02-02-2021, 12:08 PM
La nuit s’était très bien déroulée. Pas de problème, pas de cauchemar et pas pipi dans la couche.
Le matin, le train-train habituel. Douche, petit-déjeuner, habillage et lange pour faire les exercices de kiné. La matinée était très vite derrière nous.
Le repas de midi était meilleur que celui de la veille. Nous avions mangé de bon appétit.
La petite sieste pour reprendre des forces.
A 14h00 j’étais à nouveau chez la psy. J’étais content d’y aller. Je pouvais me rendre compte que beaucoup de personnes tenaient à moi et que je pouvais toujours trouver quelqu’un dans mon entourage à qui me confier ou demander de l’aide. J’avais pris conscience que je n’étais pas seul.
Maman était passée début d’après-midi. Elle m’avait apporté des chocolats ainsi que pour Benoît. Puis vers 15h00, nous avions entendu frapper à la porte. J’avais directement vu que c’était André. Voir André m’avait fait comme un choc. Je m’étais mis à pleurer. Directement André était venu m’enlacer. Il me consolait.
Après avoir repris mes esprits, nous avons un peu discuté ; il me disait :
And : « Oh Phil, je te considère comme mon frère, je sais que c’est dur et que tu ne sais pas oublier ton ami Henri. Je suis certain qu’il te regarde depuis là haut et qu’il voudrait que tu tournes la page. Alors, promets-moi devant Dieu et devant Henri que tu ne referas plus jamais ça.
André avait les larmes aux yeux. Il s’est approché de moi et m’avait donné un baiser sur le front.
Benoît était médusé. Il se demandait ce qui se passait.
Moi : Merci André, je sais que tu me considères comme ton frère. Je te jure que je ne recommencerai plus. Je tiens à toi et à ma famille, je ne veux plus les faire souffrir comme je l’ai fait.
And : J’espère que tu tiendra ta promesse. Tu pourras toujours compter sur moi, si tu as le moindre problème, viens me voir.
Moi : Promis André. Merci d’être là pour moi.
And : Tu vois Phil, il y a beaucoup de personnes qui tiennent à toi. Ne l’oublie jamais.
Moi : Oui, je sais maman m’en a parlé et j’en ai parlé avec la psy il y a à peine une heure. Merci de m’aimer.
And : Oui, Phil. Je t’aime, on t’aime. »
Une fois les effusions terminées, j’avais présenté mon visiteur à Benoît. Nous avions discuté tous les trois durant tout le reste de l’après-midi, maman ayant du partir pour son travail, sans que je ne puisse la voir. Benoît n’avait pas eu de visite cette après-midi là.
Ben : « André a parlé d’un certain Henri, c’était ton ami et André c’était son frère !
Moi : Oui Ben, c’est bien ça.
Ben : Phil, je pense avoir compris, je vais être franc avec toi, Henri c’était ton petit ami ?
Moi : Euh, Ben, ce n’est pas si facile, heu… on ne se connaît pas encore bien, mais…tu as raison.
Ben : Je m’en doutais. Ne te fâche pas, mais j’ai de suite vu à ton arrivée dans la salle d’exercices le premier jour que tu étais homo.
Moi : Ben, je vais être tout à fait franc avec toi, j’ai eu la même sensation quand je t'ai vu !
Ben : Ah bon, mais je ne sais pas si je suis …gay !
Moi : Ne te fais pas de bile, ne t’inquiète pas. Ça te dérange que je sois homo ?
Ben : Alors pas du tout. Tu es comme tu es et je te respecte.
Moi : Merci Ben. Merci à toi. Puis-je te demander de me refiler ton adresse ou ton numéro de téléphone, nous pourrions rester en contact.
Ben : Mais bien sur, j’allais te demander la même chose, car demain je quitte l’hôpital.
Moi : Déjà, tu pars demain. J’espère que je vais aussi bientôt quitter l’hosto, car je vais déprimer sans t’avoir auprès de moi.
Ben : Ne t’inquiète pas. Je passerai te voir si tu restes quelques jours de plus.
Moi : Dis moi Ben, tu crois que je pourrai aller chez les scouts dans ta troupe ?
Ben : Mais bien évidement Phil, je serai très heureux de te revoir chez les scouts de mon unité.
Moi : Oh merci Ben, dès que je suis sorti d’ici je te contacte pour tous les renseignements sur la troupe. Oh, j’ai hâte d’être plus vieux de quelques jours !
Ben : Ah oui, je le vois Phil, tu as les yeux qui brillent de bonheur. C’est beau à voir.»
Moi : Arrête tes bêtises !
