07-04-2021, 05:26 PM
Quoi ??! Ses derniers mots raisonnèrent dans sa tête. Elle venait de lui proposer de rester ?? Vraiment ? Mais qu'est-ce qui lui était passé par la tête ? Quelle mauvaise habitude de parler comme elle pense.
Le temps était comme figé par la moiteur de la cabine. Le jeune homme avait suspendu son mouvement. Son visage semblait refléter la surprise qui devait se lire sur celui de Sonia. La jeune femme n'en revenait toujours pas de ce qu'elle avait dit. Elle était là, ses mains cachant sa poitrine, en petite culotte et suspendue à ce qu'il allait faire. Si elle avait pu se jeter dehors pour échapper à sa honte, elle l'aurait fait. Mais l’idée qu’ils se retrouvent nus côté-à-côte avait déclenché un feu de désir entre ses cuisses. Elle voulait rester. Elle voulait qu’il reste. Et là, comme si l'univers l’avait entendue, l'homme répondit :
-"Ok...merci."
Bien que les mots fussent prononcés d'une voix un peu tremblante, elle sentit qu'il essayait d'y mettre une fermeté de gentleman. Mais le rose à ses joues trahit son émoi avant qu'il se tourne vers la porte pour la verrouiller. Il avait posé son sac sur le banc et commencé à déboutonner sa chemise, tout en prenant soin de ne pas relever la tête vers elle. Oui, il rougissait. Elle pensa que c'était mignon ; d’autant plus qu’il faisait un effort visible pour ne pas la reluquer en douce.
Perdue dans l’admiration de cet inconnu qui se changeait à côté d’elle, elle ne fit même pas attention à ses mains qui libéraient ses seins et s’abaissaient doucement. Le temps semblait s'écouler plus lentement. Elle l'observait dénouer ses boutons les uns après les autres puis ôter sa chemise d'un mouvement d'épaule. Une nouvelle contraction de son bas-ventre fit se resserrer ses genoux à la jeune femme. La chaleur soudaine sur son visage indiquait clairement l'effet que lui faisait la large poitrine maintenant dénudée où frisait une fine toison brune.
Comme pour lui rappeler de se ressaisir, le regard de l'homme croisa enfin le sien, la sortant de sa douce torpeur. Rougissants tous les deux, ils se détournèrent au même moment. Le temps sembla reprendre son cour pour Sonia. Dans une sorte de frénésie, elle se tourna et farfouilla dans son sac à la recherche de son bikini. Sous elle, elle sentait sa belle poitrine se balancer au rythme de ses mouvements. L’idée qu’il l’observe la fit frissonner de désir. Elle risqua un coup d’œil vers lui. Il était en train de baisser son short et son caleçon d’un mouvement mais une seconde suffit à Sonia pour apercevoir le sexe à demi-dressé de son compagnon de cabine pour confirmer qu’il l’avait matée. Il était excité lui aussi et cela la faisait frémir.
Qu’allait-elle faire à présent ? Lui sauter dessus, là, dans cette cabine, entourés de tous ces inconnus ? Mais elle ne pouvait pas le laisser partir non plus et rester dans l’état dans lequel il l’avait mise.
C'est à ce moment qu'une phrase leur parvînt depuis la cabine d'à côté.
-"Fais attention à ta voix, Florine." fut clairement chuchoté.
Une fois entendu l'avertissement, Sonia prit conscience des soupirs étouffés qui provenaient de l'autre côté de la cloison. Aucun doute, leurs voisins n'étaient pas seulement en train de se changer. Un nouveau frisson d'excitation contracta le corps de la jeune femme. Si la situation précédente était déjà tendue, cette fois-ci elle se teintait clairement d'érotisme. Le silence de la cabine contrastait avec les mouvements que l’on devinait de l’autre côté de la cabine et le chahut à l’extérieur. Arrachant son regard à la cloison qui la séparait du couple voisin, elle le laissa glisser vers le bel inconnu. Ayant forcément entendu le murmure, lui aussi avait suspendu ses mouvements. Il était là, son maillot à la main, entièrement nu, et la vigueur de son érection ne laissait aucun doute sur son état d’excitation.
La vue du corps sculpté du jeune homme et de sa verge dressée acheva de désinhiber Sonia. Ce n’était plus seulement un foyer de chaleur dans son ventre qui marquait son excitation, elle sentait clairement son minou tremper sa culotte en coton. Son regard se détacha du membre viril et croisa celui de l’inconnu. Elle rougit, non de gêne mais d’excitation.
-"Qu’est-ce que vous attendez" lui murmura-t-elle, sans même réfléchir.
