07-02-2021, 10:19 PM
Je n'attends pas demain, comme vous avez été très sages aujourd'hui je vous raconte la fin du conte avant de vous coucher.
— On révise quoi aujourd’hui ? demanda Joël à Yves.
— On pourrait réviser la biologie, on resterait dans le sujet.
— Bonne idée.
Yves se leva pour prendre un livre dans sa bibliothèque.
— Regarde, dit-il, voici la planche de l’appareil génital masculin. Je comprends mieux où se trouve la prostate et pourquoi l’étudiante s’est trompée. Tu vois, on met le doigt comme ceci.
— Exact. Tu voudrais essayer ? demanda Joël en riant.
— Il faudrait faire un lavement avant et cela inquiéterait ma sœur si nous allions les deux à la salle de bain pendant un quart d’heure.
— Je plaisantais.
— Je préférerais… si tu es d’accord, bien sûr, que tu me montres ton prépuce.
— Ta sœur a raison, tu es un petit cochon. On va faire un marché…
— OK, je devine.
Les deux amis décrochèrent leur ceinture, déboutonnèrent leur braguette et descendirent pantalon et slip jusqu’aux genoux. Joël fit coulisser son prépuce pour dégager le gland.
À ce moment-là, la porte s’ouvrit. Ils mirent précipitamment les mains devant leur sexe. C’était Valérie, la sœur d’Yves. Celui-ci l’engueula :
— Je t’ai déjà dit mille fois de frapper avant d’entrer !
— Désolée, j’étais distraite. Je venais voir quelque chose dans ton encyclopédie. Mais, que faites-vous avec le slip baissé ? Vous êtes pédés ?
— Meuh non, on révise la biologie, le sexe masculin.
— Je pensais que vous vous branliez.
— Je te rappelle que tu as aussi voulu voir ma queue.
— Je suis une fille, c’est normal.
— Dis-nous plutôt comment s’est passée ta première fois avec ton petit ami.
— Ne me parle plus de ce… Il m’a plaqué avant.
— Pourquoi ?
— Il en a trouvé une autre qui a des plus gros nichons et un plus gros cul, ce sont ses termes.
— C’est mieux ainsi, dit Joël, il voulait seulement coucher, il ne t’aimait pas vraiment.
— C’est certain, dit Valérie, je ne veux plus entendre parler d’hommes jusqu’à la fin de ma vie, tous des cochons et des machos.
— Tu vas te retirer dans un couvent ou devenir lesbienne ? demanda Yves.
— On verra. Bon, encore désolée, je vais vous laisser à vos branlettes, à moins que… Joël, il paraît que tu n’es pas circoncis, alors que mon ex et mon frère le sont.
— Qui t’a raconté ça ?
— Euh… mon ex, il est dans la même classe que toi et t’a vu à poil à l’hôpital.
— C’est Armand ? Il t’a raconté ?
— Je ne prononcerai plus jamais son nom. Pourrais-tu enlever tes mains ?
— Je croyais que tu ne voulais plus jamais entendre parler d’hommes, fit Yves en riant.
— J’ai changé d’idée. Ce n’est pas très réjouissant de finir au couvent.
Joël obéit et exposa son sexe.
— Tu pourrais te lever, que je la voie mieux ? demanda Valérie.
Elle s’assit sur le lit de son frère, Yves se plaça devant elle et décalotta son gland.
— Intéressant, dit-elle.
— Tu peux la toucher, dit Yves, Joël a l’habitude depuis l’hôpital.
— C’est vrai ? Je peux ? Ça ne te gêne pas ?
— Puisque ton frère te le dit, vas-y, dit Joël.
Valérie prit le pénis dans sa main et joua avec le prépuce, ce qui provoqua des effets collatéraux.
— Elle est plus longue que celle de mon ex, j’aimerais la comparer avec celle de mon frère.
Yves soupira :
— Tu as de la chance de ne pas avoir de sœur, c’est une vraie calamité.
Il se leva et se mit à côté de son ami. Valérie caressa les deux membres simultanément et put rapidement faire des comparaisons.
