15-02-2021, 08:55 AM
(Modification du message : 18-10-2022, 04:38 PM par fablelionsilencieux.)
6/ Participation défi "St Valentin" :
Rhaaaaa ! Putain de bordel de merde, ce blaireau m’a largué par texto ! Je le crois pas !
Il a choisi aujourd'hui pour me larguer. J'ai la haine. Ça faisait plus d'un an que nous étions ensemble et il a attendu ce jour, la veille du week-end de la St-Valentin pour partir avec un autre et me larguer. Et sans gants (ou alors un gant de crin), ce fils de pute est passé dans la journée pendant que j'étais au boulot et a fait ses bagages. Il a emporté toutes ses affaires, laissant ses clés sur la table du salon.
Et puis il a fait preuve de courage l'espèce de… quand j’ai voulu l’avoir au téléphone, il m'a juste laissé un texto de trois lignes, style télégramme et a coupé son téléphone… C'est comme ça qu'il rompt le… le… le… Je ne trouve pas de qualificatif suffisamment fort, tellement j'ai la rage ! Là, j'ai des envies de meurtre. Je ne plongerais pas dans la déprime, ça non, il ne faut pas exagérer, mais je suis vexé et un peu – horriblement – triste aussi…
« Oh et puis merde, qu'il aille se faire foutre par un autre… » C'est décidé, ce soir, je vais m'éclater, même seul ! vider les deux bouteilles de champagne que j'ai ramenées en rentrant et fumer un joint ou deux, ça fera l'affaire et je ferai un gros dodo par-dessus. Puis, demain, je passe à autre chose... du moins, j'essaierai !
…
Torse nu, en pantalon d'intérieur et avachi dans mon divan, je biberonne mes bulles et taffe d’alternance, en regardant une connerie à la télé censée être comique… Bof, le cœur n’y est pas !
Je somnole devant l’écran avec le sentiment que, en effet, ce n’est pas gagné d’oublier mon lâcheur. Et puis je ne pense plus rien, là, dans la lucarne, ce doit être un autre sketch qui commence, je vois cupidon assis sur un nuage – pas le poupon joufflu, hein – bien qu’il soit attifé de la manière légère de l’angelot avec l’arc et des ailes. Ici c’est un superbe éphèbe, fort joliment gaulé, de 20 ans, roux aux yeux verts. Craquant à souhait… j’en ai la bébête qui frétille.
Et soudain, j’hallucine !
Il sort de la téloche pour venir se planter à 50 cm de moi. Wow, la beuh a un drôle d’effet ce soir. Mais c’est plutôt pas mal, la vision en contre-plongée me permet de certifier que ce n’est pas un eunuque… que du contraire !
Sous sa parure textile, le service trois-pièces qu’il trimballe, n’est franchement pas prévu pour une fillette.
Et le mien – qui n’a pas à rougir de la comparaison – commence à prendre ses aises, déformant mon froc. Et ça se voit distinctement.
Je ne bouge pas, patientant de savoir ce que mon cerveau embrumé va commander à l’apparition ailée.
Il dépose arme et munitions sur la table basse. Puis d’un mouvement gracieux, fait sauter l’agrafe tenant l’étoffe qui l’habille et, libérée d’attache, celle-ci chute sur le tapis, révélant sa bandaison en cours. Enfin, il s’accroupit et s’attaque à mon pantalon qui glisse au sol en révélant la dureté de mon érection. Il se relève et, alors qu'il s'avance et me sourit, ma main part se saisir de sa matraque au zénith. Sans lâcher ma proie, je bascule complètement sur le dos et le tire ainsi, l'allongeant sur moi.
Je savoure cette sensation incroyable de sentir sa chaleur, son corps nu contre le mien, son sexe qui palpite sur le mien, de sentir les battements de son cœur, son souffle dans mon cou, les baisers qu’il y dépose alors qu'on s’enlace. Je caresse son dos du bout de mes ongles, remontant le long de sa colonne vertébrale jusqu’à l'endroit où ses ailes sortent de son épiderme, ce qui lui provoque un long frisson. Je vois le duvet d'une plume se soulever dans l'air et virevolter jusqu'à mes narines, ce qui me fait éternuer et sourire. Décidément : champ’ et joint me donnent de l'imagination !
