21-01-2021, 05:47 PM
Et disant ça, elle laisse tomber ses bras le long du corps, me dévoilant ses deux seins aux tétons roses et crispés. Mon sexe est plus tendu que jamais. Je reprends peu à peu le contrôle de mon corps et je m’approche de Clémence. Je veux rentrer dans son jeu alors je tends doucement une main vers sa poitrine… mais elle me repousse !
- Ah non, Cyril. Tu ne pourras pas toucher, c’est ta punition pour m’avoir maté toute à l’heure ! dit-elle avec une lumière féroce dans les yeux.
Puis d’un geste autoritaire, elle me fait signe de m’assoir sur une des chaises de la cuisine. Je m’exécute et je m’installe, le sexe toujours tendu. Clémence s’assied en face de moi, sur une deuxième chaise. Je ne perds pas une miette de la vue que m’offre son corps. Ses seins ressemblent un peu à ceux de Marianne : d’une bonne taille, bien ronds et fermes. Le teint de sa peau est plus pâle. Elle me fixe intensément de ses yeux bleus puis, sans crier gare, elle passe une main sous mes testicules qu’elle masse doucement. Le contact me fait frissonner. Puis avec sa deuxième main, elle entoure mon sexe et se met à me branler doucement d’abord puis de plus en plus énergiquement. Je ressens comme une douce chaleur monter de mon sexe et des vagues de plaisir traversent mon corps.
- Mmh Clém c’est bon !
- Tais toi ! Tu vas te vider les couilles maintenant, dit-elle en accélérant encore le mouvement.
Je tend un main vers l’avant et j’attrape un de ses seins. Cette fois, elle se laisse faire et je malaxe se poitrine doucement. Je suis sur le point de jouir. Clém s’en rend compte et brusquement, elle prend mon sexe en bouche. Quelques coups de langues et j’éjacule en grosses saccades, en poussant un gémissement de plaisir. Elle me garde en bouche pendant encore quelques secondes, le temps de bien me nettoyer. Puis quand elle a fini, elle me dit assez froidement :
- C’est tout de que je peux faire pour toi Cyril… Je vais dans ma chambre, ne m’attend pas pour diner ce soir.
Et elle me laisse là, assis sur une chaise de la cuisine, la bite pendante entre les jambes. Essoufflé, sans savoir si je dois être content ou pas…Je me réveille en sursaut dans le train. Est-ce que je viens de rêver ? Je ne sais plus très bien… et j’ai mal à la tête. Un coup d’œil par la fenêtre du wagon m’indique qu’il fait beau temps. Et surtout, il est à peine 17h00. J’ai dû rêver finalement. Un rêve perturbant. D’ici peu de temps, je serai chez moi pour passer ce grand week end de 4 jours en famille. Qu’est ce que Clémence est mignonne à poil, pensé-je, même si ce n’est que dans mon imagination ! Et je souris bêtement à cette idée.
Le week end se passe bien. C’est l’occasion de revoir mes parents, de retrouver ma chambre. Avec un pote du lycée que je n’ai pas vu depuis longtemps, on va manger au resto. J’aurais bien voulu revoir ma sœur mais Justine n’est pas rentrée à la maison : trop de travail. Et finalement, le Dimanche après-midi, je prends le train en sens inverse. J’arrive à la coloc en début de soirée. Clémence m’attend, visiblement de très bonne humeur. Entre temps, les images de mon rêve me sont sorties de la tête et je n’ai pas de gêne particulière à me retrouver avec elle dans la cuisine.
- Tu as fait quoi ces derniers jours, demandé-je curieux.
- Oh pas grand-chose. J’ai invité un ami à la maison samedi soir, dit-elle en rougissant légèrement.
Je reste de marbre. Je déteste quand Clém invite des « amis » à la maison. Je sais très bien ce qui se passe dans la chambre et ça m’énerve. C’est bête, c’est pas comme si on sortait ensemble après tout… Mais ça m’énerve alors je m’arrange toujours pour quitter la maison avant que l’ami arrive et pour rentrer tard afin de ne pas avoir à lui dire bonjour.
- Et j’ai une grande nouvelle ! ajoute Clémence.
- Quoi, tu vas te marier ?
- Non c’est pas ça, idiot, dit-elle en rigolant. Je vais recommencer l’équitation.
- Tu fais du cheval toi ?
- Je te l’avais déjà dit !
- Ah oui ça me revient…
Elle m’avait en effet dit qu’elle faisait du cheval dans les premiers jours de notre rencontre. Elle avait arrêté en entrant à la fac, pensant sans doute que l’emploi du temps serait incompatible.
