08-03-2021, 07:09 PM
Deuxième bisou,
C’est le début de l’été, il fait chaud et lourd…
L'aire de repos, annoncée à 800m, serait vraiment la bienvenue. J'avais une grosse envie de pisser et malgré le peu de kilomètres qui me séparent de l'arrivée, je n'aurais pas pu tenir jusqu'au bout. Sans prendre le temps d’enfiler mon tee-shirt, je me précipite aux urinoirs afin de soulager ma vessie, sort mon attirail au complet de mon treillis et arrose la faïence, ce qui dure bien trois minutes tant j'en avais accumulé.
Pendant ma miction, je remarque enfin le gars qui se vide à mon côté. Son tuyau rose – bel instrument circoncis – crache un jet dru et bien doré, Lorsque finit sa dernière goutte, semblant soulagé, celui-ci s’étire, la tête en arrière, gonflant son torse musclé dans son débardeur noir, il secoue longuement son chibre pour bien l’égoutter.
je dois bien avouer qu'il commence à m'exciter et je suis entre secousses pour la dernière gougoutte et début de masturbation sur la demi molle qui s’est installée… je réalise qu’il a, à présent, les yeux sur ma ‘lancequineuse’ et les joyeuses qui l’accompagnent. Puis il me fixe un instant dans les yeux, avec un petit sourire ironique, d'autant plus qu’il vient de remarquer que je porte une alliance. Je suis hétéro curieux – bi caché, en réalité – et exhib de toutes façons. J’ai un beau manche, long, épais… et j’aime qu’on l’admire ! Et puis… un cul à bourrer, reste un cul à bourrer, pour le mâle alpha que je suis.
Un bruit de conversation annonce l’arrivée de quidams.
On reboutonne nos braguette, après avoir réussi à rangés les charcuteries, puis on se dirige vers les lavabos se laver les mains.
Un grand sourire aux lèvres, le regard gourmand, et presque sans baisser la voix :
— Si tu veux te soulager les burnes, suis-moi soldat. Je connais un endroit discret, pas loin !
Je crois rêver… je n'ai jamais eu de contact aussi direct dans un lieu public. Enfin, j’ai beau vouloir la discrétion – surtout aussi près de la caserne – excité comme je le suis, je ne vais pas tergiverser et je m'empresse de le suivre. Le temps du parcours, j'apprends qu’il se prénomme Bobby, qu'il a 33 ans, est routier et qu'il m’emmène sur le site industriel qui jouxte l’endroit. – une aire de stockage, où il vient de livrer.
Le portillon par lequel on passe, nous mène sur l’arrière d’un parking, vide à cette heure, tout comme les bâtiment qui l’entourent. Seul son camion trône à une vingtaine de mètres.
— Il n’y a plus personne, sauf le gardien dans sa guérite à l’entrée principale, tout au bout.
Alors qu’il s’apprête à lever le volet, il me dit encore:
— On dit que les militaires embrassent bien.
— À toi de voir...
Et je m'accroche à son buste, pour lui rouler une méga pelle. Ma langue s'enfonce au plus profond de sa bouche et s'entortille autour de sa langue.
On grimpe dans le box qu’il referme aussitôt rentré.
Il me demande alors de me foutre à poil. Lui se déshabille aussi. Beau spectacle : ses épaules sont larges et son torse puissant est couvert d'une épaisse toison. Une fine ligne de poils court sur son ventre pour rejoindre le pubis et sa forêt broussailleuse. Au garde à vous, sa bite est de belle taille, même si je le devance d'un gland.
De bisouilles en papouilles, on monte en pression… Puis les mises en bouches, passent en 69 vorace et baveux…
Je le fait mettre à genoux sur des cartons. Il sent que c'est au tour de son cul de faire ses preuves ! Il le tend bien vers le plafond pour ouvrir ses fesses au maximum.
Je crache dans ma main puis lui badigeonne la raie, d'un doigt humide je frotte sa rondelle avant d'y introduire rapidement mon index. Presque aussitôt, n deuxième doigt le suit puis un troisième. Il commence à gémir et à se tortiller.
Je retire mes doigts de son cul mais de suite j'y colle mon gland que je fais pénétrer lentement, d'une seule poussée douce. Aux trois-quarts, je le retire et le rentre plusieurs fois de suite. Ce grand gaillard ronronne de plaisir. Puis, je me plante si profondément qu’une feuille à cigarette ne passerait pas entre nous et je commence à le limer en douceur.
Durant nos cabrioles, je le fais mettre dans différentes positions, tout en restant en lui. Nous finissons, lui dessous couché sur le dos, moi face à lui, l'embrassant profondément pendant que je laboure son cul de plus en plus vite.
Je sens le plaisir monter en nous, approchant du point final, nos queues sont tendues au maximum... sans même avoir besoin de le branler, il jouit, tremblant et grognant, en déversant tout son foutre sur sa toison. Au même moment, j'éclate en lui, ne pouvant réprimer un rugissement de plaisir.
On est vite refringués. Les routiers sont sympa mais n’ont pas beaucoup de temps et voyage beaucoup, c’est bien connu. On se sépare en se disant « à un de ces jour, peut être ! »
Je rejoins ma willis et rentre à la base retrouver ma femme et mes deux gamins…
Déplorant que la société trouve, encore et toujours, normal que l’on m’enseigne comment tuer un homme, mais me refuse le droit de l’aimer !