Il s’empare de mes lèvres et sa langue pénètre ma bouche. On se roule une pelle magistrale, passionnée, suave, profonde… sauvage !
Il me coince les mains à hauteur de mes hanches, m’obligeant à la passivité, puis, entamant une reptation lente, il glisse sur moi ; suçote mon lobe ; mordille mon cou ; agasse un tétin puis l’autre ; farfouille de la langue dans mon nombril ; salive mes poils pubiens ; quelques léchouilles supplémentaires et il gobe mon sceptre.
Il s’active à me pomper, sa bouche est un écrin de velours, me donnant des sensations incroyables qui se traduisent par des frissons dans tout mon être. Jamais aucun mec – certains pourtant très doués pour sucer (notamment Mister Ex) – n’est parvenu à me procurer un tel plaisir. Les lèvres, la bouche, la langue de ce diable d'ange sont des instruments d'origine divine, dansant autour de mon gland, léchant ma tige, mes couilles. Entretemps Cupidon m’a menotté d’une main de fer les poignets sur l’estomac, libérant l’autre qui peut caresser ma queue en la branlant, soupèse mes bourses gonflées de jus, s’insère entre mes cuisses pour aller palper mon cul, titiller ma corole et, aidé de salive, s’immiscer en son cœur et y jouer l’explorateur de façon experte.
Au bout d’un – très looooong – moment où il me mène plusieurs fois au bord de l'explosion sans me laisser m’épancher, il sort ma bite de sa bouche, palpitante et dégoulinante de salive, m'attrape par les genoux et relève mes jambes sur mon torse. Il se met à lécher mon périnée puis sa langue slalome dans mon sillon pour aller bouffer mon oignon déjà tant sollicité. Je suis en transe, j’ai la chair de poule, j’halète comme un chiot, bande tel un âne, me tortille comme un vers et transpire comme un bœuf… je suis un bestiaire à moi seul !
Finalement, il se redresse sur les genoux, crache dans sa main en me regardant dans les yeux, tartine son pilon d'une bonne couche de salive et revient s'allonger sur moi. Il se positionne pour que sa bite soit pile à l'entrée de ma grotte et la pénètre d'un lent mouvement régulier jusqu’à la garde. Affolant mon point P au passage !
Mon chibre, tendu comme un arc, me fait mal. Il n’en peut plus. Il veut cracher. J’arrive à l’empoigner pour me…
Vif, mon tourmenteur immobilise à nouveau mes bras, cesse tous mouvements du bassin et vient m’embrasser tendrement. La pression retombe.
C'est à ce moment qu'il commence à me limer le cul, il y va en douceur, les mouvements sont lents et amples, amples et fermes, fermes et puissants. Le tempo change, il accélère, changeant d’angle, ralentissant, il garde la cadence un moment, puis s’emballe, balançant des coups de bite digne d'un bélier d'assaut défonçant la porte d'un château-fort, sortant son chibre et le replongeant d’un coup, me labourant puis s’arrêtant, il reste quelques instants immobiles, frottant son doux pubis sur mes fesses musclées, puis relançant sa machine à ravager les tripes... Je suis en plein délire, j'en râle, j'en geins, j'en bave même, je suis dans l’expression du pur plaisir animal… j’entends dans un brouillard ses boules claquer en rythme sur mon cul ferme.
Je me soumets avec bonheur à l’emprise sexuelle de cet homme-oiseau dont le sexe lourd perfore mon anneau et maltraite ma prostate.
Ma queue vit sa vie, elle veut jouir, elle veut vider ce trop-plein qui s'accumule, elle s'impatiente à force de frôler la délivrance sans y parvenir, elle va... Ooooh !
Un éclair de feu jaillit de mon bas-ventre et incendie tout mon être. Je crois que j’ai un hurlement de plaisir digne d'un dragon en rut.
