CHAPITRE CVIII
''Clamoribus et voluptatem''
''Clamoribus et voluptatem''
Burydan enlaça son petit minet et l'embrassa langoureusement. Il lui enleva sa chemise, révélant son joli torse fluet.
- Assieds toi sur le lit...
Rhonin s'assit. Burydan s'approcha et se mit à genoux. ''L'esclave assis et le maître à genoux, c'est pas banal'' se dit Rhonin. Burydan lui enleva chaussures et chaussettes. Il enleva sa chemise, révélant son torse viril et musclé et vu les yeux de son esclave se poser sur ses pecs. Il sourit et prit le pied droit de Rhonin.
Il se caressa les pectoraux avec, puis le mit face à lui. Il le couvrit de baisers mouillés, arrachant ses premiers soupirs à Rhonin. Puis il les lécha lentement, du talon à la naissance des orteils, passant sa langue juste en dessous. Rhonin se mit à gémir. Gémissements qui s'intensifièrent quand Burydan commença à les suçoter. Il les prenaient en bouche, passant sa langue dessus, dessous et entre, encore et encore, ses yeux gris plantés dans les yeux bleus brillants. Il reposa le pied droit et refit son petit manège avec le pied gauche.
Burydan déboucla la ceinture de son blondinet, dégrafa son pantalon et le fit glisser le long de ses jambes. Sa jolie bite était là, sous ses yeux, dure et palpitante. La petite trace visqueuse juste au dessus de son gland décalotté prouvait qu'il n'avait pas menti en disant qu'il avait bandé toute le journée en pensant à ce qu'allait lui faire son maître la nuit venue. Burydan caressa sa queue du bout des doigts et fit rouler ses belles couilles, toutes lisses et toutes rondes, dans la paume de sa main.
Il se releva, enleva chaussures et chaussettes, et s'approcha de son minet. Il mit une main derrière sa tête et l'attira vers lui. Rhonin se mit à lécher avec application son ventre bosselé. Il dessina de la pointe de sa langue les reliefs abrupts des abdominaux avant de plonger dans le nombril. Burydan gémit en sentant la petite langue rose tournoyer à l'intérieur.
Burydan le ventre brillant de salive, repoussa gentiment son petit esclave et dégrafa son pantalon. Tombant à ses chevilles, il révéla son sous-vêtement déformé par sa phénoménale érection, couchée contre sa hanche et son gland luttant pour se libérer. Il attira de nouveau Rhonin vers lui, et il se mit à frotter son visage contre cette belle colonne de chair encore emprisonnée dans son carcan de tissu. Il se mit à la lécher et à la mordiller. Quand Burydan le repoussa, le tissu était devenu presque transparent.
Il se remit à genoux et caressa l'intérieur des cuisses de son minet, son ventre tout chaud, ses jolis pecs en pinçant doucement ses tétons roses, puis se pencha en avant. Il lécha lentement la petite trace visqueuse et embrassa la bite de son blondinet sur toute sa longueur, du gland vers ses couilles, puis de ses couilles jusqu'à son gland, encore et encore. Ses gros baisers mouillés déclenchaient des vagues de plaisir dans le corps de Rhonin, qui attendait fébrilement que son maître le prenne en bouche.
Burydan poussa Rhonin pour qu'il se couche sur le lit, maintint la bite bien droite et avala son gland joufflu. Il commença à sucer son minet avec application, variant la cadence de ses hochements de tête et la profondeur de la fellation. Rhonin gémissait en caressant les cheveux de son maître.
Burydan recracha la queue dégoulinante de salive et se jeta sur les couilles de son minet. Il les goba, les suçota et les lécha un long moment. Puis, il prit Rhonin par les genoux et lui fit relever les jambes. Il se mit à lécher son périnée puis sa langue slaloma dans la raie de son blondinet.
Rhonin émit un petit hoquet quand il sentit la langue fouineuse de son maître s'attarder sur son œillet. La langue baveuse lissa les plis de son petit trou et se délecta de la chair rose tendre qui se cachait dessous, avant de l'écarter lentement et de pénétrer en lui. Allant et venant elle fit gémir Rhonin de plus belle.
Burydan tartina de salive son majeur et, en quelques secondes, son doigt se retrouva bien au chaud. Le cul de Rhonin était vraiment brûlant. Allant et venant dans son petit minet, Burydan lécha de nouveau son périnée, ses couilles et reprit sa bite en bouche. Rhonin poussait des petits cris de plaisir.
Burydan recracha de nouveau la queue de son esclave et retira ses doigts de son petit cul. Il regarda Rhonin qui était en transe. Il le prit par les aisselles et le jeta littéralement au milieu du lit comme s'il ne pesait rien. Il se débarrassa de son sous-vêtement, libérant enfin sa bite endolorie. Il se glissa entre les cuisses de Rhonin, se coucha de tout son long sur son esclave et l'embrassa à pleine bouche. Il frotta son érection contre celle de son minet et les deux bites se cajolèrent et se câlinèrent pendant que les deux corps ondulaient l'un contre l'autre.
Burydan se redressa sur les genoux et cracha dans sa main en regardant son esclave dans les yeux. Il tartina sa bite d'une bonne couche de salive et s'allongea de nouveau sur Rhonin. Il se tortilla pour que sa bite soit pile à l'entrée de l'antre brûlant de son minet et le pénétra d'un lent mouvement régulier. Le cul de son esclave ne se rebiffa même pas et Rhonin émit un long feulement.
