08-04-2021, 05:55 PM
Elle sentit les mains de l’homme se poser sur sa tête, glisser dans ses cheveux et accompagner le mouvement de sa bouche le long de son sexe. Ainsi encouragée, les lèvres de Sonia se serrèrent un peu plus autour du gland pendant qu’elle l’aspirait, arrachant un gémissement sourd à son partenaire. Les doigts dans ses cheveux s’étaient crispés. Elle comprenait qu’il se rapprochait de l’orgasme. Durant quelques secondes, elle pensa aller jusqu’au bout et le faire jouir dans sa bouche. Puis elle se ravisa. Elle le voulait en elle. Maintenant.
Elle finit donc par le libérer. Il s’écarta un peu d’elle d’un pas fébrile. Elle avait l’impression que sa verge avait encore gonflé par rapport au début. Il allait presque jouir, elle en était sûre et sentit la fierté de l’avoir mis dans cet état. Elle se leva du banc et laissa sa place à l’homme, qui semblait bien content de pouvoir s’assoir.
Sans attendre, elle s’assit sur lui, face à lui, posant ses genoux de chaque côté de ses cuisses sur le large banc. Entre eux, le pénis érigé se pressait contre sa fine toison. D’un mouvement de hanche sensuel, elle se redressa au-dessus de lui et pointa le gland encore humide à ses lèvres. Etant totalement en contrôle, elle s’empala fermement sur la verge dressée. En la sentant glisser au fond de son ventre, une explosion de plaisir balaya un instant ses pensées. Tout son corps se contracta sous l’effet d’un orgasme inattendu. Un étourdissement la prit et elle enfouit son visage dans le cou de l’homme devant elle. Il la serra dans ses bras puissant. Elle sentait encore son minou se contracter par pulsations sur le sexe encore enserré en elle, prolongeant son plaisir.
Une fois remise, elle se délecta de le sentir en elle tandis qu’elle ondulait des hanches sur lui. Son minou relâchait le gland gonflé pour le reprendre aussitôt. Elle montait et descendait le long de la verge tendue, retenant avec peine ses gémissements. De ses mains puissantes, l’homme serrait ses fesses et l’accompagnait dans ses mouvements. Elle se cambrait pour changer l’angle du pénis en elle, renforcer le plaisir. Tout son corps était parcouru de frissons chaque fois qu’elle le sentait entrer en elle. Par moments, elle s’empalait entièrement sur lui, restant ainsi pour sentir le gland gonflé palpiter au fond d’elle, puis reprenait le va-et-vient sensuel.
Pour amplifier encore la pénétration, elle avait posé ses mains de chaque côté des épaules de son partenaire et se tenait bien droite sur lui. Ainsi écartée, la bouche de l’inconnu était venue prendre possession de ses seins. Elle avait frôlé un 2e orgasme en le sentant aspirer son téton droit dans sa bouche tandis qu’elle l’enfonçait en elle. Puis elle s’était reprise pour ne pas qu’on l’entende au dehors. Mais, plus prudente, elle avait ralenti le rythme de ses mouvements, essayant ainsi de contrôler le plaisir que le donnait ce sexe en elle. Pourtant, l’homme ne l’a ménageait pas, tétant ses seins, pétrissant ses mains avec vigueur.
Le plaisir intense et l’impossibilité de l’exprimer étourdissait quelque peu Sonia. Sa prise sur le mur et sa stabilité sur les genoux de l’homme avaient diminué. Son partenaire s’en rendait compte car il serrait davantage ses fesses depuis quelques minutes. Se plantant soudain en elle d’un mouvement de reins inattendu, il la pris dans ses bras et la serra contre son torse. L’impulsion soudaine avait encore projeté Sonia à la limite d’un orgasme incontrôlé, nimbant son esprit d’un brouillard épais.
Contre lui, le visage dans son cou et totalement immobile sur sa verge, elle reprit son souffle et ses esprits. Elle avait envie de continuer, de mordiller sa peau, de le griffer, d’aller encore plus loin. Mais elle avait aussi peur de perdre le contrôle et de se faire surprendre par les gens hors de la cabine. Comment avait-elle pu se laisser aller ainsi ? Pourtant, il était hors de question de faire demi-tour maintenant. Hors de question. Quoi qu’il arrive, elle ne désirait qu’aller jusqu’au bout.