Ben Non Phil, je ne blague pas, tu as l’air d’aller beaucoup mieux.
Moi : Merci Ben. Je voudrai tant être ton copain, ton ami.
Ben : Phil, je te considère déjà comme mon ami. Je te promets de le rester.
Moi : Ben, c’est comme un poids qui vient de me quitter, je me sens plus léger, je me sens un peu plus heureux, bien que je pense encore à Henri. Merci Ben. »
Voilà le repas du soir qui arrive. Nous avions mangé en discutant encore des scouts. Puis, nous avions demandé de pouvoir aller au jardin à l’infirmière, celle-ci a accepté sans problème, elle savait que nous étions assez sages pour nous laisser y aller seuls.
C’est comme la veille, Alex était venu nous rechercher au jardin. Nous avions profité de ce bon bol d’air.
Alex : « Oh les gars, on voit que ça va beaucoup mieux pour vous deux. Vous avez l’air d’être en meilleure forme. Benoît, tu nous quitte demain, c’est ça.
Ben : Oui Alex, demain avant midi je serai dehors.
Alex : Et toi Phil, tu nous quitte quand ?
Moi : Tu sais Alex, je ne sais pas, je pense dans quelques jours.
Alex : Je suis content pour vous. Je suis heureux de voir que vous vous en êtes bien sortis. »
Nous étions revenus dans la chambre. Nous avions directement été dans la salle d’eau pour prendre notre douche. Une douche à deux comme nous avions pris l’habitude de le faire.
Une fois sous les jets de la douche, j’avais remarqué que Benoît avait son phallus à moitié bandé, pour moi c’était la même chose. La chaleur de l’eau ajoutant à la chaleur des corps, je m’étais mis à bander plus fort en étant à côté de l’être sensiblement convoité. Benoît de son côté tentait semble-t-il de résister, mais son sexe avait pris encore plus de dimension. L’air de rien je m’étais rapproché de Benoît, j’avais ma figure à moins de dix centimètres de la sienne.
J’avançais alors mes lèvres vers sa bouche. Puis dans un sursaut bien venu j’avais plaqué mes lèvres sur les siennes. Benoît me regardait dans les yeux et de suite il avait ouvert ses lèvres pour laisser ma langue entrer dans sa bouche. Nos langues s’étaient trouvées, elles se touchaient, s’écartaient pour mieux se reprendre par après. Nous avions les yeux fermés et l’eau coulait sur nos corps dont la peau était offerte aux caresses de nos mains. Nous avions laissé nos lèvres pour qu’elles puissent enfin entrer en contact avec nos lobes d’oreilles, avec nos tétons, avec notre buste.
Puis je m’étais enhardi et je m’étais baissé, je m’étais approché de son ventre et je léchais le nombril de Benoît. Ma bouche descendait vers son pubis, j’arrivais aux poils pubiens et ma langue les caressait. Benoît gémissait en toute retenue. Puis c’était lui qui avait repris le dessus. Il me relevait, et puis dans un sursaut, sa langue mordillait mes tétons puis elle était descendue au niveau de mon nombril. Je commençais à ressentir des fourmillements au niveau de mon bas ventre.
Puis Benoît ayant pris sur lui il avait posé ses lèvres sur mon vis. Il léchait mon gland qui sécrétait déjà du pré cum. Puis j’avais repris le dessus, j’avais posé mes lèvre sur son anatomie bandée, j’avais léché le dessus de son gland en partie recouvert de son prépuce. Puis j’avais mis son sexe bandé dans ma bouche. J’avais fait quelques mouvements de va et vient. Benoît haletait de plus en plus. J’avais laissé son sexe pour me remettre debout face à lui. Nous nous étions une nouvelle fois embrassé, nos langues se titillaient à nouveau, nos yeux étaient pétillants, ils étaient remplis d’étoiles. Puis d’un commun accord nous avions pris le sexe de l’autre pour franchement nous masturber mutuellement. Nous nous procurions beaucoup de sensations, mais c’était très doux, c’était plein de volupté. Nous nous découvrions, nous nous aimions, nous nous étreignions. Nos corps ne faisaient plus qu’un, nous étions à l’unisson, collés l’un à l’autre. C’est avec volupté que nous échangions encore et encore des baisers avec nos lèvres, avec nos bouches soudées. J’avais repris l’initiative, j’avais pris dans ma main nos deux sexes que je masturbais en même temps, au même rythme et après quelques minutes, dans un râle partagé, nous avions joui comme jamais, nous étions à l’unisson tant au point de vue physique, nous avions jouis ensemble en même temps, qu’au point de vue cérébral. Nous nous étions enfin découverts, tels que nous étions, tels que nous voulions être, tels deux êtres enfin réunis.
