10-02-2021, 04:24 PM
- Qu’est-ce que tu fais ?
- Claire m’a dit de belles choses à propos de ta bite. Il parait que tu en as une belle. Tu me la montres ?
Tout rouge, le cœur battant, je descends lentement mon caleçon jusqu’à mes pieds. Je libère ainsi mon sexe qui se tient bien dressé.
- Pas mal !
Lily a l’air satisfaite. Elle reprend ses caresses avec son pied puis avec le deuxième également. Dans cette position, elle trouve un moyen de me branler beaucoup plus énergiquement que j’aurais cru. Une douce chaleur s’empare de moi. Sa nuisette est maintenant bien remontée et je peux voir qu’elle porte une culotte.
- Qu’est ce que tu regardes, demande-t-elle en connaissant déjà la réponse.
En me regardant dans les yeux avec un sourire ravageur, elle passe lentement une main sous sa culotte et commence à se doigter doucement… Au même moment, je pousse un petit gémissement de plaisir.
- Ca te plait on dirait ! dit-elle.
- Mmmh… C’est la première fois qu’on me fait ça !
Lily est particulièrement efficace. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps surtout quand je la vois devant moi avec sa respiration qui s’accélère et ses tétons qui commencent à pointer sous la nuisette. Soudain, c’est l’explosion. Je ferme les yeux et je sens mon sexe tressauter tandis que de grosses saccades de sperme partent vers le ciel.
- Et bien… dit Lily avec un air un peu déçu. Tu n’es pas très endurant. Je m’attendais à mieux…
- Pardon… Mais c’était trop bon…
Elle me regarde d’un air un peu dédaigneux. Je suis assis sur le siège, tout rouge. Mon sexe a dégonflé et pend maintenant mollement entre mes jambes. J’ai un peu honte mais en même temps, j’ai bien pris mon pied (si j’ose dire). Lily s’allonge sur son lit. Elle se cale la tête avec un oreiller, remonte le bas de sa nuisette jusqu’à ses hanches puis elle glisse à nouveau une main sous sa culotte et recommence à se doigter. Elle a l’air de se faire du bien, sa respiration est sifflante et elle a rougi un peu. Elle ne prête plus aucune attention à moi. De mon côté, je profite du spectacle et après quelques minutes, mon sexe commence enfin à redurcir. Je me branle un peu pour l’y aider.
Lily en est à sont troisième doigt rentré dans sa chatte. Je quitte le fauteuil et je m’allonge à côté d’elle sur le lit.
- Je vois que tu as repris du poil de la bête, dit-elle.
- Désolé pour toute à l’heure, tu m’as pris par surprise…
-On dirait que je vais enfin avoir droit à une bite de français.
A ces mots, je m’allonge carrément sur elle et je me mets à l’embrasser. Avec sa main, elle attrape mon sexe et le guide vers l’entrée de sa chatte. Une fois qu’elle a bien positionné mon gland, je donne un petit coup de reins pour faire rentrer mon sexe en entier à l’intérieur d’elle. Elle pousse alors un gémissement et passe ses mains dans mon dos pour me serrer contre elle. Je le prends en missionnaire pendant de longues minutes pendant lesquelles je sens son plaisir monter. Ses gémissements s’intensifient, je décide alors de changer de position. Je me retire donc, à son grand désespoir. Nous reprenons un peu notre souffle, côte à côte sur le lit.
- Je retire ce que j’ai dit, tu es très endurant en fait !
- Enlève ta nuisette, ordonné-je.342
- Claire m’a dit de belles choses à propos de ta bite. Il parait que tu en as une belle. Tu me la montres ?
Tout rouge, le cœur battant, je descends lentement mon caleçon jusqu’à mes pieds. Je libère ainsi mon sexe qui se tient bien dressé.
- Pas mal !
Lily a l’air satisfaite. Elle reprend ses caresses avec son pied puis avec le deuxième également. Dans cette position, elle trouve un moyen de me branler beaucoup plus énergiquement que j’aurais cru. Une douce chaleur s’empare de moi. Sa nuisette est maintenant bien remontée et je peux voir qu’elle porte une culotte.
- Qu’est ce que tu regardes, demande-t-elle en connaissant déjà la réponse.
En me regardant dans les yeux avec un sourire ravageur, elle passe lentement une main sous sa culotte et commence à se doigter doucement… Au même moment, je pousse un petit gémissement de plaisir.
- Ca te plait on dirait ! dit-elle.
- Mmmh… C’est la première fois qu’on me fait ça !
Lily est particulièrement efficace. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps surtout quand je la vois devant moi avec sa respiration qui s’accélère et ses tétons qui commencent à pointer sous la nuisette. Soudain, c’est l’explosion. Je ferme les yeux et je sens mon sexe tressauter tandis que de grosses saccades de sperme partent vers le ciel.
- Et bien… dit Lily avec un air un peu déçu. Tu n’es pas très endurant. Je m’attendais à mieux…
- Pardon… Mais c’était trop bon…
Elle me regarde d’un air un peu dédaigneux. Je suis assis sur le siège, tout rouge. Mon sexe a dégonflé et pend maintenant mollement entre mes jambes. J’ai un peu honte mais en même temps, j’ai bien pris mon pied (si j’ose dire). Lily s’allonge sur son lit. Elle se cale la tête avec un oreiller, remonte le bas de sa nuisette jusqu’à ses hanches puis elle glisse à nouveau une main sous sa culotte et recommence à se doigter. Elle a l’air de se faire du bien, sa respiration est sifflante et elle a rougi un peu. Elle ne prête plus aucune attention à moi. De mon côté, je profite du spectacle et après quelques minutes, mon sexe commence enfin à redurcir. Je me branle un peu pour l’y aider.
Lily en est à sont troisième doigt rentré dans sa chatte. Je quitte le fauteuil et je m’allonge à côté d’elle sur le lit.
- Je vois que tu as repris du poil de la bête, dit-elle.
- Désolé pour toute à l’heure, tu m’as pris par surprise…
-On dirait que je vais enfin avoir droit à une bite de français.
A ces mots, je m’allonge carrément sur elle et je me mets à l’embrasser. Avec sa main, elle attrape mon sexe et le guide vers l’entrée de sa chatte. Une fois qu’elle a bien positionné mon gland, je donne un petit coup de reins pour faire rentrer mon sexe en entier à l’intérieur d’elle. Elle pousse alors un gémissement et passe ses mains dans mon dos pour me serrer contre elle. Je le prends en missionnaire pendant de longues minutes pendant lesquelles je sens son plaisir monter. Ses gémissements s’intensifient, je décide alors de changer de position. Je me retire donc, à son grand désespoir. Nous reprenons un peu notre souffle, côte à côte sur le lit.
- Je retire ce que j’ai dit, tu es très endurant en fait !
- Enlève ta nuisette, ordonné-je.342