Voici donc une fin alternative qui m’est venue à l’esprit en lisant le commentaire de [member=19]Philou0033[/member]. Nous sommes à l’instant où Valérie commence à masturber son frère et Joël.
Joël rougit et acquiesça. Valérie savait déjà comment faire monter le plaisir chez un homme, elle avait fait quelques essais avec son ex.
À ce moment-là, on frappa à la porte. Yves dit d’entrer.
— Tu es fou ! s’exclama sa sœur, et si c’était maman ?
— Bah, elle doit déjà avoir vu des zizis bandés, au moins celui de papa. Désolé, j’ai répondu sans réfléchir.
Ce n’était pas leur mère, c’était Armand, l’ex, un bouquet de fleurs à la main.
— Euh, balbutia-t-il, je vous dérange ?
— Pas du tout, répondit Yves. Entre.
— Je peux revenir plus tard.
— Non, reste, cela ne va plus durer très longtemps, et referme la porte, s’il te plaît.
Armand regarda Valérie qui caressait habilement les deux garçons, il se remémora les branlettes qu’elle lui avait faites, il banda. Valérie fut surprise quand les deux amis éjaculèrent sur son chemisier, en même temps.
— Zut, vous auriez pu me prévenir, à présent je vais devoir le laver moi-même, sinon maman pourrait se poser des questions.
— Quand on veut jouer à des jeux interdits, on doit en assumer les conséquences, fit Yves, je vais vous donner des mouchoirs pour vous nettoyer, maman à l’habitude que les miens aient des taches douteuses.
— Elle t’a fait des remarques ?
Yves ne répondit pas, il s’adressa à Armand :
— Tu sais que ma sœur est fâchée, elle ne veut plus te parler.
— J’ai été grossier avec elle, je viens lui présenter mes excuses.
— Je crains que cela soit trop tard, dit Yves en regardant Joël, elle t’a déjà trouvé un remplaçant.
— Non, je ne viens pas pour reconquérir son cœur, juste pour m’excuser.
— J’accepte tes excuses, dit Valérie, mais dis-moi qui est cette fille aux gros seins et au gros cul ? Celles que je connais sont déjà prises.
— Je… je t’ai menti, elle n’existe pas. Je n’ai pas osé te dire la vérité.
— Tu peux me la dire à présent, on restera bons amis.
— Je n’aurais jamais dû accepter quand tu m’as proposé de sortir avec toi, mais tu étais la première fille à le faire, je voulais faire comme tout le monde et perdre mon pucelage.
— Tu aurais pu me dire qu’il y avait eu une erreur de casting, que nous n’étions pas faits pour vivre ensemble.
— Je sais. Je vais vous avouer la vérité. Je préfère les garçons.
— Tu est homosexuel ? fit Joël, je te comprends, ce n’est pas facile de le dire. Bravo d’avoir osé.
— Promettez-moi de n’en parler à personne.
— Je te le promets, dit Valérie en lui faisant la bise et en prenant les fleurs. Merci de ta franchise. Je vais te laisser avec mon frère. Joël, remonte ton pantalon et viens dans ma chambre, j’ai quelque chose à te demander.
— Tu veux lui montrer ta foufoune ? demanda Yves.
Valérie jeta un regard noir à son frère et se dirigea vers la porte, suivie de Joël.
— Encore désolé de vous avoir dérangés, dit Armand, mais tu m’as dit d’entrer.
— Pas de souci. Ça a dû t’exciter de voir deux mecs se faire branler.
— Euh, oui, j’ai bandé.
— À propos, vous avez déjà eu cette visite chez l’urologue dans ta classe ?
— Oui, la semaine dernière, répondit Armand. Pourquoi ?
— Tu me la racontes ? Je l’aurai bientôt.
— Volontiers, tu ne veux pas… remonter ton slip avant ?
— Ben non, on va jouer au docteur, toi tu seras le docteur et tu vas me faire tout ce qu’on t’a fait. Après, on échangera les rôles. Tu es d’accord ?
— Même le doigt dans le cul ?
— Tout ! Il y a mon livre de biologie sur le bureau si tu ne sais pas dans quel sens enfiler ton doigt.
Valérie et Joël se marièrent, vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants.
Yves et Armand ne se marièrent pas, n’eurent pas d’enfants et vécurent quand même heureux.
