. Et si elle n’était plus capable de se retenir quand le plaisir la prendrait ? Est-ce qu’on risquait de l’entendre ?
Mais il était trop tard. L’homme la relâcha de son étreinte, la laissant s’appuyer à nouveau contre la cloison. Elle le voulait tellement. Il l’a voulait tout autant. Il n’était plus temps de regretter. Pour le laisser mieux la pénétrer, elle reposa son pied sur le banc sous elle et se cambra en avant. Elle le sentait onduler, toujours planté en elle et un puissant frisson la parcourut de nouveau. Les puissantes mains se posèrent sur elle, glissant dans son dos, la griffant presque, puis saisirent ses hanches avec fermeté.
Cette fois-ci, c’était lui qui menait leur « danse ». L’homme répondait au désir brûlant de Sonia par une pénétration contrôlée et puissante. Va-et-vient après va-et-vient, elle le sentait glisser plus profondément en elle. Il tenait ses hanches si fermement que cela renforçait son impression de soumission. Elle le laissait la prendre, se donnait à lui tout entière.
Rapidement, elle sentit le bas-ventre de l’homme heurter ses fesses et son gland s’enfoncer au fond de son ventre. Il restait figé ainsi quelques secondes. Elle sentait le membre se gonfler de désir en elle et elle lui répondit en se contractant autour de lui. L’homme frissonna contre elle et elle réprima un gémissement en se mordant la lèvre inférieure. Puis, tout aussi vigoureusement, il recommença à la prendre. A chaque mouvement de rein, elle pouvait le sentir glisser hors d’elle, son gland caressant ses lèvres puis l’emplir à nouveau de toute sa longueur.
Les yeux fermés, appuyée fermement contre la cloison de la cabine, Sonia sentait la langueur de ces vat-et-vients la bercer de plaisir. L’homme savait jauger son excitation et la faire monter progressivement. Chaque mouvement en elle lançait des frissons de plaisir dans son dos, ses reins. Elle se cambrait toujours plus pour mieux le sentir en elle, reculant même ses hanches parfois pour venir à sa rencontre. Ses seins étaient bercés sous elle et rendus si sensibles par l’excitation que cela s’ajoutait aux vagues de plaisir montant de son ventre.
Elle ne savait combien de temps s’était écoulé, depuis combien de temps il jouait avec son plaisir. Elle était sa partenaire soumise, ne voulant qu’éprouver toujours plus de plaisir. Dans la cabine elle percevait son propre halètement et celui de l’homme derrière elle. Dans un coin de son esprit, elle tentait de se rassurer en imaginant qu’ils n’étaient pas audibles de l’extérieur.
Malgré ses pensées qui commençaient à sombrer dans le brouillard de l’excitation, elle sentit l’étreinte de l’homme se desserrer autour de ses hanches. Curieuse sensation de se sentir libre à nouveau. Les mains puissantes remontèrent le long de son dos pour venir se refermer sur ses épaules. Cette fois, l’homme la faisait venir activement contre lui. La pénétration devînt encore plus intense. Sonia avait l’impression qu’il entrait encore plus profondément elle. Les vagues de plaisir qui lui secouaient le corps en étaient décuplées. Cette fois, elle peinait vraiment à contenir ses gémissements et à garder une prise ferme sur ses jambes.
Mais l’homme ne la ménageait pas. Elle ne le voulait pas de toute façon. Il allait et venait en elle sans retenue, toujours avec une langueur puissante, ne succombant pas à un plaisir effréné. Il la prenait à son rythme, laissant toujours le plaisir monter toujours plus.
Pourtant, c’était déjà limite pour Sonia. Elle sentait qu’elle perdait le contrôle. Elle se pencha un peu plus en avant et appuya son front contre sa main posée sur la cloison de la cabine. L’homme la maintenant cambrée par sa pression sur ses épaules, faisant frotter sa verge gonflée contre les parois de son minou. C’était un délice. Elle avait voulu ce moment et il était en train d’arriver. Elle allait jouir de cet inconnu, dans ce lieu entouré d’inconnus. Elle n’avait qu’à se laisser aller pour ça, perdre ce qui lui restait de retenue. Mais elle gardait la crainte de se faire démasquer.
Comme s’il avait lu dans ses pensées, l’homme lui tendit une petite serviette qu’il avait avec lui. Détournant la tête un instant, elle la positionna contre sa bouche avant de retrouver le soulagement du soutien de sa main contre la cloison. Cette fois, elle n’avait plus d’excuse. Elle pouvait se lâcher, se livrer à lui et au plaisir.
