07-04-2021, 05:28 PM
Elle sentit les doigts agiles saisir les bords de sa culotte et la faire glisser doucement le long de ses cuisses jusqu’à ses chevilles. Elle rougit à nouveau en devinant son partenaire qui la regardait dans toute sa nudité. Quand les mains se posèrent sur ses cuisses, un frisson la parcourut des pieds à la tête et elle exhala un soupir d’aise. Encore à genou devant elle, le souffle de l’homme sur son corps lui rappelait combien son minou était humide de désir.
Les mains remontèrent en une caresse le long de ses cuisses tandis que la bouche chaude se posait sur son ventre. Elle sentait les baisers sensuels de l’homme alterner avec des caresses de sa langue. Elle se contracta de désir en imaginant cette langue passer entre ses cuisses, cette bouche se poser sur ses lèvres en feu. Elle se cambra encore, écrasant ses fesses nues contre la porte de la cabine. Une main remonta entre ses cuisses.
Sans gêne, Sonia écarta légèrement ses jambes pour lui laisser la place qu’elle cherchait. Quand les doigts glissèrent jusqu’à ses lèvres trempées, elle ne put retenir un ronronnement sourd. Pourtant, l’homme ne sembla pas se soucier du risque d’être entendu. Il glissa sa bouche sur son bas-ventre, effleurant son pubis de ses lèvres et appuyant ses baisers dans son aine.
Le monde semblait se réduire à la bouche et aux mains de cet inconnu sur son corps. Tout son esprit semblait y être suspendu. Quand les doigts entre ses cuisses pressèrent ses lèvres et que l’un deux glissa sans peine en elle, tout son corps se contracta. Ses doigts griffèrent la cloison tandis qu’elle repoussait sa tête en arrière contre la porte de la cabine, gardant les yeux fermés. Elle le sentit entrer en elle de toute la longueur de son doigt puis entamer un langoureux va-et-vient. Sa bouche chaude continuait à parcourir sa peau de baisers fiévreux.
Alors qu’elle pensait que le plaisir était à la limite de ce qu’elle pouvait supporter, elle sentit à présent 2 doigts la pénétrer. Des ondes électriques parcouraient son bassin, ses reins, son dos. Elle sentait son ventre se contracter sur les doigts qui la prenaient.
Elle avait du mal à assurer son équilibre sous la torpeur du plaisir qui l’envahissait. L’homme l’avait peut-être deviné. D’un mouvement à la fois ferme et doux, il écarta la jambe droite de Sonia pour lui permettre d’appuyer son pied sur le banc de la cabine. Elle avait rouvert les yeux pour le voir faire. Alors qu’il passait entre ses cuisses pour soutenir sa jambe levée de son épaule, elle croisa son regard. Ce qu’elle y lut contracta encore un peu plus son ventre. Il la désirait, la voulait et il voulait qu’elle prenne son pied. Quand elle le vit poser sa bouche à l’intérieur de sa cuisse, elle s’abandonna à lui à nouveau et ferma les yeux en rejetant sa tête en arrière.
Elle sentit la bouche chaude de l’homme remontrer le long de sa cuisse. Le désir de la sentir contre son minou tordit son ventre furieusement. Enfin, il y répondit et se décida à embrasser à plein bouche ses lèvres gonflées de désir. Sonia réprima juste à temps un gémissement puissant. Elle se délectait à présent de sentir sa langue caresser ses lèvres, chercher entre elles son clitoris et le titiller habilement.
L’une de ses mains était venue saisir la tête de l’homme entre ses cuisses pour l’appuyer contre elle. Répondant à cet encouragement, elle le sentit glisser sa langue entre ses lèvres pour venir la goûter plus profondément. Elle se sentait fondre contre la cloison. Son souffle était court, elle haletait pour essayer de dissimuler ses gémissements. Quelle épreuve il lui imposait !
La langue contre son minou était experte et savait faire monter et descendre son plaisir, alternant un massage ardent de son bouton d’amour et l’exploration de son antre.
