04-04-2021, 04:35 PM
-Oh je suis vraiment désolé !! Je voulais pas parler comme ça des gens de ta famille, je sais pas quoi dire…
-Ahah c’est bon, c’est bon ne t’en fais pas ! En plus, je suis sûr que Claire serait flattée de savoir ce que tu penses d’elle.
Je suis soudain pris d’un grand fou rire. Au début, Tom a un rire nerveux puis il se met à rire également. C’est à ce moment-là que Marianne réapparait.
-Et ben je vois que vous êtes devenus bien copains, ça me fait plaisir ! dit-elle, visiblement émue.
Peu de temps après, Marianne et moi retournons chez elle. Et c’est à peine un quart d’heure plus tard que ses parents rentrent du travail. Elle me présente donc à sa famille. Je suis accueilli un peu comme un prince avec un diner somptueux comme si j’étais son fiancé ou je ne sais quoi… D’ailleurs, j’ai l’impression que Marianne leur a déjà beaucoup parlé de moi. La soirée se passe donc bien et nous allons nous coucher sans plus d’évènements.
Le lit est très confortable, les draps sont frais. Pourtant j’ai un peu de mal à trouver le sommeil. En fait, avant d’éteindre la lumière, j’ai ajouté Tom sur les réseaux sociaux. On a discuté un peu. Au début il s’est excusé à nouveau d’avoir osé dire de ma cousine qu’elle était « bonne ». Mais je l’ai rassuré et comme il a vu que j’étais assez à l’aise avec ça, il a fini par me dire tout le bien qu’il pensait de Claire. Bref la conversation étant un peu excitante, faut croire que Claire fait le même effet à tout le monde.
Je finis pourtant par m’endormir. Quand j’entrouvre les yeux, il y a de la lumière qui pénètre dans la pièce malgré les rideaux fermés. Le jour doit être bien avancé. Mais quelque chose n’est pas comme d’habitude. Je sens comme une douce chaleur et une pression autour de mon sexe. J’ouvre carrément les yeux cette fois. Marianne est assise sur le bord du lit, penchée au-dessus de moi, la main posée sur mon sexe qui commence à se tendre.
-Marianne… qu’est-ce que…
-Si tu ne veux pas dis le… Mais si tu es d’accord, ne dis rien…
Marianne n’a pas l’air très à l’aise, comme si elle faisait un immense effort pour aller contre sa nature timide et réservée. Elle est toute rouge et elle tremble légèrement. Conformément à ses consignes, je ne dis rien…
-Mes parents sont partis au travail, nous sommes seuls. Tu as dormi longtemps… murmure-t-elle.
La brune commence un va-et-vient autour de mon sexe. Ses mouvements le long de ma bite sont un peu maladroits, on sent tout de suite qu’elle n’a pas trop l’habitude. Mais malgré tout, elle parvient à me donner du plaisir. J’écarte un peu les jambes pour mieux savourer. J’ai une superbe vue sur le décolleté de sa chemise de nuit puisqu’elle est penchée sur moi. D’ailleurs je crois qu’elle a dégraphé un ou deux boutons exprès. Je peux deviner la marque de ses tétons au bout de ses seins. Ajouté à ça l’excitation de la situation et je vais bientôt me mettre à jouir !
-C’est bon Marianne… finis-je par dire pour l’encourager.
Ses mouvements sont de plus en plus rapides, elle commence à trouver son rythme. Je décide de ne pas chercher à me retenir mais de profiter à fond de ce réveil inattendu. En laissant échapper un petit gémissement, je me laisse complètement aller et je jouis en grosses saccades entre les mains de Marianne.
-Merci… soupiré-je.
-Va prendre ta douche et rejoins moi dans la cuisine… murmure-t-elle.
Et juste après avoir dit ça, elle pose un léger baiser sur mes lèvres et disparait. Pas très sûr de ce qui vient de se passer, je me lève doucement, j’ouvre les volets et je vais prendre ma douche. L’eau chaude m’aide à me réveiller et à retrouver mes esprits. Mais je ne comprends toujours pas comment la si timide Marianne a pu faire ce qu’elle a fait…
Je rejoins Marianne dans la cuisine au bout d’une demi-heure. Elle porte une petite robe d’été bleue. Elle est assise en train de boire un café, le corps légèrement vouté. Elle a l’air dépitée et ne me regarde pas quand je rentre.
-Ca va ? demandé-je doucement.
-Oui… répond-elle les yeux perdus dans sa tasse de café. Je suis désolée pour toute à l’heure… Je n’aurais peut-être pas dû…
-Mais pourquoi ? demandé-je. C’était très bien…
-Y a quelque chose que je voudrais te dire depuis longtemps Cyril. Toute la journée d’hier j’ai attendu le bon moment mais je n’ai pas trouvé… En fait, ce que je veux te dire c’est… Enfin non rien, laisse tomber…
-Ecoute Marianne. Je sais pas ce que tu voulais me dire. Mais j’aimerais faire quelque chose pour toi, pour te remercier de ce matin. Suis-moi si tu veux.
Je lui tends ma main qu’elle prend. Nos regards se croisent avec beaucoup d’intensité et je vois dans les yeux de la brune un genre de tristesse qui me donne envie de la protéger. Je l’emmène jusqu’à sa chambre. A cet instant, je pense qu’elle sait où je veux en venir et elle se met à trembler un peu.