Et dans une suite de spasmes, j’arrose mon torse, le premier tir me zèbre jusqu’au visage, je me vide à grands traits alors que mon pourfendeur gicle au fond de mon cul en longs jets crémeux qui m'inondent le conduit.
J’exulte dans l’extase.
Puis mon corps s'agite d'un dernier soubresaut et retombe comme un sac de patates, inerte… J’agonise les yeux fermés.
« Oh putain, quel pied !!! »
Je suis hors d'haleine, épuisé, vidé et peine à retrouver mes esprits, toujours dans les nuages !
Et puis… Zzzz !
Et puis ce putain de réveil qui me ramène à la dure réalité.
J’entrouvre un œil et cherche à tâtons le phone braillard, afin de lui clouer le bec. Ceci fait, je me remémore le trip de folie que j’ai eu cette nuit… Je bande d’airain et souris comme un benêt, en m’étirant tel un gros matou. « Quel tordu je peux être, franchement, avec une telle inventivité, je devrais écrire des histoires ! » En attendant j’ai bien dormi et mon ex n’est plus un poids sur ma poitrine !
C’est à ce moment que je réalise :
avoir dormi à poil sur mon divan – ça, c’est pas une première.
Que je suis collant de sperme – ça non plus, mais j’ai fait fort cette fois, j’en ai partout !
Que mon derche est en chou-fleur et anormalement sensible – alors là, c’est beaucoup moins courant, surtout que je suis seul et que mes sex-toys sont dans la chambre…
« Bordel, qu’est-ce que j’ai foutu cette nuit ??? »
Bon, une douche et un café me permettrons surement d’y voir plus clair.
Je me lève et me dirige vers la cuisine d’un pas incertain. Une pensée traverse ma brume « Le prochain sera doué de parole et c’est moi qui le ferai crier ! » Je ricane, me traitant de pervers aux rêves totalement farfelus.
J’avance, sans m’apercevoir qu’un duvet de plume à la blancheur immaculée s’envole dans mon sillage…
Rhaaaaa ! Putain de bordel de merde, ce blaireau m’a largué par texto ! Je le crois pas !
Il a choisi aujourd'hui pour me larguer. J'ai la haine. Ça faisait plus d'un an que nous étions ensemble et il a attendu ce jour, la veille du week-end de la St-Valentin pour partir avec un autre et me larguer. Et sans gants (ou alors un gant de crin), ce fils de pute est passé dans la journée pendant que j'étais au boulot et a fait ses bagages. Il a emporté toutes ses affaires, laissant ses clés sur la table du salon.
Et puis il a fait preuve de courage l'espèce de… quand j’ai voulu l’avoir au téléphone, il m'a juste laissé un texto de trois lignes, style télégramme et a coupé son téléphone… C'est comme ça qu'il rompt le… le… le… Je ne trouve pas de qualificatif suffisamment fort, tellement j'ai la rage ! Là, j'ai des envies de meurtre. Je ne plongerais pas dans la déprime, ça non, il ne faut pas exagérer, mais je suis vexé et un peu – horriblement – triste aussi…
« Oh et puis merde, qu'il aille se faire foutre par un autre… » C'est décidé, ce soir, je vais m'éclater, même seul ! vider les deux bouteilles de champagne que j'ai ramenées en rentrant et fumer un joint ou deux, ça fera l'affaire et je ferai un gros dodo par-dessus. Puis, demain, je passe à autre chose... du moins, j'essaierai !
…
Torse nu, en pantalon d'intérieur et avachi dans mon divan, je biberonne mes bulles et taffe d’alternance, en regardant une connerie à la télé censée être comique… Bof, le cœur n’y est pas !
Je somnole devant l’écran avec le sentiment que, en effet, ce n’est pas gagné d’oublier mon lâcheur. Et puis je ne pense plus rien, là, dans la lucarne, ce doit être un autre sketch qui commence, je vois cupidon assis sur un nuage – pas le poupon joufflu, hein – bien qu’il soit attifé de la manière légère de l’angelot avec l’arc et des ailes. Ici c’est un superbe éphèbe, fort joliment gaulé, de 20 ans, roux aux yeux verts. Craquant à souhait… j’en ai la bébête qui frétille.