Pourtant, tout bascula en quelques instants. Elle sentit à peine les doigts de son partenaire glisser à nouveau en elle mais une fois au fond de son ventre, ils déclenchèrent de puissantes vagues de plaisir qui explosaient dans sa tête. Elle eut à peine le temps de se bâillonner de sa main libre avant que des gémissements ne trahissent sa jouissance. La combinaison de la langue hardie et de la force des doigts en elle la fit jouir presque instantanément. Les vagues de plaisir qui explosaient dans sa tête semblaient ne pas vouloir s’arrêter et revenaient à chaque fois que les doigts la prenaient. Au bord de la panique de ne plus pouvoir retenir ses cris, Sonia jouissait encore, son corps entièrement contracté.
Au bout de quelques secondes qui semblèrent une éternité, il consentit à relâcher son étreinte. Elle s’aperçut alors de son état de faiblesse mais, toujours agenouillé devant elle, il la soutint fermement en l’asseyant sur le banc. La fraicheur de la cloison dans son dos sortit doucement la jeune femme de sa torpeur. Elle avait encore le souffle court, le visage brûlant et osait à peine regarder l’inconnu qui venait de la faire jouir si vite.
Ne laissant pas son plaisir redescendre, il passa entre ses cuisses écartées et vint contre elle, prit son visage entre ses mains et l’embrassa fougueusement. Sans hésiter, elle libéra sa langue contre la sienne. Sentir la peau brûlante de l’homme contre elle, son torse écrasant sa poitrine empêchait son plaisir de redescendre. Cambrée sur le siège pour enlacer son partenaire de ses bras, elle ondulait des hanches pour presser son minou si sensible contre le banc, aiguillonnant son plaisir.
Toute la peau de la jeune femme était électrique. Les mains qui passaient sur ses cuisses, remontaient sur ses hanches provoquaient de nouveaux frissons. Elle réalisa soudain que, ainsi serrée contre l’homme entre ses cuisses, sa verge dressée se pressait contre son pubis au rythme de ses mouvements de hanches. Cette caresse sensuelle renforçait l’ardeur de leurs baisers.
D’un mouvement de hanche, l’homme porta son gland gonflé de désir à l’entrée des lèvres de Sonia qui se tenait tout au bord du banc. Elle retînt son souffle un instant, son ventre se contractant déjà à l’idée de le sentir glisser en elle. En libérant sa bouche, l’homme s’écarta un peu de Sonia. Leurs regards se croisèrent. La jeune femme se sentait rougir de désir. Comme une invitation, elle se mordit la lèvre inférieure en plongeant son regard dans celui de l’inconnu si séduisant.
Obéissant au désir de Sonia, elle le sentit forcer doucement l’entrée de son minou. Avec une lenteur qui décuplait le plaisir, elle sentit le gland glisser entre ses lèvres et s’enfoncer en elle. Elle pouvait en ressentir chaque relief, comme si leurs peaux se caressaient mutuellement. A sa grande surprise, l’homme ne la pénétra pas complètement. Avec un mouvement de va-et-vient sensuel et contrôlé, il ne faisait que la pénétrer de son gland gonflé. Chaque fois, elle sentait ses lèvres s’écarter pour le laisser passer. La caresse recommençait sans cesse, douce, langoureuse, tendre. Elle le sentait à l’entrée de son vagin, partagée entre le désir de s’empaler elle-même sur lui et le plaisir suave de ces caresses de leurs sexes.
Ses bras toujours enlacés autour des épaules de son partenaire, elle l’attira à lui et se suspendit dans son coup, moitié pour étouffer ses gémissements, moitié pour couvrir sa peau de baisers brûlants. Chaque mouvement lent de l’homme en elle faisait irradier des fourmillements dans tout son bassin. Cette expérience nouvelle était un délice qu’elle voulait prolonger.
Pourtant, au bout de quelques minutes durant lesquelles leurs corps ondulaient en harmonie l’un contre l’autre, elle brûlait du désir de sentir sa verge tout entière glisser en elle. Sans s’en rendre compte, ses hanches s’activaient à chaque mouvement pour qu’il glisse plus en elle. Et chaque fois, il résistait, faisant se prolonger le jeu. Puis il lui glissa à l’oreille d’une voix vibrante de désir :
-"Si c’est ce que vous voulez, laissez-moi votre place et venez le prendre vous-même."