Comme plus complicité totale, elle sentit l’homme renforcer son impulsion au fond de son ventre. Ce fut le déclencheur. L’orgasme arrivait enfin tandis qu’il continuait à la prendre plus fougueusement. Alors que son esprit cédait, elle sentit une main de l’inconnu quitter son épaule et se refermer sur son sein gauche. La pression sur celui-ci, le pincement de son téton entre les doigts puissants acheva de libérer son orgasme.
Elle jouit sans plus penser. Il la prenait et elle en jouissait. Elle ne savait pas si ses cris étouffés par la serviette restaient perceptibles. Elle sentit à peine l’homme jouir avec elle, jouir en elle par contractions puissantes. Elle jouissait encore et encore sans que cela semble vouloir s’arrêter. Chaque coup de rein, chaque pénétration la propulsait plus loin dans son plaisir. Son corps entier se crispait sous les vagues de frissons. Elle n’était plus que ce minou, que ce ventre qui irradiait de plaisir au point qu’elle pourrait en exploser.
Sans qu’elle ait conscience du temps passé, le plaisir commença à diminuer. Juste assez pour reprendre pied dans le monde. L’homme continuait à la prendre, mais tout doucement, en ralentissant, comme une caresse permettant à son plaisir de se prolonger. Il la tenait dans ses bras sans qu’elle comprit depuis quand. Le souffle chaud de l’inconnu passait dans son cou, comme une autre caresse, une confidence du plaisir qu’il avait pris lui aussi. Elle le sentit même déposer un baiser doux dans sa nuque.
Ils restèrent ainsi une autre minute, savourant la moiteur de la cabine, le bruit du monde autour d’eux et leurs sens qui revenaient dans leur corps. Leur respiration se calma. L’homme se retira de son ventre et vint l’assoir sur ses genoux sur le banc. De douces minutes passèrent encore. Elle savourait la chaleur de ses bras autour d’elle.
Puis il fallut quitter la cabine. Les longues minutes qui étaient passées avaient peut-être finit par lasser les quelques personnes qui auraient pu entendre du bruit. Sonia se releva, quitta l’étreinte de l’inconnu et entreprit de se rhabiller sans oser poser un regard sur lui. Il respecta cela et ne chercha à interagir. Elle enfila son maillot de bain, sentant un peu le sperme de l’homme couler entre ses lèvres. Alors qu’elle s’apprêtait à quitter la cabine vers les douches, il la retînt en lui saisissant le poignet. Il se pencha vers elle et lui murmura tendrement :
-"Je sais que ce n’était pas prévu ainsi mais si tu changes d’avis, viens me trouver dans la piscine. "
Elle ne dit mot mais elle lui sourit. Il lâcha son poignet et elle quitta la cabine. Dehors, au bout de l’allée des vestiaires, un couple de jeunes la regardait, un sourire complice aux lèvres. Une jolie brune aux cheveux longs, un grand gars au corps de sportif. Une seconde elle pensa qu’il s’agissait peut-être de cette Florine dont elle avait entendu le nom murmuré dans la cabine voisine et qui avait déclenché cette cascade de désinhibition. Elle continua à marcher jusqu’aux douches. Le couple ne chercha pas à lui parler.
Le plaisir était encore dans son corps. L’air frais des couloirs était comme une nouvelle caresse sur sa peau. La douche fut un délice. Elle laissa le moment durer, savourant l’eau fraiche qui la recouvrait, atténuait le feu qui brûlait son corps. Elle sentit la semence de l’homme la quitter également et, sans qu’elle puisse se l’expliquer, cela lui procura un sentiment de vide cruel. Les mots de l’inconnu lui revinrent à l’esprit. Elle ne l’avait pas croisé. Il respectait sa solitude et attendrait qu’elle quitte la douche pour sortir à son tour. Il était si prévenant…Peut-être qu’elle irait le voir dans la piscine. Apprendre son prénom. Apprendre à le connaître…
Ce fut un nouveau baiser torride, laissant s’exprimer tout le désir qu’ils avaient l’un pour l’autre. Sonia comprenait qu’elle lui abandonnait à nouveau son corps, se soumettait à ses mains posées sur elle. A cette pensée, son minou se contracta autour du sexe tendu en elle, envoyant une puissante décharge dans tout son dos. L’homme libéra sa bouche et lui murmura à l’oreille :
-"Et maintenant ? Que veux-tu ? "
-"Prends-moi" répondit-elle dans un soupir. "Et ne t’arrête pas " ajouta-elle.
