CHAPITRE CXV
''Ab imo corpe''
''Ab imo corpe''
Burydan, uniquement vêtu de son sous-vêtement, était assis au bord du lit. Il regardait Rhonin se déshabiller lentement. Son petit corps n'était plus couvert qu'un morceau de tissu blanc qui enserrait ses reins. Il allait l'enlever mais Burydan l'arrêta :
- Non, garde le... Viens...
Rhonin sourit et se plaça debout entre les cuisses épaisses de son maître. Burydan prit son esclave par les hanches et se pencha en avant. Il couvrit de gros baisers mouillés le ventre tout doux et tout chaud, avant de le lécher avec application, en insistant sur le mignon petit nombril de son minet qui se mit à gémir doucement.
Burydan releva la tête et entreprit de grignoter les petits tétons roses de son blondinet. Il les léchait et les mordillait en passant de l'un à l'autre. Les gémissements de Rhonin s'intensifièrent et il ne pu retenir un petit hoquet quand il sentit les mains de son maître passer sous l'étoffe et saisir fermement ses petites fesses. Burydan se mit à les malaxer et à les pétrir de ses doigts cupides.
Une fois la poitrine de Rhonin brillante de salive, Burydan dénuda entièrement son joli petit cul, mais sans lui retirer le sous-vêtement qui emprisonnait encore sa queue dure et raide. Il appuya sur ses épaules pour que Rhonin s'agenouille devant lui. Il posa ses mains sur ses joues et embrassa son esclave à pleine bouche. Un baiser humide et sensuel. Il quitta les lèvres de son blondinet avec trois coups de langue vorace et lui dit d'une voix rauque :
- J'ai envie de toi, bébé... tu n'imagines même pas à quel point...
- Moi aussi j'ai envie de vous, maître... j'ai tellement envie...
- Abaisse mon sous vêtement... Tu vois à quel point ma bite est dure... oui, c'est ça, caresse la tout doucement... du bout des doigts... tu la sens palpiter... tu sens à quel point elle est chaude... prends la dans ton poing... oui, sert la bien... oh oui, comme ça... branle moi bébé... doucement, prends ton temps... oui, comme ça, c'est parfait... embrasse mon gland... humm... lubrifie ma queue... oui... bon garçon... allez, esclave, suce la grosse bite de ton maître...
Rhonin avala le gland joufflu de Burydan. Celui-ci poussa un profond gémissement rauque et s'allongea sur le lit en laissant son minet s'approprier sa grosse queue.
Rhonin s’appliqua. Il se goinfra littéralement de la belle colonne de chair de son maître. Il aimait la sentir palpiter dans sa bouche, et les gémissements de Burydan l'excitaient indiciblement. Il sentait ses doigts fourrager dans ses mèches blondes. D'une main l'esclave caressait les couilles bien pleines de son bel étalon pendant que, de l'autre, il caressait les abdos noueux, sa main s'aventurant quant et quant vers les sublimes pectoraux qu'il pelotait comme un dingue, adorant sentir ces muscles fermes et compacts sous ses doigts.
Burydan appuya doucement sur la tête de son minet. Rhonin comprit qu'il devait le prendre plus souvent en gorge profonde. Il s'empiffrait de la grosse bite, la gardait aussi longtemps et aussi profondément que possible, avant de remonter lentement en serrant bien les lèvres. Il reprenait une goulée d'air et repartait à l'assaut de cette belle queue. A chaque fois que Burydan sentait son gland comprimer dans la gorge de son minet, il poussait un long feulement. C'était tellement bon. Il passait de la langue douce, au palais rugueux puis à la gorge gluante. Et Burydan se laissa aller à ce plaisir de dingue.
Sentant qu'il n'allait pas tarder à jouir si Rhonin continuait à le sucer avec autant de dextérité, il repoussa la tête de son blondinet. Il releva son buste, regarda sa bite toute poisseuse de salive et lécha les lèvres écumeuses de son minet, puis l'embrassa à pleine bouche.
Il reprit les fesses de Rhonin fit glisser un de ses mains devant. Il saisit la belle bite toute dure de son esclave et commença à le masturber lentement. Rhonin se mit à gémir, gémissements étouffés par la langue de son maître emmêlée à la sienne.
Burydan le prit par les aisselles, le fit se remettre debout et lui retira son sous-vêtement, l'envoyant valser dans un coin. Il se leva à son tour, souleva son minet comme s'il ne pesait rien et le jeta sur le lit. Rhonin rit et écarta immédiatement les cuisses. Burydan sourit et se cala sur lui, collant sa queue contre celle de son minet. Il commencèrent à se frotter l'un contre l'autre en s'embrassant comme des malades.