Et soudain, j’hallucine !
Il sort de la téloche pour venir se planter à 50 cm de moi. Wow, la beuh a un drôle d’effet ce soir. Mais c’est plutôt pas mal, la vision en contre-plongée me permet de certifier que ce n’est pas un eunuque… que du contraire !
Sous sa parure textile, le service trois-pièces qu’il trimballe, n’est franchement pas prévu pour une fillette.
Et le mien – qui n’a pas à rougir de la comparaison – commence à prendre ses aises, déformant mon froc. Et ça se voit distinctement.
Je ne bouge pas, patientant de savoir ce que mon cerveau embrumé va commander à l’apparition ailée.
Il dépose arme et munitions sur la table basse. Puis d’un mouvement gracieux, fait sauter l’agrafe tenant l’étoffe qui l’habille et, libérée d’attache, celle-ci chute sur le tapis, révélant sa bandaison en cours. Enfin, il s’accroupit et s’attaque à mon pantalon qui glisse au sol en révélant la dureté de mon érection. Il se relève et, alors qu'il s'avance et me sourit, ma main part se saisir de sa matraque au zénith. Sans lâcher ma proie, je bascule complètement sur le dos et le tire ainsi, l'allongeant sur moi.
Je savoure cette sensation incroyable de sentir sa chaleur, son corps nu contre le mien, son sexe qui palpite sur le mien, de sentir les battements de son cœur, son souffle dans mon cou, les baisers qu’il y dépose alors qu'on s’enlace. Je caresse son dos du bout de mes ongles, remontant le long de sa colonne vertébrale jusqu’à l'endroit où ses ailes sortent de son épiderme, ce qui lui provoque un long frisson. Je vois le duvet d'une plume se soulever dans l'air et virevolter jusqu'à mes narines, ce qui me fait éternuer et sourire. Décidément : champ’ et joint me donnent de l'imagination !
Il s’empare de mes lèvres et sa langue pénètre ma bouche. On se roule une pelle magistrale, passionnée, suave, profonde… sauvage !
Il me coince les mains à hauteur de mes hanches, m’obligeant à la passivité, puis, entamant une reptation lente, il glisse sur moi ; suçote mon lobe ; mordille mon cou ; agasse un tétin puis l’autre ; farfouille de la langue dans mon nombril ; salive mes poils pubiens ; quelques léchouilles supplémentaires et il gobe mon sceptre.
Il s’active à me pomper, sa bouche est un écrin de velours, me donnant des sensations incroyables qui se traduisent par des frissons dans tout mon être. Jamais aucun mec – certains pourtant très doués pour sucer (notamment Mister Ex) – n’est parvenu à me procurer un tel plaisir. Les lèvres, la bouche, la langue de ce diable d'ange sont des instruments d'origine divine, dansant autour de mon gland, léchant ma tige, mes couilles. Entretemps Cupidon m’a menotté d’une main de fer les poignets sur l’estomac, libérant l’autre qui peut caresser ma queue en la branlant, soupèse mes bourses gonflées de jus, s’insère entre mes cuisses pour aller palper mon cul, titiller ma corole et, aidé de salive, s’immiscer en son cœur et y jouer l’explorateur de façon experte.
Au bout d’un – très looooong – moment où il me mène plusieurs fois au bord de l'explosion sans me laisser m’épancher, il sort ma bite de sa bouche, palpitante et dégoulinante de salive, m'attrape par les genoux et relève mes jambes sur mon torse. Il se met à lécher mon périnée puis sa langue slalome dans mon sillon pour aller bouffer mon oignon déjà tant sollicité. Je suis en transe, j’ai la chair de poule, j’halète comme un chiot, bande tel un âne, me tortille comme un vers et transpire comme un bœuf… je suis un bestiaire à moi seul !
Finalement, il se redresse sur les genoux, crache dans sa main en me regardant dans les yeux, tartine son pilon d'une bonne couche de salive et revient s'allonger sur moi. Il se positionne pour que sa bite soit pile à l'entrée de ma grotte et la pénètre d'un lent mouvement régulier jusqu’à la garde. Affolant mon point P au passage !