Les mots qu’elle avait lâchés presque à son insu firent naître une pointe d’appréhension. Et si elle n’était plus capable de se retenir quand le plaisir la prendrait ? Est-ce qu’on risquait de l’entendre ?
Mais il était trop tard. L’homme la relâcha de son étreinte, la laissant s’appuyer à nouveau contre la cloison. Elle le voulait tellement. Il l’a voulait tout autant. Il n’était plus temps de regretter. Pour le laisser mieux la pénétrer, elle reposa son pied sur le banc sous elle et se cambra en avant. Elle le sentait onduler, toujours planté en elle et un puissant frisson la parcourut de nouveau. Les puissantes mains se posèrent sur elle, glissant dans son dos, la griffant presque, puis saisirent ses hanches avec fermeté.
Cette fois-ci, c’était lui qui menait leur « danse ». L’homme répondait au désir brûlant de Sonia par une pénétration contrôlée et puissante. Va-et-vient après va-et-vient, elle le sentait glisser plus profondément en elle. Il tenait ses hanches si fermement que cela renforçait son impression de soumission. Elle le laissait la prendre, se donnait à lui tout entière.
Rapidement, elle sentit le bas-ventre de l’homme heurter ses fesses et son gland s’enfoncer au fond de son ventre. Il restait figé ainsi quelques secondes. Elle sentait le membre se gonfler de désir en elle et elle lui répondit en se contractant autour de lui. L’homme frissonna contre elle et elle réprima un gémissement en se mordant la lèvre inférieure. Puis, tout aussi vigoureusement, il recommença à la prendre. A chaque mouvement de rein, elle pouvait le sentir glisser hors d’elle, son gland caressant ses lèvres puis l’emplir à nouveau de toute sa longueur.
Les yeux fermés, appuyée fermement contre la cloison de la cabine, Sonia sentait la langueur de ces vat-et-vients la bercer de plaisir. L’homme savait jauger son excitation et la faire monter progressivement. Chaque mouvement en elle lançait des frissons de plaisir dans son dos, ses reins. Elle se cambrait toujours plus pour mieux le sentir en elle, reculant même ses hanches parfois pour venir à sa rencontre. Ses seins étaient bercés sous elle et rendus si sensibles par l’excitation que cela s’ajoutait aux vagues de plaisir montant de son ventre.
Elle ne savait combien de temps s’était écoulé, depuis combien de temps il jouait avec son plaisir. Elle était sa partenaire soumise, ne voulant qu’éprouver toujours plus de plaisir. Dans la cabine elle percevait son propre halètement et celui de l’homme derrière elle. Dans un coin de son esprit, elle tentait de se rassurer en imaginant qu’ils n’étaient pas audibles de l’extérieur.
Malgré ses pensées qui commençaient à sombrer dans le brouillard de l’excitation, elle sentit l’étreinte de l’homme se desserrer autour de ses hanches. Curieuse sensation de se sentir libre à nouveau. Les mains puissantes remontèrent le long de son dos pour venir se refermer sur ses épaules. Cette fois, l’homme la faisait venir activement contre lui. La pénétration devînt encore plus intense. Sonia avait l’impression qu’il entrait encore plus profondément elle. Les vagues de plaisir qui lui secouaient le corps en étaient décuplées. Cette fois, elle peinait vraiment à contenir ses gémissements et à garder une prise ferme sur ses jambes.
Mais l’homme ne la ménageait pas. Elle ne le voulait pas de toute façon. Il allait et venait en elle sans retenue, toujours avec une langueur puissante, ne succombant pas à un plaisir effréné. Il la prenait à son rythme, laissant toujours le plaisir monter toujours plus.
Pourtant, c’était déjà limite pour Sonia. Elle sentait qu’elle perdait le contrôle. Elle se pencha un peu plus en avant et appuya son front contre sa main posée sur la cloison de la cabine. L’homme la maintenant cambrée par sa pression sur ses épaules, faisant frotter sa verge gonflée contre les parois de son minou. C’était un délice. Elle avait voulu ce moment et il était en train d’arriver. Elle allait jouir de cet inconnu, dans ce lieu entouré d’inconnus. Elle n’avait qu’à se laisser aller pour ça, perdre ce qui lui restait de retenue. Mais elle gardait la crainte de se faire démasquer.