FIN
Joël rougit et acquiesça. Valérie savait déjà comment faire monter le plaisir chez un homme, elle avait fait quelques essais avec son ex.
À ce moment-là, on frappa à la porte. Yves dit d’entrer.
— Tu es fou ! s’exclama sa sœur, et si c’était maman ?
— Bah, elle doit déjà avoir vu des zizis bandés, au moins celui de papa. Désolé, j’ai répondu sans réfléchir.
Ce n’était pas leur mère, c’était Armand, l’ex, un bouquet de fleurs à la main.
— Euh, balbutia-t-il, je vous dérange ?
— Pas du tout, répondit Yves. Entre.
— Je peux revenir plus tard.
— Non, reste, cela ne va plus durer très longtemps, et referme la porte, s’il te plaît.
Armand regarda Valérie qui caressait habilement les deux garçons, il se remémora les branlettes qu’elle lui avait faites, il banda. Valérie fut surprise quand les deux amis éjaculèrent sur son chemisier, en même temps.
— Zut, vous auriez pu me prévenir, à présent je vais devoir le laver moi-même, sinon maman pourrait se poser des questions.
— Quand on veut jouer à des jeux interdits, on doit en assumer les conséquences, fit Yves, je vais vous donner des mouchoirs pour vous nettoyer, maman à l’habitude que les miens aient des taches douteuses.
— Elle t’a fait des remarques ?
Yves ne répondit pas, il s’adressa à Armand :
— Tu sais que ma sœur est fâchée, elle ne veut plus te parler.
— J’ai été grossier avec elle, je viens lui présenter mes excuses.
— Je crains que cela soit trop tard, dit Yves en regardant Joël, elle t’a déjà trouvé un remplaçant.
— Non, je ne viens pas pour reconquérir son cœur, juste pour m’excuser.
— J’accepte tes excuses, dit Valérie, mais dis-moi qui est cette fille aux gros seins et au gros cul ? Celles que je connais sont déjà prises.
— Je… je t’ai menti, elle n’existe pas. Je n’ai pas osé te dire la vérité.
— Tu peux me la dire à présent, on restera bons amis.
— Je n’aurais jamais dû accepter quand tu m’as proposé de sortir avec toi, mais tu étais la première fille à le faire, je voulais faire comme tout le monde et perdre mon pucelage.
— Tu aurais pu me dire qu’il y avait eu une erreur de casting, que nous n’étions pas faits pour vivre ensemble.
— Je sais. Je vais vous avouer la vérité. Je préfère les garçons.
— Tu est homosexuel ? fit Joël, je te comprends, ce n’est pas facile de le dire. Bravo d’avoir osé.
— Promettez-moi de n’en parler à personne.
— Je te le promets, dit Valérie en lui faisant la bise et en prenant les fleurs. Merci de ta franchise. Je vais te laisser avec mon frère. Joël, remonte ton pantalon et viens dans ma chambre, j’ai quelque chose à te demander.
— Tu veux lui montrer ta foufoune ? demanda Yves.
Valérie jeta un regard noir à son frère et se dirigea vers la porte, suivie de Joël.
— Encore désolé de vous avoir dérangés, dit Armand, mais tu m’as dit d’entrer.
— Pas de souci. Ça a dû t’exciter de voir deux mecs se faire branler.
— Euh, oui, j’ai bandé.
— À propos, vous avez déjà eu cette visite chez l’urologue dans ta classe ?
— Oui, la semaine dernière, répondit Armand. Pourquoi ?
— Tu me la racontes ? Je l’aurai bientôt.
— Volontiers, tu ne veux pas… remonter ton slip avant ?
— Ben non, on va jouer au docteur, toi tu seras le docteur et tu vas me faire tout ce qu’on t’a fait. Après, on échangera les rôles. Tu es d’accord ?
— Même le doigt dans le cul ?
— Tout ! Il y a mon livre de biologie sur le bureau si tu ne sais pas dans quel sens enfiler ton doigt.
Valérie et Joël se marièrent, vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants.
Yves et Armand ne se marièrent pas, n’eurent pas d’enfants et vécurent quand même heureux.
FIN
Pour des récits plus anciens indisponibles sur Slygame, voir le lien ci-dessous :
Récits de Lange128 indisponibles sur Slygame
Récits de Lange128 indisponibles sur Slygame