21-01-2021, 05:32 PM
Je lui fis l'amour encore un peu, en missionnaire, le temps pour elle de se lasser de cette position, elle me fit basculer.
Elle était sur moi, ne tarda pas à s'empaler sur mon sexe et à opérer des mouvements rapides, ses beaux seins en avant, à portée de main. Je ne me privai pas. Je la caressai, pris ses fesses pour accompagner ses mouvements et la faire gémir un peu plus. Je la sentais vraiment bien. Elle se pencha vers moi, toujours pénétrée de mon sexe, et m'embrassa.
- Tu regrettes ?
- Pas du tout mon abricot.
Longtemps que je l'avais pas sorti celui-là. Le moment n'était pas mal choisi j'avais trouvé.
Elle se redressa encore, cette position favorisait son orgasme, qui ne tarda pas à venir. Même à travers la capote, je sentis ses vibrations vaginales.
Elle se retira. Je n'avais pas encore joui. Elle se mit à quatre pattes sur le lit, me présentant ses fesses.
- C'est pour toi cette fois.
J'avais compris le message. Je viens me placer derrière elle, et la pénétrai une troisième fois. Cette levrette fut délicieuse, je prenais ses hanches et guidait la pénétration, le mouvement, elle se redressait parfois pour m'embrasser, je lui prenais les seins. Enfin dans un ultime coup de reins, je plaquai mes mains sur ses fesses douces, et éjaculai, dans la capote, mais en elle. Elle ne bougea pas. Le temps se suspendait.
Nous restâmes quelques instants dans cette position, moi en elle avec mon sexe qui se dégonflait progressivement. Elle fermant les yeux et profitant de l'instant. Je me retirai.
Le réservoir de la capote était gonflé de ma semence, je retirai le préservatif.
Marie s'était allongée près de moi, une main sur son ventre, les yeux perdus dans ses pensées.
- A quoi rêves-tu ? lui demandai-je doucement.
- Je pense à nous.
Silence. Elle le brisa rapidement.
- Tu sais je ne t'ai pas répondu la dernière fois...
- Pour ?
Mais je savais très bien de quoi elle me parlait.
- Pour ta déclaration. Ça me fait mal, mais moi aussi je crois bien que je t'aime...
Feux d'artifice dans ma tête.
- ... mais ça me fait souffrir car dans un mois, on va se quitter encore plus liés que d'habitude et nous ne nous verrons plus...
- Je sais.
Une vague venait d'éteindre les pétards. Cette évidence qu'elle venait d'énoncer, j'essayais de me la dissimuler depuis des jours et des jours.
- Profitons de ce qu'il nous reste alors, proposai-je.
- J'y compte. Tu crois qu'on doit le dire à nos parents ?
- Ils s'en doutent un peu de toute manière non ? Autant leur dire après. Chapitre 9 : Les jours se suivent...
Le lendemain de cette nuit magique, le temps sembla s'accélérer. Nous avions refait l'amour après notre discussion, fait l'amour pour oublier que notre histoire serait sans doute éphémère, pour le plaisir aussi. Une nouvelle capote fut utilisée. Puis une autre, puis une dernière.
Nous nous étions endormis l'un contre l'autre, nus, transgressant la règle de sécurité, mais la porte était fermée, et puis je crois que nous nous en moquions un peu.
La semaine passa, nous faisions l'amour tous les soirs, c'était un besoin, à se demander pourquoi nous avions attendu un mois pour commencer. Marie découvrait son corps avec moi, et nous trouvions cela parfaitement... parfait.
Puis revint sa semaine menstruelle, nous imposant une abstinence totale, enfin presque.
Nous en avons profité pour tester la sodomie, elle eut mal, et j'avoue que cela ne me plut guère.
A la fin de cette semaine de vache maigre, elle était plus excitée que tout, comme la dernière fois. Le soir-même nous refîmes l'amour, et j'ai honte à le dire, sans préservatif.
- S'il-te-plaît, m'avait-elle presque supplié, faisons sans ! Je prends la pilule, tu n'as pas d'antécédents et moi non plus, tu es propre...
- Je sais tout ça, j'ai un peu peur c'est tout.
J'avais très envie aussi, mais c'était l'encourager à une bêtise commune. Finalement je craquai, la sensation était trop tentante.
Et elle fut sensationnelle. Sentir mon sexe nu en elle décuplait les effets. Nous étions en missionnaire. Elle me regarda dans les yeux, m'embrassa, resserra son emprise.
- Jouis en moi.
- Sûre ?
- Sûre.
Je l'embrassais à mon tour, baiser fougueux et passionné tandis que nos corps transpirant se mêlaient davantage, nos coups de reins rythmant le tout.
J'éjaculai.
Et elle jouit.