Formuler l’invitation avait ébranlé tout son corps d’un frisson intense. Cette fois-ci, le désir d’homme pour elle se voyait clairement dans son regard. Il laissa tomber son maillot de bain et se rapprocha d’elle dans la cabine étroite. Quand elle sentit les mains puissantes se poser sur ses hanches, elle sentit son minou se contracter à nouveau. Il l’attira contre elle avec douceur mais fermeté. Le contact de leurs peaux l’une contre l’autre acheva d’emplir l’esprit de Sonia d’un brouillard blanc et cotonneux. Elle sentait la chaleur de l’inconnu sur son corps, leurs poitrines qui s’écrasaient l’une sur l’autre, la verge gonflée serrée entre leurs deux ventres.
Il se baissa et prit sa bouche dans un baiser torride. Pas de découverte timide, plus de gentleman qui s’efforce de partager une cabine avec courtoisie. Il la désirait. Elle le sentait à ses lèvres qui pinçaient les siennes, à sa langue qui s’immisçait dans sa bouche. Et elle lui répondait de tout son désir, exacerbé depuis l’entrée dans le hall de la piscine. Leurs lèvres ne se quittaient plus, leurs langues dansaient ensemble. Ses doigts enfouis dans ses cheveux, elle serrait son visage contre le sien pendant que lui étreignait son corps avec force.
Comme si elle l’entendait de loin, Sonia percevait les petits gémissements qu’ils bâillonnaient péniblement de leurs baisers. Mais plus moyen de savoir si leurs voisins de cabine pouvaient les entendre à leur tour. De toute façon, cette préoccupation avait dérivé bien loin de l’esprit de la jeune femme. Tout comme celle de se livrer à ce genre de comportement avec un total inconnu dans un lieu public.
Il avait ses mains sur elle. Elle sentait son corps chaud contre le sien. Leurs langues dansaient l’une avec l’autre. Elle se délectait de sa vigueur, se soumettait totalement au désir qui explosait en elle, ici et maintenant.
Comme s’il avait lu dans ses pensées, l’homme avait saisi ses poignets tendrement mais fermement et les avaient plaqués contre le mur de chaque côté d’elle. Il s’était écarté d’elle pour l’admirer. Elle frémit d’excitation en voyant son regard glisser le long de son corps, comme une caresse. Elle sentait ses tétons se durcir un peu plus. Ainsi soumise, elle le provoquait du regard.
Sans attendre, il revînt contre elle et enfouit son visage dans son cou. Il l’embrassait, mordillait le lobe de son oreille, léchait sa peau brûlante. Sonia avait du mal à retenir un gémissement de plaisir. Elle se pinçait les lèvres pour se bâillonner tandis que des frissons courraient en cascade dans son dos. Elle fut prise d’un instant de panique quand elle sentit la bouche de l’homme glisser sur sa poitrine. Ses seins semblaient tellement sensibles à présent qu’elle craignait de ne pouvoir retenir son plaisir plus longtemps. Pourtant, cette idée fut chassée rapidement par la vague de plaisir que lui procura la bouche de l’homme qui se refermait sur ton téton droit. Elle sentit les mains sur ses poignets resserrer leur étreinte, comme pour répondre à la langueur qui avait envahi son corps. Elle ne pouvait que laisser échapper de longs soupirs silencieux mais elle savait qu’il les entendait.
Elle devinait l’état d’excitation de son partenaire en sentait sa bouche sur son sein sucer son téton avec ferveur. Il l’aspirait, le tétait habilement. Cela la rendait ivre de plaisir. Elle s’entendait implorer dans le brouillard de ses sens qu’il continue puis qu’il s’arrête. Quand la bouche glissa vers son sein gauche, ses jambes tressaillirent en sentant quand il mordilla tendrement son téton. Il raffermit encore son étreinte sur ses poignets. Elle s’offrit docilement à lui, soumise au plaisir dont il remplissait son corps. Sa peau, ses sens ne semblaient plus que se résumer à la bouche de cet inconnu qui s’emparait de ses seins, les harcelant sans cesse de caresses. Sonia s’était cambrée contre la cloison de la cabine, lui offrant un peu plus sa poitrine généreuse.
Quand elle semblait ne plus pouvoir en supporter plus sans émettre de sons, il libéra ses seins et elle sentit l’emprise sur ses poignets se desserrer. Leurs regards se croisèrent. Elle lut un désir brûlant dans ses yeux et se sentir rougir. Comme pour fuir son regard, elle ferma les yeux et appuya sa tête contre la cloison. Elle se soumettait à lui à nouveau, trop transie pour résister.
Elle sentit les doigts glisser le long de ses poignets, de ses bras, caresser autant qu’ils griffaient les bords de sa poitrine et continuer à descendre sur ses hanches. Elle sentit le souffle chaud de l’homme descendre lui aussi sur sa poitrine puis son ventre, sa bouche déposant par moment un baiser passionné. Elle devinait qu’il s’était agenouillé mais gardait les yeux fermés, plaquant ses mains sur la cloison le long de son corps. La fraicheur du panneau contrastait avec la chaleur des mains sur ses hanches.
