21-01-2021, 05:46 PM
Je me fige instantanément. J’ai peur de comprendre… Sarah retire le foulard de devant ses yeux et son regard se pose sur moi. Elle n’a pas du tout l’air surprise, comme si tout cela avait été prévu de longue date… Elle me dévisage puis son regard descend vers ma bite toujours en érection. Il rit et me fait signe de m’assoir devant elle. Je n’ose rien dire et je m’exécute. Sarah est toujours à quatre pattes et Guillaume reprend se place derrière elle. Quand à moi je suis assis sur le lit, le sexe tendu, tout près de la tête blonde de Sarah. Guillaume reprend ses va-et-vients dans le cul de la jeune fille qui se met à gémir. Elle me regarde en souriant puis d’un seul coup, elle prend mon gland dans sa bouche. Je ne m’y attendais pas du tout et un frisson de plaisir parcourt mon corps. J’ai du mal à y croire. Elle s’applique à me sucer tandis que Guillaume continue de la limer par derrière. Elle pousse des gémissements de plaisir un peu étouffés par mon sexe dans sa bouche. C’est une sensation extraordinaire. Soudain, avant même que je réalise ce qui se passe, ma tête bascule en arrière et je pousse en gémissement de plaisir en jouissant directement dans la bouche de Sarah.
Je lui lance un regard d’excuse, honteux de n’avoir pas réussi à me contrôler. Mais elle ça n’a pas l’air de la déranger : elle continue de me sucer et de bien nettoyer mon gland.
- Je vais jouir en toi maintenant ma chérie, déclare Guillaume.
- Vas-y, je veux sentir ton sperme en moi… gémit-elle.
Il accélère le rythme de ses coups de rein et mets de petites fessées sur le joli cul de Sarah. Cette dernière libère mon sexe, et se mets à crier de plaisir sans se retenir. Je vois ses yeux s’écarquiller, tout son corps se mettre à trembler alors qu’elle se rapproche de l’orgasme. Eet elle finit par jouir tandis que Guillaume se vide dans petit cul en soupirant. Epuisée, elle s’effondre sur le lit. Nous restons un moment comme ça, à caresser son corps pendant qu’elle reprend son souffle. Puis vient l’heure de nous séparer. Nous nous rhabillons tous en passant par la case salle de bain. Je quitte en premier l’appartement de Guillaume. Sur le pas de la porte, Sarah me dit :
- La prochaine fois c’est ton sexe bien dur que je veux sentir en moi.
Elle me fait un clin d’œil et Je lui rends son sourire. J’adresse un regard de gratitude à Guillaume puis je rentre chez moi. J’ai encore du mal à réaliser ce qui s’est passé. Et quand, de retour à l’appart, Clémence me demande si j’ai passé une bonne après-midi, je lui réponds simplement :
- Pas trop mal.
Le temps passe l’air de rien et nous voilà déjà arrivés aux vacances de la Toussaint. A la fac, nous n’avons pas vraiment de vacances mais plutôt un grand week-end de quatre jours. J’ai décidé de rentrer chez moi pour l’occasion : ça fait longtemps que je n’ai pas revu mes parents après-tout. Mon billet de train est réservé. Départ en fin d’après-midi. Avec Guillaume, nous n’avons pas reparlé des événements de ces derniers jours, à la fac il vaut mieux rester discret ! Avec Clémence, nous nous entendons de mieux en mieux depuis l’incident avec la douche, bizarrement. Une bonne complicité s’est établie. Elle a prévu de rester ici ce week-end. Tout va bien dans la coloc.
Sur le coup des 15 heures, Clémence quitte l’appartement pour faire des courses. Comme elle ne rentrera pas avant mon départ, elle me fait la bise, me souhaite un bon voyage et s’en va. Une demi-heure plus tard, alors que je boucle ma valise, la pluie se met à tomber. Je suis à peu près sûr que Clém est partie sans parapluie… Mon train part dans trois quarts d’heure mais c’est maintenant un vrai orage qui s’abat sur la ville. La pluie tombe en grosses gouttes, il fait très sombre. Foudre et tonnerre se succèdent dans un vacarme assourdissant. Inquiet, j’essaye d’appeler ma Clémence sur son portable mais impossible de la joindre. Je consulte ensuite le site internet de la gare où j’apprends que tous les départs de trains sont annulés en raison des intempéries…
J’appelle mes parents pour les prévenir que mon séjour chez eux est compromis puis, un peu dégouté, je m’enferme dans ma chambre. Je me mets en caleçon, t-shirt et je m’allonge sur mon lit avec un livre. Vers 18 heures, La porte de l’appartement s’ouvre et se referme. Clémence vient de rentrer. Elle ne peut pas se douter que je suis encore là. Bah… ça lui fera une surprise. Le temps de finir mon chapitre, j’entends un peu de remue-ménage dans la maison, d’abord dans la salle de bain puis dans la cuisine. Je referme mon bouquin, je me lève et je me dirige donc dans la cuisine.
