25-02-2021, 08:04 PM
Oh, nostalgie, quand tu nous tiens, tu ne sauras jamais jusqu'où iront les suites...J'aime beaucoup ce texte relatant des passages de ma folle jeunesse d'adulte. Mai 68 me trouva en plein travail en une école avec 6 gamins à m'occuper. Ce petit nombre augurait, pour les années futures que je ne connaîtrai jamais en ce lieu, une augmentation à bientôt 15 élèves en ce tout neuf établissement. Pour les jeunes de "la Communale", c'étaient encore les 30 heures de classe jusqu'au samedi 16 H 30 et, comme indiqué, le jeudi libre entre autre chose pour le caté. C'était encore, chez nous, le "beau temps" du Certificat d'Études mais plus pour longtemps. Je me vis même, à la reprise début juin, ouvrir la grille séparative des cours de récrés entre celle des gars et celle des filles. Il y eut de rares incursions très rapides de quelques hardis gaillards qui, tels les oiseaux lâchés dans la maison cage ouverte, revenaient bien vite dans l'enclos protecteur.
Pour revenir à l'histoire ci-dessus, on pourrait la rapprocher de la chanson de G. Brassens, "le parapluie" mais...sans cet instrument obligeant les deux gars à exercer leurs petits talents de manière assez rapide. On sent vraiment que l'envie les tenaillait ferme. La simple vue de la "petite bébête qui monte, qui monte" a donc déclenché toute une suite peut-être déjà bien fantasmée auparavant dans leurs rêves d'endormissement. Et là, après le repas «margnatisé par le velours de l'estomac"(Je mélange exprès la pub "kiravi" au flacon en plastique "villageois"), allons-y...gaiment!
N.B : je crains fort que M. L'auteur, que je salue ici bien bas, ne soit un peu piégé par des corrections postérieures à sa première publication...
Pour revenir à l'histoire ci-dessus, on pourrait la rapprocher de la chanson de G. Brassens, "le parapluie" mais...sans cet instrument obligeant les deux gars à exercer leurs petits talents de manière assez rapide. On sent vraiment que l'envie les tenaillait ferme. La simple vue de la "petite bébête qui monte, qui monte" a donc déclenché toute une suite peut-être déjà bien fantasmée auparavant dans leurs rêves d'endormissement. Et là, après le repas «margnatisé par le velours de l'estomac"(Je mélange exprès la pub "kiravi" au flacon en plastique "villageois"), allons-y...gaiment!
N.B : je crains fort que M. L'auteur, que je salue ici bien bas, ne soit un peu piégé par des corrections postérieures à sa première publication...