Ils restèrent ainsi, serrés l’un contre l’autre pendant de longues minutes. Sonia avait perdu la notion du temps. Lentement, son excitation revenait à un niveau supportable. Ses premiers mouvements sur les genoux de l’homme lui rappelèrent la verge toujours dressée dans son ventre et des contractions d’excitation parcouraient déjà son minou. Mais cette fois, la jeune femme ne voulait pas perdre le contrôle. Comme une revanche, elle voulait aussi mettre au supplice cet inconnu qui lui avait fait perdre la tête et les sens. C’était à son tour de mener et de résister un peu plus que ça.
Dans un mouvement chaloupé, elle quitta se releva des genoux de l’homme et libéra son sexe toujours superbement dressé. Debout devant lui, elle lui offrait sa nudité totale, retrouvant sa fierté, le laissant admirer son joli visage, ses seins en poire dressés par le plaisir, ses hanches, son ventre plat, sa fine toison surmontant son minou en feu et ses longues jambes qu’elle laissait un peu écartées. Elle rougit un peu sous le regard empli de désir de l’homme mais se reprit rapidement.
Elle avança contre lui, toujours debout et exhibant devant son visage son bas-ventre. Dans un geste sensuel, elle posa ses mains sur les épaules de l’homme puis laissa ses doigts descendre le long de ses bras jusqu’à ses mains qu’elle saisit pour le tirer en avant et le relever.
Serrés l’un contre l’autre, elle sentit la verge dressée contre son ventre. Elle passa ses bras autour du cou de son partenaire et l’embrassa fougueusement. Si l’atmosphère torride était retombée depuis quelques minutes dans la cabine, elle remonta en flèche avec ce baiser. Sonia pouvait sentir son corps tout entier se réchauffer. Celui de l’homme également, tout comme elle sentait la verge palpiter entre eux.
Sûre de l’effet qu’elle avait ranimé chez lui, elle s’écarta de lui. Tout en gardant ses yeux fixés dans les siens, elle se tourna dos à lui, s’appuyant contre la porte de la cabine et lui présentant ses hanches cambrées. Elle vit l’homme tressaillir de la tête aux pieds et sourit de satisfaction. Il se rapprocha d’elle et posa ses mains sur ses hanches. Il la serra entre ses mains, se rapprochant tout contre elle. Sonia sentit son bas-ventre se contracter de désir quand le sexe de l’homme se serra contre ses fesses.
Elle se tourna vers la porte de la cabine et ferma les yeux. Elle se délecta des mains puissantes qui remontaient le long de son dos, se crispaient sur ses épaules, serrant un peu plus ses fesses contre la verge gonflée, puis descendaient en se refermant ses seins puis son ventre. Sonia poussa un profond soupir contre la cloison, tout en essayant de contrôler son excitation qui remontait rapidement.
Décidée à reprendre la main, elle se tourna à nouveau vers lui, rivant son regard dans le sien. Le repoussant un peu de ses fesses contre son sexe, elle se pencha un peu plus en avant tout en posant un pied sur le banc. Ainsi appuyée, elle se cambra davantage, lui offrant clairement une vue imprenable sur ses fesses. Une nouvelle fois, elle le vit tressaillir des pieds à la tête, jusqu’à son pénis qu’elle vit se contracter vigoureusement. Sonia se mordit la lèvre, ajoutant au signal qu’envoyaient ses yeux à l’homme de la rejoindre.
Sans attendre plus longtemps, il obéit et ses mains vinrent saisir à nouveau les hanches de la jeune femme. A ce moment, de l’autre côté de la porte sur laquelle était appuyée Sonia, une personne pesa et essaya d’entrer. Bien que la porte soit fermée, la surprise fit sursauter la jeune femme. Ce fut pourtant ce moment que choisit l’homme pour se glisser en elle doucement, mais puissamment de toute sa longueur. La poussée plaqua un peu Sonia contre la porte et le plaisir soudain la fit lâcher un gémissement sans qu’elle puisse se contrôler.