- Ca sera le Samedi. Je ferai des compétitions et tout ! Tu m’accompagneras par fois ?
Malgré tout, je suis heureux qu’elle me demande de l’accompagner. Alors, avec un grand sourire, j’accepte et je lui dis que c’est formidable et qu’elle doit avoir fière allure sur un cheval. La conversation continue sur nos week-end respectifs, nous mangeons et au dodo ! Demain, une dure journée de travail nous attend.
La semaine se déroule sans incident. Vendredi soir, Clem ne parle que de son cours d’équitation de demain. Elle a hâte de rencontrer son nouveau cheval ( elle en parle comme d’un être humain ) et blablabla. De ce que je comprends, ça dure toute la journée comme un stage. De 10h à 17h en périphérie de la ville. Elle se débrouille pour y aller, elle a le permis. Si ça vous intéresse, le permis je le passe dans quelques mois !
Il me vient l’idée géniale de me lever plus tôt Samedi matin pour préparer son petit dèj à Clémence qui sera forcément à la bourre. Je règle donc le réveil et au matin, je vais sur la pointe des pieds dans la cuisine pour préparer diverses choses : chocolat chaud, biscuits, fruits. Je suis vraiment un gars sympa… Je pose tout ça sur un plateau et je lui apporte le petit déjeuner au lit. Je frappe à la porte de sa chambre et une voie toute ensommeillée me répond.
- Oui ?
- C’est moi, je t’apporte le petit déjeuner !
- Oh c’est gentil ça ! Entre !
Je trouve Clémence dans son lit, les couvertures remontées jusqu’au menton. Elle me fait un grand sourire.
- Je me suis dit que j’allais te simplifier la vie se matin, dis-je en posant le plateau sur le bord du lit.
- Ca a l’air délicieux ! répond-elle.
Mais elle ne bouge pas d’un pouce et un silence gênant s’installe.
- Tu n’as pas faim ? finis-je par demander.
- Si si, c’est juste que tu vois, euh… euh…enfin… j’ai dormi seins nus cette nuit alors… Ecoute, ferme les yeux. Ferme les yeux !
Je m’exécute. Je comprends pourquoi elle remontait ses couvertures aussi haut maintenant… Un bruit de tissu m’indique qu’elle enfile un vêtement. Je ne vous cache pas que j’ai très envie d’ouvrir les yeux…
- Ah non, Cyril. Tu ne pourras pas toucher, c’est ta punition pour m’avoir maté toute à l’heure ! dit-elle avec une lumière féroce dans les yeux.
Puis d’un geste autoritaire, elle me fait signe de m’assoir sur une des chaises de la cuisine. Je m’exécute et je m’installe, le sexe toujours tendu. Clémence s’assied en face de moi, sur une deuxième chaise. Je ne perds pas une miette de la vue que m’offre son corps. Ses seins ressemblent un peu à ceux de Marianne : d’une bonne taille, bien ronds et fermes. Le teint de sa peau est plus pâle. Elle me fixe intensément de ses yeux bleus puis, sans crier gare, elle passe une main sous mes testicules qu’elle masse doucement. Le contact me fait frissonner. Puis avec sa deuxième main, elle entoure mon sexe et se met à me branler doucement d’abord puis de plus en plus énergiquement. Je ressens comme une douce chaleur monter de mon sexe et des vagues de plaisir traversent mon corps.
- Mmh Clém c’est bon !
- Tais toi ! Tu vas te vider les couilles maintenant, dit-elle en accélérant encore le mouvement.
Je tend un main vers l’avant et j’attrape un de ses seins. Cette fois, elle se laisse faire et je malaxe se poitrine doucement. Je suis sur le point de jouir. Clém s’en rend compte et brusquement, elle prend mon sexe en bouche. Quelques coups de langues et j’éjacule en grosses saccades, en poussant un gémissement de plaisir. Elle me garde en bouche pendant encore quelques secondes, le temps de bien me nettoyer. Puis quand elle a fini, elle me dit assez froidement :
- C’est tout de que je peux faire pour toi Cyril… Je vais dans ma chambre, ne m’attend pas pour diner ce soir.