Acceptant l’invitation en ronronnant, elle le laissa s’écarter d’elle. Il se releva devant elle et elle put enfin admirer de près ce sexe qu’elle désirait tant. Encore assise, elle le voyait à la hauteur de son visage. Cette verge tendue par le désir, gonflée par l’excitation et ce gland qui semblait palpiter. La réflexion avait quitté l’esprit de la jeune femme depuis longtemps. Elle n’écoutait plus que ses sensations, son désir, son plaisir.
Sans le réaliser, elle leva ses mains et les posèrent sur les cuisses de l’homme devant elle. Avec une pression discrète, elle le rapprocha d’elle. Puis ses mains coururent le long de la peau, l’une d’elle se refermant sans pudeur le sexe tendu. Elle sentit l’homme frémir sous sa poigne. Sonia se mordit la lèvre de désir pendant que sa main glissait en quelques va-et-vient le long de hampe. Sans qu’elle en prenne conscience, son visage se rapprocha encore de ce gland qui palpitait devant elle, sa bouche s’ouvrit et ses lèvres se refermaient sur lui.
Le sentir dans sa bouche, glisser entre ses lèvres libéra encore davantage la jeune femme. Elle réalisait vaguement qu’elle était dans une cabine entourée d’inconnus, qu’elle suçait un homme dont elle ne connaissait même pas le prénom et qu’elle aimait cela. Elle voulait lui appartenir pour les prochaines minutes, qu’il lui appartienne aussi, qu’il assouvisse tout le désir qui montait en elle puis qu’il la quitte.
En pensant à cela, elle enfonça encore davantage le gland dans sa bouche. Elle sentait sur ses lèvres chaque relief de la verge tendue, chaque crispation. La serrant un peu plus dans sa main, elle entama une fellation décomplexée, enfournant ce gland tant désiré au fond de sa bouche. Une petite voie bien-pensante dans sa tête la traita de traînée mais ne l’arrêta pas. Elle voulait cette bite. Elle la voulait en elle. Dans sa bouche, dans sa chatte. Elle voulait la sentir exploser dans son ventre. Tout son corps se contractait à cette idée tandis que sa bouche aspirait encore et encore le membre de l’inconnu, toujours un peu plus profondément. Elle s’étonnait même de sa technique, peu familière de ce genre d’exaltation. Mais peu lui importait. Dans cette cabine, elle n’était pas Sonia, la gentille blondinette bien sous tous rapports ; elle était celle qui n’écoutait que son désir.516
Les mains remontèrent en une caresse le long de ses cuisses tandis que la bouche chaude se posait sur son ventre. Elle sentait les baisers sensuels de l’homme alterner avec des caresses de sa langue. Elle se contracta de désir en imaginant cette langue passer entre ses cuisses, cette bouche se poser sur ses lèvres en feu. Elle se cambra encore, écrasant ses fesses nues contre la porte de la cabine. Une main remonta entre ses cuisses.
Sans gêne, Sonia écarta légèrement ses jambes pour lui laisser la place qu’elle cherchait. Quand les doigts glissèrent jusqu’à ses lèvres trempées, elle ne put retenir un ronronnement sourd. Pourtant, l’homme ne sembla pas se soucier du risque d’être entendu. Il glissa sa bouche sur son bas-ventre, effleurant son pubis de ses lèvres et appuyant ses baisers dans son aine.
Le monde semblait se réduire à la bouche et aux mains de cet inconnu sur son corps. Tout son esprit semblait y être suspendu. Quand les doigts entre ses cuisses pressèrent ses lèvres et que l’un deux glissa sans peine en elle, tout son corps se contracta. Ses doigts griffèrent la cloison tandis qu’elle repoussait sa tête en arrière contre la porte de la cabine, gardant les yeux fermés. Elle le sentit entrer en elle de toute la longueur de son doigt puis entamer un langoureux va-et-vient. Sa bouche chaude continuait à parcourir sa peau de baisers fiévreux.
Alors qu’elle pensait que le plaisir était à la limite de ce qu’elle pouvait supporter, elle sentit à présent 2 doigts la pénétrer. Des ondes électriques parcouraient son bassin, ses reins, son dos. Elle sentait son ventre se contracter sur les doigts qui la prenaient.
