07-02-2021, 02:53 PM
— Alors, fit Yves, raconte-moi la suite.
— L’infirmière m’a enlevé le thermomètre, j’avais 37,2. Le professeur a dit à l’étudiante de me tâter la prostate. Tu sais ce que c’est ?
— Je me rappelle, on en avait parlé au cours de biologie, je ne sais plus à quoi elle sert.
— Elle ne doit surtout pas être trop grosse.
— Et comment elle te l’a tâtée ?
— Elle m’a mis un doigt dans le cul. Le professeur lui a demandé de l’enduire de gel lubrifiant et elle l’a enfoncé, c’était une sensation bizarre, un peu désagréable. Elle a dit : « Monsieur le Professeur, je sens quelque chose de dur. Aurait-il un problème ? »
— C’était peut-être de la… Ils auraient dû vous faire un lavement avant.
— C’est quoi ?
— Quand tu es constipé, on te met de l’eau dans le rectum et tu vas aux toilettes ensuite.
— Tu en as déjà eu ?
— Souvent, c’était ma mère qui me les faisait. On parlera de ça une autre fois, continue.
— Le professeur a dit : « Mademoiselle, vous avez touché le coccyx, votre doigt est à l’envers. » Elle avait l’air confuse.
— La pauvre, tu devais être son premier patient.
— Elle s’est rattrapée, elle m’a massé longtemps, le professeur lui a dit : « Rappelez-vous la consistance, nous irons examiner plus tard la prostate de la chambre 33, vous verrez la différence. » J’étais gêné car je sentais couler du liquide de mon méat. Elle a dit : « Monsieur le Professeur, c’est normal cet écoulement ou c’est le signe d’une maladie vénérienne ? » « Mademoiselle, en massant la prostate vous avez libéré les fluides. Il faut parfois le faire pour les analyser. Vous devriez masser celle de votre fiancé pour vous entraîner. »
— Il est con ce professeur. Humilier ainsi l’étudiante.
— Ça doit être l’habitude avec ces mandarins, ils ne doivent pas trop aimer que des femmes deviennent médecins, ce sont des machos. Elle a ensuite retiré son doigt, elle avait l’air dégoûtée en voyant qu’il était un peu brun sur son gant. Le professeur a ensuite contrôlé rapidement lui-même. L’infirmière est venue avec une serviette en papier pour me nettoyer le gland, elle m’a décalotté, puis l’anus pour enlever le gel. Encore la honte.
— Tes camarades devaient se marrer.
— Non, ils étaient étrangement silencieux, ils savaient qu’ils allaient passer à la casserole après moi.
— C’était fini ? Tu as pu te rhabiller ?
— J’en avais terminé avec l’examen, le professeur m’a dit : « Tout est en ordre, jeune homme, tu es en parfaite santé, tu peux te lever. ».
— Il t’a tutoyé ?
— Pour lui nous sommes encore des gamins. L’infirmière m’a dit de remettre mes sous-vêtements et de m’asseoir. J’étais inquiet car je supposais qu’il y aurait encore quelque chose après, mais j’étais content de regarder mes camarades se faire tripoter.
— C’était la même chose que toi ?
— À peu près. Armand étant circoncis, ça a été plus rapide. Après, c’est l’étudiant qui a examiné Pierre. Il a des problèmes de décalottage, le professeur lui a fait de la réclame pour qu’il se fasse couper.
— Comme moi, mais j’étais beaucoup plus jeune.
— Pierre n’avait pas l’air convaincu, le professeur a demandé à l’infirmière d’envoyer une lettre aux parents.
— Moi, je n’ai pas eu le choix.
— Sinon, rien de particulier. Le professeur et les deux étudiants sont sortis en nous saluant à peine. L’infirmière nous a dit de prendre nos vêtements et de la suivre dans une salle adjacente. Il y avait une table au milieu, couverte de magazines, quatre chaises autour. J’ai cru que c’était une salle d’attente, il y avait aussi des cabines fermées par un rideau. J’ai pensé que c’étaient des cabines de déshabillage qui donnaient sur une autre salle avec des appareils, pour prendre des radios.
— Des radios ? De quoi ?