Et elle me laisse là, assis sur une chaise de la cuisine, la bite pendante entre les jambes. Essoufflé, sans savoir si je dois être content ou pas…Je me réveille en sursaut dans le train. Est-ce que je viens de rêver ? Je ne sais plus très bien… et j’ai mal à la tête. Un coup d’œil par la fenêtre du wagon m’indique qu’il fait beau temps. Et surtout, il est à peine 17h00. J’ai dû rêver finalement. Un rêve perturbant. D’ici peu de temps, je serai chez moi pour passer ce grand week end de 4 jours en famille. Qu’est ce que Clémence est mignonne à poil, pensé-je, même si ce n’est que dans mon imagination ! Et je souris bêtement à cette idée.
Le week end se passe bien. C’est l’occasion de revoir mes parents, de retrouver ma chambre. Avec un pote du lycée que je n’ai pas vu depuis longtemps, on va manger au resto. J’aurais bien voulu revoir ma sœur mais Justine n’est pas rentrée à la maison : trop de travail. Et finalement, le Dimanche après-midi, je prends le train en sens inverse. J’arrive à la coloc en début de soirée. Clémence m’attend, visiblement de très bonne humeur. Entre temps, les images de mon rêve me sont sorties de la tête et je n’ai pas de gêne particulière à me retrouver avec elle dans la cuisine.
- Tu as fait quoi ces derniers jours, demandé-je curieux.
- Oh pas grand-chose. J’ai invité un ami à la maison samedi soir, dit-elle en rougissant légèrement.
Je reste de marbre. Je déteste quand Clém invite des « amis » à la maison. Je sais très bien ce qui se passe dans la chambre et ça m’énerve. C’est bête, c’est pas comme si on sortait ensemble après tout… Mais ça m’énerve alors je m’arrange toujours pour quitter la maison avant que l’ami arrive et pour rentrer tard afin de ne pas avoir à lui dire bonjour.
- Et j’ai une grande nouvelle ! ajoute Clémence.
- Quoi, tu vas te marier ?
- Non c’est pas ça, idiot, dit-elle en rigolant. Je vais recommencer l’équitation.
- Tu fais du cheval toi ?
- Je te l’avais déjà dit !
- Ah oui ça me revient…
Elle m’avait en effet dit qu’elle faisait du cheval dans les premiers jours de notre rencontre. Elle avait arrêté en entrant à la fac, pensant sans doute que l’emploi du temps serait incompatible.
- Ca sera le Samedi. Je ferai des compétitions et tout ! Tu m’accompagneras par fois ?
Malgré tout, je suis heureux qu’elle me demande de l’accompagner. Alors, avec un grand sourire, j’accepte et je lui dis que c’est formidable et qu’elle doit avoir fière allure sur un cheval. La conversation continue sur nos week-end respectifs, nous mangeons et au dodo ! Demain, une dure journée de travail nous attend.
La semaine se déroule sans incident. Vendredi soir, Clem ne parle que de son cours d’équitation de demain. Elle a hâte de rencontrer son nouveau cheval ( elle en parle comme d’un être humain ) et blablabla. De ce que je comprends, ça dure toute la journée comme un stage. De 10h à 17h en périphérie de la ville. Elle se débrouille pour y aller, elle a le permis. Si ça vous intéresse, le permis je le passe dans quelques mois !
Il me vient l’idée géniale de me lever plus tôt Samedi matin pour préparer son petit dèj à Clémence qui sera forcément à la bourre. Je règle donc le réveil et au matin, je vais sur la pointe des pieds dans la cuisine pour préparer diverses choses : chocolat chaud, biscuits, fruits. Je suis vraiment un gars sympa… Je pose tout ça sur un plateau et je lui apporte le petit déjeuner au lit. Je frappe à la porte de sa chambre et une voie toute ensommeillée me répond.
- Oui ?
- C’est moi, je t’apporte le petit déjeuner !
- Oh c’est gentil ça ! Entre !
Je trouve Clémence dans son lit, les couvertures remontées jusqu’au menton. Elle me fait un grand sourire.
- Je me suis dit que j’allais te simplifier la vie se matin, dis-je en posant le plateau sur le bord du lit.
- Ca a l’air délicieux ! répond-elle.
Mais elle ne bouge pas d’un pouce et un silence gênant s’installe.
- Tu n’as pas faim ? finis-je par demander.
- Si si, c’est juste que tu vois, euh… euh…enfin… j’ai dormi seins nus cette nuit alors… Ecoute, ferme les yeux. Ferme les yeux !
Je m’exécute. Je comprends pourquoi elle remontait ses couvertures aussi haut maintenant… Un bruit de tissu m’indique qu’elle enfile un vêtement. Je ne vous cache pas que j’ai très envie d’ouvrir les yeux…