-"Y a quelqu’un ? " demanda une femme de l’autre côté de la porte.
-"Bin, tu vois que c’est fermé" lui répondit une voix d’homme.
-"C’est juste que j’ai entendu comme…un gémissement, à l’instant. "
-"Ma foi…" fit l’homme après quelques secondes de silence. "Viens, on va chercher par là. "
Sonia les entendit s’éloigner. Elle était restée interdite pendant qu’elle les entendait de l’autre côté de la porte. Joueur, l’homme était resté planté en elle, se contentant de la serrer contre lui. Se remettant de sa frayeur, elle finit par se retourner vers lui avec un regard à moitié courroucé. Accompagnant son regard, elle repoussa à nouveau l’homme de ses fesses mais juste suffisamment pour le garder en elle. Tout en restant muette, elle lui ordonna de ne plus bouger.
Toujours son regard plongé dans celui de l’inconnu, elle commença à onduler des hanches autour du gland gonflé toujours prisonnier de ses lèvres. Avec précision, elle le laissait glisser un peu plus en elle de quelques centimètres avant de le relâcher. Cette lenteur sensuelle lui permettait de sentir chaque relief du membre viril. Elle le sentait caresser ses lèvres, les parois de son minou. Elle le sentait palpiter, serré en elle.
L’homme jouait le jeu et la laissait totalement à son initiative. Les tressaillements de sa verge et son regard de braise montraient à Sonia combien il appréciait. Elle se serrait autour de lui tendit qu’elle l’enfonçait un peu plus dans son ventre puis le relâchait à nouveau. Les mouvements de ses hanches changeaient sans cesse l’angle de la verge en elle, pour son plus grand plaisir. Doucement, sensuellement, par va-et-vient, elle le prit à nouveau totalement en elle. S’empalant complètement sur sa verge, elle se délecta de le sentir palpiter de désir au fond d’elle.
Le brouillard de l’excitation revenait envahir son esprit. Elle sentait tout son corps frissonner de désir pour cette verge tendue en elle. Nue dans cette cabine, faisant l’amour avec un inconnu pour la 1e fois, elle percevait que son esprit se libérait à nouveau pour la laisser en proie au désir brut.
Elle finit donc par le libérer. Il s’écarta un peu d’elle d’un pas fébrile. Elle avait l’impression que sa verge avait encore gonflé par rapport au début. Il allait presque jouir, elle en était sûre et sentit la fierté de l’avoir mis dans cet état. Elle se leva du banc et laissa sa place à l’homme, qui semblait bien content de pouvoir s’assoir.
Sans attendre, elle s’assit sur lui, face à lui, posant ses genoux de chaque côté de ses cuisses sur le large banc. Entre eux, le pénis érigé se pressait contre sa fine toison. D’un mouvement de hanche sensuel, elle se redressa au-dessus de lui et pointa le gland encore humide à ses lèvres. Etant totalement en contrôle, elle s’empala fermement sur la verge dressée. En la sentant glisser au fond de son ventre, une explosion de plaisir balaya un instant ses pensées. Tout son corps se contracta sous l’effet d’un orgasme inattendu. Un étourdissement la prit et elle enfouit son visage dans le cou de l’homme devant elle. Il la serra dans ses bras puissant. Elle sentait encore son minou se contracter par pulsations sur le sexe encore enserré en elle, prolongeant son plaisir.
Une fois remise, elle se délecta de le sentir en elle tandis qu’elle ondulait des hanches sur lui. Son minou relâchait le gland gonflé pour le reprendre aussitôt. Elle montait et descendait le long de la verge tendue, retenant avec peine ses gémissements. De ses mains puissantes, l’homme serrait ses fesses et l’accompagnait dans ses mouvements. Elle se cambrait pour changer l’angle du pénis en elle, renforcer le plaisir. Tout son corps était parcouru de frissons chaque fois qu’elle le sentait entrer en elle. Par moments, elle s’empalait entièrement sur lui, restant ainsi pour sentir le gland gonflé palpiter au fond d’elle, puis reprenait le va-et-vient sensuel.