Une fois toute cette excitation passée, nous nous étions une nouvelle fois embrassés, sans aucun mot échangé, en toute harmonie, nous étions semble-t-il liés par une force invisible.
Nous nous étions alors lavés au savon. Puis j’avais entrepris de nettoyer le gland de Benoît, je le décalottais et procédais à son nettoyage. Benoît avait fait la même chose avec mon sexe, il avait bien compris comment il fallait s’y prendre pour dégager le prépuce. Une fois notre toilette terminée, nous nous étions séchés l’un l’autre pour ensuite quitter cette salle d’eau, salle d’eau témoin d’une union de corps et d’esprit.
Nous nous étions couchés, dans le même lit, fatigués, mais très heureux d’avoir pu enfin nous monter notre amour réciproque.
Je recommençais enfin à VIVRE !
Alex était entré dans la chambre, sans faire de bruit. Il nous avait vus endormis. Il avait fermé la lumière et nous avait laissé enlacer, après avoir remis la couverture sur nos corps dénudés.
Nous avions Benoît et moi passé la nuit ensemble, dans le même lit. Alex avait compris depuis longtemps que nous étions faits l’un pour l’autre. C’était un infirmier hors pair, il avait une intuition hors du commun.
La nuit s’était déroulée normalement, je n’avais pas été langé et j’étais resté sec. Benoît avait de son côté trouvé un ami, son petit ami, moi. Il en était pour moi de même ! En fait j’étais heureux, j’avais eu un coup de foudre envers Benoît, il était devenu mon nouveau copain, mon nouvel ami, mon nouveau centre d’intérêt. Bref j’avais pu en fait faire mon deuil d’Henri, sans même m’en rendre compte. Bien sur que je gardais mon Henri dans mon cœur, mais il fallait que je dépasse cet épisode, que je me projette dans l’avenir sans pour autant oublier qu’il avait été pour moi une grande source de bonheur.
J’avais enfin pu prendre sur moi et j’avais pu envisager l’avenir sans Henri et libre dans ma tête.
Au matin, Alex était venu nous réveiller plutôt que d’habitude, il ne voulait pas que les infirmières de jour nous découvrent ainsi enlacés dans le même lit.
Nous lui avions été très reconnaissants.
Le matin, le train-train habituel. Douche, petit-déjeuner, habillage et lange pour faire les exercices de kiné. La matinée était très vite derrière nous.
Le repas de midi était meilleur que celui de la veille. Nous avions mangé de bon appétit.
La petite sieste pour reprendre des forces.
A 14h00 j’étais à nouveau chez la psy. J’étais content d’y aller. Je pouvais me rendre compte que beaucoup de personnes tenaient à moi et que je pouvais toujours trouver quelqu’un dans mon entourage à qui me confier ou demander de l’aide. J’avais pris conscience que je n’étais pas seul.
Maman était passée début d’après-midi. Elle m’avait apporté des chocolats ainsi que pour Benoît. Puis vers 15h00, nous avions entendu frapper à la porte. J’avais directement vu que c’était André. Voir André m’avait fait comme un choc. Je m’étais mis à pleurer. Directement André était venu m’enlacer. Il me consolait.
Après avoir repris mes esprits, nous avons un peu discuté ; il me disait :
And : « Oh Phil, je te considère comme mon frère, je sais que c’est dur et que tu ne sais pas oublier ton ami Henri. Je suis certain qu’il te regarde depuis là haut et qu’il voudrait que tu tournes la page. Alors, promets-moi devant Dieu et devant Henri que tu ne referas plus jamais ça.
André avait les larmes aux yeux. Il s’est approché de moi et m’avait donné un baiser sur le front.
Benoît était médusé. Il se demandait ce qui se passait.
Moi : Merci André, je sais que tu me considères comme ton frère. Je te jure que je ne recommencerai plus. Je tiens à toi et à ma famille, je ne veux plus les faire souffrir comme je l’ai fait.
And : J’espère que tu tiendra ta promesse. Tu pourras toujours compter sur moi, si tu as le moindre problème, viens me voir.
Moi : Promis André. Merci d’être là pour moi.
And : Tu vois Phil, il y a beaucoup de personnes qui tiennent à toi. Ne l’oublie jamais.
Moi : Oui, je sais maman m’en a parlé et j’en ai parlé avec la psy il y a à peine une heure. Merci de m’aimer.
