21-03-2021, 01:47 AM
Deuxième plantation,
Il est bien gentil, monsieur Miyagi, mais tailler ses arbres lilliputiens… ça me stresse toujours un peu. J’ai peur de faire mal !
Monsieur Miyagi, c’est notre voisin, un gentil petit vieux japonais. C’est un peu comme un grand-père, pour moi qui n’en ai jamais eu.
J’avais douze ans quand on a emménagé, ma mère et moi, suite au décès de mon père. Elle voulait un nouveau départ, loin des souvenirs qui nous faisaient souffrir. Aussi, elle a mis 600 km de distance avec notre ancienne vie, en acceptant une mutation dans le sud. Il y a maintenant quatre ans de cela.
Pour me faire de l’argent de poche, j’effectue divers travaux chez les voisins et principalement chez mon papy de cœur. À croire qu’il a constamment quelque chose à bricoler dans sa maison. C’est vrai qu’elle est relativement grande et son jardin zen est impressionnant, on se croirait au Japon dés que l’on passe la clôture qui l’entoure. Et l’intérieur mélange la modernité avec le style ancien du soleil levant. C’est magique !
Bref, tout ça pour dire que sa dernière trouvaille, dans la liste des travaux de grandes vacances, c’est de m’avoir confier la taille et l’entretien d’une partie de ses bonzaïs. Bon, depuis la dizaine de jours que je manie les différends ciseaux, je suis un peu plus confiant… mais quand même, ça me paraît si fragile !
Après faut nourrir les koïs du bassin et puis j’attaque le gros boulot de la semaine, une chambre à repeindre et remeubler avant l’arrivée de son petit-fils du Japon – fin juillet. Il viendrait pour faire ses études ici, dans un établissement réputé. Mais, si j’ai bien compris les demi-mots, la décision ferait suite à des problèmes personnels. Lesquels ?
Mystère !
Il s’appelle Kichirou et la signification de son prénom, c’est « un fils chanceux ». J’aime assez, c’est plus original que Daniel. Son père lui ayant toujours parler en français, il n’aura pas de difficulté à suivre – puisque, lui est né ici, avant de partir travailler dans le pays de ses ancêtres et y fonder une famille.
Je suis curieux de voir à quoi il ressemble en vrai, le cadre photo que j’ai vu, montre un ado de mon âge en tenue traditionnelle au milieu de ses parents, je dirai qu’il est plutôt mignon. Mais c’était difficile de juger ainsi. J’espère juste qu’il n’est pas trop coincé dans leurs traditions. Quand je pose des questions à monsieur Miyagi, il ricane et me répond constamment :
— Patience, Daniel, patience… tu le verras bientôt !
***
Ça y est ! monsieur Miyagi est parti à l’aéroport chercher Kichirou.
Je suis occupé dans le jardin quand ils arrivent .
C’est une jolie tête de tifs noirs geai qui sort en premier de la voiture, dessous apparaît un sourire banane sur sa frimousse cuivrée et ses yeux bridés sont comme ceux de certains félins, hypnotique ! D'ailleurs, il en a aussi la démarche, souple et légère !
Je me sens con, tout d’un coup… j’étais resté focaliser sur son kimono et, là, il est plus à la mode que moi ! Il est habillé d’un sweat à capuche rose pâle ‘NASA’, d’un jeans baggy et de basquettes Nike rouges du dernier modèle.
— Bonjour. Toi tu dois être Daniel. Sofu (grand-père) m’a parlé de son ‘petit protégé’ moi c’est Kichirou, mais tous mes amis m’appelle Kichou. J’espère que tu en feras partie. Dit-il sans l’ombre d’un accent.
— Alors, bonjour Kichou. Bienvenue parmi nous.
Son grand-père nous demande de prendre ses bagages pour les porter dans sa chambre. Et c’est en bavardant que nous faisons ouvrage.
***
Kichou peut être de la plus exquise politesse avec les gens – ma mère le trouve ‘adorable’. Mais avec moi, il est du genre assez extraverti et n’a pas la langue dans sa poche. Même qu’il est souvent assez limite dans ses propos. C’est un fameux rigolo et on se marre bien.
On dirait qu’on se connaît depuis des années, alors qu’il n’y a qu’une douzaine de jours qu’il est là. J’ai vraiment l’impression qu’il y a un sacré feeling entre nous… et… un peu plus ! je n’arrive pas à m’expliquer cette sensation.
Mais je me fait surement des films. De toute façon, déjà en temps normal je suis plutôt timide… alors, pour ça, ça attendra encore un bon moment avant que j’en parle à l’intéressé !
J'ai fini par accepter que mon orientation sexuelle aille vers les hommes, mais je ne suis pas prêt à en parler avec quelqu'un. Même à ma mère j’ai toujours rien dis. Pourtant nous sommes proches.