Pour amplifier encore la pénétration, elle avait posé ses mains de chaque côté des épaules de son partenaire et se tenait bien droite sur lui. Ainsi écartée, la bouche de l’inconnu était venue prendre possession de ses seins. Elle avait frôlé un 2e orgasme en le sentant aspirer son téton droit dans sa bouche tandis qu’elle l’enfonçait en elle. Puis elle s’était reprise pour ne pas qu’on l’entende au dehors. Mais, plus prudente, elle avait ralenti le rythme de ses mouvements, essayant ainsi de contrôler le plaisir que le donnait ce sexe en elle. Pourtant, l’homme ne l’a ménageait pas, tétant ses seins, pétrissant ses mains avec vigueur.
Le plaisir intense et l’impossibilité de l’exprimer étourdissait quelque peu Sonia. Sa prise sur le mur et sa stabilité sur les genoux de l’homme avaient diminué. Son partenaire s’en rendait compte car il serrait davantage ses fesses depuis quelques minutes. Se plantant soudain en elle d’un mouvement de reins inattendu, il la pris dans ses bras et la serra contre son torse. L’impulsion soudaine avait encore projeté Sonia à la limite d’un orgasme incontrôlé, nimbant son esprit d’un brouillard épais.
Contre lui, le visage dans son cou et totalement immobile sur sa verge, elle reprit son souffle et ses esprits. Elle avait envie de continuer, de mordiller sa peau, de le griffer, d’aller encore plus loin. Mais elle avait aussi peur de perdre le contrôle et de se faire surprendre par les gens hors de la cabine. Comment avait-elle pu se laisser aller ainsi ? Pourtant, il était hors de question de faire demi-tour maintenant. Hors de question. Quoi qu’il arrive, elle ne désirait qu’aller jusqu’au bout.
Ils restèrent ainsi, serrés l’un contre l’autre pendant de longues minutes. Sonia avait perdu la notion du temps. Lentement, son excitation revenait à un niveau supportable. Ses premiers mouvements sur les genoux de l’homme lui rappelèrent la verge toujours dressée dans son ventre et des contractions d’excitation parcouraient déjà son minou. Mais cette fois, la jeune femme ne voulait pas perdre le contrôle. Comme une revanche, elle voulait aussi mettre au supplice cet inconnu qui lui avait fait perdre la tête et les sens. C’était à son tour de mener et de résister un peu plus que ça.
Dans un mouvement chaloupé, elle quitta se releva des genoux de l’homme et libéra son sexe toujours superbement dressé. Debout devant lui, elle lui offrait sa nudité totale, retrouvant sa fierté, le laissant admirer son joli visage, ses seins en poire dressés par le plaisir, ses hanches, son ventre plat, sa fine toison surmontant son minou en feu et ses longues jambes qu’elle laissait un peu écartées. Elle rougit un peu sous le regard empli de désir de l’homme mais se reprit rapidement.
Elle avança contre lui, toujours debout et exhibant devant son visage son bas-ventre. Dans un geste sensuel, elle posa ses mains sur les épaules de l’homme puis laissa ses doigts descendre le long de ses bras jusqu’à ses mains qu’elle saisit pour le tirer en avant et le relever.
Serrés l’un contre l’autre, elle sentit la verge dressée contre son ventre. Elle passa ses bras autour du cou de son partenaire et l’embrassa fougueusement. Si l’atmosphère torride était retombée depuis quelques minutes dans la cabine, elle remonta en flèche avec ce baiser. Sonia pouvait sentir son corps tout entier se réchauffer. Celui de l’homme également, tout comme elle sentait la verge palpiter entre eux.