And : Oui, Phil. Je t’aime, on t’aime. »
Une fois les effusions terminées, j’avais présenté mon visiteur à Benoît. Nous avions discuté tous les trois durant tout le reste de l’après-midi, maman ayant du partir pour son travail, sans que je ne puisse la voir. Benoît n’avait pas eu de visite cette après-midi là.
Ben : « André a parlé d’un certain Henri, c’était ton ami et André c’était son frère !
Moi : Oui Ben, c’est bien ça.
Ben : Phil, je pense avoir compris, je vais être franc avec toi, Henri c’était ton petit ami ?
Moi : Euh, Ben, ce n’est pas si facile, heu… on ne se connaît pas encore bien, mais…tu as raison.
Ben : Je m’en doutais. Ne te fâche pas, mais j’ai de suite vu à ton arrivée dans la salle d’exercices le premier jour que tu étais homo.
Moi : Ben, je vais être tout à fait franc avec toi, j’ai eu la même sensation quand je t'ai vu !
Ben : Ah bon, mais je ne sais pas si je suis …gay !
Moi : Ne te fais pas de bile, ne t’inquiète pas. Ça te dérange que je sois homo ?
Ben : Alors pas du tout. Tu es comme tu es et je te respecte.
Moi : Merci Ben. Merci à toi. Puis-je te demander de me refiler ton adresse ou ton numéro de téléphone, nous pourrions rester en contact.
Ben : Mais bien sur, j’allais te demander la même chose, car demain je quitte l’hôpital.
Moi : Déjà, tu pars demain. J’espère que je vais aussi bientôt quitter l’hosto, car je vais déprimer sans t’avoir auprès de moi.
Ben : Ne t’inquiète pas. Je passerai te voir si tu restes quelques jours de plus.
Moi : Dis moi Ben, tu crois que je pourrai aller chez les scouts dans ta troupe ?
Ben : Mais bien évidement Phil, je serai très heureux de te revoir chez les scouts de mon unité.
Moi : Oh merci Ben, dès que je suis sorti d’ici je te contacte pour tous les renseignements sur la troupe. Oh, j’ai hâte d’être plus vieux de quelques jours !
Ben : Ah oui, je le vois Phil, tu as les yeux qui brillent de bonheur. C’est beau à voir.»
Moi : Arrête tes bêtises !
Ben Non Phil, je ne blague pas, tu as l’air d’aller beaucoup mieux.
Moi : Merci Ben. Je voudrai tant être ton copain, ton ami.
Ben : Phil, je te considère déjà comme mon ami. Je te promets de le rester.
Moi : Ben, c’est comme un poids qui vient de me quitter, je me sens plus léger, je me sens un peu plus heureux, bien que je pense encore à Henri. Merci Ben. »
Voilà le repas du soir qui arrive. Nous avions mangé en discutant encore des scouts. Puis, nous avions demandé de pouvoir aller au jardin à l’infirmière, celle-ci a accepté sans problème, elle savait que nous étions assez sages pour nous laisser y aller seuls.
C’est comme la veille, Alex était venu nous rechercher au jardin. Nous avions profité de ce bon bol d’air.
Alex : « Oh les gars, on voit que ça va beaucoup mieux pour vous deux. Vous avez l’air d’être en meilleure forme. Benoît, tu nous quitte demain, c’est ça.
Ben : Oui Alex, demain avant midi je serai dehors.
Alex : Et toi Phil, tu nous quitte quand ?
Moi : Tu sais Alex, je ne sais pas, je pense dans quelques jours.
Alex : Je suis content pour vous. Je suis heureux de voir que vous vous en êtes bien sortis. »
Nous étions revenus dans la chambre. Nous avions directement été dans la salle d’eau pour prendre notre douche. Une douche à deux comme nous avions pris l’habitude de le faire.
Une fois sous les jets de la douche, j’avais remarqué que Benoît avait son phallus à moitié bandé, pour moi c’était la même chose. La chaleur de l’eau ajoutant à la chaleur des corps, je m’étais mis à bander plus fort en étant à côté de l’être sensiblement convoité. Benoît de son côté tentait semble-t-il de résister, mais son sexe avait pris encore plus de dimension. L’air de rien je m’étais rapproché de Benoît, j’avais ma figure à moins de dix centimètres de la sienne.
J’avançais alors mes lèvres vers sa bouche. Puis dans un sursaut bien venu j’avais plaqué mes lèvres sur les siennes. Benoît me regardait dans les yeux et de suite il avait ouvert ses lèvres pour laisser ma langue entrer dans sa bouche. Nos langues s’étaient trouvées, elles se touchaient, s’écartaient pour mieux se reprendre par après. Nous avions les yeux fermés et l’eau coulait sur nos corps dont la peau était offerte aux caresses de nos mains. Nous avions laissé nos lèvres pour qu’elles puissent enfin entrer en contact avec nos lobes d’oreilles, avec nos tétons, avec notre buste.
