13-03-2021, 12:44 AM
4 - Laurent : Le meilleur, c'est le dessert
La chaleur de ce mois de Juillet est pesante, et Yann et moi nous nous sommes installés devant un ventilateur qui nous soulage grandement.
- Va vraiment falloir que tu te procures un mobile, toi, c'est horrible de ne pas pouvoir te joindre.
Yann secoue la tête.
- C'est clair... d'autant que mon pc vient de griller, il est mort de chez mort... plus de msn, plus rien.
- Aaargh !
- Et je vais pouvoir me brosser pour en avoir un autre, avec tout ce qui s'est passé ces derniers temps, mes parents ne vont pas me faire de cadeau.
- Pfff...
- Ouais... mais t'en fais pas, je bosserai quand je serai à la fac, je l'aurai mon téléphone, tu peux y compter.
Je lui souris et lui fais un tendre baiser, mais il a l'air préoccupé.
- Qu'y a-t-il ?
- Je... c'est l'inspecteur Peltier. Il est passé me voir, et, bordel, je...
- Quoi ?
- Ça va mal, je ne sais pas comment te le dire. Une avalanche de mauvaises nouvelles...
- Il a deviné ?
- Tu n'imagines même pas... il a questionné tout le monde pour connaître les amis de Julien, puis a enquêté sur nous... et Annie, Steve... plusieurs lui ont dit qu'on était gay, qu'on était ensemble !
- Pfff... ça devait bien arriver un jour, on a pas été spécialement discret... attends... Steve est au courant ?
- Annie, à coup sûr.
- Elle va le regretter.
- Laisse tomber... il a sorti plein d'autres trucs, puis m'a expliqué qu'il allait devoir parler de tout ça à mon père... à moins que j'avais quelque chose à lui dire.
- Le salaud...
- Il fait son boulot... je n'avais pas le choix.
- Je te comprends.
- J'ai dit que c'était moi.
- Yann ! On était tous dans le coup.
- Mes parents ont un avocat parmi leurs amis, je me suis dit que j'avais plus de chances de m'en sortir si je prenais tout sur moi.
- Yann... je ne suis pas dupe.
- Laisse tomber... je te passe les détails, mais il m'a littéralement fait chanter pour que je signe une déposition trafiquée qu'il avait écrite lui-même.
- Quoi ?!
- Il m'a emmené au poste pour la signer devant témoins... mais une fois arrivé là-bas, on lui a dit qu'il était dessaisi de l'affaire... il était fou de rage.
- Tu l'as échappé belle !
- Il n'y aura plus d'enquête, Laurent. Les gendarmes ne seront pas inquiétés... et Julien non plus.
- Quoi ?
- Peltier a dit qu'il y avait des gens en haut lieu qui avaient agi, et je ne vois pas ce que ça pourrait être d'autre.
- La vache... c'est abject, mais d'un autre côté...
- Oui, on a eu chaud. Et je suis content pour Ju, il en a assez bavé.
- Tout à fait d'accord.
Nous déjeunons avec mon frère, mes parents étant sortis. Yann se fait gentiment taquiner par lui pendant tout le repas, nous distrayant de nos soucis.
- Bon, je vais me faire un ciné, je vous laisse entre amoureux.
- Phil... dis-je en me levant.
- La vie est courte, Laurent... je veux que tu puisse profiter de chaque moment de bonheur que je pourrai te trouver. C'est dur de s'aimer quand tout est contre vous, mais ici, vous avez un petit havre de paix. Laurent, tu ne peux pas savoir à quel point nous sommes heureux de te voir nager dans le bonheur. Alors profites-en un maximum.
- Je... je ne sais pas quoi dire...
- Je file, ou ma copine va croire que je lui ai posé un lapin. À plus, les jeunes !
- Bon film !
Je le regarde partir et me tourne vers Yann, que je devine aussi ému que moi.
- Il est super, ton frère, me dit-il.
- Oui ! Je l'adore.
- Bon... pas de dessert ?
- Tu veux dire, à part toi ?
- Mmm... oui.
- Je ne sais pas... un dessert, c'est tentant, mais toi aussi...
- J'ai encore un petit creux.
- Tu es un estomac sur pattes, toi !
J'ouvre le frigo et découvre avec joie une jatte de mousse au chocolat.
- Tout ça rien que pour nous ! Se réjouit Yann.
Je sors la jatte et la pose sur la table, puis plonge un doigt dedans pour en ramener une généreuse portion.
- Tu connais les cuillères, me demande Yann, un peu choqué.
Je lui souris et approche mon doigt de sa bouche. Il comprend enfin et l'accueille avec délectation.
- N'avale pas...