Le corps en sueur, Burydan se mit à quatre pattes au dessus de Rhonin, tête bêche. Le petit blond pensa que son maître voulait un 69 en guise de préliminaires, mais comprit vite qu'il avait une autre idée quand il le vit mettre un oreiller plié en deux sous ses reins. Burydan releva les jambes de son esclave et se jeta sur son œillet. Rhonin gémit et se prépara à sucer son maître mais vit que celui-ci avait envie d'autre chose. Il s'était avancé et présentait son cul à Rhonin. Celui-ci resta interdit.
- Lèche moi bébé...
Rhonin n'avait qu'une fois prodigué cette caresse à son maître. Il caressa les fesses fermes de son bel étalon et plongea se langue entre elles, lapant le petit cratère onctueux d'une langue baveuse. Et Burydan gémit.
Ils se léchèrent mutuellement un long moment. Rhonin se laissa guider par Burydan. Quand celui-ci enfonça sa langue dans l’intimité de Rhonin, Rhonin enfonça sa langue dans l’intimité de Burydan, ils se doigtèrent mutuellement, passant de un à deux, puis trois doigts. Ça faisait bizarre à Rhonin de s'occuper de cette partie de l'anatomie de son maître. Il pensait que c'était à lui, le passif, de se faire ainsi triturer le cul, mais les gémissements que poussaient son maître lui indiquèrent que lui aussi adorait ça.
Burydan mourait d'envie de demander à Rhonin de le prendre. Mais il se brida. Il sentait bien que ça l'avait un peu surpris quand il lui avait dit de lui bouffer le cul, alors s'il lui demandait de lui enfiler sa bite... on verrait ça plus tard... pour l'instant Burydan avait une autre idée...
Il se dégagea de Rhonin et se mit à son côté. Ils étaient tous les deux hors d'haleine et Burydan commença à caresser son blondinet du bout des doigts, adorant voir ses petits muscles tressaillir sous son passage. Il prit la jolie bite de son esclave, le branla lentement en le fixant dans ses beaux yeux bleus.
Il se pencha et avala le gland rose et joufflu et commença à sucer son minet avec lenteur. Rhonin gémit doucement en laissant aller ses doigts fins dans les mèches brunes de son maître. Il sentit un doigt appuyer sur son petit trou. Il ne pu retenir un long gémissement quand il sentit l'index se frayer un chemin en lui. Il le sentit aller et venir, et ces allers-retours couplés à la bouche de son beau mâle étaient incroyables.
Puis il se figea. Il sentit le doigt de Burydan... fouiller son cul. Un peu perplexe, Rhonin attendit et soudain :
- Oh !
Le doigt de son maître venait de toucher une partie tellement sensible de son fourreau que le plaisir qu'il avait ressenti l'avait prit au dépourvu. Burydan sourit intérieurement. Il commença à décrire des mouvements circulaires autour de la protubérance du muscle, puis la caressa quant et quant.
Rhonin n'en revenait pas. Son maître lui faisait découvrir quelques chose de nouveau. Un nouveau plaisir inouï. Les sensations étaient démentielles. Il ressentait tellement de plaisir... totalement différent du plaisir qu'il prenait en se masturbant, totalement différent du plaisir que son maître lui donnait avec sa grosse queue... là, avec juste un doigt fouineur, Burydan lui donnait un plaisir incommensurable. Les vagues de sensations divines devenaient de plus en plus fortes. Il gémit, gémit plus fort, se mit à pousser des petits cris de bête blessée, ses yeux se fermèrent et un tsunami de plaisir remonta du plus profond de ses entrailles, renversa tout sur son passage, et noya sa conscience. Son cri de plaisir mourut au fond de sa gorge et son cerveau explosa. Il n’était plus qu'une masse de chair palpitante et gémissante. Le plaisir avait été tellement violent qu'il avait eu l'impression de tomber dans les appurus et, le plus inconcevable, c'est qu'il n'avait toujours pas éjaculé. Il avait pris un pied indicible mais n'avait pas jouit. Du moins pas encore...
Burydan avait bien vu Rhonin prendre son pied. Il retira son doigt et suça son minet comme un affamé. Il voulait sentir son sperme chaud gicler au fond de sa gorge. Le corps de Rhonin se tendit et il jouit dans la bouche de son maître, en gémissant. Burydan le suça aussi longtemps que possible, nettoya consciencieusement sa queue et crapahuta jusqu'à lui. Il se mit à se branler frénétiquement.
- Ouvre la bouche, bébé, ouvre la bouche...
Rhonin ouvrit la bouche et sortit sa langue, et quand Burydan sentit qu'il allait jouir, il enfouit sa queue dans la bouche chaude de son esclave, noyant sa gorge de sperme chaud.
Burydan s'affala à côté de son esclave, le souffle court et le cœur battant. Il regarda Rhonin qui souriait béatement. Il se pencha vers lui et déposa un baiser tout tendre sur ses lèvres. Deux yeux bleus les fixèrent.
- Je vous aime, maître...
- Et je t'aime, bébé...
Ils s'embrassèrent passionnément, s'enlacèrent et s'endormirent.