Néanmoins, il me faudra faire un coming out tôt ou tard.
Kichou pratique différents arts martiaux, tous les matins quand j’arrive après mes corvées extérieures, Kichou a déjà fait deux heures d’entraînement. Son grand-père lui ayant trouvé de l’occupation en journée et souvent avec moi. Du coup, hélas, je n’ai pas encore eu l’occasion de le voir en action.
Monsieur Miyagi a bien choisi sa journée pour être absent jusqu’à la soirée, la clim de sa voiture va être mise à rude contribution.
Aujourd’hui, c’est la canicule, il fait une chaleur quasi insoutenable, heureusement, je suis vêtu léger, léger : des tongs aux pieds, un marcel bien échancré et un short de sport sans rien dessous.
Il est dix heures quand j’arrive et comme je ne vois personne, je crie après mon nouvel ami.
Kichou sort du dojo où il devait finir de s’entrainer.
J’ai un choc au cœur… il n’a sur lui qu’un court short de satin noir, son corps, quasi nu, est couvert d’un film de sueur et les perles de transpiration qui coulent sur son torse étincellent au soleil. Quelques mèches collent à son front.
Wow qu’il est beau, comme ça !
Il me dis bonjour et me fait un signe de la main pour que je le suive puis fait demi-tour. Là, mes yeux se rivent sur les fesses bien rondes de ce jeune athlète. Il est vraiment bien foutu.
Il a un cul qui ferait bander n’importe quel homme et doit rendre jalouses bon nombres de femmes.
D’ailleurs, quand on arrive dans la cuisine, sans que je m’en sois rendu compte, j’ai un fameux début d’érection.
Évidemment, dès qu’il se retourne en me demandant si je veux aussi du jus d’orange, ça ne peut lui échapper.
— J’avais bien deviné, tu es comme moi mon beau rouquin… quelle chance !
Fait-il d’un ton rauque.
Moi, je suis figé sur place, ses yeux me font frissonner, c'est comme deux flèches sur moi qui me dévisagent d’une façon gourmande.
Sa mine enjouée et son sourire teinté de lubricité, alors qu’il m’attire à lui, finissent de me faire bander à fond et quand il m’enserre dans ses bras pour me rouler une pelle, il frotte sa trique sur la mienne et…
Mais bon ! Je vous donnerai des détails une autre fois.
fin
Il est bien gentil, monsieur Miyagi, mais tailler ses arbres lilliputiens… ça me stresse toujours un peu. J’ai peur de faire mal !
Monsieur Miyagi, c’est notre voisin, un gentil petit vieux japonais. C’est un peu comme un grand-père, pour moi qui n’en ai jamais eu.
J’avais douze ans quand on a emménagé, ma mère et moi, suite au décès de mon père. Elle voulait un nouveau départ, loin des souvenirs qui nous faisaient souffrir. Aussi, elle a mis 600 km de distance avec notre ancienne vie, en acceptant une mutation dans le sud. Il y a maintenant quatre ans de cela.
Pour me faire de l’argent de poche, j’effectue divers travaux chez les voisins et principalement chez mon papy de cœur. À croire qu’il a constamment quelque chose à bricoler dans sa maison. C’est vrai qu’elle est relativement grande et son jardin zen est impressionnant, on se croirait au Japon dés que l’on passe la clôture qui l’entoure. Et l’intérieur mélange la modernité avec le style ancien du soleil levant. C’est magique !
Bref, tout ça pour dire que sa dernière trouvaille, dans la liste des travaux de grandes vacances, c’est de m’avoir confier la taille et l’entretien d’une partie de ses bonzaïs. Bon, depuis la dizaine de jours que je manie les différends ciseaux, je suis un peu plus confiant… mais quand même, ça me paraît si fragile !
Après faut nourrir les koïs du bassin et puis j’attaque le gros boulot de la semaine, une chambre à repeindre et remeubler avant l’arrivée de son petit-fils du Japon – fin juillet. Il viendrait pour faire ses études ici, dans un établissement réputé. Mais, si j’ai bien compris les demi-mots, la décision ferait suite à des problèmes personnels. Lesquels ?
Mystère !
Il s’appelle Kichirou et la signification de son prénom, c’est « un fils chanceux ». J’aime assez, c’est plus original que Daniel. Son père lui ayant toujours parler en français, il n’aura pas de difficulté à suivre – puisque, lui est né ici, avant de partir travailler dans le pays de ses ancêtres et y fonder une famille.
Je suis curieux de voir à quoi il ressemble en vrai, le cadre photo que j’ai vu, montre un ado de mon âge en tenue traditionnelle au milieu de ses parents, je dirai qu’il est plutôt mignon. Mais c’était difficile de juger ainsi. J’espère juste qu’il n’est pas trop coincé dans leurs traditions. Quand je pose des questions à monsieur Miyagi, il ricane et me répond constamment :
— Patience, Daniel, patience… tu le verras bientôt !