— C’est amusant, dit-elle, elles ont la même longueur. Bon, je vous laisse à vos révisions.
— Attends, dit Yves, tu ne vas pas t’en tirer comme ça, finis ce que tu as commencé.
— Tu aimerais… que je vous branle ? Jusqu’au bout ?
— Si Joël est d’accord.
Joël rougit et acquiesça. Valérie savait déjà comment faire monter le plaisir chez un homme, elle avait fait quelques essais avec son ex, elle fut cependant surprise quand les deux amis éjaculèrent sur son chemisier, en même temps.
— Zut, vous auriez pu me prévenir, à présent je vais devoir le laver moi-même, sinon maman pourrait se poser des questions.
— Quand on veut jouer à des jeux interdits, on doit en assumer les conséquences, fit Yves, je vais vous donner des mouchoirs pour vous nettoyer, maman à l’habitude que les miens aient des taches douteuses.
— Elle t’a fait des remarques ?
Yves ne répondit pas et dit après s’être rhabillé :
— Maintenant, on va vraiment réviser, sinon on va rater le bac.
— Une minute encore, fit Valérie. Joël, tu es libre ?
— Que veux-tu dire ?
— As-tu une petite amie ?
— Euh… non.
— Il est encore puceau ! ajouta Yves.
— Parfait. Pourrais-tu m’inviter à dîner un de ces quatre ?
— T’inviter à dîner ?
— Ouais, je pense qu’on devrait faire connaissance.
— Il me semble que c’est déjà fait, dit Yves. À moins que tu veuilles encore lui montrer ta foufoune ?
Valérie jeta un regard noir à son frère et se dirigea vers la porte.
— Ce soir ? proposa Joël. Lorsque nous aurons fini de réviser ?
Valérie et Joël se marièrent, vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants.
Yves découvrit qu’il était homosexuel, il ne se maria pas, n’eut pas d’enfants et vécut quand même heureux, avec Armand qui n'avait pas osé avouer à Valérie qu'il était gay lorsqu'elle l'avait dragué.
FIN
— On révise quoi aujourd’hui ? demanda Joël à Yves.
— On pourrait réviser la biologie, on resterait dans le sujet.
— Bonne idée.
Yves se leva pour prendre un livre dans sa bibliothèque.
— Regarde, dit-il, voici la planche de l’appareil génital masculin. Je comprends mieux où se trouve la prostate et pourquoi l’étudiante s’est trompée. Tu vois, on met le doigt comme ceci.
— Exact. Tu voudrais essayer ? demanda Joël en riant.
— Il faudrait faire un lavement avant et cela inquiéterait ma sœur si nous allions les deux à la salle de bain pendant un quart d’heure.
— Je plaisantais.
— Je préférerais… si tu es d’accord, bien sûr, que tu me montres ton prépuce.
— Ta sœur a raison, tu es un petit cochon. On va faire un marché…
— OK, je devine.
Les deux amis décrochèrent leur ceinture, déboutonnèrent leur braguette et descendirent pantalon et slip jusqu’aux genoux. Joël fit coulisser son prépuce pour dégager le gland.
À ce moment-là, la porte s’ouvrit. Ils mirent précipitamment les mains devant leur sexe. C’était Valérie, la sœur d’Yves. Celui-ci l’engueula :
— Je t’ai déjà dit mille fois de frapper avant d’entrer !
— Désolée, j’étais distraite. Je venais voir quelque chose dans ton encyclopédie. Mais, que faites-vous avec le slip baissé ? Vous êtes pédés ?
— Meuh non, on révise la biologie, le sexe masculin.
— Je pensais que vous vous branliez.
— Je te rappelle que tu as aussi voulu voir ma queue.
— Je suis une fille, c’est normal.
— Dis-nous plutôt comment s’est passée ta première fois avec ton petit ami.
— Ne me parle plus de ce… Il m’a plaqué avant.
— Pourquoi ?
— Il en a trouvé une autre qui a des plus gros nichons et un plus gros cul, ce sont ses termes.
