02-02-2021, 09:52 PM
7 - Laurent : La nuit nous appartient
J'éteins l'ordinateur et me lève. Yann me regarde droit dans les yeux, et je plonge dans les siens. J'avance mes mains et les glisse le long de ses joues avant d'avancer doucement mon visage à la rencontre du sien. Nos lèvres s'unissent, nos cœurs battent à l'unisson, nous nous retrouvons, amour et désir nous poussent l'un vers l'autre. Nous avons été interrompus trop souvent aujourd'hui. Il y a une petite dose de frustration dans nos gestes nerveux, rapides, qui envoient voler nos vêtements à travers la pièce.
- Doucement, dis-je. Je veux t'admirer.
Il est beau, mon Yann, je détaille son corps nu, de haut en bas, son visage, merveilleux, ses yeux parcourent mon corps lui aussi, ça m'excite un peu plus encore. Son cou, que j'aime embrasser, sa poitrine imberbe, un réel plaisir à parcourir, son ventre ferme, barré par son érection, ah, son beau sexe, je n'ai pour le moment pu le toucher qu'à travers le tissu de ses vêtements...
Je m'approche de lui et le pousse doucement vers mon lit. Il s'y installe en m'entraînant, et je me retrouve allongé sur lui. Je couvre son visage de baisers, descends dans son cou, puis investis sa poitrine. J'attaque son téton gauche, durci par l'excitation, et le titille de la langue avant de le mordiller doucement. Yann gémit, il a l'air d'aimer beaucoup ce que je lui fais, aussi je décide d'utiliser mes doigts pour m'occuper du droit.
Waouh, il est aux anges, je reste là un petit moment avant des descendre vers son ventre.
Hum, il y a une grosse tentation ici, vais-je l'attaquer tout de suite ou opter pour un mouvement tournant ?
Je décide d'y aller doucement et continue le long de son ventre, le parsemant de baisers, contournant son pubis et glissant sur ses cuisses pour remonter vers sa bourse, j'attaque alors ses testicules de mes lèvres, tout en regardant la réaction de Yann. Il apprécie, visiblement, et je remonte maintenant le long de son membre, toujours en contact, j'atteins enfin l'extrémité, et lui offre mes lèvres et ma langue, tandis que ma main s'occupe de ses testicules délaissés.
C'est la première fois que je fais ça, mais ses gémissements sont devenus nettement plus forts.
Je fais aller et venir mes lèvres le long de son membre, Yann halète, ferme les yeux, se mord les lèvres, gémit...
- Je vais jouir !
Trop tard, il explose de plaisir dans ma bouche, l'emplissant de sa semence, et je ne sais pas quoi en faire, je décide cependant d'avaler rapidement, car il m'envoie de grands jets.
- Désolé...
Je finis d'avaler avant de libérer son sexe, et je m'empresse de le rassurer.
- Ça ira.
- Mon plaisir est monté si vite...
- Ce n'est rien.
- Ce n'est pas mauvais, j'espère ?
- Non, ça va. Et ça vient de toi, que j'aime le plus au monde.
- Ouf.
- Tu n'as jamais goûté au tien ?
- Non...
Je remonte jusqu'à son visage et lui offre mes lèvres. Il m'embrasse, et sa langue vient découvrir le goût de sa semence dans ma bouche. Je l'embrasse longuement, appréciant de sentir ses caresses le long de mon dos, et sa main qui vient se perdre dans mes cheveux.
- Alors ?
- Pris dans la bouche de mon amour, ce n'est pas mauvais. Hum... Et le tien, alors ?
- À ta disposition permanente, dis-je en me glissant de côté pour qu'il vienne sur moi.
Humm, sentir ses lèvres, ses mains, sur ma poitrine, quel bonheur ! Il s'occupe à son tour de mes tétons, c'est agréable, puis il descend vers mon sexe, le caresse de la main tout en venant masser mes testicules, oh que c'est bon, il hésite un peu, puis vient poser ses lèvres sur mon membre, j'exprime tout le plaisir qu'il me donne alors, ce qui semble l'encourager, oh, mon Yann, je suis si heureux, oh, sentir ta langue, tes lèvres, ce va-et-vient sur mon sexe, tu me donnes tant de plaisir... Mais, surtout, tant de bonheur...
Mon plaisir monte rapidement maintenant, je le préviens, mais il se contente de me faire un clin d'œil.
Je lui souris, puis ferme les yeux, laissant le plaisir m'emporter jusqu'à l'orgasme.
Je fais nombre de câlins à mon amour, qui me le rend bien, notre excitation remonte, mes mains caressent ses fesses, je vois une lueur d'appréhension dans ses yeux...
- Tu n'as qu'un mot à dire pour que j'arrête.
- Je vais te dire un mot, alors... continue.