Le temps était comme figé par la moiteur de la cabine. Le jeune homme avait suspendu son mouvement. Son visage semblait refléter la surprise qui devait se lire sur celui de Sonia. La jeune femme n'en revenait toujours pas de ce qu'elle avait dit. Elle était là, ses mains cachant sa poitrine, en petite culotte et suspendue à ce qu'il allait faire. Si elle avait pu se jeter dehors pour échapper à sa honte, elle l'aurait fait. Mais l’idée qu’ils se retrouvent nus côté-à-côte avait déclenché un feu de désir entre ses cuisses. Elle voulait rester. Elle voulait qu’il reste. Et là, comme si l'univers l’avait entendue, l'homme répondit :
-"Ok...merci."
Bien que les mots fussent prononcés d'une voix un peu tremblante, elle sentit qu'il essayait d'y mettre une fermeté de gentleman. Mais le rose à ses joues trahit son émoi avant qu'il se tourne vers la porte pour la verrouiller. Il avait posé son sac sur le banc et commencé à déboutonner sa chemise, tout en prenant soin de ne pas relever la tête vers elle. Oui, il rougissait. Elle pensa que c'était mignon ; d’autant plus qu’il faisait un effort visible pour ne pas la reluquer en douce.
Perdue dans l’admiration de cet inconnu qui se changeait à côté d’elle, elle ne fit même pas attention à ses mains qui libéraient ses seins et s’abaissaient doucement. Le temps semblait s'écouler plus lentement. Elle l'observait dénouer ses boutons les uns après les autres puis ôter sa chemise d'un mouvement d'épaule. Une nouvelle contraction de son bas-ventre fit se resserrer ses genoux à la jeune femme. La chaleur soudaine sur son visage indiquait clairement l'effet que lui faisait la large poitrine maintenant dénudée où frisait une fine toison brune.
Comme pour lui rappeler de se ressaisir, le regard de l'homme croisa enfin le sien, la sortant de sa douce torpeur. Rougissants tous les deux, ils se détournèrent au même moment. Le temps sembla reprendre son cour pour Sonia. Dans une sorte de frénésie, elle se tourna et farfouilla dans son sac à la recherche de son bikini. Sous elle, elle sentait sa belle poitrine se balancer au rythme de ses mouvements. L’idée qu’il l’observe la fit frissonner de désir. Elle risqua un coup d’œil vers lui. Il était en train de baisser son short et son caleçon d’un mouvement mais une seconde suffit à Sonia pour apercevoir le sexe à demi-dressé de son compagnon de cabine pour confirmer qu’il l’avait matée. Il était excité lui aussi et cela la faisait frémir.
Qu’allait-elle faire à présent ? Lui sauter dessus, là, dans cette cabine, entourés de tous ces inconnus ? Mais elle ne pouvait pas le laisser partir non plus et rester dans l’état dans lequel il l’avait mise.
C'est à ce moment qu'une phrase leur parvînt depuis la cabine d'à côté.
-"Fais attention à ta voix, Florine." fut clairement chuchoté.
Une fois entendu l'avertissement, Sonia prit conscience des soupirs étouffés qui provenaient de l'autre côté de la cloison. Aucun doute, leurs voisins n'étaient pas seulement en train de se changer. Un nouveau frisson d'excitation contracta le corps de la jeune femme. Si la situation précédente était déjà tendue, cette fois-ci elle se teintait clairement d'érotisme. Le silence de la cabine contrastait avec les mouvements que l’on devinait de l’autre côté de la cabine et le chahut à l’extérieur. Arrachant son regard à la cloison qui la séparait du couple voisin, elle le laissa glisser vers le bel inconnu. Ayant forcément entendu le murmure, lui aussi avait suspendu ses mouvements. Il était là, son maillot à la main, entièrement nu, et la vigueur de son érection ne laissait aucun doute sur son état d’excitation.
La vue du corps sculpté du jeune homme et de sa verge dressée acheva de désinhiber Sonia. Ce n’était plus seulement un foyer de chaleur dans son ventre qui marquait son excitation, elle sentait clairement son minou tremper sa culotte en coton. Son regard se détacha du membre viril et croisa celui de l’inconnu. Elle rougit, non de gêne mais d’excitation.
-"Qu’est-ce que vous attendez" lui murmura-t-elle, sans même réfléchir.