— Ce n’était pas ça, nous avons posé nos habits sur les chaises. L’infirmière a apporté quatre verres avec notre nom dessus sur une étiquette. Devrions-nous de nouveau pisser ? Ma vessie était vide.
— Je ne pense pas que c’était pour pisser…
— L’infirmière nous a dit que nous étions assez grands pour savoir ce qu’il fallait faire avec les gobelets, il fallait ensuite les déposer dans une armoire qui communiquait avec le couloir et sonner. Quelqu’un viendrait les chercher. Ensuite nous pourrions nous rhabiller et quitter l’hôpital en sortant directement dans le couloir, sans passer par la salle où s’était déroulé l’examen.
— Logique, il y avait les suivants. Il y avait quoi sur les magazines ?
— Ils étaient en suédois et c’étaient des vraies photos pornographiques, pas de l’érotisme comme « Playboy ». Nous nous somme regardés, c’est finalement André qui a dit : « Au travail les gars. J’ai une idée. On le fait tous ensemble au lieu d’aller dans les cabines ? » « Tu es pédé ? » a demandé Armand. « Non, mais je l’ai déjà fait avec des potes. C’est amusant. Je n’oblige personne, mais je pense que n’avons plus rien à nous cacher. » « Montre l’exemple. » a dit Armand.
— Il a osé ?
— Oui, il a calmement baissé son slip et a commencé à s’astiquer en feuilletant des magazines. Personne ne s’est défilé et on l’a imité.
— C’est qui qui a la plus longue ?
— Tu es aussi curieux que ta frangine. C’est évidemment André, il avait envie de s’exhiber.
— Et vous avez tous juté dans les verres ?
— On était assez excités pour le faire, ça n’a pas tardé.
— Tu as eu le résultat ?
— Ouais, j’ai reçu une lettre, c’est bon, le nombre de spermatozoïdes est normal. Tu as intérêt à ne pas te branler le matin, et personne ne s'offusquera si tu bandes.
— Merci de m’avoir raconté. Il me semble qu’on devait faire des révisions cet après-midi.
— Oui, il est temps de s’y mettre.
— L’infirmière m’a enlevé le thermomètre, j’avais 37,2. Le professeur a dit à l’étudiante de me tâter la prostate. Tu sais ce que c’est ?
— Je me rappelle, on en avait parlé au cours de biologie, je ne sais plus à quoi elle sert.
— Elle ne doit surtout pas être trop grosse.
— Et comment elle te l’a tâtée ?
— Elle m’a mis un doigt dans le cul. Le professeur lui a demandé de l’enduire de gel lubrifiant et elle l’a enfoncé, c’était une sensation bizarre, un peu désagréable. Elle a dit : « Monsieur le Professeur, je sens quelque chose de dur. Aurait-il un problème ? »
— C’était peut-être de la… Ils auraient dû vous faire un lavement avant.
— C’est quoi ?
— Quand tu es constipé, on te met de l’eau dans le rectum et tu vas aux toilettes ensuite.
— Tu en as déjà eu ?
— Souvent, c’était ma mère qui me les faisait. On parlera de ça une autre fois, continue.
— Le professeur a dit : « Mademoiselle, vous avez touché le coccyx, votre doigt est à l’envers. » Elle avait l’air confuse.
— La pauvre, tu devais être son premier patient.
— Elle s’est rattrapée, elle m’a massé longtemps, le professeur lui a dit : « Rappelez-vous la consistance, nous irons examiner plus tard la prostate de la chambre 33, vous verrez la différence. » J’étais gêné car je sentais couler du liquide de mon méat. Elle a dit : « Monsieur le Professeur, c’est normal cet écoulement ou c’est le signe d’une maladie vénérienne ? » « Mademoiselle, en massant la prostate vous avez libéré les fluides. Il faut parfois le faire pour les analyser. Vous devriez masser celle de votre fiancé pour vous entraîner. »
— Il est con ce professeur. Humilier ainsi l’étudiante.