- Tu es sûr ?
- Je veux laisser le passé derrière moi. Je veux être fort. Je veux être à toi. Je t'aime.
- Je t'aime.
J'écarte ses jambes, et me mets à préparer tout en douceur son intimité offerte, je guette son attitude, et m'interrompt.
- Vraiment, si tu ne le sens pas, il vaut mieux que j'arrête.
- Laurent... Fais-moi oublier Seb. Je t'en prie.
Je reviens à son visage, l'embrasse, et descends tout le long de son corps, parcourant sa poitrine de mes mains et de mes lèvres, et m'occupe tant de son sexe que de son anus, il est maintenant dans un tel état d'excitation qu'il en oublie toutes ses appréhensions.
Je me redresse alors, pressant mon sexe contre l'ouverture, mais hésitant à entrer. Yann s'empare alors de mon bassin et m'attire contre lui. Je le pénètre doucement, il aspire l'air, crispé, mais ne dit rien. J'entre pleinement, mon sexe pressé par son corps accueillant, et j'entame des va-et-vient. Nos gémissements s'entremêlent, expression de notre plaisir partagé, je me penche pour l'embrasser de nouveau, il saisit mes joues un moment, puis ses mains repartent le long de mon corps, j'aime tant ses caresses, je regarde son visage, sa bouche ouverte, ses yeux chavirés de plaisir, sa tête part en arrière, il ferme les yeux tandis que j'accélère mes mouvements, il étouffe tant bien que mal les cris qui montent en lui, oh que je suis bien en lui, ce n'est pas que du sexe, faire l'amour avec celui que l'on aime par-dessus tout, c'est indescriptible. Je n'ai pas vécu, et de loin, une chose pareille avec Julien.
Le plaisir qui monte en nous atteint un paroxysme, c'est en même temps que nous atteignons l'orgasme, je retombe contre lui, et il prend mon visage en mains pour m'embrasser avec passion. Pas besoin de mots pour comprendre que lui non plus n'avait jamais connu une chose aussi merveilleuse.
Je me retire pour le nettoyer de son jus, que j'apprécie de plus en plus, et nous nous étendons côte à côte, ivres de bonheur. Je pourrais passer le reste de ma vie allongé à ses côtés. Je plonge dans ses yeux, je vois, je sais qu'il n'aura plus peur, désormais. Je souris, heureux. Il me rend ce sourire. Il est si beau quand il est heureux. Je veux qu'il soit heureux toute sa vie.
- Je veux te faire vivre le plaisir que tu m'as donné, me dit-il.
- Je t'en prie, mon amour, fais comme chez toi.
Il s'occupe alors de moi, répétant les gestes que j'ai eu pour lui. J'appréhende un peu, me demandant quel degré de douleur je vais ressentir. Mais je suis heureux de lui offrir mon corps, je veux qu'il me prenne, qu'il me fasse crier, et sentir ses doigts me pénétrer et me masser m'excite beaucoup.
Il se redresse, se presse à l'orée de mon intimité, et je lui souris pour l'encourager.
Je serre les dents tandis qu'il me pénètre, je n'arrive pas à croire qu'il ait accepté ça de moi sans même dire un mot, mais je ne vais pas faire le délicat, pas question ! Heureusement, la douleur reflue, remplacée par une sensation de plaisir qui me permet de me détendre, et d'apprécier pleinement le fait que mon homme me fait l'amour, bientôt, je laisse échapper force gémissements, quel bonheur, ça valait largement la peine de souffrir un peu. Mais je me promets de trouver du lubrifiant... Yann accélère, il me pilonne, maintenant, oh que c'est bon, oh Yann, je suis au septième ciel, je suis avec toi, je suis...
Je pousse un cri en jouissant, et Yann me rejoint l'instant d'après, je sens sa semence m'emplir, je l'embrasse, je veux le remercier pour... pour tant de choses. Mais ses yeux étincellent, je n'ai pas besoin de lui dire merci, il sait déjà, je le lis sur son visage.
Nous passons un moment tendrement enlacés, échangeant baisers et caresses, baignant dans ce doux bonheur d'être avec l'être aimé, vivant pleinement notre amour.
Yann bâille à s'en décrocher la mâchoire, et je ne suis pas loin d'en faire autant.
- Je propose une bonne douche avant de dormir.
- Oui.
J'ouvre la porte et l'invite à me suivre. Il ouvre de grands yeux.
- Isa est chez toi, Phil avec ses potes, et mes parents chez des amis.
- Tu es sûr ?
- Évidemment. Mes parents ont organisé pour nous deux un week-end de tranquillité.
- Isa ne va pas passer la nuit chez moi.
- Non, chez une copine.
- Ta famille... elle est formidable.