Je le serre contre moi et plonge ma langue dans sa bouche, et nous partageons le chocolat dessert de façon délectable... l'excitation monte en nous, et je vois briller les yeux de Yann en même temps qu'une idée germe dans mon esprit... pas possible, nous avons eu la même idée ? Pour le vérifier, je m'empare de la jatte et fais un léger signe de tête vers le couloir. Ses yeux brillent plus fort, et un sourire apparaît sur ses lèvres. Bingo !
Nous fonçons vers ma chambre, mais je m'arrête en secouant la tête.
- La salle de bains, ce serait mieux.
- D'accord.
- Tu as eu la même idée que moi, pas vrai ?
- Je crois bien, dit-il en rougissant.
- Tu te dévergondes, on dirait.
- Euh, je crois.
- Pas besoin de faire le timide... si tu veux de ce chocolat, il va falloir me montrer à quel point tu te laisses aller, maintenant.
- C'est cruel !
- Non, c'est juste... excitant.
- Que veux-tu que je te dise ?
Je me délecte à faire durer le plaisir ainsi. Je pose la jatte dans le lavabo avant de répondre.
- Met le verrou... tu as des fantasmes, dis-moi ?
- Euh...
- Tu peux tout me dire... peut-être qu'on en réalisera, lui dis-je en souriant.
- D'accord, mais, ils ne sont pas, enfin, c'est juste que...
- Je te dirai aussi les miens, alors, ne soit pas timide.
Pour lui laisser le temps de rassembler son courage et l'exciter assez pour qu'il réponde, je commence à le déshabiller, prenant mon temps, le caressant au passage, sentant son souffle s'accélérer. Il finit par se lancer une fois nu, alors que je me relève après avoir mis ses vêtements dans un coin de la pièce.
- J'aimerais... faire l'amour avec toi au soleil, je veux dire, dans un jardin par exemple, sans avoir à m'inquiéter qu'on nous voie.
- Une plage naturiste gay, ça te conviendrait aussi ?
- Ouah... je n'avais pas pensé à ça.
- L'été prochain, on partira tous les deux, je t'en fais la promesse.
Il me sourit.
- C'est un beau fantasme, pas compliqué.
- Je ne m'accepte que depuis peu, tu sais.
- Moi aussi. En fait, je n'avais rien eu de bien particulier depuis, jusqu'à ce que...
Je désigne la jatte de chocolat. Il rougit.
- Je crois qu'on va bien s'amuser, me dit-il en me déshabillant à mon tour.
- Toi aussi, ça t'excite ?
- Je me suis mis à bander dès que tu as mis ton doigt dans ma bouche. J'ai deviné où ça pouvait nous mener... mais je n'avais pas osé le proposer.
- N'hésite pas, dis-je en prenant un peu de mousse, n'hésite surtout pas, d'accord ?
- D'accord. Pareil pour toi.
Je commence à étaler le chocolat sur sa poitrine, en une couche pas trop fine, descendant jusqu'à son sexe tendu, puis remontant dans son cou. Il fait de même avec moi, et je l'enlace, me frottant à lui, glissant mes mains dans son dos, descendant dans son cou et commençant à le lécher, alors qu'il fait de même. Mon sexe est tendu à mort, je descend le premier sur sa poitrine, ne laissant aucun centimètre sans attention, l'entendant soupirer de plaisir et de désir. Je m'interrompt toutefois rapidement pour qu'il puisse s'occuper de moi, sensation délectable, excitante, je prends sa main droite et la nettoie tandis qu'il atteint mon téton, j'ai une envie folle de me branler tant je suis excité, mais je dois faire durer le plaisir au maximum. Nous nous occupons l'un de l'autre, vidant la jarre, nous enlaçant, nous suçant, remontant, recommençant, nous attaquant à une nouvelle partie encore intouchée, le dos, les fesses, jusqu'à ce que nous n'en puissions plus de désir.
- Prends-moi, halete Yann.
Je ne me fais pas prier, et racle la jatte pour en tartiner son intimité et commencer un travail de préparation qui le met dans tous ses états. Je viens alors en lui, le faisant soupirer et gémir, tandis qu'il s'appuie sur le lavabo, face au miroir, dans lequel je le regarde, le menton posé sur son épaule, tandis que je vais et viens en lui.
- Dis-moi des trucs, Yann.
- Quoi ?
- Tu aimes ?
- Oh oui, dit-il, comprenant où je veux en venir. Laurent, j'aime t'avoir en moi, j'aime être en toi, je t'aime, je t'aime à la folie... aahhh... c'est bon...
À voir son visage, ça lui plaît effectivement beaucoup. J'accélère la cadence, jusqu'à l'explosion, si forte que je pousse un cri, me vidant en lui.
- Oh, Laurent... waouh...
- Ouais...
Nous reprenons nos esprits, nous embrassant, nous caressant, puis je nettoie le lavabo tandis que Yann prépare la douche. Après une telle entrée en matière, l'après-midi promet d'être chaud...