Formuler l’invitation avait ébranlé tout son corps d’un frisson intense. Cette fois-ci, le désir d’homme pour elle se voyait clairement dans son regard. Il laissa tomber son maillot de bain et se rapprocha d’elle dans la cabine étroite. Quand elle sentit les mains puissantes se poser sur ses hanches, elle sentit son minou se contracter à nouveau. Il l’attira contre elle avec douceur mais fermeté. Le contact de leurs peaux l’une contre l’autre acheva d’emplir l’esprit de Sonia d’un brouillard blanc et cotonneux. Elle sentait la chaleur de l’inconnu sur son corps, leurs poitrines qui s’écrasaient l’une sur l’autre, la verge gonflée serrée entre leurs deux ventres.
Il se baissa et prit sa bouche dans un baiser torride. Pas de découverte timide, plus de gentleman qui s’efforce de partager une cabine avec courtoisie. Il la désirait. Elle le sentait à ses lèvres qui pinçaient les siennes, à sa langue qui s’immisçait dans sa bouche. Et elle lui répondait de tout son désir, exacerbé depuis l’entrée dans le hall de la piscine. Leurs lèvres ne se quittaient plus, leurs langues dansaient ensemble. Ses doigts enfouis dans ses cheveux, elle serrait son visage contre le sien pendant que lui étreignait son corps avec force.
Comme si elle l’entendait de loin, Sonia percevait les petits gémissements qu’ils bâillonnaient péniblement de leurs baisers. Mais plus moyen de savoir si leurs voisins de cabine pouvaient les entendre à leur tour. De toute façon, cette préoccupation avait dérivé bien loin de l’esprit de la jeune femme. Tout comme celle de se livrer à ce genre de comportement avec un total inconnu dans un lieu public.
Il avait ses mains sur elle. Elle sentait son corps chaud contre le sien. Leurs langues dansaient l’une avec l’autre. Elle se délectait de sa vigueur, se soumettait totalement au désir qui explosait en elle, ici et maintenant.
Comme s’il avait lu dans ses pensées, l’homme avait saisi ses poignets tendrement mais fermement et les avaient plaqués contre le mur de chaque côté d’elle. Il s’était écarté d’elle pour l’admirer. Elle frémit d’excitation en voyant son regard glisser le long de son corps, comme une caresse. Elle sentait ses tétons se durcir un peu plus. Ainsi soumise, elle le provoquait du regard.
Sans attendre, il revînt contre elle et enfouit son visage dans son cou. Il l’embrassait, mordillait le lobe de son oreille, léchait sa peau brûlante. Sonia avait du mal à retenir un gémissement de plaisir. Elle se pinçait les lèvres pour se bâillonner tandis que des frissons courraient en cascade dans son dos. Elle fut prise d’un instant de panique quand elle sentit la bouche de l’homme glisser sur sa poitrine. Ses seins semblaient tellement sensibles à présent qu’elle craignait de ne pouvoir retenir son plaisir plus longtemps. Pourtant, cette idée fut chassée rapidement par la vague de plaisir que lui procura la bouche de l’homme qui se refermait sur ton téton droit. Elle sentit les mains sur ses poignets resserrer leur étreinte, comme pour répondre à la langueur qui avait envahi son corps. Elle ne pouvait que laisser échapper de longs soupirs silencieux mais elle savait qu’il les entendait.
Elle devinait l’état d’excitation de son partenaire en sentait sa bouche sur son sein sucer son téton avec ferveur. Il l’aspirait, le tétait habilement. Cela la rendait ivre de plaisir. Elle s’entendait implorer dans le brouillard de ses sens qu’il continue puis qu’il s’arrête. Quand la bouche glissa vers son sein gauche, ses jambes tressaillirent en sentant quand il mordilla tendrement son téton. Il raffermit encore son étreinte sur ses poignets. Elle s’offrit docilement à lui, soumise au plaisir dont il remplissait son corps. Sa peau, ses sens ne semblaient plus que se résumer à la bouche de cet inconnu qui s’emparait de ses seins, les harcelant sans cesse de caresses. Sonia s’était cambrée contre la cloison de la cabine, lui offrant un peu plus sa poitrine généreuse.
Quand elle semblait ne plus pouvoir en supporter plus sans émettre de sons, il libéra ses seins et elle sentit l’emprise sur ses poignets se desserrer. Leurs regards se croisèrent. Elle lut un désir brûlant dans ses yeux et se sentir rougir. Comme pour fuir son regard, elle ferma les yeux et appuya sa tête contre la cloison. Elle se soumettait à lui à nouveau, trop transie pour résister.
Elle sentit les doigts glisser le long de ses poignets, de ses bras, caresser autant qu’ils griffaient les bords de sa poitrine et continuer à descendre sur ses hanches. Elle sentit le souffle chaud de l’homme descendre lui aussi sur sa poitrine puis son ventre, sa bouche déposant par moment un baiser passionné. Elle devinait qu’il s’était agenouillé mais gardait les yeux fermés, plaquant ses mains sur la cloison le long de son corps. La fraicheur du panneau contrastait avec la chaleur des mains sur ses hanches.