Mon chibre, tendu comme un arc, me fait mal. Il n’en peut plus. Il veut cracher. J’arrive à l’empoigner pour me…
Vif, mon tourmenteur immobilise à nouveau mes bras, cesse tous mouvements du bassin et vient m’embrasser tendrement. La pression retombe.
C'est à ce moment qu'il commence à me limer le cul, il y va en douceur, les mouvements sont lents et amples, amples et fermes, fermes et puissants. Le tempo change, il accélère, changeant d’angle, ralentissant, il garde la cadence un moment, puis s’emballe, balançant des coups de bite digne d'un bélier d'assaut défonçant la porte d'un château-fort, sortant son chibre et le replongeant d’un coup, me labourant puis s’arrêtant, il reste quelques instants immobiles, frottant son doux pubis sur mes fesses musclées, puis relançant sa machine à ravager les tripes... Je suis en plein délire, j'en râle, j'en geins, j'en bave même, je suis dans l’expression du pur plaisir animal… j’entends dans un brouillard ses boules claquer en rythme sur mon cul ferme.
Je me soumets avec bonheur à l’emprise sexuelle de cet homme-oiseau dont le sexe lourd perfore mon anneau et maltraite ma prostate.
Ma queue vit sa vie, elle veut jouir, elle veut vider ce trop-plein qui s'accumule, elle s'impatiente à force de frôler la délivrance sans y parvenir, elle va... Ooooh !
Un éclair de feu jaillit de mon bas-ventre et incendie tout mon être. Je crois que j’ai un hurlement de plaisir digne d'un dragon en rut.
Et dans une suite de spasmes, j’arrose mon torse, le premier tir me zèbre jusqu’au visage, je me vide à grands traits alors que mon pourfendeur gicle au fond de mon cul en longs jets crémeux qui m'inondent le conduit.
J’exulte dans l’extase.
Puis mon corps s'agite d'un dernier soubresaut et retombe comme un sac de patates, inerte… J’agonise les yeux fermés.
« Oh putain, quel pied !!! »
Je suis hors d'haleine, épuisé, vidé et peine à retrouver mes esprits, toujours dans les nuages !
Et puis… Zzzz !
Et puis ce putain de réveil qui me ramène à la dure réalité.
J’entrouvre un œil et cherche à tâtons le phone braillard, afin de lui clouer le bec. Ceci fait, je me remémore le trip de folie que j’ai eu cette nuit… Je bande d’airain et souris comme un benêt, en m’étirant tel un gros matou. « Quel tordu je peux être, franchement, avec une telle inventivité, je devrais écrire des histoires ! » En attendant j’ai bien dormi et mon ex n’est plus un poids sur ma poitrine !
C’est à ce moment que je réalise :
avoir dormi à poil sur mon divan – ça, c’est pas une première.
Que je suis collant de sperme – ça non plus, mais j’ai fait fort cette fois, j’en ai partout !
Que mon derche est en chou-fleur et anormalement sensible – alors là, c’est beaucoup moins courant, surtout que je suis seul et que mes sex-toys sont dans la chambre…
« Bordel, qu’est-ce que j’ai foutu cette nuit ??? »
Bon, une douche et un café me permettrons surement d’y voir plus clair.
Je me lève et me dirige vers la cuisine d’un pas incertain. Une pensée traverse ma brume « Le prochain sera doué de parole et c’est moi qui le ferai crier ! » Je ricane, me traitant de pervers aux rêves totalement farfelus.
J’avance, sans m’apercevoir qu’un duvet de plume à la blancheur immaculée s’envole dans mon sillage…
Sujet collectif :à chacun son histoire !!! (OS-TOUS GENRES-TOUS STYLES) (slygame.fr)
à chacun son histoire bis (mais ici ce sont des anciennes (g@y-tous styles) ) (slygame.fr)
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-La tête dans les étoiles (aquatique)-(fanfiction - gay - humour) (slygame.fr)
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