-Marianne, tu es tellement belle ce matin…
-Ahah c’est bon, c’est bon ne t’en fais pas ! En plus, je suis sûr que Claire serait flattée de savoir ce que tu penses d’elle.
Je suis soudain pris d’un grand fou rire. Au début, Tom a un rire nerveux puis il se met à rire également. C’est à ce moment-là que Marianne réapparait.
-Et ben je vois que vous êtes devenus bien copains, ça me fait plaisir ! dit-elle, visiblement émue.
Peu de temps après, Marianne et moi retournons chez elle. Et c’est à peine un quart d’heure plus tard que ses parents rentrent du travail. Elle me présente donc à sa famille. Je suis accueilli un peu comme un prince avec un diner somptueux comme si j’étais son fiancé ou je ne sais quoi… D’ailleurs, j’ai l’impression que Marianne leur a déjà beaucoup parlé de moi. La soirée se passe donc bien et nous allons nous coucher sans plus d’évènements.
Le lit est très confortable, les draps sont frais. Pourtant j’ai un peu de mal à trouver le sommeil. En fait, avant d’éteindre la lumière, j’ai ajouté Tom sur les réseaux sociaux. On a discuté un peu. Au début il s’est excusé à nouveau d’avoir osé dire de ma cousine qu’elle était « bonne ». Mais je l’ai rassuré et comme il a vu que j’étais assez à l’aise avec ça, il a fini par me dire tout le bien qu’il pensait de Claire. Bref la conversation étant un peu excitante, faut croire que Claire fait le même effet à tout le monde.
Je finis pourtant par m’endormir. Quand j’entrouvre les yeux, il y a de la lumière qui pénètre dans la pièce malgré les rideaux fermés. Le jour doit être bien avancé. Mais quelque chose n’est pas comme d’habitude. Je sens comme une douce chaleur et une pression autour de mon sexe. J’ouvre carrément les yeux cette fois. Marianne est assise sur le bord du lit, penchée au-dessus de moi, la main posée sur mon sexe qui commence à se tendre.
-Marianne… qu’est-ce que…
-Si tu ne veux pas dis le… Mais si tu es d’accord, ne dis rien…
Marianne n’a pas l’air très à l’aise, comme si elle faisait un immense effort pour aller contre sa nature timide et réservée. Elle est toute rouge et elle tremble légèrement. Conformément à ses consignes, je ne dis rien…
-Mes parents sont partis au travail, nous sommes seuls. Tu as dormi longtemps… murmure-t-elle.
La brune commence un va-et-vient autour de mon sexe. Ses mouvements le long de ma bite sont un peu maladroits, on sent tout de suite qu’elle n’a pas trop l’habitude. Mais malgré tout, elle parvient à me donner du plaisir. J’écarte un peu les jambes pour mieux savourer. J’ai une superbe vue sur le décolleté de sa chemise de nuit puisqu’elle est penchée sur moi. D’ailleurs je crois qu’elle a dégraphé un ou deux boutons exprès. Je peux deviner la marque de ses tétons au bout de ses seins. Ajouté à ça l’excitation de la situation et je vais bientôt me mettre à jouir !
-C’est bon Marianne… finis-je par dire pour l’encourager.
Ses mouvements sont de plus en plus rapides, elle commence à trouver son rythme. Je décide de ne pas chercher à me retenir mais de profiter à fond de ce réveil inattendu. En laissant échapper un petit gémissement, je me laisse complètement aller et je jouis en grosses saccades entre les mains de Marianne.
-Merci… soupiré-je.
-Va prendre ta douche et rejoins moi dans la cuisine… murmure-t-elle.
Et juste après avoir dit ça, elle pose un léger baiser sur mes lèvres et disparait. Pas très sûr de ce qui vient de se passer, je me lève doucement, j’ouvre les volets et je vais prendre ma douche. L’eau chaude m’aide à me réveiller et à retrouver mes esprits. Mais je ne comprends toujours pas comment la si timide Marianne a pu faire ce qu’elle a fait…
Je rejoins Marianne dans la cuisine au bout d’une demi-heure. Elle porte une petite robe d’été bleue. Elle est assise en train de boire un café, le corps légèrement vouté. Elle a l’air dépitée et ne me regarde pas quand je rentre.
-Ca va ? demandé-je doucement.
-Oui… répond-elle les yeux perdus dans sa tasse de café. Je suis désolée pour toute à l’heure… Je n’aurais peut-être pas dû…
-Mais pourquoi ? demandé-je. C’était très bien…
-Y a quelque chose que je voudrais te dire depuis longtemps Cyril. Toute la journée d’hier j’ai attendu le bon moment mais je n’ai pas trouvé… En fait, ce que je veux te dire c’est… Enfin non rien, laisse tomber…
-Ecoute Marianne. Je sais pas ce que tu voulais me dire. Mais j’aimerais faire quelque chose pour toi, pour te remercier de ce matin. Suis-moi si tu veux.
Je lui tends ma main qu’elle prend. Nos regards se croisent avec beaucoup d’intensité et je vois dans les yeux de la brune un genre de tristesse qui me donne envie de la protéger. Je l’emmène jusqu’à sa chambre. A cet instant, je pense qu’elle sait où je veux en venir et elle se met à trembler un peu.
-Marianne, tu es tellement belle ce matin…