Comme s’il avait lu dans ses pensées, l’homme lui tendit une petite serviette qu’il avait avec lui. Détournant la tête un instant, elle la positionna contre sa bouche avant de retrouver le soulagement du soutien de sa main contre la cloison. Cette fois, elle n’avait plus d’excuse. Elle pouvait se lâcher, se livrer à lui et au plaisir.
Comme plus complicité totale, elle sentit l’homme renforcer son impulsion au fond de son ventre. Ce fut le déclencheur. L’orgasme arrivait enfin tandis qu’il continuait à la prendre plus fougueusement. Alors que son esprit cédait, elle sentit une main de l’inconnu quitter son épaule et se refermer sur son sein gauche. La pression sur celui-ci, le pincement de son téton entre les doigts puissants acheva de libérer son orgasme.
Elle jouit sans plus penser. Il la prenait et elle en jouissait. Elle ne savait pas si ses cris étouffés par la serviette restaient perceptibles. Elle sentit à peine l’homme jouir avec elle, jouir en elle par contractions puissantes. Elle jouissait encore et encore sans que cela semble vouloir s’arrêter. Chaque coup de rein, chaque pénétration la propulsait plus loin dans son plaisir. Son corps entier se crispait sous les vagues de frissons. Elle n’était plus que ce minou, que ce ventre qui irradiait de plaisir au point qu’elle pourrait en exploser.
Sans qu’elle ait conscience du temps passé, le plaisir commença à diminuer. Juste assez pour reprendre pied dans le monde. L’homme continuait à la prendre, mais tout doucement, en ralentissant, comme une caresse permettant à son plaisir de se prolonger. Il la tenait dans ses bras sans qu’elle comprit depuis quand. Le souffle chaud de l’inconnu passait dans son cou, comme une autre caresse, une confidence du plaisir qu’il avait pris lui aussi. Elle le sentit même déposer un baiser doux dans sa nuque.
Ils restèrent ainsi une autre minute, savourant la moiteur de la cabine, le bruit du monde autour d’eux et leurs sens qui revenaient dans leur corps. Leur respiration se calma. L’homme se retira de son ventre et vint l’assoir sur ses genoux sur le banc. De douces minutes passèrent encore. Elle savourait la chaleur de ses bras autour d’elle.
Puis il fallut quitter la cabine. Les longues minutes qui étaient passées avaient peut-être finit par lasser les quelques personnes qui auraient pu entendre du bruit. Sonia se releva, quitta l’étreinte de l’inconnu et entreprit de se rhabiller sans oser poser un regard sur lui. Il respecta cela et ne chercha à interagir. Elle enfila son maillot de bain, sentant un peu le sperme de l’homme couler entre ses lèvres. Alors qu’elle s’apprêtait à quitter la cabine vers les douches, il la retînt en lui saisissant le poignet. Il se pencha vers elle et lui murmura tendrement :
-"Je sais que ce n’était pas prévu ainsi mais si tu changes d’avis, viens me trouver dans la piscine. "
Elle ne dit mot mais elle lui sourit. Il lâcha son poignet et elle quitta la cabine. Dehors, au bout de l’allée des vestiaires, un couple de jeunes la regardait, un sourire complice aux lèvres. Une jolie brune aux cheveux longs, un grand gars au corps de sportif. Une seconde elle pensa qu’il s’agissait peut-être de cette Florine dont elle avait entendu le nom murmuré dans la cabine voisine et qui avait déclenché cette cascade de désinhibition. Elle continua à marcher jusqu’aux douches. Le couple ne chercha pas à lui parler.
Le plaisir était encore dans son corps. L’air frais des couloirs était comme une nouvelle caresse sur sa peau. La douche fut un délice. Elle laissa le moment durer, savourant l’eau fraiche qui la recouvrait, atténuait le feu qui brûlait son corps. Elle sentit la semence de l’homme la quitter également et, sans qu’elle puisse se l’expliquer, cela lui procura un sentiment de vide cruel. Les mots de l’inconnu lui revinrent à l’esprit. Elle ne l’avait pas croisé. Il respectait sa solitude et attendrait qu’elle quitte la douche pour sortir à son tour. Il était si prévenant…Peut-être qu’elle irait le voir dans la piscine. Apprendre son prénom. Apprendre à le connaître…