J'éteins l'ordinateur et me lève. Yann me regarde droit dans les yeux, et je plonge dans les siens. J'avance mes mains et les glisse le long de ses joues avant d'avancer doucement mon visage à la rencontre du sien. Nos lèvres s'unissent, nos cœurs battent à l'unisson, nous nous retrouvons, amour et désir nous poussent l'un vers l'autre. Nous avons été interrompus trop souvent aujourd'hui. Il y a une petite dose de frustration dans nos gestes nerveux, rapides, qui envoient voler nos vêtements à travers la pièce.
- Doucement, dis-je. Je veux t'admirer.
Il est beau, mon Yann, je détaille son corps nu, de haut en bas, son visage, merveilleux, ses yeux parcourent mon corps lui aussi, ça m'excite un peu plus encore. Son cou, que j'aime embrasser, sa poitrine imberbe, un réel plaisir à parcourir, son ventre ferme, barré par son érection, ah, son beau sexe, je n'ai pour le moment pu le toucher qu'à travers le tissu de ses vêtements...
Je m'approche de lui et le pousse doucement vers mon lit. Il s'y installe en m'entraînant, et je me retrouve allongé sur lui. Je couvre son visage de baisers, descends dans son cou, puis investis sa poitrine. J'attaque son téton gauche, durci par l'excitation, et le titille de la langue avant de le mordiller doucement. Yann gémit, il a l'air d'aimer beaucoup ce que je lui fais, aussi je décide d'utiliser mes doigts pour m'occuper du droit.
Waouh, il est aux anges, je reste là un petit moment avant des descendre vers son ventre.
Hum, il y a une grosse tentation ici, vais-je l'attaquer tout de suite ou opter pour un mouvement tournant ?
Je décide d'y aller doucement et continue le long de son ventre, le parsemant de baisers, contournant son pubis et glissant sur ses cuisses pour remonter vers sa bourse, j'attaque alors ses testicules de mes lèvres, tout en regardant la réaction de Yann. Il apprécie, visiblement, et je remonte maintenant le long de son membre, toujours en contact, j'atteins enfin l'extrémité, et lui offre mes lèvres et ma langue, tandis que ma main s'occupe de ses testicules délaissés.
C'est la première fois que je fais ça, mais ses gémissements sont devenus nettement plus forts.
Je fais aller et venir mes lèvres le long de son membre, Yann halète, ferme les yeux, se mord les lèvres, gémit...
- Je vais jouir !
Trop tard, il explose de plaisir dans ma bouche, l'emplissant de sa semence, et je ne sais pas quoi en faire, je décide cependant d'avaler rapidement, car il m'envoie de grands jets.
- Désolé...
Je finis d'avaler avant de libérer son sexe, et je m'empresse de le rassurer.
- Ça ira.
- Mon plaisir est monté si vite...
- Ce n'est rien.
- Ce n'est pas mauvais, j'espère ?
- Non, ça va. Et ça vient de toi, que j'aime le plus au monde.
- Ouf.
- Tu n'as jamais goûté au tien ?
- Non...
Je remonte jusqu'à son visage et lui offre mes lèvres. Il m'embrasse, et sa langue vient découvrir le goût de sa semence dans ma bouche. Je l'embrasse longuement, appréciant de sentir ses caresses le long de mon dos, et sa main qui vient se perdre dans mes cheveux.
- Alors ?
- Pris dans la bouche de mon amour, ce n'est pas mauvais. Hum... Et le tien, alors ?
- À ta disposition permanente, dis-je en me glissant de côté pour qu'il vienne sur moi.
Humm, sentir ses lèvres, ses mains, sur ma poitrine, quel bonheur ! Il s'occupe à son tour de mes tétons, c'est agréable, puis il descend vers mon sexe, le caresse de la main tout en venant masser mes testicules, oh que c'est bon, il hésite un peu, puis vient poser ses lèvres sur mon membre, j'exprime tout le plaisir qu'il me donne alors, ce qui semble l'encourager, oh, mon Yann, je suis si heureux, oh, sentir ta langue, tes lèvres, ce va-et-vient sur mon sexe, tu me donnes tant de plaisir... Mais, surtout, tant de bonheur...
Mon plaisir monte rapidement maintenant, je le préviens, mais il se contente de me faire un clin d'œil.
Je lui souris, puis ferme les yeux, laissant le plaisir m'emporter jusqu'à l'orgasme.
Je fais nombre de câlins à mon amour, qui me le rend bien, notre excitation remonte, mes mains caressent ses fesses, je vois une lueur d'appréhension dans ses yeux...
- Tu n'as qu'un mot à dire pour que j'arrête.
- Je vais te dire un mot, alors... continue.
- Tu es sûr ?
- Je veux laisser le passé derrière moi. Je veux être fort. Je veux être à toi. Je t'aime.