Sentir les contractions de mon sexe en harmonie avec ceux du sien me remplit de bien-être, j'étais cambré, profondément enfoncé en elle, tandis qu'elle me maintenait dans ce coït à n'en plus finir. C'était merveilleux.
- Je t'aime.
- Je t'aime.
- Promets-moi que tu ne feras pas ça à une autre fille.
- Promets-moi de ne pas le faire avec un autre garçon, lui décochai-je dans un clin d'œil.
Elle rit, m'embrassa.
Fin août. Jour du départ.
Marie a beaucoup pleuré cette nuit. Moi aussi. Nous avons fait l'amour, parlé de l'avenir, pleuré encore, ri de notre tristesse.
Ce matin, ma valise était prête. Prête pour l'an prochain, quand je retrouverai Marie.
Elle m'a donné une bague à elle, sa plus jolie. Je la porte autour de mon cou. En échange, mon pendentif en H autour du cou. Ça se verrait forcément, mais tant pis. De toute façon, on avait les yeux rougis.
Dernières embrassades. Marie n'est pas là. Ses parents l'appellent, elle ne répond pas. Je dis que je vais voir.
Je la trouve dans la chambre. Elle ne dit rien. Elle me regarde et sourit.
- Au revoir Hervé.
- Au revoir Marie.
- Je t'aime, bordel, tu le sais ça ?
- Je le sais. Je t'aime aussi Marie.
Je l'embrassai sur le bout du nez. Dernier échange avant dix mois.
Je sors, je sais qu'elle va pleurer, peut être bien que moi aussi.
Ses parents et les miens me voient revenir seul. Ils ont compris. Ils ne sont pas idiots.
Ma mère me fait un bisou dans les cheveux, mon père me fait une petite tape virile.
Poignée de main yeux dans les yeux du père de Marie, étreinte rapide de sa mère.
Au revoir vacances. Au revoir Marie. Une partie ma vie se met en pause. Épilogue
19 Octobre.
Lettre de Marie.
Citation :
Cher Hervé,
Je crois que j'ai une super nouvelle pour nous deux !
Mes parents déménagent. Ma mère a eu un nouveau poste à 50 kilomètres de chez toi.
J'ai [beaucoup] insisté pour être inscrite dans ton lycée,peut-être que je pourrai venir dormir chez toi... J'espère que ton lit est assez grand pour moi.
A sujet de ta dernière lettre, je voulais te dire que [...]
Je crois que les histoires qui devaient avoir lieu ont lieu
Elle était sur moi, ne tarda pas à s'empaler sur mon sexe et à opérer des mouvements rapides, ses beaux seins en avant, à portée de main. Je ne me privai pas. Je la caressai, pris ses fesses pour accompagner ses mouvements et la faire gémir un peu plus. Je la sentais vraiment bien. Elle se pencha vers moi, toujours pénétrée de mon sexe, et m'embrassa.
- Tu regrettes ?
- Pas du tout mon abricot.
Longtemps que je l'avais pas sorti celui-là. Le moment n'était pas mal choisi j'avais trouvé.
Elle se redressa encore, cette position favorisait son orgasme, qui ne tarda pas à venir. Même à travers la capote, je sentis ses vibrations vaginales.
Elle se retira. Je n'avais pas encore joui. Elle se mit à quatre pattes sur le lit, me présentant ses fesses.
- C'est pour toi cette fois.
J'avais compris le message. Je viens me placer derrière elle, et la pénétrai une troisième fois. Cette levrette fut délicieuse, je prenais ses hanches et guidait la pénétration, le mouvement, elle se redressait parfois pour m'embrasser, je lui prenais les seins. Enfin dans un ultime coup de reins, je plaquai mes mains sur ses fesses douces, et éjaculai, dans la capote, mais en elle. Elle ne bougea pas. Le temps se suspendait.
Nous restâmes quelques instants dans cette position, moi en elle avec mon sexe qui se dégonflait progressivement. Elle fermant les yeux et profitant de l'instant. Je me retirai.
Le réservoir de la capote était gonflé de ma semence, je retirai le préservatif.
Marie s'était allongée près de moi, une main sur son ventre, les yeux perdus dans ses pensées.
- A quoi rêves-tu ? lui demandai-je doucement.
- Je pense à nous.
Silence. Elle le brisa rapidement.
- Tu sais je ne t'ai pas répondu la dernière fois...
- Pour ?
Mais je savais très bien de quoi elle me parlait.
- Pour ta déclaration. Ça me fait mal, mais moi aussi je crois bien que je t'aime...
Feux d'artifice dans ma tête.
- ... mais ça me fait souffrir car dans un mois, on va se quitter encore plus liés que d'habitude et nous ne nous verrons plus...
- Je sais.