— Ça doit être l’habitude avec ces mandarins, ils ne doivent pas trop aimer que des femmes deviennent médecins, ce sont des machos. Elle a ensuite retiré son doigt, elle avait l’air dégoûtée en voyant qu’il était un peu brun sur son gant. Le professeur a ensuite contrôlé rapidement lui-même. L’infirmière est venue avec une serviette en papier pour me nettoyer le gland, elle m’a décalotté, puis l’anus pour enlever le gel. Encore la honte.
— Tes camarades devaient se marrer.
— Non, ils étaient étrangement silencieux, ils savaient qu’ils allaient passer à la casserole après moi.
— C’était fini ? Tu as pu te rhabiller ?
— J’en avais terminé avec l’examen, le professeur m’a dit : « Tout est en ordre, jeune homme, tu es en parfaite santé, tu peux te lever. ».
— Il t’a tutoyé ?
— Pour lui nous sommes encore des gamins. L’infirmière m’a dit de remettre mes sous-vêtements et de m’asseoir. J’étais inquiet car je supposais qu’il y aurait encore quelque chose après, mais j’étais content de regarder mes camarades se faire tripoter.
— C’était la même chose que toi ?
— À peu près. Armand étant circoncis, ça a été plus rapide. Après, c’est l’étudiant qui a examiné Pierre. Il a des problèmes de décalottage, le professeur lui a fait de la réclame pour qu’il se fasse couper.
— Comme moi, mais j’étais beaucoup plus jeune.
— Pierre n’avait pas l’air convaincu, le professeur a demandé à l’infirmière d’envoyer une lettre aux parents.
— Moi, je n’ai pas eu le choix.
— Sinon, rien de particulier. Le professeur et les deux étudiants sont sortis en nous saluant à peine. L’infirmière nous a dit de prendre nos vêtements et de la suivre dans une salle adjacente. Il y avait une table au milieu, couverte de magazines, quatre chaises autour. J’ai cru que c’était une salle d’attente, il y avait aussi des cabines fermées par un rideau. J’ai pensé que c’étaient des cabines de déshabillage qui donnaient sur une autre salle avec des appareils, pour prendre des radios.
— Des radios ? De quoi ?
— Ce n’était pas ça, nous avons posé nos habits sur les chaises. L’infirmière a apporté quatre verres avec notre nom dessus sur une étiquette. Devrions-nous de nouveau pisser ? Ma vessie était vide.
— Je ne pense pas que c’était pour pisser…
— L’infirmière nous a dit que nous étions assez grands pour savoir ce qu’il fallait faire avec les gobelets, il fallait ensuite les déposer dans une armoire qui communiquait avec le couloir et sonner. Quelqu’un viendrait les chercher. Ensuite nous pourrions nous rhabiller et quitter l’hôpital en sortant directement dans le couloir, sans passer par la salle où s’était déroulé l’examen.
— Logique, il y avait les suivants. Il y avait quoi sur les magazines ?
— Ils étaient en suédois et c’étaient des vraies photos pornographiques, pas de l’érotisme comme « Playboy ». Nous nous somme regardés, c’est finalement André qui a dit : « Au travail les gars. J’ai une idée. On le fait tous ensemble au lieu d’aller dans les cabines ? » « Tu es pédé ? » a demandé Armand. « Non, mais je l’ai déjà fait avec des potes. C’est amusant. Je n’oblige personne, mais je pense que n’avons plus rien à nous cacher. » « Montre l’exemple. » a dit Armand.
— Il a osé ?
— Oui, il a calmement baissé son slip et a commencé à s’astiquer en feuilletant des magazines. Personne ne s’est défilé et on l’a imité.
— C’est qui qui a la plus longue ?
— Tu es aussi curieux que ta frangine. C’est évidemment André, il avait envie de s’exhiber.
— Et vous avez tous juté dans les verres ?
— On était assez excités pour le faire, ça n’a pas tardé.
— Tu as eu le résultat ?
— Ouais, j’ai reçu une lettre, c’est bon, le nombre de spermatozoïdes est normal. Tu as intérêt à ne pas te branler le matin, et personne ne s'offusquera si tu bandes.
— Merci de m’avoir raconté. Il me semble qu’on devait faire des révisions cet après-midi.
— Oui, il est temps de s’y mettre.
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