***
Ça y est ! monsieur Miyagi est parti à l’aéroport chercher Kichirou.
Je suis occupé dans le jardin quand ils arrivent .
C’est une jolie tête de tifs noirs geai qui sort en premier de la voiture, dessous apparaît un sourire banane sur sa frimousse cuivrée et ses yeux bridés sont comme ceux de certains félins, hypnotique ! D'ailleurs, il en a aussi la démarche, souple et légère !
Je me sens con, tout d’un coup… j’étais resté focaliser sur son kimono et, là, il est plus à la mode que moi ! Il est habillé d’un sweat à capuche rose pâle ‘NASA’, d’un jeans baggy et de basquettes Nike rouges du dernier modèle.
— Bonjour. Toi tu dois être Daniel. Sofu (grand-père) m’a parlé de son ‘petit protégé’ moi c’est Kichirou, mais tous mes amis m’appelle Kichou. J’espère que tu en feras partie. Dit-il sans l’ombre d’un accent.
— Alors, bonjour Kichou. Bienvenue parmi nous.
Son grand-père nous demande de prendre ses bagages pour les porter dans sa chambre. Et c’est en bavardant que nous faisons ouvrage.
***
Kichou peut être de la plus exquise politesse avec les gens – ma mère le trouve ‘adorable’. Mais avec moi, il est du genre assez extraverti et n’a pas la langue dans sa poche. Même qu’il est souvent assez limite dans ses propos. C’est un fameux rigolo et on se marre bien.
On dirait qu’on se connaît depuis des années, alors qu’il n’y a qu’une douzaine de jours qu’il est là. J’ai vraiment l’impression qu’il y a un sacré feeling entre nous… et… un peu plus ! je n’arrive pas à m’expliquer cette sensation.
Mais je me fait surement des films. De toute façon, déjà en temps normal je suis plutôt timide… alors, pour ça, ça attendra encore un bon moment avant que j’en parle à l’intéressé !
J'ai fini par accepter que mon orientation sexuelle aille vers les hommes, mais je ne suis pas prêt à en parler avec quelqu'un. Même à ma mère j’ai toujours rien dis. Pourtant nous sommes proches.
Néanmoins, il me faudra faire un coming out tôt ou tard.
Kichou pratique différents arts martiaux, tous les matins quand j’arrive après mes corvées extérieures, Kichou a déjà fait deux heures d’entraînement. Son grand-père lui ayant trouvé de l’occupation en journée et souvent avec moi. Du coup, hélas, je n’ai pas encore eu l’occasion de le voir en action.
Monsieur Miyagi a bien choisi sa journée pour être absent jusqu’à la soirée, la clim de sa voiture va être mise à rude contribution.
Aujourd’hui, c’est la canicule, il fait une chaleur quasi insoutenable, heureusement, je suis vêtu léger, léger : des tongs aux pieds, un marcel bien échancré et un short de sport sans rien dessous.
Il est dix heures quand j’arrive et comme je ne vois personne, je crie après mon nouvel ami.
Kichou sort du dojo où il devait finir de s’entrainer.
J’ai un choc au cœur… il n’a sur lui qu’un court short de satin noir, son corps, quasi nu, est couvert d’un film de sueur et les perles de transpiration qui coulent sur son torse étincellent au soleil. Quelques mèches collent à son front.
Wow qu’il est beau, comme ça !
Il me dis bonjour et me fait un signe de la main pour que je le suive puis fait demi-tour. Là, mes yeux se rivent sur les fesses bien rondes de ce jeune athlète. Il est vraiment bien foutu.
Il a un cul qui ferait bander n’importe quel homme et doit rendre jalouses bon nombres de femmes.
D’ailleurs, quand on arrive dans la cuisine, sans que je m’en sois rendu compte, j’ai un fameux début d’érection.
Évidemment, dès qu’il se retourne en me demandant si je veux aussi du jus d’orange, ça ne peut lui échapper.
— J’avais bien deviné, tu es comme moi mon beau rouquin… quelle chance !
Fait-il d’un ton rauque.
Moi, je suis figé sur place, ses yeux me font frissonner, c'est comme deux flèches sur moi qui me dévisagent d’une façon gourmande.
Sa mine enjouée et son sourire teinté de lubricité, alors qu’il m’attire à lui, finissent de me faire bander à fond et quand il m’enserre dans ses bras pour me rouler une pelle, il frotte sa trique sur la mienne et…
Mais bon ! Je vous donnerai des détails une autre fois.
fin
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
La "hot" du père Noël ! (GAY-ADO-OS) (slygame.fr)
Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
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Piscine...et plaisir aqueux (OS-minet-gay) (slygame.fr)
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