Sûre de l’effet qu’elle avait ranimé chez lui, elle s’écarta de lui. Tout en gardant ses yeux fixés dans les siens, elle se tourna dos à lui, s’appuyant contre la porte de la cabine et lui présentant ses hanches cambrées. Elle vit l’homme tressaillir de la tête aux pieds et sourit de satisfaction. Il se rapprocha d’elle et posa ses mains sur ses hanches. Il la serra entre ses mains, se rapprochant tout contre elle. Sonia sentit son bas-ventre se contracter de désir quand le sexe de l’homme se serra contre ses fesses.
Elle se tourna vers la porte de la cabine et ferma les yeux. Elle se délecta des mains puissantes qui remontaient le long de son dos, se crispaient sur ses épaules, serrant un peu plus ses fesses contre la verge gonflée, puis descendaient en se refermant ses seins puis son ventre. Sonia poussa un profond soupir contre la cloison, tout en essayant de contrôler son excitation qui remontait rapidement.
Décidée à reprendre la main, elle se tourna à nouveau vers lui, rivant son regard dans le sien. Le repoussant un peu de ses fesses contre son sexe, elle se pencha un peu plus en avant tout en posant un pied sur le banc. Ainsi appuyée, elle se cambra davantage, lui offrant clairement une vue imprenable sur ses fesses. Une nouvelle fois, elle le vit tressaillir des pieds à la tête, jusqu’à son pénis qu’elle vit se contracter vigoureusement. Sonia se mordit la lèvre, ajoutant au signal qu’envoyaient ses yeux à l’homme de la rejoindre.
Sans attendre plus longtemps, il obéit et ses mains vinrent saisir à nouveau les hanches de la jeune femme. A ce moment, de l’autre côté de la porte sur laquelle était appuyée Sonia, une personne pesa et essaya d’entrer. Bien que la porte soit fermée, la surprise fit sursauter la jeune femme. Ce fut pourtant ce moment que choisit l’homme pour se glisser en elle doucement, mais puissamment de toute sa longueur. La poussée plaqua un peu Sonia contre la porte et le plaisir soudain la fit lâcher un gémissement sans qu’elle puisse se contrôler.
-"Y a quelqu’un ? " demanda une femme de l’autre côté de la porte.
-"Bin, tu vois que c’est fermé" lui répondit une voix d’homme.
-"C’est juste que j’ai entendu comme…un gémissement, à l’instant. "
-"Ma foi…" fit l’homme après quelques secondes de silence. "Viens, on va chercher par là. "
Sonia les entendit s’éloigner. Elle était restée interdite pendant qu’elle les entendait de l’autre côté de la porte. Joueur, l’homme était resté planté en elle, se contentant de la serrer contre lui. Se remettant de sa frayeur, elle finit par se retourner vers lui avec un regard à moitié courroucé. Accompagnant son regard, elle repoussa à nouveau l’homme de ses fesses mais juste suffisamment pour le garder en elle. Tout en restant muette, elle lui ordonna de ne plus bouger.
Toujours son regard plongé dans celui de l’inconnu, elle commença à onduler des hanches autour du gland gonflé toujours prisonnier de ses lèvres. Avec précision, elle le laissait glisser un peu plus en elle de quelques centimètres avant de le relâcher. Cette lenteur sensuelle lui permettait de sentir chaque relief du membre viril. Elle le sentait caresser ses lèvres, les parois de son minou. Elle le sentait palpiter, serré en elle.
L’homme jouait le jeu et la laissait totalement à son initiative. Les tressaillements de sa verge et son regard de braise montraient à Sonia combien il appréciait. Elle se serrait autour de lui tendit qu’elle l’enfonçait un peu plus dans son ventre puis le relâchait à nouveau. Les mouvements de ses hanches changeaient sans cesse l’angle de la verge en elle, pour son plus grand plaisir. Doucement, sensuellement, par va-et-vient, elle le prit à nouveau totalement en elle. S’empalant complètement sur sa verge, elle se délecta de le sentir palpiter de désir au fond d’elle.
Le brouillard de l’excitation revenait envahir son esprit. Elle sentait tout son corps frissonner de désir pour cette verge tendue en elle. Nue dans cette cabine, faisant l’amour avec un inconnu pour la 1e fois, elle percevait que son esprit se libérait à nouveau pour la laisser en proie au désir brut.