En entrant dans la pièce, mon cœur manque un battement. Je découvre Clémence comme je ne l’avais encore jamais vue… Dos à moi elle ne m’a donc pas encore remarqué. Ses vêtements son posés en chiffon dans un coin, elle a une serviette à la main avec laquelle elle se sèche les cheveux. Elle est totalement nue… Je reste figé, incapable de bouger ou de dire un mot. Je contemple son joli dos, la marque de sa colonne vertébrale qui creuse un sillon descendant jusqu’à ses fesses. Elle se penche en avant pour se sécher les jambes, m’offrant ainsi une vue divine son sont petit cul bien ferme. Mon sexe en érection fait une bosse énorme sur mon boxer, mais c’est bien la seule partie de mon corps qui est capable de bouger… Après de longue secondes, Clémence se retourne et réalise ma présence. Elle pousse un petit cri, sursaute et de surprise, elle lâche sa serviette qui tombe à ses pieds. Par réflexe, elle se couvre la poitrine avec son bras droit replié et cahce sa petite chatte avec son autre main.
- Cyril ! Qu’est-ce que tu fais là ! s’exclame-t-elle, rouge de honte.
J’aimerais répondre mais seuls des bouts de phrase sortent de ma gorge. Mon regard fait et refait le tour de son corps, des ses cheveux mouillés qui tombent sur ses épaules nues, de sa poitrine qui déborde, de ses jambes fines…
- Je… Orage… train annulé…
- Mon pauvre Cyril, qu’est ce qu’il t’arrive ? Tu as pris la foudre ou quoi ? dit-elle avec ironie, en reprenant peu à peu une contenance. Je ne comprends rien de ce que tu marmonnes. Enlève ton t-shirt pour voir ?
Sans réfléchir et tout tremblant, je retire mon t-shirt. Clémence me sourit.
- C’est bien ce qu’il me semblait, tu bandes comme un cheval !
Je réalise que mon t-shirt cachait un peu mon érection. Mais maintenant que je suis en boxer, impossible de cacher la bosse au niveau de mon entre-jambe… Je deviens tout rouge.
- Alors Cyril, tu étais entrain de me mater et maintenant tu fais ton timide ? Ce sont mes fesses qui t’ont mis dans cet état là ?
- Oui… Enfin… Non… euh, Désolé… balbitué-je lamentablement.
- C’est trop tard pout t’excuser ! Je te laisse deux possibilités, soit tu retourne tranquillement dans ta chambre, soit on se met à égalité et tu enlèves ton boxer.
Clémence est maintenant passée maître de la situation. Comme elle voit que je reste figé, incapable de comprendre le choix qu’elle me propose, elle ajoute :
-Allez, au point où tu en es, montre la nous cette belle queue !
Je n’ai pas d’autre choix que d’obéir et je retire mon boxer, libérant ainsi mon sexe qui ne demandait que ça.
- Bah dis donc… Si c’est mon cul qui t’a mit dans cet état là, voyons quel effet vont avoir ses deux là !
Je lui lance un regard d’excuse, honteux de n’avoir pas réussi à me contrôler. Mais elle ça n’a pas l’air de la déranger : elle continue de me sucer et de bien nettoyer mon gland.
- Je vais jouir en toi maintenant ma chérie, déclare Guillaume.
- Vas-y, je veux sentir ton sperme en moi… gémit-elle.
Il accélère le rythme de ses coups de rein et mets de petites fessées sur le joli cul de Sarah. Cette dernière libère mon sexe, et se mets à crier de plaisir sans se retenir. Je vois ses yeux s’écarquiller, tout son corps se mettre à trembler alors qu’elle se rapproche de l’orgasme. Eet elle finit par jouir tandis que Guillaume se vide dans petit cul en soupirant. Epuisée, elle s’effondre sur le lit. Nous restons un moment comme ça, à caresser son corps pendant qu’elle reprend son souffle. Puis vient l’heure de nous séparer. Nous nous rhabillons tous en passant par la case salle de bain. Je quitte en premier l’appartement de Guillaume. Sur le pas de la porte, Sarah me dit :
- La prochaine fois c’est ton sexe bien dur que je veux sentir en moi.
Elle me fait un clin d’œil et Je lui rends son sourire. J’adresse un regard de gratitude à Guillaume puis je rentre chez moi. J’ai encore du mal à réaliser ce qui s’est passé. Et quand, de retour à l’appart, Clémence me demande si j’ai passé une bonne après-midi, je lui réponds simplement :
- Pas trop mal.