Une vague venait d'éteindre les pétards. Cette évidence qu'elle venait d'énoncer, j'essayais de me la dissimuler depuis des jours et des jours.
- Profitons de ce qu'il nous reste alors, proposai-je.
- J'y compte. Tu crois qu'on doit le dire à nos parents ?
- Ils s'en doutent un peu de toute manière non ? Autant leur dire après. Chapitre 9 : Les jours se suivent...
Le lendemain de cette nuit magique, le temps sembla s'accélérer. Nous avions refait l'amour après notre discussion, fait l'amour pour oublier que notre histoire serait sans doute éphémère, pour le plaisir aussi. Une nouvelle capote fut utilisée. Puis une autre, puis une dernière.
Nous nous étions endormis l'un contre l'autre, nus, transgressant la règle de sécurité, mais la porte était fermée, et puis je crois que nous nous en moquions un peu.
La semaine passa, nous faisions l'amour tous les soirs, c'était un besoin, à se demander pourquoi nous avions attendu un mois pour commencer. Marie découvrait son corps avec moi, et nous trouvions cela parfaitement... parfait.
Puis revint sa semaine menstruelle, nous imposant une abstinence totale, enfin presque.
Nous en avons profité pour tester la sodomie, elle eut mal, et j'avoue que cela ne me plut guère.
A la fin de cette semaine de vache maigre, elle était plus excitée que tout, comme la dernière fois. Le soir-même nous refîmes l'amour, et j'ai honte à le dire, sans préservatif.
- S'il-te-plaît, m'avait-elle presque supplié, faisons sans ! Je prends la pilule, tu n'as pas d'antécédents et moi non plus, tu es propre...
- Je sais tout ça, j'ai un peu peur c'est tout.
J'avais très envie aussi, mais c'était l'encourager à une bêtise commune. Finalement je craquai, la sensation était trop tentante.
Et elle fut sensationnelle. Sentir mon sexe nu en elle décuplait les effets. Nous étions en missionnaire. Elle me regarda dans les yeux, m'embrassa, resserra son emprise.
- Jouis en moi.
- Sûre ?
- Sûre.
Je l'embrassais à mon tour, baiser fougueux et passionné tandis que nos corps transpirant se mêlaient davantage, nos coups de reins rythmant le tout.
J'éjaculai.
Et elle jouit.
Sentir les contractions de mon sexe en harmonie avec ceux du sien me remplit de bien-être, j'étais cambré, profondément enfoncé en elle, tandis qu'elle me maintenait dans ce coït à n'en plus finir. C'était merveilleux.
- Je t'aime.
- Je t'aime.
- Promets-moi que tu ne feras pas ça à une autre fille.
- Promets-moi de ne pas le faire avec un autre garçon, lui décochai-je dans un clin d'œil.
Elle rit, m'embrassa.
Fin août. Jour du départ.
Marie a beaucoup pleuré cette nuit. Moi aussi. Nous avons fait l'amour, parlé de l'avenir, pleuré encore, ri de notre tristesse.
Ce matin, ma valise était prête. Prête pour l'an prochain, quand je retrouverai Marie.
Elle m'a donné une bague à elle, sa plus jolie. Je la porte autour de mon cou. En échange, mon pendentif en H autour du cou. Ça se verrait forcément, mais tant pis. De toute façon, on avait les yeux rougis.
Dernières embrassades. Marie n'est pas là. Ses parents l'appellent, elle ne répond pas. Je dis que je vais voir.
Je la trouve dans la chambre. Elle ne dit rien. Elle me regarde et sourit.
- Au revoir Hervé.
- Au revoir Marie.
- Je t'aime, bordel, tu le sais ça ?
- Je le sais. Je t'aime aussi Marie.
Je l'embrassai sur le bout du nez. Dernier échange avant dix mois.
Je sors, je sais qu'elle va pleurer, peut être bien que moi aussi.
Ses parents et les miens me voient revenir seul. Ils ont compris. Ils ne sont pas idiots.
Ma mère me fait un bisou dans les cheveux, mon père me fait une petite tape virile.
Poignée de main yeux dans les yeux du père de Marie, étreinte rapide de sa mère.
Au revoir vacances. Au revoir Marie. Une partie ma vie se met en pause. Épilogue
19 Octobre.
Lettre de Marie.
Citation :
Cher Hervé,
Je crois que j'ai une super nouvelle pour nous deux !
Mes parents déménagent. Ma mère a eu un nouveau poste à 50 kilomètres de chez toi.
J'ai [beaucoup] insisté pour être inscrite dans ton lycée,peut-être que je pourrai venir dormir chez toi... J'espère que ton lit est assez grand pour moi.
A sujet de ta dernière lettre, je voulais te dire que [...]
Je crois que les histoires qui devaient avoir lieu ont lieu