Très chaud.
La chaleur de ce mois de Juillet est pesante, et Yann et moi nous nous sommes installés devant un ventilateur qui nous soulage grandement.
- Va vraiment falloir que tu te procures un mobile, toi, c'est horrible de ne pas pouvoir te joindre.
Yann secoue la tête.
- C'est clair... d'autant que mon pc vient de griller, il est mort de chez mort... plus de msn, plus rien.
- Aaargh !
- Et je vais pouvoir me brosser pour en avoir un autre, avec tout ce qui s'est passé ces derniers temps, mes parents ne vont pas me faire de cadeau.
- Pfff...
- Ouais... mais t'en fais pas, je bosserai quand je serai à la fac, je l'aurai mon téléphone, tu peux y compter.
Je lui souris et lui fais un tendre baiser, mais il a l'air préoccupé.
- Qu'y a-t-il ?
- Je... c'est l'inspecteur Peltier. Il est passé me voir, et, bordel, je...
- Quoi ?
- Ça va mal, je ne sais pas comment te le dire. Une avalanche de mauvaises nouvelles...
- Il a deviné ?
- Tu n'imagines même pas... il a questionné tout le monde pour connaître les amis de Julien, puis a enquêté sur nous... et Annie, Steve... plusieurs lui ont dit qu'on était gay, qu'on était ensemble !
- Pfff... ça devait bien arriver un jour, on a pas été spécialement discret... attends... Steve est au courant ?
- Annie, à coup sûr.
- Elle va le regretter.
- Laisse tomber... il a sorti plein d'autres trucs, puis m'a expliqué qu'il allait devoir parler de tout ça à mon père... à moins que j'avais quelque chose à lui dire.
- Le salaud...
- Il fait son boulot... je n'avais pas le choix.
- Je te comprends.
- J'ai dit que c'était moi.
- Yann ! On était tous dans le coup.
- Mes parents ont un avocat parmi leurs amis, je me suis dit que j'avais plus de chances de m'en sortir si je prenais tout sur moi.
- Yann... je ne suis pas dupe.
- Laisse tomber... je te passe les détails, mais il m'a littéralement fait chanter pour que je signe une déposition trafiquée qu'il avait écrite lui-même.
- Quoi ?!
- Il m'a emmené au poste pour la signer devant témoins... mais une fois arrivé là-bas, on lui a dit qu'il était dessaisi de l'affaire... il était fou de rage.
- Tu l'as échappé belle !
- Il n'y aura plus d'enquête, Laurent. Les gendarmes ne seront pas inquiétés... et Julien non plus.
- Quoi ?
- Peltier a dit qu'il y avait des gens en haut lieu qui avaient agi, et je ne vois pas ce que ça pourrait être d'autre.
- La vache... c'est abject, mais d'un autre côté...
- Oui, on a eu chaud. Et je suis content pour Ju, il en a assez bavé.
- Tout à fait d'accord.
Nous déjeunons avec mon frère, mes parents étant sortis. Yann se fait gentiment taquiner par lui pendant tout le repas, nous distrayant de nos soucis.
- Bon, je vais me faire un ciné, je vous laisse entre amoureux.
- Phil... dis-je en me levant.
- La vie est courte, Laurent... je veux que tu puisse profiter de chaque moment de bonheur que je pourrai te trouver. C'est dur de s'aimer quand tout est contre vous, mais ici, vous avez un petit havre de paix. Laurent, tu ne peux pas savoir à quel point nous sommes heureux de te voir nager dans le bonheur. Alors profites-en un maximum.
- Je... je ne sais pas quoi dire...
- Je file, ou ma copine va croire que je lui ai posé un lapin. À plus, les jeunes !
- Bon film !
Je le regarde partir et me tourne vers Yann, que je devine aussi ému que moi.
- Il est super, ton frère, me dit-il.
- Oui ! Je l'adore.
- Bon... pas de dessert ?
- Tu veux dire, à part toi ?
- Mmm... oui.
- Je ne sais pas... un dessert, c'est tentant, mais toi aussi...
- J'ai encore un petit creux.
- Tu es un estomac sur pattes, toi !
J'ouvre le frigo et découvre avec joie une jatte de mousse au chocolat.
- Tout ça rien que pour nous ! Se réjouit Yann.
Je sors la jatte et la pose sur la table, puis plonge un doigt dedans pour en ramener une généreuse portion.
- Tu connais les cuillères, me demande Yann, un peu choqué.
Je lui souris et approche mon doigt de sa bouche. Il comprend enfin et l'accueille avec délectation.
- N'avale pas...