— C’est mieux ainsi, dit Joël, il voulait seulement coucher, il ne t’aimait pas vraiment.
— C’est certain, dit Valérie, je ne veux plus entendre parler d’hommes jusqu’à la fin de ma vie, tous des cochons et des machos.
— Tu vas te retirer dans un couvent ou devenir lesbienne ? demanda Yves.
— On verra. Bon, encore désolée, je vais vous laisser à vos branlettes, à moins que… Joël, il paraît que tu n’es pas circoncis, alors que mon ex et mon frère le sont.
— Qui t’a raconté ça ?
— Euh… mon ex, il est dans la même classe que toi et t’a vu à poil à l’hôpital.
— C’est Armand ? Il t’a raconté ?
— Je ne prononcerai plus jamais son nom. Pourrais-tu enlever tes mains ?
— Je croyais que tu ne voulais plus jamais entendre parler d’hommes, fit Yves en riant.
— J’ai changé d’idée. Ce n’est pas très réjouissant de finir au couvent.
Joël obéit et exposa son sexe.
— Tu pourrais te lever, que je la voie mieux ? demanda Valérie.
Elle s’assit sur le lit de son frère, Yves se plaça devant elle et décalotta son gland.
— Intéressant, dit-elle.
— Tu peux la toucher, dit Yves, Joël a l’habitude depuis l’hôpital.
— C’est vrai ? Je peux ? Ça ne te gêne pas ?
— Puisque ton frère te le dit, vas-y, dit Joël.
Valérie prit le pénis dans sa main et joua avec le prépuce, ce qui provoqua des effets collatéraux.
— Elle est plus longue que celle de mon ex, j’aimerais la comparer avec celle de mon frère.
Yves soupira :
— Tu as de la chance de ne pas avoir de sœur, c’est une vraie calamité.
Il se leva et se mit à côté de son ami. Valérie caressa les deux membres simultanément et put rapidement faire des comparaisons.
— C’est amusant, dit-elle, elles ont la même longueur. Bon, je vous laisse à vos révisions.
— Attends, dit Yves, tu ne vas pas t’en tirer comme ça, finis ce que tu as commencé.
— Tu aimerais… que je vous branle ? Jusqu’au bout ?
— Si Joël est d’accord.
Joël rougit et acquiesça. Valérie savait déjà comment faire monter le plaisir chez un homme, elle avait fait quelques essais avec son ex, elle fut cependant surprise quand les deux amis éjaculèrent sur son chemisier, en même temps.
— Zut, vous auriez pu me prévenir, à présent je vais devoir le laver moi-même, sinon maman pourrait se poser des questions.
— Quand on veut jouer à des jeux interdits, on doit en assumer les conséquences, fit Yves, je vais vous donner des mouchoirs pour vous nettoyer, maman à l’habitude que les miens aient des taches douteuses.
— Elle t’a fait des remarques ?
Yves ne répondit pas et dit après s’être rhabillé :
— Maintenant, on va vraiment réviser, sinon on va rater le bac.
— Une minute encore, fit Valérie. Joël, tu es libre ?
— Que veux-tu dire ?
— As-tu une petite amie ?
— Euh… non.
— Il est encore puceau ! ajouta Yves.
— Parfait. Pourrais-tu m’inviter à dîner un de ces quatre ?
— T’inviter à dîner ?
— Ouais, je pense qu’on devrait faire connaissance.
— Il me semble que c’est déjà fait, dit Yves. À moins que tu veuilles encore lui montrer ta foufoune ?
Valérie jeta un regard noir à son frère et se dirigea vers la porte.
— Ce soir ? proposa Joël. Lorsque nous aurons fini de réviser ?
Valérie et Joël se marièrent, vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants.
Yves découvrit qu’il était homosexuel, il ne se maria pas, n’eut pas d’enfants et vécut quand même heureux, avec Armand qui n'avait pas osé avouer à Valérie qu'il était gay lorsqu'elle l'avait dragué.
FIN
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