Elle avait du mal à assurer son équilibre sous la torpeur du plaisir qui l’envahissait. L’homme l’avait peut-être deviné. D’un mouvement à la fois ferme et doux, il écarta la jambe droite de Sonia pour lui permettre d’appuyer son pied sur le banc de la cabine. Elle avait rouvert les yeux pour le voir faire. Alors qu’il passait entre ses cuisses pour soutenir sa jambe levée de son épaule, elle croisa son regard. Ce qu’elle y lut contracta encore un peu plus son ventre. Il la désirait, la voulait et il voulait qu’elle prenne son pied. Quand elle le vit poser sa bouche à l’intérieur de sa cuisse, elle s’abandonna à lui à nouveau et ferma les yeux en rejetant sa tête en arrière.
Elle sentit la bouche chaude de l’homme remontrer le long de sa cuisse. Le désir de la sentir contre son minou tordit son ventre furieusement. Enfin, il y répondit et se décida à embrasser à plein bouche ses lèvres gonflées de désir. Sonia réprima juste à temps un gémissement puissant. Elle se délectait à présent de sentir sa langue caresser ses lèvres, chercher entre elles son clitoris et le titiller habilement.
L’une de ses mains était venue saisir la tête de l’homme entre ses cuisses pour l’appuyer contre elle. Répondant à cet encouragement, elle le sentit glisser sa langue entre ses lèvres pour venir la goûter plus profondément. Elle se sentait fondre contre la cloison. Son souffle était court, elle haletait pour essayer de dissimuler ses gémissements. Quelle épreuve il lui imposait !
La langue contre son minou était experte et savait faire monter et descendre son plaisir, alternant un massage ardent de son bouton d’amour et l’exploration de son antre.
Pourtant, tout bascula en quelques instants. Elle sentit à peine les doigts de son partenaire glisser à nouveau en elle mais une fois au fond de son ventre, ils déclenchèrent de puissantes vagues de plaisir qui explosaient dans sa tête. Elle eut à peine le temps de se bâillonner de sa main libre avant que des gémissements ne trahissent sa jouissance. La combinaison de la langue hardie et de la force des doigts en elle la fit jouir presque instantanément. Les vagues de plaisir qui explosaient dans sa tête semblaient ne pas vouloir s’arrêter et revenaient à chaque fois que les doigts la prenaient. Au bord de la panique de ne plus pouvoir retenir ses cris, Sonia jouissait encore, son corps entièrement contracté.
Au bout de quelques secondes qui semblèrent une éternité, il consentit à relâcher son étreinte. Elle s’aperçut alors de son état de faiblesse mais, toujours agenouillé devant elle, il la soutint fermement en l’asseyant sur le banc. La fraicheur de la cloison dans son dos sortit doucement la jeune femme de sa torpeur. Elle avait encore le souffle court, le visage brûlant et osait à peine regarder l’inconnu qui venait de la faire jouir si vite.
Ne laissant pas son plaisir redescendre, il passa entre ses cuisses écartées et vint contre elle, prit son visage entre ses mains et l’embrassa fougueusement. Sans hésiter, elle libéra sa langue contre la sienne. Sentir la peau brûlante de l’homme contre elle, son torse écrasant sa poitrine empêchait son plaisir de redescendre. Cambrée sur le siège pour enlacer son partenaire de ses bras, elle ondulait des hanches pour presser son minou si sensible contre le banc, aiguillonnant son plaisir.
Toute la peau de la jeune femme était électrique. Les mains qui passaient sur ses cuisses, remontaient sur ses hanches provoquaient de nouveaux frissons. Elle réalisa soudain que, ainsi serrée contre l’homme entre ses cuisses, sa verge dressée se pressait contre son pubis au rythme de ses mouvements de hanches. Cette caresse sensuelle renforçait l’ardeur de leurs baisers.
D’un mouvement de hanche, l’homme porta son gland gonflé de désir à l’entrée des lèvres de Sonia qui se tenait tout au bord du banc. Elle retînt son souffle un instant, son ventre se contractant déjà à l’idée de le sentir glisser en elle. En libérant sa bouche, l’homme s’écarta un peu de Sonia. Leurs regards se croisèrent. La jeune femme se sentait rougir de désir. Comme une invitation, elle se mordit la lèvre inférieure en plongeant son regard dans celui de l’inconnu si séduisant.