Je le serre contre moi et plonge ma langue dans sa bouche, et nous partageons le chocolat dessert de façon délectable... l'excitation monte en nous, et je vois briller les yeux de Yann en même temps qu'une idée germe dans mon esprit... pas possible, nous avons eu la même idée ? Pour le vérifier, je m'empare de la jatte et fais un léger signe de tête vers le couloir. Ses yeux brillent plus fort, et un sourire apparaît sur ses lèvres. Bingo !
Nous fonçons vers ma chambre, mais je m'arrête en secouant la tête.
- La salle de bains, ce serait mieux.
- D'accord.
- Tu as eu la même idée que moi, pas vrai ?
- Je crois bien, dit-il en rougissant.
- Tu te dévergondes, on dirait.
- Euh, je crois.
- Pas besoin de faire le timide... si tu veux de ce chocolat, il va falloir me montrer à quel point tu te laisses aller, maintenant.
- C'est cruel !
- Non, c'est juste... excitant.
- Que veux-tu que je te dise ?
Je me délecte à faire durer le plaisir ainsi. Je pose la jatte dans le lavabo avant de répondre.
- Met le verrou... tu as des fantasmes, dis-moi ?
- Euh...
- Tu peux tout me dire... peut-être qu'on en réalisera, lui dis-je en souriant.
- D'accord, mais, ils ne sont pas, enfin, c'est juste que...
- Je te dirai aussi les miens, alors, ne soit pas timide.
Pour lui laisser le temps de rassembler son courage et l'exciter assez pour qu'il réponde, je commence à le déshabiller, prenant mon temps, le caressant au passage, sentant son souffle s'accélérer. Il finit par se lancer une fois nu, alors que je me relève après avoir mis ses vêtements dans un coin de la pièce.
- J'aimerais... faire l'amour avec toi au soleil, je veux dire, dans un jardin par exemple, sans avoir à m'inquiéter qu'on nous voie.
- Une plage naturiste gay, ça te conviendrait aussi ?
- Ouah... je n'avais pas pensé à ça.
- L'été prochain, on partira tous les deux, je t'en fais la promesse.
Il me sourit.
- C'est un beau fantasme, pas compliqué.
- Je ne m'accepte que depuis peu, tu sais.
- Moi aussi. En fait, je n'avais rien eu de bien particulier depuis, jusqu'à ce que...
Je désigne la jatte de chocolat. Il rougit.
- Je crois qu'on va bien s'amuser, me dit-il en me déshabillant à mon tour.
- Toi aussi, ça t'excite ?
- Je me suis mis à bander dès que tu as mis ton doigt dans ma bouche. J'ai deviné où ça pouvait nous mener... mais je n'avais pas osé le proposer.
- N'hésite pas, dis-je en prenant un peu de mousse, n'hésite surtout pas, d'accord ?
- D'accord. Pareil pour toi.
Je commence à étaler le chocolat sur sa poitrine, en une couche pas trop fine, descendant jusqu'à son sexe tendu, puis remontant dans son cou. Il fait de même avec moi, et je l'enlace, me frottant à lui, glissant mes mains dans son dos, descendant dans son cou et commençant à le lécher, alors qu'il fait de même. Mon sexe est tendu à mort, je descend le premier sur sa poitrine, ne laissant aucun centimètre sans attention, l'entendant soupirer de plaisir et de désir. Je m'interrompt toutefois rapidement pour qu'il puisse s'occuper de moi, sensation délectable, excitante, je prends sa main droite et la nettoie tandis qu'il atteint mon téton, j'ai une envie folle de me branler tant je suis excité, mais je dois faire durer le plaisir au maximum. Nous nous occupons l'un de l'autre, vidant la jarre, nous enlaçant, nous suçant, remontant, recommençant, nous attaquant à une nouvelle partie encore intouchée, le dos, les fesses, jusqu'à ce que nous n'en puissions plus de désir.
- Prends-moi, halete Yann.
Je ne me fais pas prier, et racle la jatte pour en tartiner son intimité et commencer un travail de préparation qui le met dans tous ses états. Je viens alors en lui, le faisant soupirer et gémir, tandis qu'il s'appuie sur le lavabo, face au miroir, dans lequel je le regarde, le menton posé sur son épaule, tandis que je vais et viens en lui.
- Dis-moi des trucs, Yann.
- Quoi ?
- Tu aimes ?
- Oh oui, dit-il, comprenant où je veux en venir. Laurent, j'aime t'avoir en moi, j'aime être en toi, je t'aime, je t'aime à la folie... aahhh... c'est bon...
À voir son visage, ça lui plaît effectivement beaucoup. J'accélère la cadence, jusqu'à l'explosion, si forte que je pousse un cri, me vidant en lui.
- Oh, Laurent... waouh...
- Ouais...
Nous reprenons nos esprits, nous embrassant, nous caressant, puis je nettoie le lavabo tandis que Yann prépare la douche. Après une telle entrée en matière, l'après-midi promet d'être chaud...
Très chaud.
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