- Je t'aime.
J'écarte ses jambes, et me mets à préparer tout en douceur son intimité offerte, je guette son attitude, et m'interrompt.
- Vraiment, si tu ne le sens pas, il vaut mieux que j'arrête.
- Laurent... Fais-moi oublier Seb. Je t'en prie.
Je reviens à son visage, l'embrasse, et descends tout le long de son corps, parcourant sa poitrine de mes mains et de mes lèvres, et m'occupe tant de son sexe que de son anus, il est maintenant dans un tel état d'excitation qu'il en oublie toutes ses appréhensions.
Je me redresse alors, pressant mon sexe contre l'ouverture, mais hésitant à entrer. Yann s'empare alors de mon bassin et m'attire contre lui. Je le pénètre doucement, il aspire l'air, crispé, mais ne dit rien. J'entre pleinement, mon sexe pressé par son corps accueillant, et j'entame des va-et-vient. Nos gémissements s'entremêlent, expression de notre plaisir partagé, je me penche pour l'embrasser de nouveau, il saisit mes joues un moment, puis ses mains repartent le long de mon corps, j'aime tant ses caresses, je regarde son visage, sa bouche ouverte, ses yeux chavirés de plaisir, sa tête part en arrière, il ferme les yeux tandis que j'accélère mes mouvements, il étouffe tant bien que mal les cris qui montent en lui, oh que je suis bien en lui, ce n'est pas que du sexe, faire l'amour avec celui que l'on aime par-dessus tout, c'est indescriptible. Je n'ai pas vécu, et de loin, une chose pareille avec Julien.
Le plaisir qui monte en nous atteint un paroxysme, c'est en même temps que nous atteignons l'orgasme, je retombe contre lui, et il prend mon visage en mains pour m'embrasser avec passion. Pas besoin de mots pour comprendre que lui non plus n'avait jamais connu une chose aussi merveilleuse.
Je me retire pour le nettoyer de son jus, que j'apprécie de plus en plus, et nous nous étendons côte à côte, ivres de bonheur. Je pourrais passer le reste de ma vie allongé à ses côtés. Je plonge dans ses yeux, je vois, je sais qu'il n'aura plus peur, désormais. Je souris, heureux. Il me rend ce sourire. Il est si beau quand il est heureux. Je veux qu'il soit heureux toute sa vie.
- Je veux te faire vivre le plaisir que tu m'as donné, me dit-il.
- Je t'en prie, mon amour, fais comme chez toi.
Il s'occupe alors de moi, répétant les gestes que j'ai eu pour lui. J'appréhende un peu, me demandant quel degré de douleur je vais ressentir. Mais je suis heureux de lui offrir mon corps, je veux qu'il me prenne, qu'il me fasse crier, et sentir ses doigts me pénétrer et me masser m'excite beaucoup.
Il se redresse, se presse à l'orée de mon intimité, et je lui souris pour l'encourager.
Je serre les dents tandis qu'il me pénètre, je n'arrive pas à croire qu'il ait accepté ça de moi sans même dire un mot, mais je ne vais pas faire le délicat, pas question ! Heureusement, la douleur reflue, remplacée par une sensation de plaisir qui me permet de me détendre, et d'apprécier pleinement le fait que mon homme me fait l'amour, bientôt, je laisse échapper force gémissements, quel bonheur, ça valait largement la peine de souffrir un peu. Mais je me promets de trouver du lubrifiant... Yann accélère, il me pilonne, maintenant, oh que c'est bon, oh Yann, je suis au septième ciel, je suis avec toi, je suis...
Je pousse un cri en jouissant, et Yann me rejoint l'instant d'après, je sens sa semence m'emplir, je l'embrasse, je veux le remercier pour... pour tant de choses. Mais ses yeux étincellent, je n'ai pas besoin de lui dire merci, il sait déjà, je le lis sur son visage.
Nous passons un moment tendrement enlacés, échangeant baisers et caresses, baignant dans ce doux bonheur d'être avec l'être aimé, vivant pleinement notre amour.
Yann bâille à s'en décrocher la mâchoire, et je ne suis pas loin d'en faire autant.
- Je propose une bonne douche avant de dormir.
- Oui.
J'ouvre la porte et l'invite à me suivre. Il ouvre de grands yeux.
- Isa est chez toi, Phil avec ses potes, et mes parents chez des amis.
- Tu es sûr ?
- Évidemment. Mes parents ont organisé pour nous deux un week-end de tranquillité.
- Isa ne va pas passer la nuit chez moi.
- Non, chez une copine.
- Ta famille... elle est formidable.
Les productions d'inny :
Série des secrets : One shots La saga d'outremonde (fantastique avec des personnages gays)
Série des secrets : One shots La saga d'outremonde (fantastique avec des personnages gays)