Enfoncé jusqu'à la garde, Burydan resta ainsi un petit moment. Il sentit les cuisses de Rhonin s'enrouler autour de ses reins et ses talons appuyer sur ses fesses. Et Burydan commença à le limer lentement. Il allait et venait en lui en l'étouffant de baisers langoureux.
Il accéléra le rythme et l’amplitude des ses va-et-vient. Il mit ses bras autour du cou de Rhonin et le pénétra aussi profondément que possible. Rhonin léchait son épaule et son cou en geignant et en disant :
- Oh oui, maître... oh c'est bon... c'est trop bon... baisez moi, maître... baisez votre petit esclave... oh maître..
Burydan se laissa aller et se mit à pilonner son blondinet. Il sentit la main de Rhonin se glisser entre leurs deux ventres pour saisir sa queue. Burydan lui saisit les poignets et les épingla autour de la tête de son esclave.
Burydan ralentit lentement sa cadence, revint à des coups de reins plus lents, puis repartit de plus belle, amenant de plus en plus son petit minet aux portes de l'orgasme. Il se basait sur ses cris pour retarder le plaisir ultime le plus longtemps possible.
Rhonin était à deux doigts de jouir quand Burydan ressortit sa queue.
- A quatre pattes esclave...
Rhonin obéit. Burydan se mit à genoux dernière lui et le pénétra en le tenant par les hanches. Il le lima en accélérant régulièrement. Rhonin criait comme un perdu pendant que les couilles de Burydan giflaient son cul. Rhonin passa sa main sous son ventre pour attraper sa queue en feu, mais Burydan le poussa entre les omoplates. La tête enfoncé dans l'oreiller, l'esclave sentit son maître emprisonner ses poignets dans une de ses mains.
- Oh oui maître ! Plus fort ! Encore plus fort ! Oh mes dieux ! Oui ! Oui ! Ouiii !
Burydan se coucha sur lui et donna une impulsion. Il se retrouvèrent en petite cuillère et Burydan ralentit ses coups de reins. Il mit un bras autour du torse de son minet, tint sa jambe écartée de l'autre et il le martela de plus en plus vite et de plus en plus fort, le forçant à tourner la tête pour l'embrasser à pleine bouche. De nouveau Rhonin voulu saisir sa bite et de nouveau Burydan l'en empêcha.
Une douleur de frustration commença à faire gémir Rhonin. Il voulait jouir. Il voulait que son maître le laisse se branler, sinon ses bourses allaient exploser. Mais Burydan continua à le torturer, faisant refluer le plaisir à chaque fois. Et quand Rhonin tentait de saisir son sexe, il lui mettait une petite tape sur la main en disant :
- Touche pas, c'est à moi !
Burydan, à genoux entre les cuisses de son minet l'empalait sur sa grosse queue, leur deux corps ruisselants de sueur exhalant une odeur de mâles en rut qui grisaient leurs sens. Burydan se coucha sur Rhonin qui pleurait presque de frustration.
- Tu aimes, bébé, tu aimes ce que je te fais ?
- Oh oui maître...
- Vraiment ?
- Oh oui maître...
- Tu veux que je m'arrête encore ?
- Oh non, maître... je vous en supplie... faites moi... faites moi jouir...
- Tu es sûr ?
- Oh oui maître... pitié... j'en peux plus...
- Demande grâce...
- Oh grâce maître... grâce... faites moi hurler de plaisir...
Burydan sourit et l’embrassa.
- Tant mieux, bébé, parce que là, de toute façon, je ne peux plus m'arrêter...
Burydan se remit à genoux, martela son minet et commença à le masturber frénétiquement. Rhonin était tellement excité que quelques mouvements de poignet suffirent à le faire jouir. Et Burydan fut surpris de la quantité de sperme qui fusa de sa queue. Il se coucha de nouveau sur lui et le rejoignit au Tiantang en trois puissants coups de reins.
Ils restèrent ainsi un long moment, savourant les répliques de leur orgasme, leurs corps collés l'un à l’autre par leur sueur et les abondantes giclées de foutre de Rhonin.
Burydan déposa une kyrielle de bisous dans le cou de Rhonin et planta ses yeux gris dans les beaux yeux bleus.
- Ça va ?
- Oh, maître... jamais je n'ai jouit comme ça... j'ai cru que j'allais mourir de frustration... jamais je n'ai crié aussi fort... jamais mon sperme ne m'a semblé aussi brûlant...
- Tu ne m'en veux pas trop de t'avoir torturé ainsi ?
- Vous en vouloir... oh, maître, c'était... merveilleux...
- Dans ce cas nous ferons l'amour ainsi tous les jours...
Yeux exorbités, Rhonin le regarda... Et Burydan éclata de rire.
- D’accord, de temps en temps seulement... petit joueur...
Il lui donna un petit poutoune tout tendre et se coucha à côté de lui. Rhonin regarda le torse de son maître et le sien, tous deux maculés de son sperme. Il bondit sur ses pieds, alla jusqu'à la salle d'eau et en revint avec un linge humide pour débarbouiller son maître. Mais celui-ci retint son poignet et dit :
- Lèche d'abord...
Rhonin sourit. Il se rappela que, lors de leur première fois, chez dame Alduine, il lui avait ordonné la même chose. Rhonin lécha donc le torse de son maître, en insistant, évidemment, sur ses sublimes pectoraux. Il se remit à genoux et Burydan le saisit par les hanches en disant :
- Viens...
et son maître lécha son corps avec application, en insistant sur ses petits tétons roses.
Enfin débarbouillés, Rhonin posa sa tête sur l'un des pecs de Burydan Ils se câlinèrent, se cajolèrent et se mignonèrent un long moment et ils s'endormirent, enlacés et heureux.