Puis je m’étais enhardi et je m’étais baissé, je m’étais approché de son ventre et je léchais le nombril de Benoît. Ma bouche descendait vers son pubis, j’arrivais aux poils pubiens et ma langue les caressait. Benoît gémissait en toute retenue. Puis c’était lui qui avait repris le dessus. Il me relevait, et puis dans un sursaut, sa langue mordillait mes tétons puis elle était descendue au niveau de mon nombril. Je commençais à ressentir des fourmillements au niveau de mon bas ventre.
Puis Benoît ayant pris sur lui il avait posé ses lèvres sur mon vis. Il léchait mon gland qui sécrétait déjà du pré cum. Puis j’avais repris le dessus, j’avais posé mes lèvre sur son anatomie bandée, j’avais léché le dessus de son gland en partie recouvert de son prépuce. Puis j’avais mis son sexe bandé dans ma bouche. J’avais fait quelques mouvements de va et vient. Benoît haletait de plus en plus. J’avais laissé son sexe pour me remettre debout face à lui. Nous nous étions une nouvelle fois embrassé, nos langues se titillaient à nouveau, nos yeux étaient pétillants, ils étaient remplis d’étoiles. Puis d’un commun accord nous avions pris le sexe de l’autre pour franchement nous masturber mutuellement. Nous nous procurions beaucoup de sensations, mais c’était très doux, c’était plein de volupté. Nous nous découvrions, nous nous aimions, nous nous étreignions. Nos corps ne faisaient plus qu’un, nous étions à l’unisson, collés l’un à l’autre. C’est avec volupté que nous échangions encore et encore des baisers avec nos lèvres, avec nos bouches soudées. J’avais repris l’initiative, j’avais pris dans ma main nos deux sexes que je masturbais en même temps, au même rythme et après quelques minutes, dans un râle partagé, nous avions joui comme jamais, nous étions à l’unisson tant au point de vue physique, nous avions jouis ensemble en même temps, qu’au point de vue cérébral. Nous nous étions enfin découverts, tels que nous étions, tels que nous voulions être, tels deux êtres enfin réunis.
Une fois toute cette excitation passée, nous nous étions une nouvelle fois embrassés, sans aucun mot échangé, en toute harmonie, nous étions semble-t-il liés par une force invisible.
Nous nous étions alors lavés au savon. Puis j’avais entrepris de nettoyer le gland de Benoît, je le décalottais et procédais à son nettoyage. Benoît avait fait la même chose avec mon sexe, il avait bien compris comment il fallait s’y prendre pour dégager le prépuce. Une fois notre toilette terminée, nous nous étions séchés l’un l’autre pour ensuite quitter cette salle d’eau, salle d’eau témoin d’une union de corps et d’esprit.
Nous nous étions couchés, dans le même lit, fatigués, mais très heureux d’avoir pu enfin nous monter notre amour réciproque.
Je recommençais enfin à VIVRE !
Alex était entré dans la chambre, sans faire de bruit. Il nous avait vus endormis. Il avait fermé la lumière et nous avait laissé enlacer, après avoir remis la couverture sur nos corps dénudés.
Nous avions Benoît et moi passé la nuit ensemble, dans le même lit. Alex avait compris depuis longtemps que nous étions faits l’un pour l’autre. C’était un infirmier hors pair, il avait une intuition hors du commun.
La nuit s’était déroulée normalement, je n’avais pas été langé et j’étais resté sec. Benoît avait de son côté trouvé un ami, son petit ami, moi. Il en était pour moi de même ! En fait j’étais heureux, j’avais eu un coup de foudre envers Benoît, il était devenu mon nouveau copain, mon nouvel ami, mon nouveau centre d’intérêt. Bref j’avais pu en fait faire mon deuil d’Henri, sans même m’en rendre compte. Bien sur que je gardais mon Henri dans mon cœur, mais il fallait que je dépasse cet épisode, que je me projette dans l’avenir sans pour autant oublier qu’il avait été pour moi une grande source de bonheur.
J’avais enfin pu prendre sur moi et j’avais pu envisager l’avenir sans Henri et libre dans ma tête.
Au matin, Alex était venu nous réveiller plutôt que d’habitude, il ne voulait pas que les infirmières de jour nous découvrent ainsi enlacés dans le même lit.
Nous lui avions été très reconnaissants.