Obéissant au désir de Sonia, elle le sentit forcer doucement l’entrée de son minou. Avec une lenteur qui décuplait le plaisir, elle sentit le gland glisser entre ses lèvres et s’enfoncer en elle. Elle pouvait en ressentir chaque relief, comme si leurs peaux se caressaient mutuellement. A sa grande surprise, l’homme ne la pénétra pas complètement. Avec un mouvement de va-et-vient sensuel et contrôlé, il ne faisait que la pénétrer de son gland gonflé. Chaque fois, elle sentait ses lèvres s’écarter pour le laisser passer. La caresse recommençait sans cesse, douce, langoureuse, tendre. Elle le sentait à l’entrée de son vagin, partagée entre le désir de s’empaler elle-même sur lui et le plaisir suave de ces caresses de leurs sexes.
Ses bras toujours enlacés autour des épaules de son partenaire, elle l’attira à lui et se suspendit dans son coup, moitié pour étouffer ses gémissements, moitié pour couvrir sa peau de baisers brûlants. Chaque mouvement lent de l’homme en elle faisait irradier des fourmillements dans tout son bassin. Cette expérience nouvelle était un délice qu’elle voulait prolonger.
Pourtant, au bout de quelques minutes durant lesquelles leurs corps ondulaient en harmonie l’un contre l’autre, elle brûlait du désir de sentir sa verge tout entière glisser en elle. Sans s’en rendre compte, ses hanches s’activaient à chaque mouvement pour qu’il glisse plus en elle. Et chaque fois, il résistait, faisant se prolonger le jeu. Puis il lui glissa à l’oreille d’une voix vibrante de désir :
-"Si c’est ce que vous voulez, laissez-moi votre place et venez le prendre vous-même."
Acceptant l’invitation en ronronnant, elle le laissa s’écarter d’elle. Il se releva devant elle et elle put enfin admirer de près ce sexe qu’elle désirait tant. Encore assise, elle le voyait à la hauteur de son visage. Cette verge tendue par le désir, gonflée par l’excitation et ce gland qui semblait palpiter. La réflexion avait quitté l’esprit de la jeune femme depuis longtemps. Elle n’écoutait plus que ses sensations, son désir, son plaisir.
Sans le réaliser, elle leva ses mains et les posèrent sur les cuisses de l’homme devant elle. Avec une pression discrète, elle le rapprocha d’elle. Puis ses mains coururent le long de la peau, l’une d’elle se refermant sans pudeur le sexe tendu. Elle sentit l’homme frémir sous sa poigne. Sonia se mordit la lèvre de désir pendant que sa main glissait en quelques va-et-vient le long de hampe. Sans qu’elle en prenne conscience, son visage se rapprocha encore de ce gland qui palpitait devant elle, sa bouche s’ouvrit et ses lèvres se refermaient sur lui.
Le sentir dans sa bouche, glisser entre ses lèvres libéra encore davantage la jeune femme. Elle réalisait vaguement qu’elle était dans une cabine entourée d’inconnus, qu’elle suçait un homme dont elle ne connaissait même pas le prénom et qu’elle aimait cela. Elle voulait lui appartenir pour les prochaines minutes, qu’il lui appartienne aussi, qu’il assouvisse tout le désir qui montait en elle puis qu’il la quitte.
En pensant à cela, elle enfonça encore davantage le gland dans sa bouche. Elle sentait sur ses lèvres chaque relief de la verge tendue, chaque crispation. La serrant un peu plus dans sa main, elle entama une fellation décomplexée, enfournant ce gland tant désiré au fond de sa bouche. Une petite voie bien-pensante dans sa tête la traita de traînée mais ne l’arrêta pas. Elle voulait cette bite. Elle la voulait en elle. Dans sa bouche, dans sa chatte. Elle voulait la sentir exploser dans son ventre. Tout son corps se contractait à cette idée tandis que sa bouche aspirait encore et encore le membre de l’inconnu, toujours un peu plus profondément. Elle s’étonnait même de sa technique, peu familière de ce genre d’exaltation. Mais peu lui importait. Dans cette cabine, elle n’était pas Sonia, la gentille blondinette bien sous tous rapports ; elle était celle qui n’écoutait que son désir.516