Le temps passe l’air de rien et nous voilà déjà arrivés aux vacances de la Toussaint. A la fac, nous n’avons pas vraiment de vacances mais plutôt un grand week-end de quatre jours. J’ai décidé de rentrer chez moi pour l’occasion : ça fait longtemps que je n’ai pas revu mes parents après-tout. Mon billet de train est réservé. Départ en fin d’après-midi. Avec Guillaume, nous n’avons pas reparlé des événements de ces derniers jours, à la fac il vaut mieux rester discret ! Avec Clémence, nous nous entendons de mieux en mieux depuis l’incident avec la douche, bizarrement. Une bonne complicité s’est établie. Elle a prévu de rester ici ce week-end. Tout va bien dans la coloc.
Sur le coup des 15 heures, Clémence quitte l’appartement pour faire des courses. Comme elle ne rentrera pas avant mon départ, elle me fait la bise, me souhaite un bon voyage et s’en va. Une demi-heure plus tard, alors que je boucle ma valise, la pluie se met à tomber. Je suis à peu près sûr que Clém est partie sans parapluie… Mon train part dans trois quarts d’heure mais c’est maintenant un vrai orage qui s’abat sur la ville. La pluie tombe en grosses gouttes, il fait très sombre. Foudre et tonnerre se succèdent dans un vacarme assourdissant. Inquiet, j’essaye d’appeler ma Clémence sur son portable mais impossible de la joindre. Je consulte ensuite le site internet de la gare où j’apprends que tous les départs de trains sont annulés en raison des intempéries…
J’appelle mes parents pour les prévenir que mon séjour chez eux est compromis puis, un peu dégouté, je m’enferme dans ma chambre. Je me mets en caleçon, t-shirt et je m’allonge sur mon lit avec un livre. Vers 18 heures, La porte de l’appartement s’ouvre et se referme. Clémence vient de rentrer. Elle ne peut pas se douter que je suis encore là. Bah… ça lui fera une surprise. Le temps de finir mon chapitre, j’entends un peu de remue-ménage dans la maison, d’abord dans la salle de bain puis dans la cuisine. Je referme mon bouquin, je me lève et je me dirige donc dans la cuisine.
En entrant dans la pièce, mon cœur manque un battement. Je découvre Clémence comme je ne l’avais encore jamais vue… Dos à moi elle ne m’a donc pas encore remarqué. Ses vêtements son posés en chiffon dans un coin, elle a une serviette à la main avec laquelle elle se sèche les cheveux. Elle est totalement nue… Je reste figé, incapable de bouger ou de dire un mot. Je contemple son joli dos, la marque de sa colonne vertébrale qui creuse un sillon descendant jusqu’à ses fesses. Elle se penche en avant pour se sécher les jambes, m’offrant ainsi une vue divine son sont petit cul bien ferme. Mon sexe en érection fait une bosse énorme sur mon boxer, mais c’est bien la seule partie de mon corps qui est capable de bouger… Après de longue secondes, Clémence se retourne et réalise ma présence. Elle pousse un petit cri, sursaute et de surprise, elle lâche sa serviette qui tombe à ses pieds. Par réflexe, elle se couvre la poitrine avec son bras droit replié et cahce sa petite chatte avec son autre main.
- Cyril ! Qu’est-ce que tu fais là ! s’exclame-t-elle, rouge de honte.
J’aimerais répondre mais seuls des bouts de phrase sortent de ma gorge. Mon regard fait et refait le tour de son corps, des ses cheveux mouillés qui tombent sur ses épaules nues, de sa poitrine qui déborde, de ses jambes fines…
- Je… Orage… train annulé…
- Mon pauvre Cyril, qu’est ce qu’il t’arrive ? Tu as pris la foudre ou quoi ? dit-elle avec ironie, en reprenant peu à peu une contenance. Je ne comprends rien de ce que tu marmonnes. Enlève ton t-shirt pour voir ?
Sans réfléchir et tout tremblant, je retire mon t-shirt. Clémence me sourit.
- C’est bien ce qu’il me semblait, tu bandes comme un cheval !
Je réalise que mon t-shirt cachait un peu mon érection. Mais maintenant que je suis en boxer, impossible de cacher la bosse au niveau de mon entre-jambe… Je deviens tout rouge.
- Alors Cyril, tu étais entrain de me mater et maintenant tu fais ton timide ? Ce sont mes fesses qui t’ont mis dans cet état là ?
- Oui… Enfin… Non… euh, Désolé… balbitué-je lamentablement.
- C’est trop tard pout t’excuser ! Je te laisse deux possibilités, soit tu retourne tranquillement dans ta chambre, soit on se met à égalité et tu enlèves ton boxer.
Clémence est maintenant passée maître de la situation. Comme elle voit que je reste figé, incapable de comprendre le choix qu’elle me propose, elle ajoute :
-Allez, au point où tu en es, montre la nous cette belle queue !
Je n’ai pas d’autre choix que d’obéir et je retire mon boxer, libérant ainsi mon sexe qui ne demandait que ça.
- Bah dis donc… Si c’est mon cul qui t’a mit dans cet état là, voyons quel effet vont avoir ses deux là !