Là aussi, c’est « un de ces jour, peut être ! »
C’est le début de l’été, il fait chaud et lourd…
L'aire de repos, annoncée à 800m, serait vraiment la bienvenue. J'avais une grosse envie de pisser et malgré le peu de kilomètres qui me séparent de l'arrivée, je n'aurais pas pu tenir jusqu'au bout. Sans prendre le temps d’enfiler mon tee-shirt, je me précipite aux urinoirs afin de soulager ma vessie, sort mon attirail au complet de mon treillis et arrose la faïence, ce qui dure bien trois minutes tant j'en avais accumulé.
Pendant ma miction, je remarque enfin le gars qui se vide à mon côté. Son tuyau rose – bel instrument circoncis – crache un jet dru et bien doré, Lorsque finit sa dernière goutte, semblant soulagé, celui-ci s’étire, la tête en arrière, gonflant son torse musclé dans son débardeur noir, il secoue longuement son chibre pour bien l’égoutter.
je dois bien avouer qu'il commence à m'exciter et je suis entre secousses pour la dernière gougoutte et début de masturbation sur la demi molle qui s’est installée… je réalise qu’il a, à présent, les yeux sur ma ‘lancequineuse’ et les joyeuses qui l’accompagnent. Puis il me fixe un instant dans les yeux, avec un petit sourire ironique, d'autant plus qu’il vient de remarquer que je porte une alliance. Je suis hétéro curieux – bi caché, en réalité – et exhib de toutes façons. J’ai un beau manche, long, épais… et j’aime qu’on l’admire ! Et puis… un cul à bourrer, reste un cul à bourrer, pour le mâle alpha que je suis.
Un bruit de conversation annonce l’arrivée de quidams.
On reboutonne nos braguette, après avoir réussi à rangés les charcuteries, puis on se dirige vers les lavabos se laver les mains.
Un grand sourire aux lèvres, le regard gourmand, et presque sans baisser la voix :
— Si tu veux te soulager les burnes, suis-moi soldat. Je connais un endroit discret, pas loin !
Je crois rêver… je n'ai jamais eu de contact aussi direct dans un lieu public. Enfin, j’ai beau vouloir la discrétion – surtout aussi près de la caserne – excité comme je le suis, je ne vais pas tergiverser et je m'empresse de le suivre. Le temps du parcours, j'apprends qu’il se prénomme Bobby, qu'il a 33 ans, est routier et qu'il m’emmène sur le site industriel qui jouxte l’endroit. – une aire de stockage, où il vient de livrer.
Le portillon par lequel on passe, nous mène sur l’arrière d’un parking, vide à cette heure, tout comme les bâtiment qui l’entourent. Seul son camion trône à une vingtaine de mètres.
— Il n’y a plus personne, sauf le gardien dans sa guérite à l’entrée principale, tout au bout.
Alors qu’il s’apprête à lever le volet, il me dit encore:
— On dit que les militaires embrassent bien.
— À toi de voir...
Et je m'accroche à son buste, pour lui rouler une méga pelle. Ma langue s'enfonce au plus profond de sa bouche et s'entortille autour de sa langue.
On grimpe dans le box qu’il referme aussitôt rentré.
Il me demande alors de me foutre à poil. Lui se déshabille aussi. Beau spectacle : ses épaules sont larges et son torse puissant est couvert d'une épaisse toison. Une fine ligne de poils court sur son ventre pour rejoindre le pubis et sa forêt broussailleuse. Au garde à vous, sa bite est de belle taille, même si je le devance d'un gland.
De bisouilles en papouilles, on monte en pression… Puis les mises en bouches, passent en 69 vorace et baveux…
Je le fait mettre à genoux sur des cartons. Il sent que c'est au tour de son cul de faire ses preuves ! Il le tend bien vers le plafond pour ouvrir ses fesses au maximum.
Je crache dans ma main puis lui badigeonne la raie, d'un doigt humide je frotte sa rondelle avant d'y introduire rapidement mon index. Presque aussitôt, n deuxième doigt le suit puis un troisième. Il commence à gémir et à se tortiller.
Je retire mes doigts de son cul mais de suite j'y colle mon gland que je fais pénétrer lentement, d'une seule poussée douce. Aux trois-quarts, je le retire et le rentre plusieurs fois de suite. Ce grand gaillard ronronne de plaisir. Puis, je me plante si profondément qu’une feuille à cigarette ne passerait pas entre nous et je commence à le limer en douceur.
Durant nos cabrioles, je le fais mettre dans différentes positions, tout en restant en lui. Nous finissons, lui dessous couché sur le dos, moi face à lui, l'embrassant profondément pendant que je laboure son cul de plus en plus vite.
Je sens le plaisir monter en nous, approchant du point final, nos queues sont tendues au maximum... sans même avoir besoin de le branler, il jouit, tremblant et grognant, en déversant tout son foutre sur sa toison. Au même moment, j'éclate en lui, ne pouvant réprimer un rugissement de plaisir.
On est vite refringués. Les routiers sont sympa mais n’ont pas beaucoup de temps et voyage beaucoup, c’est bien connu. On se sépare en se disant « à un de ces jour, peut être ! »
Je rejoins ma willis et rentre à la base retrouver ma femme et mes deux gamins…
Déplorant que la société trouve, encore et toujours, normal que l’on m’enseigne comment tuer un homme, mais me refuse le droit de l’aimer !
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Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
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-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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